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  1. olivierfred42

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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 07/23/24 dans toutes les zones

  1. + 1 animation de protus sur 30 minutes
    5 points
  2. Bonjour à tous, Je suis à la recherche d'un filtre Daystar Combo Ha Chromosphere. J'ai cherché différentes offres et trouvé le site https://optcorpus.shop/ qui faisait une offre à 40%. Le site est exactement le même que l'original https://optcorp.com/. Mais ce dernier a fermé en 2023. Le nouveau site est un site frauduleux qui tente de nous extorquer notre numéro de carte de crédit. A éviter absolument. Bon ciel à tous. Cordialement Christian Voirol
    5 points
  3. 4 points
  4. Bonjour 1ers resultats depuis St Veran lunette 150/900 à F/D24;TZ4; quark combo; asi174mm La suite d'aujourd'hui en rajoutant un glasspath 1.25 pour passer a F/D30
    4 points
  5. Bonjour, Une autre NP à vous présenter, jamais faite pour ma part jusqu'à présent. Pas du tout évidente à faire, centre hyper lumineux, corolle externe plus discrète. NGC 6826, aussi surnommé la nébuleuse clignotante (blinking nebula), est une nébuleuse planétaire située dans la constellation du Cygne. NGC 6826 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1793. Ce surnom vient de la manière dont on l'observe dans un petit télescope. Si on fixe directement l'étoile au centre de NGC 6826, l'éclat de celle-ci rend la nébuleuse invisible. Par contre, si l'on fait appel à la vision décalée, la nébuleuse devient visible. En alternant entre ces deux types de vision, la nébuleuse semble clignoter. On notera que l'on rencontre ce phénomène pour d'autres objets astronomique, par exemple NGC 2392. L'âge du halo de la nébuleuse serait 35 000 ans et celui de la nébuleuse interne de 7 000 ans. (Deep * Sky Corner) Les infos: SCT Meade 10" (254/2500) + correcteur de coma @ 1845mm Player One Artemis-c imx294 + filtre Optolong L-quad Enhance Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Map auto avec EAF Acquisition NINA 89 x 30s 63 x 180s Gain 120 capteur -10°C Traitement Siril, Pixinsight. une brute de 30s: une brute de 180s: Pour illustrer le propre de cette Blinking Nebula (Nébuleuse clignotante), je l'ai mise en mode sapin de Noël:
    3 points
  6. Salut à tous ! Cette nuit pour cause de Lune éblouissante, j'ai mis mon calmar (OU4) en pause pour shooter le très courant duo Amérique du Nord & Pélican. En fait c'était surtout l'occasion d'utiliser pour la première fois mon filtre Altair duo SII/OIII en 4nm qui dormait peinard dans la RAF depuis Noël ! J'ai pu engranger 2 x 60 images de 180" (6h) au Ha/OIII et SII/OIII. Je vous propose plus bas différentes versions mais je préfère celle-ci qui est un mix SHO-HOO. J'espère qu'elle vous plaira Les deux stacks (Pix WBPP + GraXpert) Les trois couches extraites avec DBXtract Pour finir, la SHO générée par DBXtract après traitement et la HOO traitée méthode Lukomatico (masques de couleurs). La version du début est un mix de 30% SHO/70% HOO. Même si on peut faire une image sympa uniquement avec le filtre HA/OIII, je pense que le complément du filtre SII/OIII apporte un petit plus à la caméra OSC. Le hic c'est son prix...
    3 points
  7. Bonjour tout le monde ! Les 7-8 Juillet dernier, j'avais tenté M17, plutôt basse mais qu'à cela ne tienne ! Une nuit uniquement Ha mais avec nuages. Une autre avec Ha/S2/O3...mais avec un souci en pleine nuit ou je n'ai plus eu de suivi après le retournement méridien...phénomène curieux.... 45x300" en Ha 12x300" en OIII 6x300" en S2 (!!) Je suis passé à autre chose ensuite, tant pis, je la referai l'année prochaine surement... De fait, je n'ai pas pu utiliser le SHO car impossible de se séparer du vert sans anihiler le reste...et vice versa... J'ai donc mixé une version HOO et une version Foraxx Pré-traitement SIRIL/SIRILIC Traitement habituel sous pix avec GradientCorrection/BlurX (correct)/BlurX/NoiseX/StarX Conservation et étirement d'une Ha complète pour la couche L Via les starless S/H/O : Assemblage SHO pour la version SHO (et calibration HOO dans NBColorCalibration) Assemblage d'une version Foraxx via le script du même nom Mixage via Blend Ajustement comme possible via SelectiveColors Création d'une image RGB des étoiles via script Seti Assemblage de l'image couleur Starless+stars Blend (colour) de la luminance avec l'image couleur. Ajustements légers PS + StarPikes + Export Voila, ça donnc une version Charybde/Scylla qui ne me déplait pas, faute d'autre chose néanmoins... A vous de me dire !
