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Hello, Un classique dont on ne se lasse jamais, la belle M31, déjà faite plusieurs fois, à différentes focales. Ici en grand champ avec la petite 50ED. Bien aidé par mon nouveau lampadaire à led thermonucléaire.... A cette époque là je n'avais pas encore mis le parasol pour en contrer les effets dévastateurs. Vous n'aurez qu'à admirer la brute pour vous en rendre compte.... Je vous dis pas la galère pour rattraper ça... La galaxie d'Andromède, également désignée M31 dans le Catalogue de Messier et NGC 224, est une galaxie spirale située à environ 2,55 millions d'années-lumière du Soleil, dans la constellation d'Andromède. La galaxie d'Andromède (NGC 224) a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)b dans son atlas des galaxies. Les infos: Lunette Skywatcher 50ED Evoguide (50/254) + correcteur de coma @ 270mm Player One Artemis-c imx294 + filtre Optolong L-quad Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 87 x 120s avec filtre Optolong L-quad Gain 120 capteur -10°C Traitement Siril, Pixinsight. une brute de 120s: Image moyenne de l'empilement avec le gradient qui se déplace de brute en brute et surtout après le retournement au méridien... J'ai fini par y arriver en automatisant le retrait de gradient avec GraXpert AI sur chaque brute, puis alignement et empilement. Le retrait de gradient simple polynomial d'ordre 1, utilisé couramment ne fonctionne pas ici, le gradient étant trop complexe (lune + mon copain le lampadaire), et les ordre 2,3,4 ne fonctionnent pas mieux.... Après un tel chemin de croix voici l'image sauvée du désastre...4 points
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MESSIER 2 ET LE QUARTET DE LA GRUE Bonjour à tout Webastro, Voici rapidement un petit bilan de l'observation faite le week end dernier. Au programme, Messier 2 et une partie du Quartet de la Grue, un groupe de quatre galaxies très célèbre dans l'hémisphère sud. Messier 2 tout d'abord : une nuit sans lune, un peu de buée tout de même, et de la turbulence modérée, mais ce ne fut pas trop gênant. Tout le monde connaît cet amas du Verseau ! Il culmine haut et brille de tous ses feux au C11. Splendide vraiment. Injustement négligé je trouve par rapport à d'autres... Puis une plongée dans le quartet de la Grue : un ensemble de quatre jolies galaxies. Trois entrent facilement dans le même champ. A 70X on voit les quatre. J'ai cependant grossi davantage, histoire de saisir quelques détails, sait-on jamais ! Voici une carte tout d'abord : Puis le dessin réalisé au C11 à 164x : Bon ciel à tous ! Gildas4 points
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Bonjour à tous, Encore une nouveauté pour moi, la fameuse trompe d'éléphant. Depuis le temps que je la vois passer sur les forums, il était temps pour moi d'aller lui rendre une visite amicale, espèce menacée sur Terre, dans le Cosmos aussi, il est le seul exemplaire.... IC 1396 est un amas d'étoiles situé à environ 3 000 années-lumière de la Terre dans la constellation de Céphée. IC 1396 contient la nébuleuse de la Trompe d'éléphant, une grande nébuleuse en émission qui fait 3 à 5 fois le diamètre de la pleine lune dans le ciel terrestre. La nébuleuse galactique IC 1396 a été découverte photographiquement en août 1893 par l'astronome Edward Barnard. L'astronome canadien Sidney van den Bergh a découvert une nébuleuse par réflexion sur les plaques photographiques du « Palomar Sky Survey » dans la trompe d'éléphant , qu'il a enregistrée sous le nom de vdB 142 dans son catalogue de nébuleuses par réflexion de 1966. Les infos: Lunette Skywatcher 50ED Evoguide (50/254) + correcteur de coma @ 270mm Player One Artemis-c imx294 + filtre ZWO DuoBand Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 109 x 300s Gain 120 capteur -10°C Traitement Siril, Pixinsight. une brute de 300s:2 points
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Hello les amis Cette année 2024 a été quelque peu clémente par rapport à l'an passé, j'ai eu la possibilité de sortir les filles. J'en ai également profité pour immortaliser ces moments et les partager avec vous. Bon visionnage TEST 4.mp42 points
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L’effet Akira Fujii L’effet ‘Akira Fujii’ en astrophotographie, est nommé d’après l’astrophotographe japonais Akira Fujii (1941-2022). Il consiste à rendre les étoiles principales plus brillantes et visibles, tout en laissant les étoiles plus faibles moins prononcées. Cela permet de mieux reconnaître les constellations, car les étoiles principales apparaissent comme de gros points lumineux, et leurs couleurs sont également mises en valeur. Akira Fujii a toujours préservé le mystère autour de sa méthode. À l’époque, la photographie étant exclusivement argentique, excluait tout traitement numérique. On pense qu’il utilisait un filtre de diffusion placé devant l’objectif pendant toute ou partie de la durée de l’exposition ou peut-être au moment du tirage des photos. Vous pouvez voir ses photos diffusées par David Malin. Aujourd’hui, on a deux façons de reconstituer cet effet, soit en le simulant numériquement, soit avec un filtre de diffusion dès la prise de vue. Simulation numérique Il existe de nombreux tutoriels pour simuler cet effet avec des logiciels comme Photoshop, Gimp, Iris… Je ne vais pas entrer dans le détail, mais le principe est de sélectionner les étoiles les plus lumineuses puis de leur appliquer un flou gaussien. Ce procédé n’est pas aussi simple à utiliser qu’il n’y parait et le rendu reste très artificiel. Utiliser un filtre physique Filtre du commerce L’utilisation d’un filtre physique de diffusion (type Mist) dès la prise de vue sera la meilleure façon d’obtenir un rendu naturel. Ces filtres créent une lueur autour des zones lumineuses, rendant les hautes lumières moins