Aller au contenu

Classement

  1. La Louche du Nord

    • Points

      11

    • Compteur de contenus

      996


  2. T350

    T350

    Membre association


    • Points

      4

    • Compteur de contenus

      3495


  3. gastair

    gastair

    Membre


    • Points

      3

    • Compteur de contenus

      166


  4. Pascal76

    Pascal76

    Membre association


    • Points

      3

    • Compteur de contenus

      976


Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 05/09/24 dans toutes les zones

  1. bonjour à tous on continue de profiter de l'éclaircie, un petit coin sympa du coté de l'amas de vierge, avec 3 galaxies, quelques pétouilles autour et une supernova depuis mars. clic droit pour zoomer setup habituel : rc10 250/1600 + asi2400 filtre ir-cut sur 1000hps 90 poses de 2 min soit 3h en prime (comme la cible se couchait vers 3h, j'ai programmé le gros Glob pour la fin de soirée (des poses un peu trop longue).
    5 points
  2. merci @julienESP bonne remarque. la V2 avec les poussières et les couleurs. c'est vrai que c'était dommage de raté ça si prêt du but.
    4 points
  3. Bonjour les amis La retraite approche (bon, encore deux ans 😂) et je me suis donc en phase "bientôt je pourrais". J'ai déjà du matos depuis 20 ans, en effet j'avais acheté ma lunette et quelques oculaires en 2002/2003 chez Optique & Vision à Juan Les Pins par correspondance via Frank Valbousquet et Gilles Cohen alors que j'étais en Guadeloupe. Le matos a peu servi mais j'en ai pris soin. J'ai ensuite acheté de nouveaux oculaires et prévois de faire de la photo. Clin d'œil au passé avec une des factures d'époque... pourquoi d'après vous ces drôles d'appellations sur la facture ? (par exemple "tube rallonge tripleur" pour une Barlow Tele Vue x 3 ou "embout réfracteur" pour un oculaire) 😇 Voila donc ma série d'oculaires à jour. Moi j'ai toujours été Vixen... Avec Barlow Tele Vue X3. Oculaires 31,75 mm LVW VIXEN. Champ 65°, relief d’œil 20mm. Utilisés avec ma lunette Vixen ED102SS 660/102= F/D 6,47 (F/D 5 avec réducteur) sur Vixen GP motorisé Skysensor 2000 PC Ca donne avec ma Barlow X3 : Pour rappel : LVW VIXEN. Champ 65°, dégagement oculaire 20mm. Oculaire Grossissement 22 30 17 40 13 50 8 80 5 130 3.5 185 8 X3 250 5 X3 400 Bref... vous pensez quoi de ce choix de taille d'oculaires/barlow/réducteur pour le visuel mais aussi la photo... ciel profond ou planétaire/lune. Bref pour tout faire pas trop mal ? J'ai aussi le réducteur 1.32 Vixen spécial pour la Lulu ED 102SS... je ne m'en suis jamais servi... utilité ? (je sais c'est avant d'acheter qu'on y pense 🙃 )
    3 points
  4. Bonjour, Un créneau d'un peu plus de 2 heures pour tirer ces deux galaxies. La très belle image de Julien et Mickael @julienESP m'a donné envie de l'essayer, mais sans la nébuleuse voisine car peu de temps d'intégration. Evidemment ne comparez pas les images 😉 138 poses de 60s Lacerta 200/800 sur EQ6 R pro Correcteur GPU x1 Filtres UVIRcut Caméra ASI2600MC pro Guidage PHD2 sur lunette 225/60 et caméra GPCAM2-290C Nina – SIRIL – Pixinsight – BlurXterminator – GIMP Bon ciel à tous
    2 points
  5. Bonjour à tous, Enfin une éclaircie pendant une nouvelle lune. setup : RC10 gso 250/1600 + asi2400 + 10micron. 100 poses de 2 min soit 3h30 de poses. fond de ciel de cette région vraiment pas évident à traiter, pas mal de poussière. j'avais refait la collim de jour avec le collimateur Takahashi et j'ai juste eu à tourner 1 visse de 1/8 de tour coté primaire et 1 visse 1/8 coté secondaire une fois sur le ciel via la méthode DSI (pour ceux qui s'intéresse à la collimation d'un RC) clic pour full et bonne chance à vous pour vos prises. La V2 (merci des conseils) : dans la dernière demi heure, j'en ai profité pour shooter C/2021 S3 PANSTARRS vers 4h avant qu'elle nous quitte.
    2 points
  6. Wills Point, Texas, à environ 1h30 de route à l’est de Dallas sur la State Highway 80… Population d’un peu plus de 3000 habitants, une petite ville allongée le long d’une« main street » aux allures de film de western, juste un peu modernisée. Quelques rues qui se croisent à angle droit, quelques cafés-restaurants, une voie ferrée longe la route 80 qui traverse la ville. Wills Point, on y passe, pourquoi s’y arrêter ? Jamais je n’aurais cru que nous y resterions deux nuits, une fois dans notre vie. Mais voilà, Wills Point était bien positionné sur la bande de totalité de l’éclipse solaire du 8 avril 2024, avec une durée annoncée de 4 min 18 et avec une statistique de couverture nuageuse pas désagréable par rapport au reste du parcours de l’ombre (voir Dallas dans le graphe ci-dessous extrait de l’excellent site de Xavier Jubier). Mais les statistiques ne font pas la météo du jour… De plus, et peut-être surtout, Wills Point disposait d’un hébergement très simple, à 200 dollars pour trois nuits, prix pas courant pour le passage de cette éclipse très médiatisée. Le propriétaire, pas au fait du passage d’une éclipse, n’avait pas augmenté ses tarifs. Nous avons retenu une chambre 14 mois plus tôt pour trois nuits. A posteriori, la qualité était en rapport avec le prix et nous sommes partis avant la troisième nuit… Nous arrivons à Wills Point le 6 avril au soir, afin de disposer de la journée du 7 pour une première installation du matériel et une répétition de la