    2 points
  8. Bonjour, voici NGC 6888 faites il y a 2 jours, avec en prime la nébuleuse de la bulle de savon. Il y a 81 poses de 180 secondes au filtre l ultimate, asi 2600 mc pro à -10°c, et newton 200/800 , traitement pixinsight J'ai un gros souci sur le bruit de fond de ciel, je n'arrive pas à le gérer, l lune était très présente ce jour -ci, j'ai aussi peut être tiré un peu trop les curseurs, ou sur la saturation , je ne sais pas trop. j'ai fait les même traitements qu'habituellement, et du dithering toutes les 3 images. j'ai également appliqué les soft Xterminator Si vous avez quelques pistes cela m'aiderait énormément. Merci 😃
    1 point
  9. Oui je fais aussi comme ça, ou en utilisant les formules foraxx, et je termine par le nouveau process pix narrowband normalization, c'est super rapide pour peaufiner et notamment booster le bleu des zones O
    1 point
  10. https://www.stcoptics.com/products/astrophotography-interchangeable-clip-ic-filter-for-canon-eos-r-series-camera je l’ai commandé directement chez le fabricant. Il existe des filtres ND et le clip se démonte pour changer juste le filtre. Merci pour le retour sur la photo. 4h c’est sûrement trop court pour quelque chose de propre. Mais je viens de récupérer l’adaptateur secteur à la place de la batterie du Canon, je vais pouvoir rallonger la durée (Canon est voleur sur le coup vu le prix).
    1 point
  11. Salut Aztro, Bonne nouvelle ! On n'est pas aussi nombreux que ça à la suivre avec des time-séries systématiques, en définitive. La courbe AAVSO paraît très touffue, mais si on y regarde de plus près, nous ne sommes qu'une vingtaine d'observateurs à reporter plus de 100 mesures sur le mois de juillet, par exemple, avec une grande disparité dans le nombre de lignes (de 100 à plusieurs milliers de mesures dans le mois ; 2000 mesures pour ma part). Chaque nuit, on est une vingtaines d'observateurs réguliers, dont la majorité est aux US. Aucun observateur en Asie ; les Japonais doivent avoir leur propre associations vers laquelle ils envoient pour archivage. Etant donné qu'elle va inévitablement baisser cet automne, et que la météo ne va pas nous aider, si vous la suivez, avec votre club, ce sera autant de trous en moins dans la courbe. Voici comment je procède, mais ce n'est pas une vérité absolue ; chacun fait comme il peut 😉 J'utilise un canon 650D, sur une L80/400 diaphragmée à 50. Les poses sont de 5 min à 100 iso, très légèrement défocalisé. Sur les petites optiques, il faut veiller à toujours poser au moins 120 sec pour éviter les soucis de scintillation. J'enclenche les poses dès la nuit tombée, et je relève les images le lendemain matin - c'est de l'astro pour faignants ;-) La feuille de route : 1 transformation des fichiers cr2 en fit, puis calibration avec ASTAP (une quinzaine de D, F et B) 2 plate solving avec astap 3 extraction du bleu (TB), du vert (TG) et du rouge (TR) avec astap 4 extraction de la photométrie sur les trois couches avec ASTROIMAGEJ 5 envoi à l'AAVSO Les étoiles de comparaison sont : A : OOO-BBW-796 (98) B 10.843 V 9.809 R 9.269 B : OOO-BJS-901 (106) B 11.096 V 10.554 R 10.240 Séquence : X36941J Si ça vient à péter, elle va monter au-delà de mag 2 - mag 1.5 peut-être. Il faudra alors passer à de l'imagerie avec objectif photo 35 ou 50 mm, avec images très défocalisées, histoire d'être certain de ne pas la cramer. Il faut prévoir un entrainement dès maintenant, et changer d'étoiles de comparaison, car ça ne s'improvise pas, la photométrie sur étoiles très brillantes ; c'est pas si facile 😉 TCrB-A-scale-Binocular-photometry-table.pdf TCrB-A-scale-North-up-Binocular.pdf TCrB-B-scale-North-up.pdf TCrB-B-scale-photometry-table.pdf TCrB-D-scale-North-up.pdf TCrB-D-scale-photometry-table.pdf
    1 point
  12. Bonjour, Ayant maintenant un boitier defiltré, j'ai voulu essayer de faire sortir le rouge présent autour d'Antares. J'avais prévu de le faire depuis le pic du midi, mais j'ai eu plusieurs petit soucis pendant mon séjour, donc j'ai réussi à faire seulement une heure de pause là haut. J'ai complété par en plaine, mais au final le rouge sort vraiment peu, un poil décu sur ce point Mais sinon je pense que l'image finale est pas trop mal. C'était aussi mon premier vrai test de la star adventurer, j'adore, super rapide à mettre en place, bon suivi meme avec un 200mm 100D sur star adventurer, sigma 50 1.4 à f2, a peu près 3h de pause par tranche de 60s, iso 800
    1 point
  13. 1 point
  14. Il faut quand même signaler que la lune ne vole pas haut en ce moment, c'est différent que quand elle squatte toute la nuit au zénith...mais ce L-quad marche bien je confirme
    1 point