dures. Cet effet est particulièrement utilisé en photographie de portrait et au cinéma pour lisser les tons de peau et réduire l’apparence des imperfections. On les trouve dans les marques habituelles (Hoya, Kenko, Tiffen, Nisi, Cokin…). Les fabricants proposent généralement deux versions de filtres diffuseurs, les diffuseurs de type clairs (white) et sombres (black). Ils contiennent tous deux de minuscules particules intégrées dans le verre. Ces particules dispersent la lumière, réduisant le contraste et adoucissant l’image. La quantité de diffusion dépend de la densité et de la taille de ces particules. Filtres White Mist : Le verre contient des particules translucides, lui conférant un aspect légèrement dépoli. Ces filtres dispersent la lumière de manière uniforme sur l’image, créant une lueur douce et brumeuse. Ils sont souvent utilisés pour obtenir un effet onirique et lumineux, comme l’effet Akira Fujii recherché. On trouve ces filtres sous les noms White (Pro) Mist, Star Soft, Mist Diffuser White… Filtres Black Mist : Ces filtres contiennent des particules noires qui absorbent une partie de la lumière, réduisant ainsi la luminosité globale tout en la diffusant. Cela produit un effet plus subtil et sombre, avec des hautes lumières moins prononcées. Mais l'image est globalement assombrie ce qui est contreproductif en astrophotographie. Par conséquent, les filtres Black Mist sont moins adaptés que les White Mist. Ces filtres sont disponibles sous les noms Black (Pro) Mist, Mist Diffuser Black, etc. Il existe plusieurs niveaux de diffusion, à savoir 1 (le plus intense), 1/2, 1/4 et 1/8. Une diffusion plus élevée diminue la netteté apparente de l’image. Ces filtres sont toutefois coûteux, entre 30 € et plus de 200 € selon la marque et la taille. Ci-dessous, photo avec un filtre Kenko Foggy B (qui n'existe plus, remplacé par le Prosofton Clear dont l'effet est moins prononcé). Verre anti-newton : Il est également possible d’utiliser un verre traité « anti-newton ». Autrefois, ces verres légèrement dépolis étaient couramment employés dans les caches de diapositives, les porte-films des agrandisseurs, et les verres des rétroprojecteurs pour éviter les anneaux de newton (un phénomène de réfraction lumineuse entre deux surfaces en contact). Cependant, ils sont maintenant assez rares et coûteux dans des dimensions compatibles avec les porte-filtres. De plus, leur effet de diffusion est particulièrement puissant, on doit donc placer le filtre devant l'objectif pendant un court instant pendant la prise de vue ou combiner des poses avec/sans filtre. Bref, c'est pas pratique ! Filtre fait maison On peut créer son filtre de diffusion facilement. Plein de tutoriels expliquent comment faire, avec de la laque à cheveux, de la peinture en spray, en rayant un filtre au papier de verre, ou encore en tendant un film alimentaire étirable. Mais peu ont été éprouvées pour la photographie de nuit. Je retiens l’astuce d'appliquer une fine couche de particules diffusantes sur un verre. Pour le verre, j'ai utilisé une plaque de verre carrée ou rectangulaire glissée dans un porte filtre. Vous pouvez aussi utiliser un simple filtre UV vissé sur l‘objectif. Pour les particules, j'ai essayé de la laque pour cheveux et un spray de vernis acrylique. Pour avoir testé la laque et le spray de vernis acrylique, je trouve l’effet plus agréable avec la laque, mais le filtre est bien plus fragile car les gouttelettes de laque résistent bien moins aux frottements que celles du verni acrylique. Les filtres UV sont disponible à moins de 10€. Il faut qu'ils soient adaptés au diamètre de l’objectif. C’est la solution la plus simple mais aussi la moins versatile car il faudra autant de filtres qu'on a de diamètres différents. C'est pourquoi j'ai opté pour une plaque de verre minéral, de 10 cm de large et 2 mm d'épaisseur, que j'ai glissée dans un porte-filtre de 10 cm que j'avais déjà. Ces verres se trouvent facilement dans les cadres photo 10x15 cm pour moins de 2 €. On trouve des porte filtres de 10 cm de large, pour moins de 30€, avec des bagues adaptatrices pour les différents diamètres de ses objectifs. L'avantage c'est qu'on peut y placer d'autres filtres, par exemple des filtres dégradés, ou colorés... Normalement, la plupart des photographes de paysages ont déjà ce type de porte filtre. J'ai utilisé de la laque à cheveux en spray. Pour un résultat plus pérene (la laque est fragile), il sera possible d'utiliser un spray de vernis acrylique incolore mais je trouve que l’effet est plus agréable avec de la laque quand même. Dans les deux cas, la bombe de spray se trouve à moins de 10€. Pour un effet Black Mist, utilisez à la place du spray de peinture noire, vous pouvez même tenter d'autres couleurs, voire même des spray à effet pailletté (glitter) et pourquoi pas de la peinture phosphorescente ! Mais je n'ai pas testé. Pour appliquer le spray, placez le filtre sur une feuille de journal afin de protéger votre sol et vaporisez en pression très courte (juste un petit pschit, pas un pschiiiiiit) à en biais à 50-60 cm du verre (pas directement au dessus du verre). Le nuage de gouttelettes se dépose doucement et sèche rapidement. Répétez plusieurs fois en comptant le nombre de pulvérisations. La couche de particules doit être presque invisible, les gouttelettes ne doivent pas se toucher, mais juste être dispersées uniformément sur le verre. Voilà votre filtre est prêt à être testé sur le ciel : Si l'effet est trop fort, nettoyez la plaque et recommencez avec moins de spray (d'où l'importance de compter les pressions). Si l'effet est trop faible, ajoutez quelques pressions de plus. Étant donné le coût minime des plaques de verre, vous pouvez en fabriquer plusieurs. Vous pouvez aussi masquer un tiers de la plaque pour pulvériser le produit uniquement sur une section