séquence totalité. Mais voilà : alors qu’il fait très beau depuis trois jours que nous sommes au Texas, le 7 le ciel est couvert et les prévisions météo pour le 8 sont mauvaises : plafond nuageux total, gros orages dans l’après-midi, avec peut-être quelques éclaircies. Le moral est bien bas, au point que je renonce à installer le matériel ce jour-là. Déjà avant le départ de France, les prévisions étaient peu engageantes, mais dix jours avant on espère toujours. Le 8 avril au matin, tout est gris. Consternation ! La météo dit qu’au nord de l’Interstate 20, il y a aura des éclaircies. Mais nous y sommes au nord ! Juste 5 km plus au nord. Vers 9h30, notre cœur balance… Tout replier et partir à l’aventure ? Alors que nous disposons ici d’un beau champ herbeux, de visibilité, de calme… Risquer de finir au bord de la route, ce qui était annoncé comme interdit sur de grands panneaux lumineux, ou pire, coincés dans un embouteillage au moment crucial ? Finalement nous restons et j’installe le matériel, prêt à être très philosophe. Astram, on sait qu’il faut de la patience et savoir rester zen face à la météo. Mais au fond, vivre une éclipse totale de soleil sous les nuages, voir la lumière s’en aller en sachant un peu ce qui se passe bien plus haut, ça doit mettre le moral dans les chaussettes pour longtemps. Regrets éternels… Matériel installé. La monture GP Vixen est en place, sans moteurs pour la légèreté, lestée d’un gallon d’eau de source (ou vendue comme tel), alignée vers le nord à la boussole et à l’œil, latitude réglée à 33 ; dessus la lunette Orion EDT/CF 80/480, le Canon EOS 60D connecté, le filtre solaire posé, l’intervallomètre branché pour faire office de déclencheur filaire, ISO 200, mode bracketing permettant de déclencher trois temps de pose différents avec trois déclenchements successifs sans toucher à la molette des vitesses, miroir en mode relevé, RAW + Jpeg léger. L’attente angoissée commence, le jeu de cache-cache avec les nuages aussi. Le plafond est bas. Le ciel n’est pas statique, il y a du vent là-haut, les nuages passent à bonne vitesse et les petites trouées aussi. De temps en temps, le soleil apparaît pendant quelques secondes ou dizaines de secondes, puis disparaît. Je profite de ces moments fugaces pour pointer (pas facile de pointer le soleil quand on ne le voit pas…) et faire le point. Là aussi, faire le point n’est pas très relaxant, avec des flots de nuages qui traversent le champ, alors que je me concentre sur les rares taches solaires, avec la molette démultipliée, l’écran de l’APN grossi à 10 fois, tout en suivant le déplacement du soleil avec la molette équatoriale. Je prends donc quelques dizaines de photos et vérifie ma mise au point et mes temps de pose, rapides entre 1/350 et 1/2000, les trouées passent, plusieurs minutes parfois entre deux aperçus du soleil. Les résultats sont très variables, le voile nuageux impactant considérablement l’exposition, évidemment, et il est impossible de trouver un réglage à peu près permanent. 1/2000ème Arrive l’heure du premier contact. Zut, invisible ! Le premier cliché acceptable arrive plus tard… 1/100ème La tension monte, les nuages passent. Nous guettons les trouées, que le vent pousse depuis le sud dans notre direction. Dès qu’une trouée arrive, je déclenche. Les résultats, que j’ai le temps de regarder sur l’écran, sont très variables, très incertains : les nuages défilent, les temps de pose choisis collent à la trouée… ou pas, selon le défilement des nuages. Beaucoup de déchets. Mais quelques-unes acceptables. 1/15ème La présence des nuages, qui se traduisent par des ombres noires plus ou moins denses, donne un caractère assez dramatique aux images. Côté mise au point, c’est acceptable, il y a de quoi affiner un peu sous DPP (le logiciel de développement de Canon). Je la rectifie dès que je peux, j’ajuste la tension du porte-oculaire au mieux : le soleil est vers 65° de hauteur, la verticale n’est pas si loin, ça pèse sur le Crayford. 1/30ème Sur cette série de la phase partielle, j’aime bien celles où la lune approche les quelques taches solaires du jour et progressivement les masque. A 150 millions de kilomètres d’écart, notre satellite joue avec la géométrie de notre système planétaire et malgré sa petite taille comparée à notre étoile et à ses taches, il va les dissimuler à notre vue. Raccourci saisissant. 1/1000ème 1/500ème 1/200ème 1/250ème 1/10ème L’éclipse progresse, l’ombre avance. L’éclat du soleil est tel que même masqué largement à plus de 50%, la luminosité est encore à peine affectée. Les oiseaux chantent, les énormes camions circulent à toute vitesse sur la state Highway 80 toute proche, tout semble encore normal. Sauf quand on lève le nez, que l’on met ses lunaires éclipse (avant de lever le nez !) et que l’on voit cette échancrure courbe sur le disque solaire. Non, tout n’est pas normal. 1/250ème Les nuages défilent, les trouées aussi. Et puis quelque chose se passe, la lumière change. Elle prend cet aspect qui n’existe que pendant les éclipses solaires fortes et les prémices des éclipses totales : grisâtre, cendrée, comme si flottaient dans l’air des particules sombres absorbant la lumière. La température baisse, les oiseaux ralentissent leur chant. Les camions passent à toute allure. 