  15. Bonjour, Toujours un peu de nuits dégagées en cet été 2024, on en profite ! NGC 7139 est une nébuleuse planétaire située dans la constellation de Céphée. NGC 7139 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1787. La nébuleuse a deux composantes, à savoir une section épaisse toroïdale et une région biconique plus petite où la nébuleuse est optiquement mince au rayonnement ionisant de Lyman. Le matériel dans la partie biconique plus mince a été accéléré préférentiellement, ce qui pourrait indiquer que le vent rapide de l'étoile centrale de NGC 7139 interagit avec un vent non symétrique provenant du progéniteur de la nébuleuse. (Deep*Sky Corner) Les infos: SCT Meade 10" (254/2500) + correcteur de coma @ 1845mm Player One Artemis-c imx294 + filtre Optolong L-quad Enhance Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Map auto avec EAF Acquisition NINA 49 x 120s Gain 120 capteur -10°C Traitement Siril, Pixinsight. une brute de 120s:
    1 point
  16. Bonjour, Je pense qu'il y a eu un problème dans l'apprentissage, la mise en oeuvre et la prise en main de l'ensemble du matériel... Déjà, vouloir faire de l'imagerie alors que dans un premier temps, pour un setup déjà assez conséquent de ce type (mécanique, optique...) si tu partais de rien, il y a de nombreuses heures à passer à "comment se débrouiller avec" en visuel. Et c'est ensuite uniquement que l'on va passer à l'imagerie. Par ailleurs, tu avais toutes les cartes en main pour que l'ensemble soit complet (et il l'était), notamment le StarSense (pourquoi l'avoir revendu ?) qui fait justement qu'on peut se contenter d'une mise en station approximative (si on ne voit pas le pôle céleste nord, on peut quand même assez facilement par apprentissage, avoir une mise en station honnête) et procède par astrométrie pour à la fois pallier la mise en station et se repérer de manière précise. Tu signales également que la monture est trop lourde pour toi ; cela fait partie des critères de sélection avant l'achat du matériel ou on s'en rend compte en magasin (et pas sur Internet, c'est sûr) en voyant que cette monture est déjà de classe moyenne (j'ai également une CGEM 2 pour supporter des tubes optiques de 10/15 kg) et que tu n'as pas de PC portable. Bref - et cela n'est pas une critique de ma part - mais simplement un constat, un achat mal réfléchi malheureusement comme on en voit bien souvent, certainement en fct d'un budget défini et pas de critères précis et personnels. Différentes possibilités. Soit, tu te penches "à fond" sur l'ensemble des problèmes, 1 par 1, sans se démotiver, en apprenant à maîtriser tout ce matériel (tube optique, monture en apprenant à faire la mise en station, maîtrisant la raquette associée, savoir quoi et comment observer le ciel), cela prendra du temps, mais pas d'argent, vu que tu as déjà tout. Manque la pratique. On trouve également de nombreux tutos et tout ce qu'il faut sur Internet. Autre possibilité, se rapprocher d'un club (liste dans l'onglet "Communauté") qui sera en capacité à t'aider pour la prise en main du matériel et éventuellement ensuite l'imagerie. Cela prendra aussi du temps, mais évitera de partir dans de "fausses orientations". C'est certainement le mieux. Si tu vois que cela ne fonctionne pas ou tu ne penses pas être en capacité de le faire, les instruments connectés (à choisir le bon dans l'existant ajd) permettent d'avoir accès à l'imagerie (du ciel profond uniquement dans l'immédiat, ils ne sont pas adaptés pour du planétaire) avec facilité, même si tu n'as qu'un morceau de ciel ou tu es en zone urbaine/périurbaine. Ils sont en plus faciles à transporter. Pour un instrument connecté, c'est une histoire de budget (entre 600 et 5 000e) et selon ce qu'on souhaite faire. Ta belle lunette 100/800 pourrait toujours te servir en visuel en complément. D'autres avis vont arriver. Bel été.
    1 point
  17. Là, c’est pas compliqué si tu acceptes de réduire le diamètre. Il suffit de mettre un masque (carton, plastique) qui recouvre un peu le miroir et c’est aussitôt fait. Tu gardes la même focale F et tu réduis D, et F/D augmente. Coût : quelques euros. Par contre si tu veux garder le même diamètre, il faut allonger la focale et donc aplatir le miroir ce qui est moins simple que de le creuser, puis refaire son aluminure. Autant acheter un nouveau miroir à la bonne focale. Oui, ça aussi c’est faisable. Mais vu que tu ne peux pas agrandir le diamètre D, il faut réduire la focale F, donc creuser le miroir, puis refaire son aluminure. Vu le prix que ça va coûter, autant en acheter un nouveau à la bonne focale… Bref, le mieux est de faire avec ce que tu as, et si tu veux un télescope plus rapide (F/D plus court), revends l’ancien et achètes en un nouveau.