orientée vers le ciel, mais pas sur le paysage (Nisi propose un filtre similaire - Star Soft, vendu à 150€ !). Le test J’ai utilisé une plaque de verre provenant d’un cadre 10x15 acheté 1€ chez Leroy Merlin. Pas la peine de poncer les bords, ceux ci étaient déjà arrondis. Mais dans certains cas, il faudra poncer les bords avec du papier de verre P600 pour éviter les blessures et protéger le porte-filtre. Je l’ai installée sur un porte-filtre de 10 cm que j’avais déjà (un Cokin NX, la plaque 100x150 rentre alors dans un cadre métal NX). Le spray est du gel fixant Vivelle Dop, celui que mon épouse utilise ! Voici comment la laque s'est déposée sur le verre (avec le spray acrylique, les gouttelettes sont bien plus fines, le dosage est plus compliqué). Photo de jour : l’effet est très convaincant, avec un aspect brumeux qui adouci agréablement la photo. Paysage urbain de nuit : l’effet est tout aussi efficace. Ciel étoilé : l'effet Akira Fujii est bien visible. Les deux clichés ont été capturés avec les mêmes paramètres (10 s, f/1.4, 800 ISO, f = 35 mm) et ont subi un traitement identique (balance des blancs, contraste et courbe). La diffusion atténue légèrement les étoiles les plus faibles, mais cela reste acceptable puisqu'un traitement approprié pourrait les rendre plus visibles. Les couleurs des étoiles, qui ne ressortaient pas sans filtre, sont clairement mises en valeur lorsqu'on utilise le filtre. Sans filtre Avec filtre1 point
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Si Stellarium connait, il faut aller dans affichage du menu latéral, puis ciel profond et cocher vdb1 point
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Merci wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_communes_de_France_dont_le_code_postal_ne_correspond_pas_au_département Philippe1 point
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Je vais essayer de répondre. La magnitude limite stellaire La magnitude limite à travers un télescope dépend du diamètre (surtout) et du grossissement (un peu), mais aussi des conditions d'observations : transparence, humidité, etc. Ce qui est sûr, c'est qu'on peut calculer la magnitude limite à travers un télescope (ou lunette) en fonction de la magnitude limite à l'œil nu : m(télescope) = m(œil) + 5 log(diamètre télescope / diamètre œil) Exemple : m(T 150) = m(œil) + 6,8 (j'ai pris comme diamètre de l'œil 6,5 mm) Attention : C'est seulement valable pour l'observation des étoiles. Ce n'est pas précis car nos yeux ne sont pas des télescopes (les verres ne sont pas les mêmes...), ce n'est pas exactement comparable. Donner une décimale est probablement abusif, je pense qu'on ne peut pas faire mieux que la 1/2 magnitude près. C'est valable avec la même pupille de sortie, donc au grossissement équipupillaire. La magnitude limite dépend de celle à l'œil nu (c'est là qu'intervient le niveau de pollution lumineuse), il ne faut donc pas dire qu'un télescope de 150 mm atteint une magnitude 13,8 mais que, si l'œil nu voit la magnitude 7,0 alors il atteindra 13,8. En augmentant le grossissement, on améliore légèrement la magnitude limite, de presque 1,0 unité à mon avis. Exemple pratique : j'observe en ville avec une magnitude limite de 4,5 (petite ville) et un télescope de 150 mm. D'après le calcul plus haut, je peux espérer atteindre 4,5 + 6,8 = 11,3 au grossissement équipupillaire, donc un peu plus de 12,0 avec un grossissement optimal. Mais seulement sur les étoiles. La magnitude de surface Pour le ciel profond, je préfère l'exprimer en magnitude par minute d'arc carrée, parce que la grande majorité des objets du ciel profond ont des dimensions qui s'expriment en minutes d'arc (exception : les petites nébuleuses planétaires, les très grandes nébuleuses, les nuages de Magellan...) et aussi parce que le Night Sky Observer's Guide utilise cette unité. Voici quelques ordres de grandeur utiles à avoir en tête : Les galaxies ont des magnitudes de surface assez homogènes, en gros 12 = galaxie lumineuse (M51, M104), 13 = galaxie moyenne, 14 = galaxie peu lumineuse (M33), 15 = galaxie très faible, nécessite un excellent ciel (NGC 4236), >15 = challenge pour la haute montagne (naine du Lion, naine du Fourneau...) Pour les autres nébuleuses, c'est très inhomogène. Par exemple NGC 6210 est à moins de 10 (c'est une toute petite nébuleuse planétaire très lumineuse), mais les nébuleuses Abell sont souvent à 15, 16, voire au-delà... Dans les catalogues, les magnitudes surfaciques sont renseignées seulement pour les nébuleuses planétaires et les galaxies (et les amas globulaires, mais pour eux la notion utile est la magnitude des étoiles les plus brillantes), à ma connaissance en tout cas (si tu connais un catalogue pour les nébuleuses diffuses, j'achète !) De façon générale, je trouve utile de prévoir la visibilité d'une nébuleuse en la comparant à celle d'une galaxie. Exemple : si une nébuleuse planétaire est de magnitude 10,5 mais de magnitude surfacique 14,5, j'en déduis qu'elle sera aussi difficile qu'une galaxie peu lumineuse de magnitude 10,5, donc visible chez moi mais très faible. Pour les galaxies, la magnitude est un bon critère de visibilité, la magnitude de surface servant à la nuancer. Par exemple NGC 4236 semble aussi facile qu'une galaxie Messier, mais sa magnitude de surface indique une très faible luminosité, donc elle risque d'être difficile (voire invisible ?). Par expérience, en rase campagne j'observe des galaxies (lumineuses ?) jusqu'à la magnitude 13 au 200 mm, 14 au 300 mm, 15 au 500 mm. Mais c'est très faible ! Disons que la vision décalée est nécessaire à partir de 1,5 magnitude en-dessous, donc 11,5 au 200 mm, 12,5 au 300 mm et 13,5 au 500 mm. Quelque chose comme ça. Pour les nébuleuses planétaires, je trouve que le meilleur critère est V + SV (V = magnitude V (*), SV = magnitude surfacique V). Il faut trouver la limite en fonction de ses observations, mais on peut se baser sur l'observation des galaxies : je vois des galaxies jusqu'à la magnitude 14 au 300 mm, peut-être parce qu'elles sont lumineuses (SV = 12), donc V + SV <= 26. Il me semble que ça colle avec mes observations. (*) Je crois que tu as utilisé pour M95 et NGC 3628 des magnitudes B au lieu de V. En tout cas la « magnitude limite surfacique » ne dépend pas du diamètre du télescope, seulement du ciel. En gros, la pollution lumineuse rend lumineux le fond du ciel, celui-ci a donc une certaine magnitude surfacique (exprimée en magnitude par seconde d'arc, il me semble que c'est ce que mesure un SQM), et un astre doit avoir une magnitude surfacique plus basse (= plus lumineux) que celle du fond du ciel pour être visible. Voilà ce que m'inspire aujourd'hui ce sujet.1 point
