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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 05/30/24 dans toutes les zones

  1. Bonjour à tous, Voici une seconde image réalisée à la Fra 400 depuis mon jardin dans le Nord. Il s'agit d'un pano de 2 tuiles de la nébuleuse planétaire SH2-216 en HOO-RVB. Cet objet est un beau challenge sous nos cieux car très diffus (les brutes en H et en O ne montrent pas grand chose^^). L'objet est très vaste et malgré seulement 400mm de focale, je trouvais la nébuleuse à l'étroit dans le champ d'où le choix d'une mosaïque. Avec la météo qui n'a clairement pas aidé, il m'a fallu 3 mois (de novembre à janvier) pour terminer les acquisitions! Cette nébuleuse planétaire est située dans la constellation du Cocher. La grande dispersion de ses gaz est due à son grand âge. Elle est la nébuleuse planétaire la plus vaste observable. Une brute de 5 min en H: Une brute de 5 min en O: L'image: Matériel: fra 400/AzEq6/asi 2600MM Tuile de droite: 65*30sec(RVB) + 104*300sec(H) + 118*300sec(O) Tuile de gauche: 65*30sec(RVB) + 184*300sec(H) + 135*300sec(O) Version de meilleure qualité ici: https://www.astrobin.com/jtg86b/ Bon ciel à tous
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  2. Lors des NAT 2024 (Nuits astronomiques de Touraine), à l’apéro du vendredi midi, Fabrice Mottez nous annonce que quelques aurores pourraient faire leur apparition dans la nuit, les prévisions de KP étant très élevées. Pour ma part, je reste prudente pour ne pas être déçue. Nous avions déjà depuis mardi dernier, une super météo qui nous permettait enfin de pratiquer notre passion après quasi 5 mois de pluie ou de ciel nuageux. Je trouve que le coup de bol est déjà immense… comment espérer mieux ? Le soir venue, alors que le soleil vient juste de se coucher et que chacun s’affère à préparer sa soirée, tout en préparant mes instruments, je piste du coin de l’œil les nuages au nord. Non pas que je craigne une invasion de ces derniers mais surtout pour voir si le ciel commence à rougir. Effectivement les nuages sont rosés mais peut-être est-ce dû au soleil couchant. Il est 22h30, cela fait à peine 1h que le soleil était couché… Des astrams présents autour de nous commencent à évoquer les aurores… Il est vrai que le ciel au nord, au fur et à mesure qu’on avance vers la nuit noire, prend des teintes rosées plus prononcées. Certains se mettent à aller très rapidement sur l’autre pré. Avec Denis, Joël, Laurent, Sandrine et Frédéric, on décide de les suivre armés de nos APN. A l’approche du passage, on entend des clameurs de joie et de surprise… on passe vite la lisière du petit bois et on tombe sur ce ciel rouge-rosé aux horizons mieux dégagés. Chacun y va de son cliché… certains cherchent des conseils, d’autres en donnent… Denis me montre ses épreuves sur son petit écran d’appareil photo… c’est super beau… on voit du vert sur la photo, vert invisible à l’œil nu. Par contre, on perçoit bien le rouge au nord. Frédéric aussi me montre ce qu’il a réalisé. Les miennes à côté font pâle figure mais elles sont jolies quand même. Sandrine aussi me montre ces clichés sur son tout nouveau smartphone… superbes ! Les notifications du discord d’AG33 font sonner mon téléphone. Un rapide coup d’œil me montre que les astropotes restés en Gironde et Lot-et-Garonne sont aussi à la fête. Des photos commencent à apparaitre. J’en mets rapidement une des miennes prises au smartphone. (cliquez sur l’image pour voir la full) Les aurores bougent… elles vont vers le nord-est. Encore des clameurs de joie qui fusent de tous les côtés… c’était magique… on partage ce spectacle avec environ 200 astronomes amateurs dont 80% au moins n’ont jamais vu d’aurores de leur vie… pour moi aussi c’est une première. On discute, on rit, on image… tout le monde a la banane jusqu’aux oreilles. On a les émotions à fleur de peau et des larmes de joie montent à nos yeux. Que c’est beau !!! Les aurores se déplacent encore… elles reviennent au nord, puis vont vers le nord-ouest… plus d’une heure qu’on était là… il est minuit passé. Notre groupe repart vers l’observatoire pour pouvoir faire des clichés avec les coupoles… encore quelques photos par ci par là, surtout au smartphone que je pose sur tous les supports que je trouve sur mon chemin pour tenter de trouver un peu de stabilité et éviter des images trop flous. Au bout d’un moment, la tempête aurorale semble se calmer. La couleur rouge est bien moins marquée. On pense que c’est la fin. On échange sur nos vues, nos émotions, nos connaissances sur les aurores, on se montre nos photos. Je prends mon APN, peste sur le fait de ne pas avoir porté mon chargeur de batterie. Je n’ai plus que la moitié d’une batterie car on entend dire que ce n’est pas fini. Je reviens jeter un coup d’œil au discord d’AG33… les copains sont toujours à la chasse. Certains demandent où se rendre pour mieux les capter. Apparemment on les voit de partout, même dans les villes polluées par la lumière. Je suis contente qu’ils puissent en profiter autant que nous. Puis j’entends quelqu’un crier : « les aurores reviennent » ! Je regarde le ciel et de grands piliers gris/blanc lumineux s’élèvent du sol vers le ciel en direction du nord. Je fais un cliché qui montre la couleur rouge/bleu, pour ne pas dire mauve, de ces colonnes de lumière. A l’œil nu, c’est blanc et gris. Et ces piliers durent un bon moment, se déplaçant de gauche à droite, s’intensifiant et s’affaiblissant au gré de leur balade dans le ciel. (cliquez sur l’image pour voir la full) Puis à nouveau une pause… plus rien... enfin pas vraiment rien car la moindre photo en direction de l’ouest, du nord, de l’est et vers le zénith révèle un ciel rougit. Je décide de poser mon APN un peu plus loin des coupoles pour le cas où ça recommencerait. Je programme des poses de 4s avec mon intervallomètre… je fais une mise au point à l’arrache… je verrais bien ce que cela donne. Avec le peu de batterie restant, je ne me leurrais pas… Au moment où les cris de joie reprennent, je lève la tête et vois que les piliers sont réapparus. Je lance la télécommande… on verra bien ce que cela donnera au final. Il est 2h. La constellation du Cygne trône au-dessus des coupoles de l’observatoire. Je décide de pointer à la lunette la comète C/2021 S3 (Panstarr) qui est juste au-dessus Deneb (queue de la poule en arabe), l’étoile la plus brillante de la constellation. Je capte la boule de neige sale assez rapidement, effectue un cadrage qui la centralise sur l’image et lance des poses d’une minute. Le fond du ciel est bien rouge mais tant pis, je ne peux pas louper l’opportunité de prendre cette comète. J’abandonne mon setup et retourne vers les aurores. (cliquez sur l’image pour voir la full) J’ai l’idée de prendre mon oculaire OVNI pour voir ce que cela donne… sans augmenter l’intensité lumineuse, cela affine les piliers et permet de voir plus de détails. Je partage