    1 point
  18. Le saviez-vous ? Nul besoin de vaisseau spatial compliqué et cher pour se rendre sur Mars. Et pour cause, avec ma bonne vieille astrocamionette je m'y suis rendu pour un weekend loin du monde (non) et plus près des étoiles (ça oui). Mars donc, pour celles et ceux qui ne connaissent pas, en plus d'être une superbe planète rouge et une barre chocolatée, Mars c'est une petite bourgade du plateau ardéchois sise à 1000m d'altitude, connue pour son pont du XVIIIe siècle, ses vaches à cornes, et son observatoire astronomique... l'observatoire "Hubert Reeves" organisait donc tout un weekend autour de l'astronomie sur ce site exceptionnel. Au programme, deux jours et deux nuits d'animations et d'observations, à destination du grand public (venu en très grand nombre) mais aussi de l'amateur plus exigent avec des intervenants et conférenciers de qualité. Jugez plutôt : - La recherche des exoplanètes, où en sommes-nous ? – Avec : Florian Rycke-Philipot (Doctorant, LESIA, Observatoire de Paris) – Systèmes compacts, planètes ultra-chaudes, super-Terres, depuis la détection de la première planète autour d’une autre étoile de type solaire en 1995, la recherche des planètes extra-solaires a explosé. À quoi ressemblent les plus de 5000 exoplanètes détectées ? Et surtout, que reste-t-il à découvrir ? - En route vers Mercure – Avec : Dominique Delcourt (Directeur de Recherches, CNRS) – Découvrez la mission BepiColombo pour l’exploration de la planète Mercure (la plus proche du soleil), menée conjointement et pour la première fois par les agences spatiales européenne et japonaise. - Le milieu interstellaire, les mystères de la poussière d’étoile – Avec : Axel Rymar (Doctorant en Astrophysique, Université Paris-Saclay) – Le milieu interstellaire, environnement complexe composé de gaz et de poussière, joue un rôle crucial dans l’évolution des galaxies. Mais, il cache aussi des réponses aux questions fondamentales de l’humanité, notamment celle de notre composition élémentaire. - La révolution du télescope spatial James Webb – Avec : Richard Johan (Astronome, Centre de Recherche Astrophysique de Lyon) – Découvrez le défi de la réalisation du télescope spatial James Webb, le plus grand télescope spatial actuellement en opération, ainsi que ses premiers résultats scientifiques, des objets de notre système solaire aux galaxies les plus lointaines de l’Univers. Je ne m'étendrai pas sur les conférences en elles-mêmes : elles étaient excellentes et les quatre conférenciers (certains plus aguerris que d'autres à l'exercice) étaient particulièrement intéressants, compétents et accessibles. Quatre conférences, quatre fois la salle archi comble : le public ne s'y est pas trompé. 👍 Le première journée donc, j'arrive deux bonnes heures avant la première conférence pour deux choses, à commencer par la visite de l'observatoire. La visite est assurée par Camille, salarié de l'observatoire à la grosse barbe et la voix qui porte, qui nous présente le travail effectué sur place : photométrie, spectrométrie, stages découverte, mission pro-am... et nous présente aussi le bel instrument sous la coupole : un Ritchey-Chrétien de 600mm à f8 sur une monture Alcor-System NOVA 200 à entraînement direct de fabrication française (si vous voulez vous équiper comme eux : https://www.astroshop.de/fr/telescopes/ritchey-chretien-officina-stellare-rc-600-4800-pro-rc-cga-ota/p,56211 sans oublier la monture : https://www.astroshop.de/fr/equatorial-avec-goto/monture-alcor-system-direct-drive-nova-200/p,61595 ). Du très beau matos, très performant mais à la maintenance visiblement assez compliquée. A la fin de la visite, je tombe sur un collègue du club ! Quelle surprise, je ne savais pas qu'il venait, et encore moins qu'il était également membre du Club Astronomique de Mars (CAM) et qu'il participait aux observations avec son 250 flextube Goto ! 😃 La deuxième activité que je voulais faire avant les conférences, c'était l'observation solaire. Trois instruments étaient installés à cet effet : un C8 avec un filtre de pleine ouverture pour la lumière blanche, un PST Coronado (que je connaissais déjà et dont l'observation m'avait enchanté) et une Lunt. De belles tâches solaires étaient visibles en lumière blanche mais c'est surtout l'observation en H alpha avec la Lunt qui m'a impressionné. Les éruptions solaires sont impressionnantes et la surface de notre étoile montre de superbes grumeaux et aspérités. L'effet de relief est saisissant, à mille lieues devant ce que montre un Coronado ! Quelle claque ! Pour ce samedi, la suite des observations devra attendre la nuit. Après donc les deux conférences et un rapide retour au camping pour avaler un repas express, je reprends donc vers 22h la route de l'observatoire avec mon vélo. Et déjà, en sortant du camping, la Voie Lactée me saute aux yeux comme rarement ! Quel ciel ils ont les marsois (oui on ne dit pas martiens visiblement...). J'arrive à l'observatoire et là, c'est le choc... Quelle foule😬 !! Le site, pourtant immense, est rempli de spectateurs. Il doit y avoir un bon millier de personnes sur ce haut plateau aux confins de l'Ardèche et de la Haute-Loire, tous venus pour découvrir les trésors du ciel. Dans l'absolu, c'est très bien que ce genre d'évènement attire autant de monde. Mais très égoïstement, je ne peux m'empêcher d'être déçu de voir les files d'attentes interminables pour observer dans n'importe quel instrument 😄. Je retrouve mon copain rencontré l'après-midi, il pointe Saturne avec son dob 250 depuis déjà 45min et la file d'attente ne désempli pas. Les spectateurs sont ravis du spectacle proposé visiblement, les "wouah" "ooooh" fusent d'un peu partout dans le champ. Ne me voyant pas faire la queue une heure pour voir M13 pendant 30 secondes, je m'allonge dans l'herbe près de l'observatoire où un animateur nous fait voyager dans le ciel avec son pointeur laser et son micro. Cette "lecture du ciel" est très intéressante, et il est abordé à la fois la technique de la recherche et les contes et légendes liées à certaines constellation. Le bonhomme maîtrise son sujet, nous transporte et nous faire rire. Un grand bravo à lui ! Du coup la soirée a bien avancé et le gros de la foule est parti. Je retourne du côté des télescopes et me glisse dans les (plus courtes) files d'attentes. Tout le monde pointe les classiques de l'été et l'allumage intempestif des phares sur le parking (une bonne partie des visiteurs ne se sont pas garés face à la forêts comme demandé, mais face aux télescopes...) ne permet pas d'observer de manière qualitative. j'en profite donc pour prendre en main tous les instruments et discuter avec leurs propriétaires. Première constatation : sur des objets comme Dumbell, l'amas d'Hercule ou la Lyre, un 300 en montre quand même un peu plus qu'un 250. Sur tous les objets, la différence - sans être énorme - est notable. Sur M57 par exemple, je vois plus de nuances de densité dans l'anneau, dumbell est plus claire et plus contrastée, je vois plus d'étoiles dans M13. Par contre, deuxième constatation : un dobson 300 en tube plein c'est énorme 😮! Un 250 fait petit à côté et clairement pour mon utilisation éventuelle ça serait trop compliqué. J'ai pu passer un petit moment à prendre en main un KEPLER 300 deluxe, c'est très agréable à manier c'est sûr, par contre c'est vraiment trop gros pour moi. Mais, j'ai pu aussi utiliser assez longuement un ES 300 Ultra light, et là, c'est pas la même histoire 😍! Si à l'oculaire l'expérience a été identique, à l'utilisation c'est tout de même bien plus gérable. Rien que d'aspect il fait plus petit, le montage / démontage se fait très rapidement et une fois démonté il ne prend pas de place (moins que mon mak + sa monture). Je le mets clairement sur ma wishlist (chérie, papa, maman, si vous me lisez...), pour aller titiller de la nébuleuse sur mon site de crête habituel il m'a l'air tout indiqué . La deuxième nuit d'observation sera beaucoup plus intéressante Déjà, il y a peut-être cinq fois moins de monde et même au 915, l'attente n'est pas longue. Allez oui, je l'ai mis en titre pour venir chatouiller les astrams atteints de diamétrite (je sais qu'ils sont nombreux) et je n'en ai toujours pas parlé. Je vais donc commencer par raconter mes observations avec ce géant d'acier. Il s'agit donc d'un dobson goto de 915mm de diamètre à f3.5 fabriqué par Fullum Optics. Vous en apprendrez un peu plus en consultant cette vidéo : Ce géant d'acier était clairement le plus prisé des deux soirées, forcément. L'engin impressionne avec ses treillis métalliques et sa finition "full black". De plus, la motorisation est rapide et le monstre pivote avec dynamisme, évoquant plus un obusier ou un dispositif anti-aérien qu'un télescope😆. Mais à l'oculaire alors ? Et bien, je dois dire que j'ai été un peu frustré. Le seul oculaire disponible dessus était d'une très grande focale, et j'ai fait l'erreur de demander de pointer M101 assez tôt : le fond de ciel était très clair et la galaxie ne ressortait que très peu. Plus tard par contre, par nuit noire, j'ai pu voir M110, la galaxie satellite d'Andromède, comme sur une photo ! Vraiment, vous tapez "Messier 110" sur google images, vous mettez l'image en nuances de gris et vous avez le rendu à l'oculaire. Petit passage ensuite sur M57, très beau avec des nuances de couleur visibles assez nettement dans l'anneau. Une belle expérience mais qui mériterait d'être prolongée avec des oculaires de plus courte focale !! Idem pour Saturne et Jupiter à la suite, l'image est superbe mais le ciel aurait permit de grossir bien d'avantage. Si ce n'est pas l'instrument qui m'a le plus marqué ce soir, je me suis laissé dire que pour les nébuleuses étendues c'est un autre monde, notamment les dentelles du cygne... Avec un peu de chance et le concours des copains, j'aurai peut-être l'occasion de tester plus longuement tout ça J'ai passé pas mal de temps avec un astram rencontré la veille qui s'occupait d'un C8 sur monture à fourche. Lorsque je suis arrivé, il pointait le double amas de Persée tandis que tout le monde pointait soit Saturne, M13, M57, M27 ou Albiréo. Je me suis dis "Tiens, ça change, voilà un homme de goût assurément" 😄. Le double amas rentre au chausse-pied dans le champ du C8 équipé qu'il était de son oculaire 30mm / 80°. L'image était très belle quoi que peut-être moins piquée qu'avec mon maksutov, avec m'a-t-il semblé un peu de diffusion sur les étoiles les plus brillantes. Néanmoins, le spectacle de cet objet est toujours superbe. Après un rapide tour sur Dumbell M27, qui en montre un peu moins que les dobson 300, je lui propose de pointer M8, la nébuleuse du lagon, en plein dans le sagittaire. Visible à l'oeil nu sous ce superbe ciel, je lui montre au laser et il la pointe avec facilité. Les principales étoiles de cette pouponnière son bien visibles et le voile de la nébuleuse ressort assez bien autour de l'étoile 9 Sgr. L'occasion de montrer cet autre type d'objet au public, moins spectaculaire certes que les classiques mais qui nous a permis de faire le lien avec la première conférence de l'après-midi sur les nuages interstellaires. Une passerelle très intéressant entre la science "dure" (même vulgarisée) et la "poésie" de ce délicat voile bleuté à l'oculaire. Le