1/20ème Le soleil n’est plus qu’un croissant, ses taches ont été avalées. Comment fait-il, avec si peu de surface visible, pour éclairer encore autant ? Mais de moins en moins cependant. La lumière baisse, comme la température, les trouées dans le plafond nuageux défilent, la fébrilité monte. L’atmosphère est grise, de plus en plus densément grise, presque palpable, sauf vers l’horizon où la luminosité reste forte. Je n’ai plus le moyen de faire la mise au point, plus de tache solaire à laquelle m’accrocher, plus toute la concentration nécessaire. J’enlève le filtre solaire, je déclenche en temps de pose courts, mais trop tôt. Je ne veux pas manquer le deuxième contact. 1/2000ème 1/8000ème Et pourtant, je le manque ! La trouée attendue n’est pas là, mais elle arrive, posément. Nous sommes dans le vif du sujet, c’est le début de la totalité. Les oiseaux se sont tus, les lampadaires se sont allumés, les camions passent à toute allure, tous feux allumés, le business n’attend pas après les éclipses. 1/500ème 1/250ème Comment décrire une éclipse totale de soleil ? Les photos ne sont pas grand-chose à côté de la réalité de l’événement, pour moi le plus extraordinaire que la nature puisse nous offrir. 1/60ème 1/4 sec Il fait frais, voire froid. Tout est gris autour de nous, quasiment crépusculaire mais pas tout-à-fait, car au loin il y a de la lumière. Quand on lève les yeux, presqu’au zénith, il y a un disque noir auréolé de lumière, le pourtour est parsemé de flammes rouges. Pas de planète visible pour nous cette fois, mais une étoile quand même, ou peut-être Vénus, épargnée dans une brèche de ce plafond bas. En plein jour, le roi soleil a disparu, ne reste que sa couronne. On comprend l’anxiété que pouvaient éprouver il y a longtemps ceux qui ne savaient pas s’il allait revenir. 3/10ème Quatre minutes passent, c’est court et long à la fois. Trop court pour affiner le réglage de ses appareils, je déclenche régulièrement, modifiant le temps de pose toutes les trois prises de vue, quand le bracketing a fait son travail. Je monte vers les poses longues, dans l’espoir (qui sera déçu), d’attraper la couronne, puis je redescends vers les poses courtes pour saisir les protubérances et possiblement le « diamond ring », à l’aveugle sans regarder l’appareil. Il faut profiter de l’instant. Et suffisamment long pour que l’émotion dure, pour que l’on s’imprègne de l’ambiance, qu’on la grave dans sa mémoire. La fugacité, la rareté du phénomène en renforcent la puissance. On n’y croit pas, c’est fou ce qui arrive, c’est beau et extra-ordinaire. J’estime que nous aurons vu la moitié de la totalité, les nuages nous masquant le reste. 3/10ème Je prends cliché sur cliché, à l’approche du troisième contact. 1/6ème J’attrape un effet proche du diamond ring, mais juste un peu tard. 1/10ème Le soleil réapparaît. Je remets le filtre. 1/500ème La tension retombe, mais l’émotion reste là des dizaines de minutes, des heures. Autour de nous, les quelques personnes qui étaient là retournent à leurs occupations, les camions passent à toute allure. Je continue à déclencher, après avoir remis le filtre. Je resterai là encore une heure, sur ma chaise pliante, retardant le moment où l’éclipse sera vraiment du passé, existant pour l’éternité dans le monde des événements qui ont eu lieu, intouchable, finie mais éternelle. 1/250ème 1/100ème Et puis il faudra bien passer à autre chose, ranger tout le matériel, lentement, en tremblotant mais calmement, avec le soulagement de celui qui est passé près d’un beau ratage mais qui a sauvé quelques meubles, qui a eu cette demi-chance, qui est quand même une chance entière, au fond, un privilège. L’escapade au Texas n’est pas finie, il y a encore au programme la visite du Centre Spatial de Houston ! Nous reprenons la route le soir même. Je regarde à la volée mes photos de la totalité. Je ne suis pas satisfait. La mise au point n’est pas bonne, arrgh… Pourquoi ? Elle était acceptable pendant la phase partielle, elle ne l’est plus pendant la totalité. Le porte-oculaire a-t-il glissé, finalement ? Aurais-je dû serrer plus fort la vis de tension ? Si je serre très fort, est-ce que cette pression modifie la mise au point ? La baisse de température au moment de la totalité peut-elle expliquer ce décalage dans la mise au point ? Ai-je arrêté de faire ma mise au point trop tôt ? Aurais-je dû tenter une mise au point pendant la totalité, vingt secondes de manipulation au cœur de quatre minutes ? Frustration. Mais bon, en photo d’ambiance, en photo souvenir de l’événement, c’est acceptable, là aussi les nuages dramatisent le sujet. Finalement, les photos d’une totalité ne sont qu’une vision instantanée et partielle du phénomène, que l’on regarde quelques secondes, un disque noir auréolé de blanc, sur un fond noir, esthétique le plus souvent. Mais aucune photo, si réussie soit-elle, ne peut rendre compte de ce qu’est une éclipse totale de soleil : il faut la voir et la vivre, en vrai. Je suis chanceux, c’était ma troisième, après 1999 et 2017. Au bout du bout, un voyage réussi : nous avons vu Dallas, où nous ne serions pas allés sans cette occasion, Fort Worth et son rassemblement de bétail, nous avons visité le Johnson Space Center à Houston et goûté un petit peu du Texas, où nous avons toujours été très gentiment accueillis. En route pour l’Espagne 2026 ? Jacques