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Je pense qu'il n'est plus de ce monde mais je me souviens d'un viel animateur astram rencontré à la ferme des etoiles à la fin du siecle dernier (j'ai oublié son nom mais il marchait avec une canne, avait un caractere de cochon et fabriquait de petits miroirs ) qui avait noté une vingtaines d'elements des telescopes 115/900 sur petite monture equatoriale dont on aurait dit que les ingenieurs avaient fait exprés pour compliquer sciemment l'utilisation de l'engin.1 point
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Bonjour. Je partage ma petite expérience personnelle, si ça peut servir. J'ai possédé un dobson de 300 mm, des newtons de 200 et 250, un c8, un Intes 180, diverses lunettes,... En planétaire, je m'éclate aujourd'ui avec une lunette 150ED car l'image est très nette et contrastée, je pourrrais dire très belle. Mais, dans mon souvenir, les images les plus détaillées que j'ai obtenues en planétaire c'était avec le 300mm, pas toujours bien sûr car plus sensible à la turbulence, et des images plus fades. Mais plus de détails certainement, notamment sur Jupiter. Le diamètre est essentiel pour obtenir des détails. Si en revanche on cherche comme moi de belles images et beaucoup de contraste, même moins détaillées, je pense que la lunette est le bon choix. Mais c'est précisément, comme toujours, une question de choix et de préférences. De site aussi, parfois. Sur une Eq6 une 150 mm tient largement en visuel. Reste le problème du budget...1 point
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très belle image !!! Le cœur est de toute beauté. ça doit bien rendre une plongé dans le centre avec une longue focale.1 point
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Un simple ircut est recommandé. D'autres filtres plus sélectifs ne vont rien apporter. Ce sont des nuages sombres, pas de type nébulosités en émission Ha/OIII par exemple. Pour que ça ressorte il faut poser et aller assez loin en traitement. Sur les brutes on ne voit rien à part les étoiles. Pour bien cadrer il faut se repérer aux schéma d'étoiles qui composent la silhouette du requin. Mais ça reste un beau challenge à faire il m'obsède toujours autant celui là, je l'aurais un jour, je l'aurais...1 point
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Bonjour @Allegro, Joli projet ! Je vous invite à prendre" touuuuuuuut" le temps de la réflexion et de surtout ne pas vous précipiter dans des achats a priori qui risquent fort d'être hasardeux et peu adaptés. En caméra planétaire performante, regardez les caméras équipées du capter IMX662 couleur. Chez ZWO la ASI662MC coûte moins de 200€. Le logiciel de Visuel assisté livré avec est déjà très utilisable tout autant en planétaire qu'en ciel profond. Votre Dobson de 250 mm en GoTo sera parfait pour un premier setup automatisé. Je pourrai vous expliquer comment faire arriver facilement sur le smartphone de vos invités l'image captée par la caméra installée sur l'instrument. Comme vous l'a conseillé @clouzot le logiciel SharpCap va vous rendre d'immenses services pour votre projet. Vous pouvez donc avoir d'une part ce dobson 250 mm automatisé qui suit seul l'objet que vous aurez choisi, le groupe regarde le résultat sur son smartphone pendant que sur votre 400 mm vous faites défiler un à un vos invités avec toutes les explications qui vont bien et les inévitables Waouuuuuuuuuuuuu qui arrivent. Je pense que vous avez fort raison de raisonner Visuel assisté dans le cadre de votre projet. En visuel pur c'est la pratique assidue sur un temps long qui permet par l'éducation de l’œil (en vison décalée), par l'apprentissage de l'observation furtive, par l'anticipation des mouvements de turbulence d'obtenir des résultats enthousiasmants, et ils sont de haut niveau. Dans votre situation, vous n'avez pas ce temps long pour vos invités. Aussi faire appel à la technique vidéo est une très bonne approche pour obtenir en un temps court un résultat certes moindre qu'en visuel pur qui ne vient qu'avec un très long temps. Vous multipliez alors les chances que telle ou tel de vos invités, avec ce premier acquis significatif soit contaminé par notre magnifique hobby, ce qui ne serait pas arrivé avec un visuel pur court. A mon sens vous n'avez pas besoin d'acheter pour l'instant un autre instrument, tout au plus vous pouvez surveiller les petites annonces pour remplacer sans précipitation votre 250 mm par un 300 ou un 350 mm. Pour vous aider à bâtir votre projet voici un simulateur de setup qui vous montre les résultats obtenus avec de multiples combinaisons instruments - caméras - oculaires - barlow pour le planétaire et le ciel profond. Cela va beaucoup vous aider. Lorsque vous aurez arrêté votre choix instrument/caméra je vous montrerai comment choisir la bonne barlow pour le planétaire : http://astronomy.tools/calculators/field_of_view/ En planétaire vous n'avez pas besoin de table équatoriale pour le suivi, la monture altazimutale suffit en visuel pur ou assisté et même en astrophoto classique. En ciel profond vous pouvez éventuellement l'envisager pour le visuel assisté, mais de manière certaine pour l'astrophoto. Vous avez ici un modèle DIY réalisé en partie en impression 3D, donc qui respecte précisément la géométrie des pièces courbes de roulage de la table : Enfin pour vous aider dans votre réflexion vous ne pouvez pas faire l'économie d'une exploration fouillée de la chaine astro de notre ami @CDLC : https://www.youtube.com/channel/UC5g8Al9qudpppMqJcV26XGQ , c'est une mine d'or. N'hésitez pas à revenir avec vos questions. Enfin merci pour le compliment délivré dans votre premier post, il est d'une élégance rare. J'en reçois avec plaisir et remerciements ma toute petite part. Ney1 point