collègue pointe ensuite son C8 sur un amas globulaire que je ne connaissais pas : M71, l'amas de la pointe de la flèche dans la constellation du même nom. Une chouette petite concentration d'étoiles en limite de visibilité à l'oeil nu (je ne l'ai pas vu personnellement). Je lui montre à mon tour un amas que j'aime beaucoup, M10 dans le serpentaire. Ce dernier amas est très agréable à observer car même s'il est bien moins spectaculaire que M13, il est assez dense pour bien ressortir sur le fond de ciel et le C8 arrive à résoudre déjà pas mal d'étoiles dans ce bel objet. Le public a pu se rendre compte également qu'un amas globulaire pouvait ressembler à autre chose que M13 pointé par tous les télescopes et certains se sont étonnés de la diversité de formes et de tailles apparentes pour des objets "similaires". Durant ces observations nous avons discuté avec un couple de jeunes gens qui nous ont dit avoir ramené leur paire de jumelles TS Optics 25x100 mais ne pas oser l'installer car ils ne savaient pas s'en servir. Ni une ni deux, nous leur proposons d'aller les chercher et de les aider dans l'installation et leur montrer des choses très intéressantes avec leur instrument, offre tout à fait désintéressée bien évidemment... 😇 Un petit quart d'heure plus tard les voilà de retour et c'est parti pour l'installation de la grosse paire de jumelles sur leur trépied vidéo. Je n'avais jamais testé un tel instrument : quel pied ! j'ai vu avec ces jumelles ma plus belle galaxie d'Andromède. Le bulbe galactique est bien lumineux et l’ovoïde laiteux se détache très nettement sur une portion appréciable du champ (environ 2,5° je pense). Superbe. Nous leur montrons (et profitons 😎) également le double amas de Persée. Lui qui rentrait tout juste dans le C8 explose littéralement la rétine dans les grosses jumelles. Quel pied ! D'ailleurs la qualité optique m’apparaît excellente avec des étoiles parfaitement ponctuelles. Voir ces jeunes gens s'émerveiller pour la première fois avec leur instrument était un réel plaisir. Ils "complexaient" un peu d'avoir "seulement" des jumelles, fussent-elles grosse, par rapport à tous les télescopes présents. Nous leur avons montré que certains objets sont bien plus intéressants avec un tel engin qu'avec nos télescope. En tout cas moi, je suis conquis ! D'ailleurs, je suis tellement conquis par les jumelles d'une manière générale qu'avec le recul je crois que mon meilleur moment de la soirée a été le début, quand j'attendais qu'il fasse "vraiment" noir. Je me suis installé tout seul tout au bout du champ avec mes jumelles 12x60 hors d'âge dans une main, le "Guide des étoiles et planètes" de Delachaux et Niestlé dans l'autre et suis parti en voyage, à l'aide des cartes superbement précises du livre éclairées de ma lampe rouge, à la découverte des objets les plus remarquables de la Voie Lactée. Je débute mon voyage tout près de l'horizon et découvre pour la première fois les amas ouverts M7 et M6. Je remonte le fil de notre galaxie et tombe sur une amie bien connue, M8 ou la nébuleuse du lagon, bien brillante avec sa petite voisine du dessus, la nébuleuse trifide M20, plus délicate à déceler. Je remonte encore et tombe nez à nez avec M24, cet immense amas ouvert grouillant d'étoiles et me laisse happer un moment par sa richesse. Il est peut-être un de mes objets préféré avec des jumelles, mais se perdre parmi ses milliers d'étoiles avec un télescope à plus fort grossissement est une expérience tout aussi grisante. Je repère sur les cartes qu'à sa gauche et avant de tomber sur le petit "V" écrasé d'Albaldah, se trouve M25, un petit amas ouvert que je ne connaissais pas. En symétrie presque parfaite mais à droite de M24, je découvre également M23, autre amas ouvert qui se montre presque comme un amas globulaire dans le grand champ de mes jumelles. Je fais un moment des allers/retours entre ces trois amas quand je repère dans le bord inférieur du champ un amas qui m'a l'air bien délimité. Rapide coup d'oeil aux cartes : il s'agit de M22, amas globulaire de belle magnitude. Je poursuis ma remontée de la Voie Lactée et tombe avec bonheur sur M17, la nébuleuse Omega et la célèbre M16, nébuleuse de l'Aigle, belles tâches blanchâtre avec des étoiles visibles aux jumelles pour cette dernière. Sur la route je passe rapidement et sans m'en rendre compte plusieurs fois sur M18 ou amas du Cygne Noir, qui se perd aisément au milieu de la densité d'étoiles de son environnement. Initialement, j'avais pris Oméga pour M18 et M16 pour Oméga, et avait donc toutes les difficultés à trouver cette nébuleuse de l'Aigle. En montant toujours un peu plus le long de la voie lactée, j'en étais venu à discerner (surtout en vision décalée) un amas assez faible, en me disant que c'était bien faible pour la "célèbre" nébuleuse de l'aigle. Après consultation des cartes, l'erreur est corrigée et cette petite nébulosité est en fait NGC 6539, petit amas globulaire très peu visible, et je remets ainsi les nébuleuses à leur place . Ce voyage à travers la Voie Lactée sur plus de 25° de hauteur m'a occupé une grosse heure et demie et je m'en souviendrai certainement un moment. Il fut donc une superbe entrée en matière pour cette belle soirée d'observations et de partage, soirée qui a clôturé deux jours d'un voyage à travers notre passion commune. Merci à celles et ceux qui m'auront lu jusque là, j'espère que ce n'est pas trop indigeste j'ai écrit comme ça venait en me remémorant encore tout à fait ce superbe weekend Un grand merci aux équipes de Planètes Mars et au bénévoles du CAM pour leur gentillesse et leur disponibilité, et à l'année prochaine !!