    2 points
  7. J'ai le plaisir de vous présenter un instrument historique, pas vraiment vintage dans les dates de fabrication, mais avec certitude dans l'esprit. Une des premières versions, en coulant 1"1/4 et M36.4 (tolérant un erflé 32mm en vissant pour ~60° à 3.5mm de pupille en CP. Je dirais un peu comme la démarche de Scopetech de ressortir les vieilles formules qui fonctionnaient tout en modernisant quelques points. Il a appartenu à Gilbert Masse, observateur et photographe connu, qui était installé près de Clermont-l'Hérault, pas loin du site de l'Association Française d'Astronomie à Aniane. Je l'ai récupérée auprès d'Astromoine (pseudo sur Astrosurf) son ami de longue date qui se sont connus là-bas. Jean Dragesco était également de ses amis et possédait la même, probable qu'il lui avait conseillé ou présentée. Gilbert Masse était parisien et l'avait acquise auprès de PL Vinel, Astronomix. J'avais déjà eu l'objectif entre les mains mi-juin 2020 pour réparer un incident sur le calage optique. Ci-dessous la cellule aluminium moulée et son contrôle de focale réelle en méthode 2*focale - objectif - 2*focale (Silbermann), et aussi pour valider l'annulation de la coma et l'astigmatisme sur l'axe après la pose des cales latérales et entreverre. Note : je n'avais pas de plan réfléchissant à l'époque pour utiliser la méthode de Bessel. https://fr.wikipedia.org/wiki/Méthode_de_Silbermann https://fr.wikipedia.org/wiki/Méthode_de_Bessel A réception : les lentilles étaient coincées dedans. J'ai du procéder à deux actions : froid + chaud (plutôt risqué compte tenu de la pression sur le verre) pour décoincer les lentilles. Par soucis de perfectionnement, j'avais prévu une optimisation de la position des anneaux de Newton visibles dans l'entreverre par rotation et décalage mais c'était déjà bien centré. => je n'ai pas eu grand chose à faire car les lentilles avaient été débordées à la meule centreuse donc c'est déjà bien fait sur chaque lentille (comme faisait Clavé et la plupart des bons fabricants qui se sont automatisés après WWII). L'industrialisation prévoir un centrage axe optique et axe géométrique de chaque lentille. Mais ... c'est le soucis fréquent en polissage automatique il reste souvent de la casquette alors on prévoit un diamètre plus gros qu'on réajuste après polissage avec les machines à déborder : celà peut provoquer une différence de diamètre avec la cote prévue. => plus la lentille est grande plus le rognage est potentiellement important. Dans ce cas le crown fait 0.5mm de moins en diamètre que le flint. Le décentrage potentiel du aux quelques dixièmes de mm (<0.25mm vs l'axe) sur ce doublet ne provoque pas des défauts de coma et astigmatisme monstrueux car Ils sont bien limités par le meulage, mais ici le crown s'appuie sur un espaceur en plastique de 1mm qui s'est écrasé au serrage et s'est mis de travers, la lentille crown s'est affaissée sur un bord et a tilté. Au final, j'ai principalement débloqué ça et juste ajouté de l'élastomère pour gérer la dilatation et caler le crown et le flint pour qu'ils ne bougent plus. La dilatation/rétraction thermique écrasant l'élastomère qui reprend sa forme ensuite, absorbant la contrainte. Je pense que certains ont connu le même soucis que cet objectif, la marge par rapport à la cellule et un serrage un peu brutal avait engendré cet incident. Bref, la cellule n'est pas bas de gamme mais j'ai vu mieux sur la TAL 100 qui avait pensé à 3 vis à 120° pour la collimation de la position du crown et du joint silicone pour la tenue en température. La pointe des vis étant amorties derrière des capuchons silicones injectés. J'ai utilisé des tampons d'amortissement de vibrations pour la hifi (mousse expansée) et des pages d'intercalaires de classeur en polyéthylène. C'est un palliatif bien suffisant par rapport à du haut de gamme. Takahashi & Astrophysics utilisent une méthode similaire avec une bande polyéthylène ou des morceaux de Kapton quand c'est huilé. https://fr.wikipedia.org/wiki/Kapton Aujourd'hui, j'aurais tendance à utiliser du kapton adhésif, ça se trouve en film mince à prix raisonnable. Ça se dégrade peu avec le temps. Les instruments Linear d'Astronomix ont fait couler beaucoup d'encre et provoqué de polémiques entre 2001 et 2005 sur Astrosurf (ici je ne sais pas). Ce ne sont pas des instruments conçus de façon moderne, destinés au consommateur lambda qui fait plus attention au halo bleu résiduel pour juger de la qualité d'un objectif que de son piqué maximum. C'est une optique et un tube conçu et prototypé par Photon USA qui était connu dans les années 2000. Les amateurs connaissaient et c'était bien évalué parmi le milieu de l'époque. F/9 c'est court mais intentionnel pour rester transportable et surtout utilisable avec des oculaires de base modernisés : orthoscopiques ou astroplans (ex. : Tani, Masuyama) En champ profond, on titille la série de Messier avec plaisir, à priori un bon équilibre couleur pour les nébuleuses d'après les retours. C'est un objectif technique pour des observateurs (et non des spectateurs du dimanche) qui nécessite un filtrage léger (jaune clair ou Baader jaune) pour donner le meilleur sur la Lune (certains poussent à x300). En grossissement utile, pour de belles couleurs planétaires et un rendu esthétique sans filtre, on doit pouvoir