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Bonjour, peut être voir pour les personnes avec un handicap, un newton de bon diamètre sur une equatoriale c'est déja pas simple pour tout le monde, mais c'est encore moins simple en fauteuil pour acceder à l'oculaire Arnaud1 point
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j’ai pu essayer cette version cette nuit, RAS, pas de déconnexion.1 point
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Bonjour tout le monde. Je pense que nous sommes nombreux et nombreuses à avoir remarqué que, hier soir, c'était LE soir 😄 Dans une saison à la météo plus que mitigée (une année même), qu'il est agréable d'être gratifié d'une nuit claire un samedi, et sans Lune ! Du coup, j'ai installé le Maksutov sur ma terrasse en fin d'après-midi et je me suis préparé une programme d'observation assez minimaliste : Saturne bien sûr, M30 dans le Capricorne et tenter de trouver NGC 7293, la nébuleuse Hélix. Le but principal de la soirée est de tester le matériel : nouvelle raquette de commande des moteurs ( @chrismlt : ça marche de nouveau c'est bon !) et deux filtres Explore Scientific : UHC et OIII. 21h30, une fois la petite famille couchée, direction donc... la valise de vêtements d'hiver ! C'est que le Mistral souffle encore et va souffler toute la nuit, il s'agit de revêtir l'équipement de circonstance : la tenue de ski Et pour ne pas avoir froid aux pieds, une paire de grosses chaussettes en laine dans les pantoufles. Me voilà paré ! Direction donc la terrasse cette fois, et le temps de m'habituer à l'obscurité (toute relative, mes voisins regardent la télé toutes lumières allumées, les rideaux bien ouverts...) je m'installe à la table avec ma carte rotative, ma lampe rouge et mes jumelles. Le premier constat est sans net et sans appel : qu'est ce que je connais mal le ciel d'automne... ! Je suis incapable de reconnaître les constellations qui sont au sud. J'ai un mal fou à me repérer. La seule étoile que j'identifie formellement est Fomalhaut, basse sur l'horizon comme toujours. Deuxième constat : Fomalhaut est la seule étoile visible au sud sous 20° ou 25° de hauteur, les autres sont complètement noyées dans ce qui semble être une bouillasse lumineuse bien dense... Aux jumelles, ce n'est gère mieux. Ça ne va pas être simple de se repérer ! Pour pallier ma frustration, un petit coucou à Saturne, facilement repérable, elle ! Elle turbule pas mal et est un peu empâtée, mais je vois qu'au nord et à l'ouest le ciel est vraiment clair et limpide, et le Mistral souffle toujours... C'est bon signe, il y a de bonnes chances qu'il chasse la bouillasse atmosphérique, suffit d'être patient. Et donc pour patienter, me voilà à étudier le ciel pour repérer des bouts de constellations, des astérismes, qui me permettraient de me localiser et donc de localiser mes cibles de ce soir. J'ai passé un très long moment à ce petit jeu, facilement plus d'une heure, en faisant des allers-retours entre mes cartes, les jumelles et le télescope. L'heure avançant, l'horizon sud devient plus accueillant et je repère, même à l'oeil nu, bien plus d'étoiles. Une fois pris quelques repères, je pars donc en chasse de M30, amas globulaire dit "de la méduse". En partant Deneb Algedi, la pointe du Capricorne, je descends et tombe sur deux étoiles de 4mag, prolongeant la ligne les reliant je tombe sur un astérisme en forme d'arc de cercle très marqué. Il faut repartir sur la gauche sous cet astérisme et deux étoiles (mag6 et 5) sont remarquables : l'amas se trouve tout contre l'étoile de mag5. C'est un tout petit amas, mais il est assez bien défini malgré sa faible hauteur. La transparence du ciel ce soir est finalement très bonne, et le contraste à l'oculaire est intéressant, malgré toujours mes indélicats voisins (enfin, ils ont bien le droit de regarder la TV... ils ne peuvent pas deviner que je suis sur la terrasse...). De méduse, je ne saurais dire quel trait physique M30 a récupéré. Je lui trouve nettement une forme de flèche ou de coin. Il est en tout cas assez intéressant et j'essayerai de le détailler au 300 lors d'une prochaine sortie. En tout cas, voilà mon 73ème objet de Messier validé L'horizon sud étant maintenant bien propre, il est temps de chercher Hélix ! A ce stade, je ne savais pas encore si elle était visible ou non dans mes conditions d'observations. Je m'étais donc dit que j'allais identifier le champ sans ambiguïté et que... je verrai bien ! Je m'étais donc préparer un cheminement à partir de Fomalhaut : en montant à la verticale je tombe sur un alignement de 3 étoiles, qui prolonge cette verticale que je suis toujours tombant ainsi sur un astérisme remarquable : six étoiles formant un ovale enchâssé dans un "crochet" d'étoiles plus brillantes. En prenant la ligne tracée par les deux étoiles du haut du "crochet", je la prolonge en visant un poil au sud jusqu'à tomber sur un autre alignement de trois étoiles, remarquable car deux étoiles du bas sont de mag7 et la dernière de mag5. La nébuleuse Hélix est censée se