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  19. Voilà ma dernière réalisation. Cela ne se voit pas mais c'est quelques dizaines d'heures d'ouvrage ... Reste la finition mais là, ce n'est pas ma tasse de thé. J'oubliais : il s'agit d'un Flextube de 14 pouces qui est destiné à une EQ8.
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  20. Bonjour à tous Voilà un nouvel essai avec mon petit setup Canon R6 + Canon EF 400 mm 5.6 , le tout équipé d'un filtre STC dual-band clipsé devant le capteur. 120x120 s , ISO 800 DOF GSS + NINA Traitement SIRIL (extraction Ha + OIII) + Photoshop Pas d'autoguidage (pour l'instant j'ai des soucis de paramétrage, j'aurai peut-être besoin de vous...) J'ai beaucoup de progrès à faire... soyez indulgents. Merci pour vos avis et conseils.
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  21. Lis bien les explications en début de post: effet visuel quand on regarde en direct la nébuleuse elle semble disparaître et si on décale un peu son regard, la nébuleuse semble réapparaître. Je parle bien du centre, pas de la corolle externe qui est bien plus faible. 😋
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  22. Noté, pas encore essayé celui-là. Faut suivre avec Pix, ya toujours un nouveau truc..!
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  23. Nouveau post traitement : j’ai poussé l’upscaling à 200% et décaler la couche rouge de 1 pixel dans 2 directions dans astrosurface parce que le réglage de l’ADC n’était pas parfait. Et j’ai mis un peu plus de luminosité. Ca transcende pas l’image mais c’est un peu mieux je trouve.
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  24. Bonsoir Oui, j'ai bien vu ton énigme, et commencé à débroussailler pour voir si je m'en sortais. Tout d'abord, bravo. Quel boulot pour cogiter un truc pareil ! Plus vite, plus fort, plus haut. C'est le moment !!
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  25. Bravo @olivierfred42, superbes tes animations 👍 Tu fais des acquisitions de quelles durées et à combien d'intervalles? De mon coté j'ai profité d'un ciel un peu plus dégagé pour faire un peu de solaire cet aprèm, avec le Daystar. Si demain le temps est aussi dégagé je referais quelques essais au C8.
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  26. en tout petits caractères : Forfait par abandon pour moi cette année amusez vous bien Gilles
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  27. Elle est superbe, le traitement très doux est au poil et les couleurs nickel 👍👍🙂
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  28. Belle image JM ! Couleurs équilibrées et pas de "rinçage" noiseX Tu n'as pas perdu la main, voire je dirai que ton oeil a changé et le traitement très bien comme ça !
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  29. Le forum d'en face et CN ont abordé le sujet plusieurs fois. Je me souviens que le prix du kit aux USA plus le transport plus douanes et tva finissaient par faire un demi-bras au total pour certes un gain de poids et, en partie un moindre encombrement du rocker, mais sans le transformer en dobson d'artisans. Si tu trouves du contreplaqué de peuplier tu peux bricoler en diminuant le poids, un petit peu le diamètre de la base de quelques cm et rendre cette base moins sensible à l'humidité que de l'agglo. Je pense m'y lancer un jour... Un jour...
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  30. On dirait une devise Shadock 😁
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  31. Cet homme est un génie,il arrive à faire clignoter les étoiles... Excellente prestation Seb,par contre je ne comprends pas comment tu as fais pour avoir les différentes luminosités de l'étoile,tu l'as décentré pour la prise de vue?
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  32. Voilà l'oculaire démonté. Sur la vue générale ou éclatée, il y a visiblement un redresseur (à gauche) et un oculaire (à droite). L'oculaire est vissant au pas 30.8mm. Le tube complet est coulissant au pas 32.3mm au travers du tube de la crémaillère. Tout est parfaitement usiné, propre et facilement démontable
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  33. Salut Seb Bien jolie cette nébuleuse, petite mais mignonne. Je comptais traiter les photos mais je pense que je dois renouveler mes darks et offsets. Cela fait presque 5 mois ou un peu plus que j'ai les anciennes. On peut les garder 6 mois mais je pense que je vais les refaire
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  34. Personnellement, maintenant je ne me prends plus trop la tête, si ça fonctionne, je ne cherche pas plus loin. je cherche toujours à résoudre les problèmes quand il y en a, mais quand il n'y en a pas je ne les cherche plus .