le pousser à 1D (x127) avec un orthoscopique 9mm et sans doute x190 en lunaire avant d'ajouter le filtre coloré, ce qui est recommandé plutôt que de mettre un neutre ou un polarisant pour baisser la luminosité (sinon on s'éclate la rétine pour la nuit ) Pour l'observation technique planétaire, à plus fort grossissement, le tube accepte avec bonheur la série de filtres habituels. Jean Dragesco sortait aussi de la photo solaire avec ! A ce demander comment c'est possible de tout faire avec un instrument qui n'est même pas dans le critère de Sidgwick (5" ça devrait être plutôt f/10 minimum). Lulu magique ? ce fut la polémique de l'époque. Voici ce qu'en dit Bob Midiri vainqueur du concours de construction d'optique Stellafane (optical winner 1996) et fait parti des instructeurs de l'association. Source http://www.excelsis.com/1.0/entry/photon-127mm-f9-refractor-12-135.html De mon avis, à contrôler prochainement, c'est une copie proche des objectifs C de Zeiss en réglage. Je fus surprise de trouver un rapprochement avec une formule exotique, du genre BK7 - SF2 comme la Télémentor et un possible calage vers 552nm. La plupart des achros modernes sont calés 10-17 nm au-dessus (535-542nm ou F-d), ce qui ruine le piqué planétaire 575-610 (sensibilité chromatique) en tronquant dans l'orange à 600nm sans être optimal en lunaire non plus. (555nm pic de sensibilité à la luminosité) Je dois vérifier plus en détail ce que j'ai constaté en début de nuit aujourd'hui, un joli rendu des couleurs en faible luminosité avec un Tak LE 24mm, probablement un calage optimisant simultanément les nébuleuses Oiii et H-alpha. Je pense que c'est râpé pour vérifier sur Orion maintenant, tant pis... Avec 127mm on doit pouvoir tester quelques couleurs sur M57, à voir. Il me reste peut-être les carbonées de l'amas du grand chien. J'ai déjà été tant déçu par les tubes modernes mal calés que ce serait surprise d'apprécier ça à nouveau comme dans l'inestimable E110 littrow que mon collègue du club d'Annecy avait dénichée par hasard. Donc rien de magique je pense, mais des bons choix techniques à la sauce moderne : traitement AR multi-couches, sélection de la bonne combinaison de verre pour faire tout correctement à ce f/D, que ça soit tolérant à la fabrication. Le soucis de conserver un espace entreverre suffisant pour le constraste et limiter le problème de buée des grands achromats. Penser à la mise en température. Bref, arrêter de se prendre le chou et refaire ce qui marchait en y mettant juste les bonnes innovations. C'était l'envie de Photon USA, par les astronomes pour les astronomes.
    1 point
  8. Salut, la nuit dernière il fallait être patient. Météo France prévoyait un ciel dégagé dès la soirée sur Paris, malheureusement, alors que les copains en Seine et Marne shootaient depuis un bon moment il à fallu attendre minuit dans l'Ouest francilien pour que l'épaisse couche nuageuse dégage enfin 🙄 Trop tard pour commencer un nouveau projet mais suffisant pour en terminer un commencé en 2022. La vedette de ce champ est la galaxie dite du Héron, couple de galaxies spirales en interaction NGC 5394 et 5395, ou Arp 84, à environ 107 millions d'années lumière. Plus à droite se trouve la galaxie lenticulaire NGC 5380 à109 millions d'a.l., puis enfin la photogénique spirale barrée NGC 5378 à environ 136 millions d'a.l. En 2022 j'avais fait 200*60 sec en luminance, 30*60 sec en R et B que j'avais assemblé avec une couche verte synthétique. J'ai pu ajouter la nuit dernière 200*60sec en luminance (donc 6h40 de luminance au total) et 25*60sec pour une véritable couche verte. Voici le champ complet (clic droit pour la full) : Un recadrage : Et enfin la luminance annotée : J'ai dû me résoudre à utiliser la couche verte synthétique pour les étoiles en raison de halos asymétriques, la couche verte "bio" n'a servi que pour les galaxies. Bon ciel, Dan Données techniques Astrographe newton 200/800 carbone optiques Zen + Wynne 2.5", focale effective 750mm (échantillonnage 0,66"/pix) Monture : AZEQ6 (2022) puis AP900 (2024) Train d'imagerie : ASI183mm+filtres LRGB ZWO, guidage OAG + ASI120mini + ASIAIRv1 Luminance : 200*60sec en 2022, même chose en 2024 Chrominance : 30*60sec par couche R et B en 2022, 25*60sec pour la G en 2024 Empilement Siril, traitement PI et Rawtherapee Conditions de prise de vue : pollution lumineuse (Tour Eiffel à 20km), turbulence moyenne
    1 point
  9. Ce 8 Mai 2024 , une immense fournaise solaire particulièrement active avec un grand nombre de taches Réfracteur 185 mm APO Askar - double stack Fabry Pérot Coronado Pst , Barlow 2x et camera Player one
    1 point
  10. Je n'ai pas vraiment l'habitude de poster mes images sur les forum mais du coup je m'y colle avec un peu de retard à rattraper. Tout est déjà presque dans le titre !!!! Deux belles nuit sur NGC4565. La qualité d'une des deux nuit était vraiment topissime. Détails sur mon site : https://planetediy.fr/index.php/2024/03/24/ngc-4565-capturee-en-deux-nuits/ Détail du matériel utilisé : TS-ONTC HYPERGRAPH 10″ 254/1000 (Fd4) Correcteur Réducteur 0,85×3″ soit 863mm (Fd3,4) EQ8R-Pro sur Pilier Acier DIY ZWO ASI2600MC DUO + Optolong Clear 2″ ZWO EAF ZWO EFW 5 positions 2″ Temps intégration total de 7.26h 83x120s Gain=100 (-20°C) 135x180s Gain=100 (-20°C) 40 Darks Gain=100 40 Darks Flat Gain=100 40 Flats Gain=100 Traitement PSD / Pixinsight La Full est sympathique même si quelques nuits supplémentaire ne serait pas un luxe.