mon observation avec mes camarades. Sur le discord d’AG33, ça se calme, les copains sont partis se coucher. Puis j’ai envie de retourner voir les astropotes sur le pré voisin. Il est 3h. Il y a encore quelques clameurs mais moins prononcés. Certains se sont déjà couchés, fatigués de leur journée et de l’émotion de la vision de ces aurores. Avec Denis, Sandrine et Joël, on continue de marcher vers le fond du pré, là où Yves observe avec son Dobson 600. Pendant notre progression, j’entends mon prénom. C’est Nicolas qui est là, bien emmitouflé, imageant lui aussi les aurores. On compare nos clichés. Il nous montre ses tentatives d’imagerie sur la galaxie M51. Elle baigne dans une soupe rouge sang. Même si la galaxie est très fine et super bien détaillée, le fond du ciel risque d’être compliqué à rétablir. On discute un moment avec lui. On admire à ses côtés ces piliers qui montent parfois jusqu’au zénith. C’est vraiment spectaculaire. Puis nous continuons notre chemin et atteint le 600 d’Yves. On partage quelques minutes avec lui nos sentiments et un peu d’observation sur son immense Dobson. Il est 4h passé quand on le quitte, revenant vers notre camp de base. Tout le monde est heureux… fatigués, pour certains mal au dos, d’autres mal aux pieds, mais qu’importe… les aurores sont toujours là, dansant au-dessus de nos têtes. On se rend compte de la chance incroyable on a. D’abord, le beau temps qui s’installe depuis mardi, puis cette tempête aurorale… franchement, quel bol !! Les aurores se calment à nouveau. Il est 4h30. Je vais chercher mon APN et constate que la batterie a rendu l’âme et de la buée a envahi l’objectif. (cliquez sur l’image pour voir la full) Denis part se coucher, épuisé. Je reste encore un peu pour pousser les poses sur la comète jusqu’au maximum. Mais à 4h45, il faut que je me résolve a arrêter. Je stoppe les acquisitions, vérifie les dernières, tout en gardant un œil sur le ciel au nord où les piliers sont revenus. Je fais encore un cliché sur ces belles aurores, mais les couleurs changent déjà dû à la lumière du jour qui arrive. Le ciel blanchit peu à peu et les piliers s’estompent. Le rêve prend fin. Je finis de ranger, je bâche ma lunette. Un dernier coup d’œil sur le ciel, comme pour les faire réapparaitre mais rien n’empêche la lumière du jour de s’intensifier. Je pars alors me coucher à mon tour, gardant dans mon esprit le souvenir de ces belles voilures de lumière que la nature a bien voulu nous offrir. Après avoir passer en revue les poses prises, que ce soit au smartphone qu’à l’APN, je m’aperçois qu’elles sont floues ou « bougées »… mon empressement à immortaliser le moment allié à l’excitation d’un spectacle inédit et rarissime, m’a fait perdre de vue la préparation nécessaire à la réalisation d’une belle image ou d’un time-lapse sympathique. Mais ces images floues restent pour moi l’empreinte d’un instant de ma vie, d’une nuit de folie où j’entends encore les clameurs des participants tout aussi émerveillés que moi. Pour une fois, nous étions au bon endroit, au bon moment ! Photos prises dans la nuit du 10 au 11 mai 2024 à Tauxigny (37) – VirtualDub – Camera RAW Canon 400D objectif Sigma 18-200, focale à 18 mm, ouvert à f/3.5, sur trépieds photo – poses uniques de 3 à 4 secondes, ISO 1600. Smartphone « photo nocturne » ISO 1600 – poses uniques 4 secondes.
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  3. https://blogs.nasa.gov/webb/2024/05/30/nasas-james-webb-space-telescope-finds-most-distant-known-galaxy/ Le télescope spatial James Webb de la NASA trouve la galaxie la plus lointaine connue (traduction automatique) Note de l’éditeur : Cet article met en évidence les données de Webb Science en cours, qui n’ont pas encore été soumises au processus d’examen par les pairs. Au cours des deux dernières années, les scientifiques ont utilisé le télescope spatial James Webb de la NASA (également appelé Webb ou JWST) pour explorer ce que les astronomes appellent l’aube cosmique – la période des premières centaines de millions d’années après le Big Bang où les premières galaxies sont nées. Ces galaxies fournissent des informations vitales sur la façon dont le gaz, les étoiles et les trous noirs changeaient lorsque l’univers était très jeune. En octobre 2023 et janvier 2024, une équipe internationale d’astronomes a utilisé Webb pour observer les galaxies dans le cadre du programme JWST Advanced Deep Extragalactic Survey (JADES). En utilisant le spectrographe NIRSpec (Near-Infrared Spectrograph) de Webb, ils ont obtenu un spectre d’une galaxie record observée seulement deux cent quatre-vingt-dix millions d’années après le Big Bang. Cela correspond à un décalage vers le rouge d’environ 14, qui est une mesure de la quantité de lumière d’une galaxie étirée par l’expansion de l’univers. Nous avons invité Stefano Carniani de la Scuola Normale Superiore de Pise, en Italie, et Kevin Hainline de l’Université de l’Arizona à Tucson, en Arizona, à nous en dire plus sur la façon dont cette source a été trouvée et sur ce que ses propriétés uniques nous disent sur la formation des galaxies. "Les instruments de Webb ont été conçus pour trouver et comprendre les premières galaxies, et au cours de la première année d’observations dans le cadre du JWST Advanced Deep Extragalactic Survey (JADES), nous avons trouvé plusieurs centaines de galaxies candidates des 650 premiers millions d’années après le Big Bang. Au début de 2023, nous avons découvert une galaxie dans nos données qui avait de fortes preuves d’être au-dessus d’un décalage vers le rouge de 14, ce qui était très excitant, mais certaines propriétés de la source nous rendaient méfiants. La source était étonnamment brillante, ce à quoi nous ne nous attendrions pas pour une galaxie aussi lointaine, et elle était très proche d’une autre galaxie, de sorte que les deux semblaient faire partie d’un objet plus grand. Lorsque nous avons observé à nouveau la source en octobre 2023 dans le cadre du champ JADES Origins, de nouvelles données d’imagerie obtenues avec les filtres NIRCam (Near-Infrared Camera) plus étroits de Webb pointaient encore plus vers l’hypothèse d’un décalage vers le rouge élevé. Nous savions que nous avions besoin d’un spectre, car tout ce que nous apprendrions serait d’une immense importance scientifique, soit comme une nouvelle étape dans l’étude de Webb sur l’univers primitif, soit comme une bizarrerie déroutante d’une galaxie d’âge moyen. "En janvier 2024, NIRSpec a observé cette galaxie, JADES-GS-z14-0, pendant près de dix heures, et lorsque le spectre a été traité pour la première fois, il y avait des preuves sans ambiguïté que la galaxie était effectivement à un décalage vers le rouge de 14,32, pulvérisant le précédent record de galaxie la plus lointaine (z = 13,2 de JADES-GS-z13-0). Voir ce spectre était incroyablement excitant pour toute l’équipe, étant donné le mystère entourant la source. Cette