trouver là, tout à côté. J'identifie le champ, je suis sûr de mon coup. Je me concentre et reste un moment à l'oculaire de 38mm (entre temps, les voisins ont éteint la TV, il fait plus sombre !), et j'ai l'impression, fugace et extrêmement timide, qu'il y a quelque chose. M'attendant initialement à un échec, me voilà un peu grisé : vite, je passe le filtre OIII. Je remets l'oculaire en place et là, miracle de la physique, la nébuleuse apparaît ! Elle prend une belle part du champ, elle doit être énorme ! Elle reste ténue et je n'en décèle que peu de détails : je la définirais comme une bouée, pincée sur deux côtés. Le dernier dessin de @adamckiewicz (qui m'a d'ailleurs donné envie de tenter cette cible, merci !) est assez représentatif de ce que j'ai vu, mais il faudrait le passer sous photoshop et baisser à foooond le contraste et la luminosité 😄 . Je suis content, ce filtre OIII semble fonctionner, et d'ailleurs petit aparté : ce filtre OIII est un Explore Scientific, la version "de base" à 100 et quelques euros. Il existe une autre version, autour de 250€ je crois, beaucoup plus restrictive à 6,5nm de largeur de bande. Pour le miens, je n'ai pas trouvé d'information concernant la largeur de bande. Ce que je constate à l'oculaire : malgré une utilisation sur un diam150, le champs conserve beaucoup plus d'étoiles qu'avec le filtre Lumicon que l'on m'avait prêté... et ce sur mon 300 ! Je trouve du coup qu'il est plus facile de faire la MAP avec le ES et que le rendu global de l'image est plus sympa. A tester sur le 300, et à l'occasion je ferai un comparatif avec le Lumicon, même si je suis à peu près certain que ce dernier donnera de meilleurs contrastes dans l'absolu ! Je l'ai trouvé parfois difficile à utiliser, car très restrictif. Petit test rapide ensuite sur les dentelles du Cygne. Le filtre toujours en place, je pointe 52Cygni et la partie acérée du voile ouest apparaît bien nettement, avec un beau champ étoilé. L'image est très chouette. Je remplace par le filtre UHC, la nébuleuse se fait ténue mais est toujours là, plus d'étoiles sont visibles. Je garde ce filtre et me dirige vers M27, la nébuleuse de l'haltère, qui pour moi sera toujours "le trognon de pomme". La belle nébuleuse planétaire est parfaitement nette, bien sphérique, plus qu'avec le filtre OIII d'ailleurs, qui fait mieux ressortir les "encoches" du trognon de pomme. Je réalise que même après avoir observé récemment et souvent cette cible avec le 300, je ne suis absolument pas déçu de ce que je vois à l'oculaire depuis chez moi avec un 150... Si l'aspect est moins spectaculaire, l'émerveillement lui est toujours le même 🥰 La belle Saturne arrive au méridien maintenant, il est près de minuit, largement temps d'aller l'ausculter. Je passe l'Explore Scientific 11mm/82° et boum, l'image apparaît, nette, ciselée, contrastée, superbe ! Un vrai régal pour les yeux. Je l'observe pendant de longues dizaines de minutes, en alternant entre 160x et 270x. L'image turbule un peu, lentement, avec des dégradations soudaines par moment, des flashs de netteté "photographiques" à d'autres. Je confirme des apparitions fugaces de la division de Cassini, les encoches noires entre le disque et la planète sont visibles en permanence. Je compte 4 satellites : Titan et Japet de part et d'autres, très lumineux, Téthys et Rhéa côté Titan, Dioné côté Japet. Le disque se découpe sur le globe planétaire, mais je ne distingue pas son ombre projetée. L'atmosphère planétaire présente de belles nuances, avec des tons grisâtres dans son hémisphère sud. Avant de remballer, je termine par une petite balade aux jumelles : un rapide coucou au double amas de Persée et à la galaxie d'Andromède, toutes deux visibles à l'oeil nu ! Je crois que c'est la première fois depuis ma terrasse. Le spectacle est toujours aussi saisissant... Quelle délice... Vivement la prochaine ! Merci de m'avoir lu, bon cieux à toutes et tous, Geoffrey1 point
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Bonsoir, Je n'avais jamais tenté VDB 141, le Fantôme de Céphée (mais je trouve qu'il sont plusieurs en fait...) ! C'est chose faite le 30/08+31/08 derniers. Faite avec l'Askar 103 et caméra Altaïr 26M sur EQ6rpro 200*90" en L 50x90" chaque R/V/B Conservé environ 4.5h de L et 1h de chaque R/V/B Cible pas easy à traiter j'ai trouvé, du fait du bruit chromatique du fdc, va falloir que je creuse la question, c'est pas toujours limpide... pré-traitement Siril/Sirilic en Drizzlex2 Sous pix: StarALign + GradientCorrection + DynamicCrop Assemblage RGB + Solver + SPCC BlurX (dont un artefact pas vu vers les "mains du fantôme...") sur L et RGB NoiseX Pour la L Stretch EZStretch + StarX + GHS Léger HDR Recombinaison Starless+stars Pour RVB Stretch STF+Histo Ajustements Curves léger ImageBlend pour LRGB Export TIFF Ajustement PS dont un denoise StarPikes Export JPG Qu'en pesnez-vous, sans ambages ?0 point
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Répondu ! Et oui l'accessibilité dans le monde astro n'est pas top... Par exemple de mon côté en étant sourd profond, je ne vais pas forcément entendre les bruits parasites qui peuvent parfois se produire au niveau de la monture. Je ne vais que fonctionner au toucher afin de "ressentir" les variations s'il y en a. Ou encore les bips de certains objets (je pense notamment à l'asiair) qui possède une mini led heureusement pour m'indiquer si tout est ok0 point
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Si les nuages décident à ce barrer de mon côté, ça sera aussi une histoire de 👻 fantômes 👻 sur IC 63 bonne nuit à tous plein d’étoiles !0 point