    1 point
  11. Après une première image en avril de cette galaxie gâchée par les cirrus, voici une nouvelle image de cette galaxie. Matériel utilisé Az eq6 + Esprit 100ED + 2600MC commandés par l'asirair. Poses unitaires de 300s. traitement Pixinsight. Bonne soirée Patrick
    1 point
  12. Merci la louche😊 et allez, c'est parti! sympa mon cadrage? et le guidage à 0,44"? 😊😊😊 y va y avoir du détail, là, et guidage à 0,39"... Aaaallé, aaaallé! par contre, le réducteur comme vous pouvez le constater, ça vignette à mort sur un FF.😡 guidage à 0,33", et les détails qui vont avec: Il est bien réglé ce tube. C'est bien mieux réglé que quand je prenais l'apéro avant....😁 Guidage de tueur: et encore, je sais que j'ai encore une belle plume thermique sur le primaire qui refroidi. et on est pas encore au méridien. Flip à 23H50. a+ Serge
    1 point
  13. Tu n'as pas fait tout le tour... Il en reste qq autres en France et en Europe. Ca dépend aussi si on veut du "semi-artisanal" (ou "semi-industriel", à toi de choisir) ou du "sur mesure". En cherchant, tu trouveras des artisans français qui font du "sur mesure". Après, c'est toujours le problème du compromis, on compile des infos pendant des mois, voire des années en essayant de dégager la meilleure solution et il faut prendre la décision à un moment donné en espérant que ce soit la bonne, mais faut aussi réfléchir à ce qu'on veut faire par la suite, par exemple, mettre une tête bino demande une réflexion supplémentaire, ou encore avoir un F/D bas (4 et inférieur) demande un Paracorr et se gère aussi différemment. Les prix augmentent pendant ce temps, parfois les délais s'allongent sur la commande (liste d'attente), et parfois aussi, certains arrêtent (par exemple, Starmaster aux USA, connus pour ses Dobs "fast"). Il y a 25 ans, il y avait pas de choix en France sur des Dobs grand diamètre (déjà avoir 350mm, c'était bien) et fallait commander un Obsession ou autre aux USA avec les pb et coûts que cela engendrait. Ajd, certains diraient qu'il y a trop de choix. Faut regarder aussi l'occasion. On voit passer de belles machines chq année, qui ne demandent qu'à trouver un nouveau propriétaire. Sur des Dobs à 4, 6 ou 8, 10 k€, faut se déplacer pour voir, essayer souvent et prendre les conseils de l'astram qui veut vendre.
    1 point
  14. ça n’existe pas parceque ça ne peut pas exister. Un 32mm en 31.75mm sera limité à 50° environ. Si tu veux plus de champ apparent pour cette focale, il faudra une plus grande lentille frontale… donc un oculaire 2”…. ( mais c’est pas l’objet du topic, tu devrais en ouvrirai un autre ) ici on est lá pour regarder ta jolie collection vixen bien assortie à ta jolie lulu, les soirs où les dieux de l’astro font descendre le voile de nuée, cachants à nos yeux impurs les spirales d’étoiles et volutes de gaz du firmament 😂
    1 point
  15. Hello 🙂 Le 09 mai 2024. Nouvelle lune, ciel dégagé. Le Ouistiti est de sortie pour tenter un galaxie très difficile, très peu lumineuse: NGC 4395. NGC 4395 est une galaxie spirale rapprochée de type magellanique. Elle est située dans la constellation des Chiens de chasse. Avec une brillance de surface égale à 15,60 mag/am2, on peut qualifier NGC 4395 de galaxie à faible brillance de surface de type LSB. Les galaxies LSB sont des galaxies diffuses avec une brillance de surface inférieure de moins d'une magnitude à celle du ciel nocturne ambiant. Elle renferme plusieurs régions HII plus brillantes. Cette galaxie a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1786. - Dimensions apparentes: 13,2′ × 11,0′ - Dimensions réelle: 64 700 années-lumière - Distance: 13,9 millions d'années-lumière
    1 point
  16. Ma-gni-fique la louche!😍 et en plus, tu viens de m'éduquer car je les avais faites il y a 3 semaines, et j'ignorais que j'avais capturé une SN: Merci! a+ Serge
    1 point
  17. Une magnifique protubérance d'envergure ! ce 8 Mai 2024 photo réfracteur 185 mm APO Askar - Fabry Perot PST prototype optimisé et pour la deuxième photo double stack avec deux fabry Perot PST , Barlow 2x et camera player one on peut voir notamment l'apport considerable du contraste sur la surface
    1 point
  18. Magnifique 👌🏻🙏🏻
    1 point
  19. @polorider J'ai tenté de mettre l'illustration, mais ça n'a pas marché... le lien correct @Caius@Vakoran Soit. Trois degrés, c'est la moitié de l'écart qui nous sépare du dernier glaciaire (à l'époque 3 à 4 km de glaces sur l'Europe et l'Amérique du Nord, 120 m d'écart sur le niveau de la mer...).
    1 point
  20. Un survol solaire avec un magnifique panorama en HD des zones actives , éjections et turbulences plasmatiques avec de nombreuses taches dans ce bouillonnement intense ce 7 Mai 2024 Réfracteur 185 mm Apo , Fabry Perot PST prototype optimisé , barlow 2.5 x et camera player one
    1 point
  21. Bonjour, enfin une nuit étoilée ici et sans lune en prime, enfin jusque 1h30 les nuages arrivant... Mais tout de même 140 mn de prises. Une classique de saison, que je trouve toujours belle. 140 x 60s Lacerta 200/800 sur EQ6 R pro Correcteur GPU x1 Filtres UVIRcut Astronomik L2 Caméra ASI2600MC pro Guidage PHD2 sur lunette 225/60 et caméra GPCAM2-290C Nina – SIRIL – Pixinsight – BlurXterminator – GIMP Bon ciel à tous