découverte n’était pas seulement un nouveau record de distance pour notre équipe ; l’aspect le plus important de JADES-GS-z14-0 était qu’à cette distance, nous savons que cette galaxie doit être intrinsèquement très lumineuse. D’après les images, la source se trouve à plus de 1 600 années-lumière de diamètre, prouvant que la lumière que nous voyons provient principalement de jeunes étoiles et non d’une émission près d’un trou noir supermassif en croissance. Cette quantité de lumière stellaire implique que la galaxie a plusieurs centaines de millions de fois la masse du Soleil ! Cela soulève la question suivante : comment la nature peut-elle créer une galaxie aussi brillante, massive et grande en moins de 300 millions d’années ? "Les données révèlent d’autres aspects importants de cette étonnante galaxie. Nous voyons que la couleur de la galaxie n’est pas aussi bleue qu’elle pourrait l’être, ce qui indique qu’une partie de la lumière est rougie par la poussière, même à ces temps très précoces. Le chercheur JADES Jake Helton de l’Observatoire Steward et de l’Université de l’Arizona a également identifié que JADES-GS-z14-0 a été détecté à des longueurs d’onde plus longues avec l’instrument MIRI (Mid-Infrared Instrument) de Webb, une réalisation remarquable compte tenu de sa distance. L’observation MIRI couvre les longueurs d’onde de la lumière émise dans la gamme de la lumière visible, qui sont décalées vers le rouge hors de portée des instruments dans le proche infrarouge de Webb. L’analyse de Jake indique que la luminosité de la source impliquée par l’observation de MIRI est supérieure à ce qui serait extrapolé à partir des mesures des autres instruments Webb, indiquant la présence d’une forte émission de gaz ionisé dans la galaxie sous la forme de raies d’émission brillantes d’hydrogène et d’oxygène. La présence d’oxygène si tôt dans la vie de cette galaxie est une surprise et suggère que plusieurs générations d’étoiles très massives avaient déjà vécu leur vie avant que nous n’observions la galaxie. "Toutes ces observations, ensemble, nous disent que JADES-GS-z14-0 n’est pas comme les types de galaxies qui ont été prédits par les modèles théoriques et les simulations informatiques pour exister dans l’univers très jeune. Compte tenu de la luminosité observée de la source, nous pouvons prévoir comment elle pourrait croître au cours du temps cosmique, et jusqu’à présent, nous n’avons trouvé aucun analogue approprié parmi les centaines d’autres galaxies que nous avons observées à fort décalage vers le rouge dans notre enquête. Compte tenu de la région relativement petite du ciel que nous avons recherchée pour trouver JADES-GS-z14-0, sa découverte a de profondes implications pour le nombre prédit de galaxies brillantes que nous voyons dans l’univers primitif, comme discuté dans une autre étude JADES concomitante (Robertson et al., récemment acceptée). Il est probable que les astronomes trouveront de nombreuses galaxies lumineuses de ce type, peut-être même plus tôt, au cours de la prochaine décennie avec Webb. Nous sommes ravis de voir l’extraordinaire diversité des galaxies qui existaient à Cosmic Dawn !
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  4. C'est cadeau de la maison
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  5. Pas de quoi Je le faisais souvent avec l'eVscope sur les comètes un peu "rapides" exemple avec la comète C 2022 E3 (ZTF) en janvier 2023:
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  6. Une vidéo spectaculaire prise par un drone nous montre l'avancement des travaux sur le site... 1ère lumière dans 3 ou 4 ans
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  7. Bonjour, je déterre un peu ce sujet. Juste pour dire que pour ma part, j'ai finalement opté pour la création d'une association (c'est tout frais). Après tout, en bon passionné, je partage et promeus l'astronomie, auprès de publics variés quand cela m'est possible. Mais le faire à titre personnel était dangereux, car en effet, les assurances pour particuliers couvrent mal notre activité (je crois qu'on peut dire: "ne couvrent pas du tout"): - Assurance habitation: cela ne vaut que pour le stockage (et mieux vaut avoir mis à jour sa déclaration quant à la valeur des biens ...) - Assurance auto: Les montants couverts quant au matériel transporté sont dérisoires Le faire sous un statut associatif permet de protéger: - Le matériel - Tous les participants - La phase de transport entre le domicile et le lieu d'observation / animation - L'activité en tant que telle avec tous ses à cotés (intoxication durant un repas ? Un sinistre ou une dégradation sur un lieu mis à disposition ? etc.). La responsabilité civile organisateur vient vous protéger de personnes éventuellement procédurières. - Et bien d'autres cas que des contrats inadaptés ne couvriront pas Dans mon cas, il m'arrive d'animer des petites soirées astro sans prétention (et tout à fait gratuitement) auprès de classes de primaires ou d'adulte curieux. Le statut associatif me permet de ne plus être "en dehors du système" tout en étant serein (quelques sueurs froides vécues par le passé devant le manque de délicatesse de certains, ou l'énergie débordante de quelques garnements en début de soirée ...) La couverture actuelle dans mon modeste cas porte sur un peu plus de 20k€ de matériel par sortie. Pour les montants plus importants, c'est à déclarer au centime pour faire réévaluer le contrat (ça devient non forfaitaire au-delà de 23k€), mais surtout, je peux rester serein sur une grosse panoplie de scénarios catastrophes. Cela a forcément un coût: env. 380€ par an (j'ai retenu la MAIF comme assurance en phase avec ce type de projet "de promotion de la science"). Le montant de la cotisation est-il si déraisonnable ? Je ne le pense pas. Le moindre litige ou la moindre casse peuvent vous mettre financièrement à mal, sans parler des potentiels malus quand il s'agit de votre assurance perso. Personnellement, ce n'est même pas le prix d'un de mes filtres ou d'une paire de jumelles 25x100. Enfin, et je ne sais pas encore si je le ferai, cela permet d'aller chercher des subventions, ce qui peut aider à étoffer le matériel ou organiser des projets plus ambitieux. Pour finir, je dirais que dans notre société qui devient très procédurière, cela aide à se présenter auprès d'inconnus pour pouvoir notamment utiliser temporairement des lieux d'observation qui peuvent être en propriété privée. En vous souhaitant de belles nuits étoilées
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  8. oui y'a pas de secret, c'est facile à trouver sur le net. certains utilisent du perchlorure de fer, pour circuits imprimés, mais j'en ai pas. j'ai commencé à l'acide chlorhydrique, c'est méga long avec les couches de protections des miroirs. j'ai fini au sulfate de cuivre + sel, (1 part de sulfate, une part de sel, et environ 5 part d'eau) plus rapide.