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Hello, j'avais commencé à la dernière nouvelle lune le requin (LDN1235) et hier soir j'avais droit à une seconde chance. J'ai donc pu ajouter 5h avant l'arrivée des nuages en fin de nuit. Je cumule donc 9h sur ce requin dans mon centre ville (Bortle 6 je pense) C'est sans filtre car j'avais ajouté des heures avec L Pro mais c'était franchement pas terrible). Poses de 60s (j'ai un peu plus poussé : normalement je fais 30s sans filtre) sur Altair 26C au cul de la 76EDPH. Le tout sur l'AZEQ6 et guidage PHD2 + NINA au pilotage. Pré traitement Siril comme d'hab et Pix en finition (ici juste une montée GHS après blurX et un coup de noiseX) Pour un ciel de ville, je trouve que ça ressort qd même. Ce n'est clairement pas à la hauteur de certains mais vu mon ciel, je ne sais pas trop si je peux faire mieux même en augmentant les poses. J'ai trouvé ça plus difficile à contraster par rapport aux alentours de l'iris. Je ne sais pas s'il ya une notion de luminosité de ces nébuleuses afin d'essayer d'abord celles qui sont plus faciles ! Demain une nuit claire, je m'essaierais bien aux fantomes de @180Vision qui a sorti un champ vraiment cool sur ce genre d'objet. A+ Sam0 point
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Vous faites comment pour visualiser et choisir vos coordonnées ? Stellarium ne connait pas, Nina non plus... Je ne connais pas ces catalogues donc pas facile de trouver ce genre de cible... J'ai fait le champ avec l'iris de l'autre côté il y a 2 semaines donc je vais tenter ce côté là qui est fort sympathique0 point
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Chez moi normalement samedi0 point
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Fais installer un lampadaire à led dans ton jardin. Ça éclaire tellement que tu ne vois même plus les nuages 😜 Ce soir ça devrait se dégager, demain également. Sorry....0 point
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Même le docteur est désespéré et n'y peut rien pour moi, je l'ai envoyé en psychiatrie0 point
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Très beau travail ! Hâte de le voir débarquer sur l'App Store !0 point
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Sauf que le mien est branché en haut, sur les câbles. Je compte sur la chance, le vent et les vieux sacs poubelles qui traine par chez moi, on ne sait jamais0 point
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Bon je me rassure en me disant que vu le nombre de lampadaires à équiper, ils ont acheté les kits led sur Aliexpress et dans 3 mois ce sera déjà grillé....0 point
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Bof avec le parasol c'est déjà mieux depuis cette image0 point
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Je viens mettre mon grain de sel ou...de sable. Quand on lit ce que vous avez déjà, il y aurait de quoi y faire. Un 200-1000 sky watcher ou orion est bien suffisant pour capturer bien des détails planétaires. Cet engin doit supporter le minimum de précision optique cad un L/4 mini suffisant, voir mieux. Avec 25% d'obstruction, il fera aussi bien qu'un tube compact plus précis optiquement de même diamètre. L'avez-vous collimaté finement? On doit voir l'image typique de diffraction d'une étoile m:3,0 avec 300x déjà, étoile au centre du champs. Quand j'acquière un tube d'occasion, c'est la première manip que j'effectue pour vérifier ce minimum. Si on n'arrive pas à collimater un newton F5 autant se refuser le CC152mm, qui sera en occasion un machin à reprendre en alignement et décollimation. 80% des tubes d'occase sont à reprendre... Donc savoir le faire. Et puis, quoter la turbulence du moment, encore voir une image de diffraction avec 1,5D mini de grossissement. Autrement, on y parle de tout et de rien. Si on ne veut aucun problème, se diriger vers un questar 7" complet à 10000, aucun soucis. C'est un machin qu'on emporte en expédition pour un évènnement scientifique, collimaté aligné au départ, tout autant à l'arrivée après 1000k de nids de poules... Il est conçu pour ça avec son L/10 global. Pas besoin de pousser le bouchon aussi loin, le 200-1000 à 400 balles doit le faire, tube aligné, ciel 3-4-5/5 selon Danjon. Reste la bouse acquise, bien rare aujourd'hui, que l'on peut diagnostiquer très facilement, sur le ciel (sans se précipiter immédiatement sur une planète, il y a tant d'étoiles au zénith).0 point
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Bonjour Seb, Belle image d'Andromède ! Les couleurs sont superbes et la netteté est top comme d'habitude. Pour ce lampadaire de m...e, je suis vraiment consterné pour toi. C'est vraiment pas cool. Peut être aller voir le/la maire pour négocier un arrêt la nuit ? Faut faire des économies il y a dit le 1er ministre ! Amitiés, FRanck0 point
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J'ai eu un newton 150f/5 miroir industriel trié (courtesy of Agena) obstruction réduite à ~26% effectif (40mm pour le secondaire) dans un tube TAL. c'était bon mais pas exceptionnel. Si tu veux une solution pour faire du planétaire il faut ... beaucoup plus de moyens pour gérer correctement les réflexions et/ou lumières parasites pour maximiser le contraste. Ça coûte plus que 600€. Economise et vise le Mak 180 SW, là tu sortiras quelque chose qui est reconnu. Ou alors un Mak Intes (Alter ou Micro) d'occasion en f/12 ou f/15. Ça va chercher plutôt 800 à 1200€ (ça dépend si monture ou pas). En 6", c'est vraiment difficile de sortir du beau sur les planètes en réflecteur pur : minimiser l'obstruction est un casse-tête. Ça passe en catadioptre de marque (non parabolique) ou en réfracteur (mais ouille le prix) Et pour info le SCT en 6" ne m'a pas convaincue du tout...0 point
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Il suffirait donc de dévier un tout petit astéroïde vers la lune pour que la collision dégage de quoi masquer juste un peu le soleil et compenser ainsi le réchauffement planétaire. Merci à Roger pour cette idée de géo-séléno-ingéniérie qui fera enfin taire les sceptiques.0 point