    1 point
  22. Salut, une nuit dégagée sans lune ce n'était pas arrivé depuis bien longtemps 😍 Il fallait quand même être efficace car le temps de ciel noir raccourcit à vue d'œil dans le nord (moins de 4h de nuit astronomique déjà). Seeing correct dans l'ensemble, mais quelques pics dans le suivi assez étranges, comme les copains d'IdF. Voici donc M102, ou NGC5866, ou encore la Galaxie du Fuseau, une lenticulaire relativement proche, à environ 40 millions d'a.l., caractérisée par une très fine bande de poussières. Comme d'habitude j'ai choisi le cadrage pour inclure un maximum d'autres galaxies, y compris une jumelle de M102 tout à droite. Le champ complet (clic droit pour la full) Un recadrage Et enfin la luminance annotée (galaxies NGC et PGC + quasars repérés par leur redshift) Vers le centre on voit un quasar de redshift z=4,5.... les photons recueillis ont donc été émis il y a 12,4 milliards d'années 😮 Bon week-end à rallonge 😎 Dan Détails techniques : Astrographe 200/800 carbone optiques Zen + Wynne 2.5" sur AP900 ASI183mm (0,66"/pix) Guidage OAG + ASI120MM, ASIAIRv1 Luminance 220*60sec à gain 110, -10 °C Chrominance 20*60sec à gain 110, -10 °C par couche Turbulence correcte (FWHM médiane 2" après empilement), pollution lumineuse de l'IdF, ciel humide
    1 point
  23. Très belles images , bravo !
    1 point
  24. Vraiment réussie bravo ! J'étais un peu déçu des couleurs sur la v1, la v2 est top 😍
    1 point
  25. Salut la Louche, quelle profondeur de champ...😍 Et le traitement est vraiment extra, bravo. a+ Serge
    1 point
  26. C'est très beau !
    1 point
  27. Sorry, intraduisible, must be read in English : Il n'est pas dit si la photo été prise par Michel Drucker : Voilà une preuve qui se tient (si j'ose dire) : Plissez les yeux, bande de mécréants !
    1 point
  28. La louche, c'est magnifique!😍 a+ Serge
    1 point
  29. 2 belles images présentées dont la visiteuse du moment.! Concernant M106, j'aurai peut-être saturé légèrement la galaxie et éclaircie un petit peu le fond de ciel (il y a pas mal de tâchouilles à voir dedans^^)
    1 point
  30. Quelques courbes issues du site de Bill Claff. En abscisses les ISO et en ordonnées le bruit de lecture (en échelle log). Plus le bruit est faible mieux c’est en photo astro, mais plus les ISO sont élevés plus on perd en dynamique… En gros on perd 1 bit quand on double les ISO, donc si on a 14 bits de dynamique à 100 ISO (c’est un cas idéal, en général on part à 13 bits), il n’y a plus que 13 bits à 200 ISO, 12 bits à 400 ISO, … 8 bits à 6400 ISO, etc. D’abord les Canon à 1 chiffre. On ne peut pas comparer les 6D plein format avec les 7D APS-C. On voit que le 6D est le moins bruité en plein format au delà de 600 ISO. Et c’est le 7D mk II qui l’emporte en APS-C à partir de 400 ISO. Maintenant les 2 chiffres. Ce sont tous des APS-C. C’est le 90D qui l’emporte haut la main dès 200 ISO. Puis les 3 chiffres, la aussi en APS-C. Ce sont les 750/760D qui dominent. Enfin les 4 chiffres où le meilleur choix est le 2000D. Dans tous les cas éviter le 1100D qui souffre d’un défaut de traces noires sous les étoiles saturées. Éviter aussi le 1000D qui est technologiquement complètement dépassé. Dans les R récents, plein format, ce sont les R8 et R6 mk II qui sont les meilleurs. Mais les prix piquent, surtout celui des objectifs RF. Heureusement on peut y mettre les objectifs EF bien plus accessibles avec la bague d’adaptation. Voila, il ne reste plus qu’à faire votre choix en fonction de votre budget et des autres caractéristiques qui pourraient vous intéresser.
    1 point
  31. Bonjour, Voici la photo de famille à jour (non je ne suis pas sectaire 🤐🤐🤐) J'ai fait le choix d'avoir peu d'oculaires, mais de les coupler avec des barlows. Ce choix me permet d'avoir des grossissements assez cohérents, sans perdre trop en qualité. Peut être qu'un jour, d'autres oculaires viendront remplacer les barlows ? Avec le 400 + Paracorr : Oculaire Grossissement Ethos 21 99 Ethos 13 159 Ethos 10 207 Ethos 13 + Barlow 2x 318 Ethos 10 + Barlow 2x 414 Ethos 13 + Barlow 3x 478 Ethos 10 + Barlow 3x 621 Bonne journée, et bon ciel !
    1 point
  32. Petite photo ou les Masuyama 30mm 53° viennent de rejoindre la famille
    1 point
  33. Ca c'est bien!👍 moi, vu que je vais devoir jouer du sèche cheveux toute la nuit, une seule cible, NGC4438 qui je l'espère sera fine: et vu que je fais pas l'idiot avec l'étoile artificielle ce soir, je devrais prendre un peu d'avance. Et la Vierge, elle est presque déjà partie. J'ai une énorme montagne à l'Ouest. a+ Serge
    0 point
  34. Avec des jumelles, ça va être très limité pour les planètes! vénus lorsqu'elle est en croissant, les 4 satellites galiléens de jupiter (mais aucun détail sur la planète), saturne avec une forme allongée sans pouvoir vraiment distinguer les anneaux...et c'est tout! Observer la lune avec des grosses jumelles c'est très sympa, sauf si on veut grossir pour voir plus en détails les cratères et autres formations... Les clubs! je te dirais bien de venir nous rejoindre un soir, nous avons tous types d'instruments, de la petite lunette de 80mm au gros dobson de 500mm, mais pas de grosses jumelles ! Et cela te fait 40mn de route depuis Albertville Sinon il y a le club Savoie Lactée à Ugine, à côté d'albertville, puis les clubs de Chambéry.