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  9. Hello, J'ai motorisé une HEQ5 non goto avec une Fysetc E4, mon retour d'expérience est très positif : - facilité de mise en œuvre et de config - utilisation de contrôleurs de bonne qualité : TMC2209 si je me rappelle bien Je recommande chaudement OnstepX pour cette carte !
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  10. Sympa la granule, @Tyler. Ton newton désaluminé, c'est quoi ? Un 150 ? A mon tour de vous présenter ma série. Une série bien maousse faite à l'occasion de l'édition 2024 des EuroAstros et qui m'aura demandé quelques temps avant de tout passer au process. Mais la voilà enfin après ce tri fastidieux. Je ne vous présente que celles qui m'ont l'air potables. En plus de mon éternelle lumière blanche que je capte avec mon propre matos, j'ai l'immense plaisir de publier mes premières acquisitions en H-alpha. Le vrai, cette fois ! Mes remerciements vont tout naturellement à Pierre @Konzy qui a eu la gentillesse de me prêter sa lunette 120 munie de son Daystar Quark, sur le site historique de Liré lors de ce week-end du 17 au 20 mai. Une animation de 7 minutes faite non sans mal sur la région active AR 3685+3686. L'alignement n'est pas au top et l'histo est plutôt saccadé. On constate la formation d'un petit filament au-dessus de la tache AR 3686 et quelques flares faiblards en fin de vie. Je n,ai pas réussi à identifier la région centrale sombre en évolution rapide. Je suis sceptique quant à l'hypothèse d'un filament. J'ai l'impression que la structure se trouve au coeur du réseau chromosphérique et qu'elle se trouve directement sous l'influence des lignes de champ... Histoire de s'amuser, j'ai aussi fait le tour des principales protus du moment en sur-exposant l'histo, et j'en terminerai ici.
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  11. Hello 🙂 Nuit du 22 mai 2024, pleine lune très gênante, ciel dégagé. L'eVscope 2 pointe une nébuleuse planétaire: Messier 57 M57 (NGC 6720), surnommée la "nébuleuse de la Lyre", est une nébuleuse planétaire située dans la constellation de la Lyre. M57 a été découverte par l'astronome français Charles Messier en 1779. Une nébuleuse planétaire est une nébuleuse en émission constituée d'une coquille de gaz en expansion éjectée d'une étoile en fin de vie, en transition de l'état de géante rouge à l'état de naine blanche. Quand une petite étoile (moins de huit masses solaires) achève de consommer son hydrogène, puis son hélium, son cœur s'effondre pour former une naine blanche, tandis que les couches externes sont expulsées par la pression de radiation. Ces gaz forment un nuage de matière qui s'étend autour de l'étoile à une vitesse d'expansion de 70 000 à 100 000 km/h. Ce sont des objets qui évoluent assez rapidement. Au centre de M57, la naine blanche d'une jolie couleur bleuté, est de la taille d'une planète comme la Terre. Sa température de surface très chaude est de 120 000° K et sa luminosité est environ 200 fois plus grande que celle du Soleil. Nota: la petite galaxie spirale située au-dessus et à droite de M57 est IC1296, de dimensions apparentes de 1,1' × 0,9' et d'une magnitude apparente de +14,22 - Dimensions apparentes: 3,0' - Dimensions réelles: ~ 2,24 années-lumière - Magnitude apparente: +8,83 - Distance: ~ 2 570 années-lumière
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  12. Hello 🙂 Nuit de 19 mai 2024, ciel dégagé, mais Lune de 11 jours (gibbeuse) très présente et gênante. L'eVscope 2 pointe une nébuleuse planétaire M27, située dans la Voie Lactée. M27 (NGC 6853) est surnommée "la nébuleuse de l'Haltère" ou "Dumbell". C'est une nébuleuse planétaire située dans la constellation du Petit Renard, dans la Voie lactée. La nébuleuse de l'Haltère est la première nébuleuse planétaire observée dans l'histoire de l'astronomie. Dans la nuit du 12 juillet 1764, Messier découvrit cet objet qu'il décrivit comme une nébuleuse ovale sans étoile. - Dimensions apparentes: 6,7' - Dimensions réelles: ~2,43 années-lumière - Magnitude apparente: +7,4 - Distance: ~250 années-lumière
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  13. Bonsoir à tous, j’ai décidé de quitter la terre , et c’est la tête dans les étoiles que je me libérerai de tout ce qui ce passe ici bas 😀 jai 56 ans,je m’appelle franck ,j’habite un village dans le luberon . Je viens d’acquérir un Sky whatcher 200/1000 motorisé(moins d’une semaine). Je suis un vrai débutant, pour l’instant pas trop de chance côté ciel pour mes observations, mais je suis patient et impatient même de pouvoir pointer un astre par mes soins 👍 Merci de m’accueillir dans ce nouveau monde pour moi . J’ai de la lecture j’ai vu pour apprendre ce qui va me permettre de m’élever très très haut, tout en gardant les pieds sur terre, franck
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  14. Cette nuit, pluie de météorites. Se produit une fois tous les 1000 ans Cette nuit, éclipse de lune. Une seule fois dans votre vie. Cette nuit, incroyablement rares nuages. Une seule fois dans votre vie.
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  16. Tu aurais la brutes sortie d'empilement histoire de voir ce que je pourrais faire avec ? Pas trop d'images à traiter en ce moment, à part ma M81 aussi... Semaine prochaine l'anticyclone revient à partir de Mardi/mercredi
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  17. C'est une bonne base, voir pour le coeur un peu surexposé, niveau couleurs ça va Rien de grave t'inquiète.
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  18. Salut Momo, Suis en train de cuisiner la même Pas moyen de décramer le coeur un petit peu?
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  19. Une erreur courante concerne la date et le format utilisé, UTC, locale, format anglais ou français.
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  20. Pas certain, car il faut chauffer davantage le barillet, la chaleur se dissipant aussi vers l'extérieur.... AVec un controleur sur le dew ring je pense que l'on a moins d'influence sur la haute résolution. Mais comme pour le diamètre on est à la marge. Pour ma part je n'ai pas eu l'occasion de comparer C11 et M12, mais pour avoir souvent comparer C11 et Dobson 300, je n'ai jamais vu de réelle différence en visuel, le confort du suivi sur le C11 compensant largement le différentiel avec le DOb... En Visuel assisté, je ne pense pas que l'on ait une grande différence de résultat entre un C11 et un M12. La qualité du réducteur utilisé et son adaptation à l'un ou l'autre tube est sans doute plus discréminante.