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Au delà de l’achat de matériel, il faut vérifier ce qui pourrait clocher avec le matériel disponible : - formule optique / obstruction : tout va bien avec les newton cités - collimation correcte? À vérifier sur une étoile en grossissant à 3xD - miroirs à température ? : dé focaliser au max sur une étoile brillante ou planète, pour vérifier si l’air est pas trop agité devant le miroir - bafflage correct si tube ouvert? - grossissement adéquat par rapport à l’état du ciel? - planète suffisamment haute pour être observée sans souffrir trop de la turbulence et de l’effet de réfraction atmosphérique ( la planète paraît plus bleue d’un côté, plus rouge de l’autre) - qualité correcte des miroirs? Plus compliqué à tester mais on peut facilement vérifier au moins qu’il n’y ait pas de contrainte, pas d’astigmatisme. un mak 150 va avoir du mal à rivaliser avec un newton de 300mm pour peu que les conditions météo soient pas trop mauvaises… le suivi motorisé est une option, ca appoertera du confort et plus de facilité pour aller observer des détails. Un newton 200mm industriel a souvent une moins bonne optique qu’un c8 ou un mak industriel0 point
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Bonjour, Si j’en crois la rumeur, en photo planétaire il faut avant tout du diamètre. Et en visuel on entend aussi qu’il faut privilégier une obstruction centrale modeste. Les newtons sont bien placés pour ces deux caractéristiques. Qu’est ce que tu ne trouves pas adapté ?0 point
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Super, pas facile a faire ressortir les nebulosités autours, elle se confondent souvent dans le bruit.0 point
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fier est un grand mot... disons que je suis satisfait du résultat, mais je pense que l'on peut toujours mieux faire, je ne suis jamais certain d'avoir tiré le meilleur de mes brutes. Mais en effet, je trouve que c'est une belle image. C'est aussi la raison pour laquelle je poste mes photos, pour avoir un retour et les aces d'améliorations...😁 merci pour vos retours d'ailleurs !0 point
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En mode Hyperstar, le secondaire et le correcteur EdgeHD ne sont pas utilisés. Mais un Hyperstar est corrigé aussi. S'il y a cette dissymétrie, c'est sans doute que l'Hyperstar n'est pas correctement aligné, et ça se règle par sa collimation. Voilà, pas trop compliqué, on peut mettre un masque à l'ouverture principale (devant la lame du SC) pour réduire la largeur de l'anneau, ce qui rend le décentrage plus évident, mais l'important, c'est d'avoir une étoile pile au centre du champ. Les logiciels d'acquisition peuvent afficher un réticule pour être sûr d'être bien au centre.0 point
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PLACE AU ZENITH AVEC SATURNE ET HELIX Bonjour à tous, Une mise en ligne d'une jolie observation faite en début de semaine : celle de la plus que célèbre nébuleuse Hélix. Elle culmine haut dans le ciel réunionnais à cette époque de l'année et mérite bien un petit dessin. La capture d'écran se passe de commentaire à ce sujet : Le dessin a été réalisé à l'oculaire de 40mm et muni d'un filtre pour accentuer le contraste. Cette nébuleuse est en effet d'un diamètre imposant, et au C11 elle a vite fait d'occuper tout le champ si ce n'est le déborder ! Enfin Saturne, bien modeste ma foi, et tellement en deçà de ce que l'on peut obtenir avec un C11 mais en cette fin d'hiver austral, les alizés sont toujours de mise et la turbulence au rendez vous. C'est mieux que rien mais...bof bof ! De plus on voit que le globe est comme rainuré..Pourquoi je la mets en ligne au fait ? 🫣 Voilà c'est tout pour aujourd'hui en attendant une nouvelle veillée ce soir ! Gildas0 point
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Moi c'est surtout qu'un trépied aussi léger avec 25Kg de matériel dessus et une lunette avec un grand porte à faux je suis pas super rassuré. Je préfère monter ça sur le trépied de mon AZ-EQ6. Je compte acheter plus tard un autre trépied colonne lourd Artesky quand il sera compatible wave 150I et je revendrai mon AZ-EQ6 à ce moment là. La monture est commandée, sur papier elle semble parfaite, câblage interne donc plus aucun câble en mouvement, raisonnablement lourde pour le transport et mise en place, déverrouillage des axes pour l'équilibrage, belle capacité de charge, full compatible Asiair et syncscan via la raquette de mon AZ-EQ6 et via l'application sur smartphone en wifi, valise de transport. Reste à voir une fois à la maison la qualité du suivi....0 point
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Bonjour à tous, voici ma prise d'hier soir, en 118 x 120 s donc environ 4h. Un cadrage classique pour avoir les deux objets, et les poussières de céphée. Pas de filtre à part l'UVIRcut de la caméra. Un bonne nuit chaude, la dernière avant une période de nuages à venir. Merci pour vos commentaires 🙂 Pascal Lacerta 200/800 sur EQ6 R pro Correcteur starizona x0,75 Caméra ASI2600MC pro Guidage PHD2 sur lunette 225/60 et caméra GPCAM2-290C Nina – SIRIL – Pixinsight – BlurXterminator – Graxpert denoise - GIMP0 point
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Version 1.0.0
1 téléchargement
C’est avec grand plaisir que je vous dévoile ma toute nouvelle réalisation ! La nébuleuse de l’Amérique du Nord de son nom NGC 7000 Pour ma deuxième prise en astrophotographie et après des heures de traitement à découvrir différents logiciel je pense que je peux être fier ! APN : Canon 1100D Lunette : explorer scientifc triplet apo 80ed Monture : heq5 Goto Lights : 45x30s Darks : 26x30s Offsets : 26 ISO : 800 Traitement : siril/starnet + Darktable0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00