    0 point
  35. Hélas la 80ED n'est pas, à mon humble avis, le meilleur allié pour les galaxies car la majorité sont trop petites. Pour palier à cette "limitation" j'envisage de prendre plus tard un RC8 ou un SC8 en complément @+ Nico.
    0 point
  36. J'aime beaucoup la version 70/30 J'ai vu que tu revends ton C14, il va falloir que tu changes ton pseudo 🤣. C'est clair que ce début d'année a été assez déprimant. Pour ma part ce sera seconde nuit sur l'Iris. Qui a dit que c'est la saison des galaxies? 😜
    0 point
  37. en fait, ça je peux t'expliquer pourquoi car un de mes anciens boulots était "Ingénieur de terrain" dans le pétrole et consistait à faire l'acquisition de données géophysiques (densité, porosité, vitesse acoustique, résistivité et j'en passe des roches) dans les puits. Le boulot se déroulait en mer, ou sur terre à 1000 lieu de tout "centre technique". Pour l'acquisition, on descendait de sondes bourrées d'électronique dans les puits, dont certain dépassent les 125°C. Pour te dire ce que les sondes doivent supporter. En surface, hormis toute la mécanique liée au treuil pour descendre les "outils" (moteurs diesel, pompes hydrauliques etc, tu as toute une batterie d'ordinateur (stations apollo) en réseau. Ca fait beaucoup d'équipement soumis à un stress dont dépend le succès de l'opération. Si tu fais une Analyses des modes de défaillance, de leurs effet et de leur criticité, l'impact d'un seul de ces éléments qui tombe en panne est généralement l'arret complet de l'opération. Et bien, c'est exactement la même chose en astrophoto. Nos équipement sont complexes, poussés de surcroit dans leur derniers retranchements (précision de guidage etc) et même si le plus petit truc merde (comme la résistance chauffante oubliée par Sam aka @shibon) et bien ta nuit est foutue. Nous sommes dépendant de la bonne coopération de la mécanique, l'électronique, l'informatique et de l'environnement avec la météo pour atteindre notre but. Ca fait beaucoup. Autre similitude avec ce job dont je vous parlais, on n'a pas de magasin d'astro à coté du télescope avec les pièces de rechange et le support technique au bout du fil quand on a une merde à 23H30. On apprend à se débrouiller (à la frontale pour les plus sophistiqués d'entre nous; moi c'est la lampe dans la bouche en bavant). De plus, on est de plus en plus dépendant de l'informatique, surtout développée par des passionnés donc hors de tout cadre qualité et on sera de plus en plus exposé à des "Gremlins" dans le soft (Seb @sebseacteam et sa version Nightly de NIna). Mais, dans le cas de Seb, je soupçonne qu'il l'ait fait exprès car il a une grande tolérance à la douleur et il aime ça. Ca doit être ses gènes Belges.😁 a+ Serge
    0 point
  38. Meteo France depuis le nouveau algorithme mis en place pour faire des économies de personnels est un vrai merdier ... Les previsions sont fausse depuis janvier dernier .
    0 point
  39. Merci Pascal ! Merci Jean-Pierre ! Profitez-bien de la nouvelle lune 🙂
    0 point
  40. Trés belle image , bravo !
    0 point
  41. très réussie bravo Pascal ! Le champ semble bien corrigé.
    0 point
  42. C'est vrai que WAZE ... c'est plus ce que c'était il y a quelques années !
    0 point
  43. et pour ceux qui ignorent à quoi ressemble une plume thermique d'un primaire qui se met encore en T°, c'est ça: bon, on va dire que c'est bon: là, pour donner un ordre d'idée, je suis à 8M de focale et les pixels que vous voyez sont ceux de l'ASI 662 de 2,9uM soit 0,07" par pixel... Si comme moi, vous êtes obligé de rester debout parce que la résistance chauffante de la lame de schmidt est en panne (je prends toujours une mesure au thermomètre laser avant de démarrer) et qu'il faut passer un coup de sèche cheveu toutes les 30 min, vous pouvez les compter...😋 hein Sam @shibon? a+ Serge
    0 point
  44. A merveille, toujours un bonheur à utiliser J'ai en plus reçu ma paire de Masuyama 30mm que j'ai hâte d'essayer. J'espère pouvoir la ressortir fin de semaine, ça s'annonce dégagé normalement je croise les doigts
    0 point
  45. Bonjour, Un post a été masqué, car les messages à caractère politique ne sont pas autorisés ici. Merci d'y prêter attention, La Modération.
    0 point
  46. Bonjour, Ici, https://www.cloudynights.com/topic/800105-vixen-classic-mounts-family-photo/ Tu verras la Saturn dont on t'a déjà donné le nom. Chez Vixen, il y a eu aussi la Sensor, vraiment peu répandue en France. Ensuite, tu as eu l'Atlux prévue pour environ 20 kg, génération 1, sans Go-To, mais quand même avec une raquette de déplacement des moteurs. La Perl AE aussi. Ces montures étaient chères à l'époque, ce qui explique le peu d'exemplaires vendus. Après, faudrait regarder chez Taka, style EM200 1re génération et autres. Bon chance également pour trouver. Selon ton tube optique, possibilité aussi de le monter sur une vieille monture à fourche de C14. L'adaptation n'est guère compliquée. Tu as une motorisation très simple, une raquette non Go-To que tu n'utiliseras pas forcément (même si plus pratique) et possibilité de mouvements manuels. Bon ciel.
    0 point
  47. Hello a tous Quelques news bientôt sur des accessoires ajoutés au setup
    0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.