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  21. En ce qui concerne le C11 et la question de la buée sur le ménisque il existe aujourd'hui une solution d'une efficacité redoutable : le Dew heater Ring. Cet anneau remplace l'anneau d'origine qui fixe le ménisque, et alimenté en 12V il remplace avantageusement les résistances que 'on enroule à l'extérieur. Plus aucun souci de buée depuis que j'ai équipé mon C11.... Quant au choix Meade ou Celestron, cela renvoie un peu au débat Peugeot/Citroen. Oui, il ya l'importateur Medas en France, mais en même temps, je n'ai jamais eu de panne sur mon tube ou sa monture... En ce qui concerne le différentiel 11"/12", je ne pense pas qu'il soit réellement sensible, lorsque l'on intègre la qualité du ciel, des oculaires et accessoires, le réglage de collimation,.... En visuel assisté- on est dans cette rubrique - ce sont des poses de 12" au lieu de 10"... avec ce genre de tube et de monture cela ne change pas grand chose... Avec réducteur, barlow, la polyvalence d'un C11 est incomparable... JL
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  22. Salut, Encore une autre photo d'un autre objet que j'attendais impatiemment ... M16, et ses fameux piliers de la création. J'ai pu faire une observation toujours depuis Cayenne, en Guyane, samedi dans la nuit vers 3h du matin, au seestar, 30 minutes de poses, une légère retouche avec NERO DENOISER + Photoshop ( rapidedement ) PS : Je vais m'entrainer également sur SIRIL et surement sur GraXpert ( préparez-vous à une V2 ) Je vous partage également ces images, grand format et crop. Bon ciel à vous Version 2.00 avec l’aide d’un ami astro
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  23. Bonjour et bienvenue ! Tous les sites proposés sont bons, aucun souci à se faire, idem avec la Clef des Étoiles. Bonnes recherches
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  24. Bonjour et bienvenue ! Comme les copains je te conseille également de te rapprocher d'un club pour esssayer le matériel, te familiariser avec, comment ça fonctionne et ce qu'on peut y voir, et surtout les dimensions que ça représente en vrai. même si notre ami a sans doute une bonne raison pour expliquer ceci je suis d'avis qu'il n'y a pas de diamètre minimum en astro, que l'important est le plaisir qu'on prend à observer. Les Hommes ont observé le ciel à l'oeil nu pendant bien plus longtemps qu'avec des instruments et je ne doute pas un instant qu'ils aient pu en tirer autant de bonheur que nos contemporains avec leurs miroirs démesurés . En revanche je suis d'accord que si tu veux débuter avec un télescope, privilégie une monture Dobson. En attendant, si tu as une paire de jumelles qui traine quelque part, n'hésite pas à la pointer sur le ciel, le tiens semble être de qualité tu pourrais être surpris du nombre de belles choses à voir. Bonnes recherches Alexis
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  25. Concernant la conception du tube proprement dite, commençons par le tube. Comme pour le T200, j'ai choisi un tube carbone de chez Klaus Helmerichs (http://www.klaushelmi.de/en/ ). Cette fois un tube sandwich pour plus de rigidité. Pour me dispenser de l'usage de collier (gain de poids) et rigidifier au maximum la zone du porte-oculaire, point critique sur un newton, je lui ai demandé un tube avec un méplat. Après d'interminables péripéties postales, je l'ai enfin reçu : La rigidité est effectivement impressionnante. La queue d'aronde Losmandy sera directement vissée dessus (il ne faudra pas se louper concernant le centre de gravité). Pour le PO, comme sur le T200 j'ai adopté le standard M117 des RC GSO de 10 pouces, ce qui laisse un maximum de possibilités (de nombreuses options existent dans ce standard si je veux changer de crémaillère). La moitié d'une bague de tilt dans ce format trouvée dans les PA fera parfaitement l'affaire : Un élément que je voulais vraiment améliorer par rapport au T200 est l'araignée. Celle-ci n'est pas de mauvaise qualité, bien au contraire, mais souffre des même défauts que toutes les araignées conçues de manière standard : pas de blocage en rotation, et les différents réglages ne sont pas indépendants (hauteur, rotation, tilt). Après pas mal de cogitations, et avec l'aide précieuse de @zeubeu, voici le résultat : Une vue démontée pour bien comprendre : Le support de secondaire (en bois/carbone, fabriqué par Sud Dobson) est monté sur une rotule (alu/laiton) dont le centre de courbure se situe à la surface du miroir secondaire. La partie concave de la rotule est un cylindre coulissant dans le moyeu de l'araignée, qui se bloque grâce à 2 vis pointeau. Enfin, trois autres vis pointeau sont en appui sur un écrou borgne vissé au bout de la tige filetée centrale. Le réglage s'effectue de la manière suivante : d'abord réglage de la hauteur et de la rotation du secondaire en faisant coulisser le cylindre. Une fois le cylindre bloqué, l'orientation du secondaire se règle avec les 3 vis pointeau en appui sur l'écrou borgne, sans que les réglages précédents soient modifiés. La patte sur le côté, solidaire avec le cylindre, permet de bloquer la rotation du secondaire, via un aimant néodyme en contact avec la petite boule en acier collée sur le support du secondaire.
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  26. Bonsoir ! Bon, en guettant les éclaircies, j'ai réussi à aligner qq heures les nuits du 21 et du 23 Mai, sans grande folie, pas assez de temps car souci de MAP du fait d'un nouveau filtre dans la RAF j'ai donc perdu en plus du temps, le ciel ne s'étant dégagé chaque fois que vers 23:00. Mais bon, voila mon hibou, pas extraordinaire, mais petite cible pas hyper impressionnante en signal ! Je n'ai donc réussi qu'a accumuler 30' de chaque couleur R/G/B pour les étoiles en poses de 90", et 35x300" en Ha et 25x300" en O3, ça mériterait donc mieux c'est certain. Luminance assemblée en max de Ha/O3 pour optimiser (certaines zones un peu différentes). Prétraitement SIRIL/SIRILIC TRaitement pix Alignement des images Dynamic crop GradientCorrection Combinaison R/G/B et Solver+SPCC BlurX/NoiseX / Histotransform via STF / StarX pour mise de coté des étoiles (+ ColorSaturation ensuite) BlurX + NoiseX sur Ha et O3 Histogram via Histotransform après arcsin. StarX pour élimination étoiles. Ajustements Curves Combinaison HOO via pixelmath et équilibrage via NArrowbandCalibration (mode 2) Mise de coté. En luminance, assemblage par PixelMath des images résultantes (max (Ha,O3)) LRGB combination de l'image HOO + luminance Via ACDNR, masque pour changement de zones couleurs légèrement (Curves) Inégration étoiles RGB Cadrage PS + export. Voila, à vous !
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  27. Comme dit dessus et précise aussi Seb y a moins cher que des Delite (qu'on ne trouvera pas a 150e en occas) et tu sembles avoir déjà du 'bon' qu'il faut essayer sur ton tube. Des Ortho et des Plossl, ça le fait sur un C11. Je descends jamais en dessous du XW 7 avec le C11 et le C14, mais je n'ai pas un site très stable et j'observe peu a fort grossissement sur ces matériels.
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  28. Ah bah je savais pas qu'il existait, rarement vu ! Belle image aussi !