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  35. Allez une touuuute petite contribution, bien loin des productions ici. Observation d'une fourmi (soldat) sur l'île de Poros en Grèce 20240722_143814.mp4
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  36. Merci Julien Au moment des prises de vue elle rasait les pâquerettes, depuis elle reprend de la hauteur mais diminue en éclat , donc ça va continuer à le faire cette semaine je pense
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  37. Hello , j'ai l'impression que les filtres aujourd'hui permettent de presque s'affranchir de la lune . Il faudrait que je fasse des tests avec mon filtre ALP-T
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  38. le champ de vision est plus grand avec les 10x50 , mais le hublot d’observation l’est plus avec les 20x80. la galaxie M31 ne représente pas un ovale alors que oui avec les 20x80 M39, M29, M103 est bien visible au 20x80 et juste reconnaissable aux 10x50 par contre, ça tremble un peu moins avec les 10x50 mais j’en vois pas forcément plus (de détails) la pleine lune était plus belle avec les 10x50 et trop lumineuse au 20x80 mais c’est juste normal 🪐 n’est pas observable avec les deux jumelles car ça tremble trop ! comme je l’ai dit, en ciel profond cela tremble moins par rapport aux planétaires (exit la lune) le poids des 10x50 ou 20x80 ne m’a pas semblé d’une difficulté plus importante il suffit de bien caler ses mains et d’être assis confortablement. j’ai bien apprécié de basculer d’une paire à une autre et le verdict est sans appel , les 20x80 surclassent les pauvres 10x50 cependant, la différence n’est pas non plus astronomique ! tu verras un peu plus de détails sur les différents messiers et des étoiles plus lointaines invisibles aux 10x50. après tu n’es pas obligé d’acheter les Bruno plus de Levenhuk il y a les Celestron Skymaster 20x80 qui sont d’un bon rapport qualité prix j’ai les 15x70 que j’aime beaucoup aussi mais si tu dois partir sur une autre paire puissante, alors sans hésiter les 20x80 après tu peux toujours commander sur Amazon et si t’aime pas : tu les renvoies ! tu as 30 jours ! et le retour et gratuit
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  39. Ed Ting en a fait quelques vidéos (en anglais) :
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  40. Mais...c'est en anglais???????????????? Sinon, si tu retrouves celle de l'aficionado de Biden, for sure tu finis Secretary of State là bas. Pas de panique, l'actuel parle un français impeccable!
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  41. Bonjour, L'ennui avec ces solutions, c'est qu'avec un primaire à long F/D, elles imposent un secondaire de grande à très grande dimension et donc, génèrent une obstruction énorme. J'ai travaillé sur un JMI NTT25 Folded Newtonian (635 mm). Pour un primaire ouvert à F/D 5, le secondaire plan faisait 250 mm ! Son propriétaire qui l'avait acheté d'occasion, a fait retailler le primaire pour le ramener à F/D 3.2 ou 3.4 et maintenant ce JMI est un Newton classique. Si ce miroir à long F/D est vraiment bon, ça serait dommage de le faire modifier. Il pourrait être monté sur un instrument à poste fixe avec un secondaire adapté permettant une obstruction de 0.15. Un vrai "Planet Killer". En solaire, il pourrait aussi être très intéressant.
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  42. ma participation du 20 juillet ciel très laiteux ,nombreux nuages impossible de faire une animation longue Paul très faible celle là mosaïque à voir en full
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  44. Bonjour à tous, Voici mon scarabée Lucane cerf-volant pris sous d'autres angles toujours en macro : De coté : De dessous : Tête de dessous en rapport macro de 1/1 : Amicalement, FRanck
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  45. Bonjour, C'est pourtant très simple. Avant d'utiliser une caméra, il faut apprendre les bases au minimum de l'astronomie de position. C'est toujours utile comme avant apprendre à se servir d'une boussole. C'est à dire qu'ici, malgré l'ensemble des systèmes existants aujourd'hui (logiciels, Internet, applis...), il faut au moins que tu saches identifier les étoiles les plus brillantes du ciel (les repérer, les reconnaître en fct de la saison et de ta position sur Terre, ici hémisphère N, à une latitude moyenne de 45°). Ce peut donc être avec les applis et autres systèmes numériques, mais le plus simple est d'avoir une bonne vieille carte du ciel (différents modèles existent) sur laquelle tu auras le nom des étoiles principales des constellations marquées et que garderas tout le temps dans ton setup Astro. Ce sont ces étoiles là (en ce moment, Vega, Altaïr, Deneb, Regulus, Antares... qui sont aussi visibles même avec de la pollution lumineuse) qu'il faut utiliser pour l'étalonnage du matériel. Tourner le tube optique dans la direction, amener l'étoile déjà dans le chercheur (préalablement réglé de jour), puis dans un oculaire faible grossissement, un moyen grossissement éventuellement, puis un fort en dernier. Un oculaire réticulé peut aussi t'aider. Souvent les débutants se prennent la tête avec cette étape (ou même la passer et évidemment le Go-To est inopérant) alors qu'il s'agit juste d'une affaire de 5mn du moment qu'on a au moins fait l'effort de tourner la monture face au pôle N céleste, réglé à peu près la latitude du lieu d'observation et validé sur 2 ou 3 étoiles de référence. Cela suffit pour de l'observation visuelle et un suivi équatorial automatique. Après vient la caméra (pour la collimation ou le pointage, la mise en station...), l'imagerie... Dans l'onglet "Communauté", tu as la liste des clubs et assos sur la France qui pourront sans doute t'aider. Bon ciel.
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  46. si tu as les moyens, tu peux garder un dobson 300/1200 tube plein pret à etre sorti quand t'as pas le temps de mettre en place le 450 (demande ce qu'il en pense à @'Bruno )
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