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  29. Soit la bienvenue je t'invite à répondre à ce questionnaire pour orienter ton besoin Pour débuter et pour tout de suite prendre un grand plaisir à observer de prendre comme tu sembles l'indiquer un Dobson La marque Orion n'est distribuée en Europe ,dommage car j'ai eu les deux marques et je préférais les Orion, meilleur porte oculaire, araignée sans problème de réglage etc . Pour le reste ils viennent tous du même fabriquant et son simplement rebaptisé avec quelques petites différences Pour les oculaires le mieux est de commencer avec ceux fournis pour se faire la main et voir ensuite son besoin suivant sont budget. Avec un dob il faudra du champ par contre Pour les sites il y en a beaucoup de confiance https://www.telescopes-et-accessoires.fr/tubes-optiques-de-telescope-c102x3747113 https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/montures/montures-equatoriales/monture-eq6-r-pro-goto_detail https://www.astronome.fr/10-newton?order=product.price.desc&page=2 https://www.maison-astronomie.com/fr/259-accessoiresoptiques?page=3 https://www.astronome.fr/119-accessoires-accessoires-pour-telescopes-correcteurs-reducteurs?page=2 https://www.teleskop-express.de/ La liste n'est pas exhaustive
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  30. Hello Franck! La bienvenue sur le forum et bon voyage dans le beau monde de l' astronomie!... Avec le ciel du Luberon et un miroir de 200 mm de diamètre... c'est du " 5 étoiles" ***** ....pour les conditions d'observation... Mais je t'en souhaite beaucoup plus!! Bons débuts....
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  31. Beau résultat avec de belles couleurs. C'est dommage que tu n'ais pas la corolle externe : https://www.webastro.net/forums/topic/242138-m97-m108/
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  32. Certes, mais un bon choix...en fonction de quel choix? Budget? dans ce cas bien, mais y a plus cher et y a moins cher pour aussi bien! performances? ces delites sont à la croisée du meilleur, moins cher...u a des trucs disponibles. Mais...quid du cahier des charges...de l'observateur... lui, il veut quoi? Un ethos, c'est bien sur du grand champ, un ortho, c'est passe partout, pour peu qu'on se limite à un champ très faible. Un Brandon/Masuyama, un supermonochromatique si on en trouve, c'est ultime en champ restreint...
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  33. Salut tout le monde. Du coup, quelques updates. Apres avoir lu tout vos conseils, j'allais m'appreter a acheter une monture mais pile poil au moment ou j'envoyait un message a Astroshop pour leurs demander la disponibilité d'une monture, un membre du forum m'a contacté pour me proposer une azimutale d'occasion capable de porter une grosse charge. Apres quelques echanges, j'ai acheté sa monture. Donc j'ai desormais une monture azimutale, elle vient d'arriver a la maison, monté rapidement et ca donne ca : Pour ceux qui seraient curieux de savoir ce que c'est car elle est plutot rare en France. C'est une Carton Altaz TA. C'est japonais et ca date de la fin des années 80 donc c'est vintage mais c'est solide!
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  34. Merci @polorider, c'est une lunette apo de 120mm a f/d 7.5 sans correcteur, reducteur ou autres. Je voulais tenter une galaxie et une nébuleuse, mais les nuages sont arrivés... Mais les premiers résultats avec ce filtre sont assez bluffants, j'ai hâte de le tester sur des cibles moins lumineuses pour voir si ils ne sont pas dégradées. Pour les possesseurs d'astrowl box, la mise à jour du logiciel intégrant cet algo, est en ligne sur le site http://www.astrowlbox.com
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  35. J'ai mis a profit la météo exécrable de ces derniers mois pour continuer à faire évoluer le programme interne de l'astrowl box en ajoutant la possibilité de faire des timelapse (très utile pour réaliser des séquences video de scène dynamique comme des activités solaires) et en développant un algorithme maison pour réduire la pollution lumineuse ou plus largement renforcer les objets faiblement lumineux. J'ai enfin pu tester cet algo hier soir entre deux trouées de nuage en banlieue parisienne (donc fortement soumis à la pollution lumineuse) et le résultat est vraiment prometteur. Je vous joins une photo de M13 sans activation de cet algo et avec activation, on ne perd pas les objets lumineux, mais le fond du ciel devient vraiment noir. La 3eme image utilise toujours ce filtre, mais également une déconvolution de Wiener. La 4ème image pousse l'exposition à 4 sec, contre 3 sur les 3 premières, tout en conservant le filtre anti pollution lumineuse Et enfin la dernière image montre le filtre activable dont la puissance peut être réglée. Je précise que tous ces filtres sont activables à souhait en live sur l'astrowl box et que les images ci-dessous sont exactement celles qui apparaissent sur l'écran de l'astrowl box, sans aucun autre traitement que ceux appliqués en direct.
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  36. Suite du précédent. D'abord un petit coup pour les platistes (nombreux sur le forum ) :
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  37. et ce matin elle est en forme également... En lumière blanche ça commence à apparaitre:
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  38. voila la vue à 18h20 TU qui montre clairement ce que j'ai pu voir ...
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  39. Ayant perdu ma photo finale il y a quelques moi, j'ai décidé de refaire un traitement sur cette partie du ciel que j'apprécie beaucoup. J'ai modifié juste un chouilla le dosage des différentes couleurs pour le vert et ça m'a donné beaucoup plus de bleu/vert sur la photo finale. 5h de poses FRA300 AM5 2600MC L-Extreme Siril et gimp MErci
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  40. Bonsoir a tous, avec de jolies trouées bleue cet après midi j'ai pu imager un peu la protubérance assez grande et bien lumineuse de cet apres midi. No stacking Réseau 1800 tr/mm Chris
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  41. On voit que ça fait longtemps que je n'avais pas posté... Charbon de bois - gaz - électrique - fumoir Quelle sorte de barbecue es-tu ?
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  42. Bonjour Ma petite contribution du jour avec mini35. Peu de turbulences mais énormément de nuages . Thierry
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  43. petite eclaircie d'une petite heure mais grosse turbu ce matin. (map presque en aveugle...) newton 150/750 désaluminé (j'veux un 200!, puis après je voudrai un 300 😁), ND 1.8, continuum 8nm, barlow APM 2.7x apollo-m mini 6 images retenue sur environ 3800.
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  44. Bonjour @Erintox, Ce sont bien des personnes comme vous qui me donnent et confirment confiance en l'avenir. Le tapage médiatique nous donne à voir tant de "mauvaises surprises" qu'on en finit par croire que c'est la norme. Félicitations à vous d'avoir choisi un sujet très très ambitieux et très complexe. Aussi pour bien "border" votre travail, je ne saurais trop vous conseiller de bien cadrer dès l'introduction la position scientifique de la matière noire. Ne perdez pas de vue qu'à cet instant et compte tenu de nos connaissances validées par les pairs de la discipline, la matière noire n'est qu'une supputation théorique sans aucune vérité expérimentale démontrée. Aussi, si votre sujet (intention ?) est de démontrer son existence, je ne vois que deux issues à votre démarche : 1) Une note désolante car vous prenez pour établi un fait scientifique non démontré, 2) Le prix Nobel de Physique. Volontairement je force le trait pour vous alerter. Pensez à peut-être modifier votre perspective. Reprenez à votre compte le débat fécond et actif de la masse de l'Univers qui anime la communauté scientifique. 1) Partez du modèle standard actuel que pratiquement plus aucun scientifique ne remet fondamentalement en cause, tant les preuves d'observation sont établies, mesurées et validées . 2) Montrez dans un deuxième temps que malgré la performance de ce modèle, il demeure des observations "qui ne collent pas" 3) Parmi les thèses possibles pour expliquer cet écart se trouve le concept de matière noire. Je pense qu'avec ces précautions vous vous prémunissez contre les critiques inévitables de votre démarche comme vous nous la présentez. Je vous souhaite belle réussite dans cet exercice. Ney
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  45. Perso, quand il y a peu de vent ici, la comète C2023 A3 le 18 mai avec l'equinox 2. Forte lune à 15-20° d'éloignement et un bon ciel transparent. Pose de 8 minutes.
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  46. Cette semaine il s’est produit un phénomène devenu inhabituel, exceptionnel même : du beau temps ! Et plusieurs soirs d’affilée ! L’occasion de sortir les jumelles pour aller observer les galaxies tant attendues du Printemps. Sur trois nuits consécutives, j’ai ainsi pu glaner une quinzaine d’observation de galaxies, un véritable petit miracle vu la météo médiocre depuis deux mois. Mardi, première sortie : Installé sur la terrasse vers 22h, le Soleil s’est couché il y a déjà 1h mais la nuit n’est pas encore tombée ; les nuages se dissipent peu à peu et j’aperçois déjà les plus brillantes des étoiles de la Grande Ourse, la Polaire, Castor et Pollux, et surtout les 4 principales du Lion, vedette de ce soir. L’air est doux, sans aucun vent, et un calme incroyable à peine brisé par le passage d’un avion. L’objectif est simple ce soir : tout d’abord profiter du retour d’un ciel clément et d’une nuit noire, contempler, et enfin voir ce que peuvent montrer des 10x42 sur des cibles réputées aussi discrètes et difficiles que les galaxies de Printemps, en particulier le trio du Lion. À partir de Chertan (Thêta) visible à l’œil nu en VD (encore difficilement, mais facile en VI) je chemine presque un champ au Sud vers 73 de mag 5 et reconnais tout de suite le champ d’étoiles du PSA. Comme il ne fait pas encore bien noir le cadrage est facilité car je ne vois pour l’instant à peine plus d’étoiles que sur la carte. Bien sûr, le fond de ciel est encore trop clair pour y discerner une quelconque trace du fameux trio, alors j’attends que la nuit tombe pour de bon et en profite pour mémoriser la disposition des étoiles repères. À 22h40 toujours rien à l’oculaire. Le ciel est traversé par de fins nuages d’altitude : je crains qu’une rude bataille s’annonce ! Patiemment je guette l’apparition de quelque chose qui viendrait rompre l’homogénéité du fond de ciel. C’est chose faite 20 minutes plus tard. Une tache très discrète, commence à poindre en VI. De forme allongée, fine, la galaxie présente un cœur plus brillant, stellaire, et des extensions très ténues. Il s’agit de M66. Il est encore difficile de saisir les contours et la taille de l’objet, mais son orientation N-S ne fait aucun doute. Bientôt je commence à discerner une compagne toute proche à l’Ouest dont l’orientation semble parallèle. Il s’agit de M65, bien plus discrète, uniforme, moins allongée et plus petite. Quand au troisième membre du groupe, NGC 3628, il m’est apparu par intermittence, seulement 5 à 10% du temps, se distinguant à peine du fond de ciel avec une surface plus large et homogène. Même si je savais ces cibles difficiles je me rends compte à présent du travail de concentration nécessaire pour les détecter. Néanmoins je suis très fier d’avoir relevé ce défi. Plus j’y passe de temps et plus M66 demeure visible longtemps, tout comme M65. Il me semble que cela revient à observer M31 à l’œil nu, en un peu plus difficile. Je laisse là le trio et tente pour le plaisir la galaxie NGC 2903. Après un cheminement dans la tête du Lion à partir d’Algebia (gamma) jusque Alterf (lambda) je repère un doublet d’étoiles de mag 7 (mais la transparence ne doit pas être géniale, elles me paraissent plus faible d’une magnitude). J’y trouve après quelques minutes la fameuse galaxie, bien moins facile qu’attendu. Elle m’apparait au mieux 30% du temps, de taille comparable voire supérieure à M66, homogène et allongée. Je me rend compte que je fais l’expérience des fameux « glimpses », moi qui étais habitué jusque là aux objets persistants plus faciles. J’ai l’impression d’atteindre un niveau supérieur dans l’observation 😄. Je finirai là pour ce soir, me gardant le second trio pour le lendemain, tandis que minuit approche. Mercredi, deuxième sortie : Installation du trépied à 22h, le ciel est impeccable cette fois, toujours aucun vent et cette « douceur » de 13°C. Je peaufine mon programme en attendant que la nuit tombe : au menu ce soir un bref retour sur NGC 2903 et le premier trio pour comparer avec la nuit dernière puis le second trio M95-M96-M105, ainsi que la galaxie du Sombrero M104 et NGC 3521. À partir de 23h je commence à retrouver M66 et M65 à la pointe Est du triangle d’étoiles. Faibles mais bien là en VI leur vision est désormais persistante et quelques apparitions fugaces de la 3ème comparse s’offrent à moi. Il est vrai que ce soir le ciel est de meilleure qualité, avec M44 facilement visible à l’œil nu, tout comme l’ensemble de la Petite Ourse. NGC 2903 est elle aussi mieux détectée que la veille. Vue la moitié du temps elle reste une pâle lueur, moins effilée que M66 et plus homogène. Maintenant que les yeux sont bien échauffés, place aux choses sérieuses ! Le repérage du second trio s’avère plus délicat et il me faudra plusieurs essais pour vérifier que les étoiles vues à l’oculaire sont bien celles indiquées sur le PSA. Le fait que les cartes n’indiquent pas d’étoiles plus faibles que mag 7 est parfois un handicap, comme dans le cas de ce champ pauvre en étoiles fort brillantes. Je finis tout de même par trouver ce que je cherche : M96 est vue presque avec certitude mais peu souvent, très pâle et arrondie. M95 est loin d’être détectée avec certitude et pas de trace de M105. Ici je flirte avec la limite du possible pensant m’arracher un bout de rétine à chaque tentative. Petite déception, mais il était prévu que ce soit bien plus délicat que la veille. J’essaie de sauver les meubles en tentant la galaxie du Sombrero. En cheminant à partir de Spica il est relativement aisé de trouver M104. Vue rapidement en VI à l’Est d’une étoile qui semble multiple, de mag 8-9. Avec un allongement évident de 4 :1 dans la direction E-O elle est visible quasi en permanence. Bien qu’il s’agisse encore là plus de détection que d’observation elle reste ma vision la plus gratifiante de la soirée. Je décide de m’arrêter là pour cette nuit, sur cette belle prise et garde quelques cibles pour le lendemain, mes yeux n’en peuvent plus. Et puis de la buée s’est discrètement invitée sur les objectifs… Jeudi, troisième et dernière sortie : Au programme de cette dernière nuit d’observation aux jumelles, NGC 3521, quelques galaxies de la Vierge et quelques cibles dans la Chevelure de Bérénice. À 22h20 je m’installe et pointe le champ de NGC 3521. Le cheminement depuis Chertan (Thêta) est facile bien que très long, avec beaucoup d’étoiles repères. Reste à attendre qu’il fasse bien noir pour guetter les premiers signaux. Toujours aucun nuage ce soir mais un léger vent. Un très fin croissant de Lune se dirige paisiblement vers l’horizon, avec une magnifique lumière cendrée. Je décide d’installer un transat et de l’admirer se coucher tandis que la nuit tombe dans un calme apaisant. 22h40, retour aux jumelles. Le champ de NGC 3521 forme un T composé de 5 étoiles de mag 7 sur environ 2x2°. La galaxie, encore invisible, doit se trouver juste à l’Ouest de l’étoile à l’extrémité gauche du T. Patience… Vers 23h il fait enfin assez noir pour détecter la présence de la galaxie. Après 10 minutes à observer attentivement elle est présente plus de 90% du temps, avec une orientation N-S évidente. Allongée dans un rapport 2 :1 elle demeure très discrète et d’une luminosité quasi uniforme. C’est une belle prise pour démarrer la soirée 🙂. Puis direction la Vierge et une cible normalement plus accessible : M49. Un jeu d’enfant à pointer depuis Vindemiatrix (Epsilon), M49 est tout de suite visible, même en VD, entre deux étoiles de mag 6. En VD elle apparait comme une étoile empâtée de mag 8-9. En VI ce cœur devient plus brillant et s’entoure d’un halo diffus, plutôt rond, tel un faible amas globulaire. Avec un peu d’attention j’ai comme l’impression que cette tache s’ovalise légèrement, plutôt dans la direction donnée par l’alignement des deux étoiles brillantes. C’est un plaisir que d’observer cette galaxie qui demande bien moins d’effort que toutes les précédentes. Poursuivons cette lancée avec M60. De retour à Vindemiatrix, M60 est non loin de là, entre une étoile de mag 6 et un petit Y formé d’une étoile de mag 5 et trois étoiles plus faibles. Bien que plus discrète que la précédente elle reste facile et visible en VD comme une très faible étoile. Elle grossit elle aussi en VI mais son cœur est moins marqué que celui de M49. Allongée selon un axe E-O, j’aperçois à l’Ouest une tache fort discrète, visible 50% du temps en VI, allongée selon un axe N-S. Serait-ce M59 ? Après vérifications le lendemain, c’était bien elle, attrapée bien qu’elle ne fût pas au programme à cause de sa faible magnitude de 9,8. Comme quoi il faut parfois savoir ne pas se laisser intimider par les chiffres. À 23h40 il est l’heure de passer à l’entrée suivante : M87. Repérée plutôt facilement aussi car dans la même zone (et surtout grâce à la carte C plus détaillée du PSA), je distingue aussitôt autre chose du coin de l’œil en essayant de l’observer : deux taches, homogènes et plus grosses : il s’agit de M84 et M86. Bingo ! Trois pour le prix d’une ! Et un trio beaucoup plus évident que ceux des deux nuits dernières. M87, juste sous une étoile de mag 8-9, n’est visible qu’en VI. Plus petite et moins brillante que M60, elle est aussi plutôt ronde et homogène. Au bout d’un moment j’arriverais presque à l’accrocher en VD. M84 et M86 sont très ressemblantes entre-elles et franchement évidentes en VI. Plus grosses que M87 elles présentent un allongement clair, 2:1 et sont un peu moins brillantes, peut-être car leur lumière se répartit sur une plus grande surface. M86 est un peu plus grosse et brillante, allongée à peu près N-S tandis que celui de M84 soit plutôt E-O, sans que ce soit particulièrement facile à estimer. Je trouve cette vision très chouette, ces univers-îles si lointains saisis dans leur entièreté par le biais d’une simple petite paire de jumelles... Il est déjà minuit, je commence à ressentir la fatigue cumulée de 3 soirs d’observation (une première !), mais qui réconforte d’une longue série de semaines pluvieuses. Je tente deux autres galaxies pour le plaisir. M90 est la plus proche, vers l’Est, et m’offre quelques glimpses fugaces entre une étoile de mag 8 et une de mag 10 vue en VI. M88 est repérée aisément au Sud d’une étoile de mag 9. Elle est assez évidente et allongée dans un rapport 3 :1 selon la direction approximative N-S. Il me semble voir une étoile de mag 10 à son extrémité Sud, mais rien dans Stellarium après vérification, bizarre ... Pour finir cette soirée je me dirige vers la Chevelure de Bérénice où je souhaite retrouver la toute première galaxie que j’avais tenté aux petites jumelles l’an dernier et qui fût un échec : M64. À l’œil nu je vois déjà que l’amas Mel 111 est bien visible et même superbe, et une étoile filante, bien brillante et moyennement rapide traverse tout le dos du Lion dans le même temps, génial ! Quitte à viser Alpha Coma Berenices j’en profite pour jeter un coup d’œil à M53 juste à côté, aussi chouette que dans mes souvenirs, une belle étoile large en VD qui prend du volume en VI. Une belle bouille d’amas globulaire avec un centre bien marqué et un halo qui double presque la surface. Après ce petit intermède globulaire, retour aux galaxies. M64 est facilement repérée non loin d’une étoile de mag 5. Son cœur bien marqué est visible même en VD et son allongement E-O de 2-3 :1 est franchement évident en VI. Probablement la cible galactique la plus évidente ce soir, je me demande comment j’ai pu la louper l'été dernier. Quelle belle galaxie et quelle belle manière de finir cette soirée ! J’ai bien fait de poursuivre malgré la fatigue. Comme je pressens que cette soirée sera la dernière avant un petit moment, je décroche les jumelles du trépied et termine par quelques observations nonchalantes aux 4 coins du ciel comme pour dire au revoir et à bientôt. Je vais me coucher avec une énorme satisfaction et le sentiment du devoir accompli. C’est une belle nuit et je souris.
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  47. sorry j'etait pas sur les reseaux depuis une eternité lol . je vais t'envoyer les pdf chef ... lol devine quoi ? les gendarmes et les extraterrestre sacrée film hein . ps : l'acteur louis de funes un tres bon personnage fictif du film ... et qui a eu un frayeur comique en voyant un vaisseaux derriere un buisson lol ( le chef avait dit d'aller faire pipi) c'est un beau resultat pour ne pas aller faire pipi , juste pour rencontrer des aliens lol
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  48. Bonjour tout le monde Images de la Tête de cheval avec beaucoup de détails et une traduction automatique.
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