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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 10/22/24 dans toutes les zones

  1. Histoire du type qui voulait décrocher une comète Pas si facile de décrocher une comète, par les temps qui courent. Un mois que cela dure. Des nuages, de la pluie, de la pluie, des nuages. Matin, soir, midi, après-midi, nuit. Rien à faire, ou quasi. Comme depuis des mois. Ou alors à la sauvette, à la va-comme-j'te-pousse, entre deux masses grises informes. Un jeté de jumelles dans les nuées, et la boule floue a déjà disparu, impossible de la retrouver. Ou à travers les stratus, même, quand il n'y a plus que ça à faire. A travers le gris épais. Carrément. Alors quand une pause dans la déveine survient, quand une vraie pause s'annonce, avec des heures et des heures de bleu éhonté, suivies d'une nuit claire en perspective, sous un ciel transparent comme ça, on fonce à 200 à l'heure. Pas si facile de décrocher une comète. L'humidité, les basses couches atmosphériques, avec la crasse, le crépuscule, la nécessité d'un horizon bien dégagé. La montagne s'impose, histoire de ne laisser aucune miette au hasard. Mais pas n'importe laquelle. Pas n'importe où. La montagne, c'est sauvage, et il y a de la nature partout, qu'il faut prendre en considération, avec des arbres à perte de vue. Même que tu ne t'installes pas là où tu veux pour observer. Il y a du relief, des ravins, des sommets qui obstruent la vue, qui t'empêchent de viser la nébulosité que tu convoites, et aucun parking là où tu le souhaiterais. Les fonds de vallée sont terribles pour ça. Reste un col, hypothétique. Mais pas n'importe quel col, encore. Parce qu'un col, par définition, c'est entouré de montagnes, entouré de plein de montagnes, dans toutes les directions, qui bouchent la vue, inévitablement. Sans parler du vent, qui s'y concentre. Or là, ce qu'il te faut, c'est un azimut sans concessions, totalement dégagé, disons entre 230 et 280 degrés, très exactement, sans sommité en face pour te dégrader le panorama. Un à-pic de plus ou moins mille mètres ; un méplat résolument dégagé, du sol au plafond, juste devant tes optiques. Autrement dit, rien entre toi et la comète. Ni terres, ni eaux, ni air. Ni hommes, ni dieux. On est loin du col estival de base, avec sa boutique à touristes et sa part de tarte à la myrtille décongelée à 6.30€, dégoulinante de jus mauve, dont tu aimes à te lécher les doigts, en short et en tongs, en plein mois d'août. Une gageure. Sans blague : essaye de trouver un col qui soit un véritable balcon, accueillant par surcroît, avec une vue pile dans la direction que tu espères et, accessoirement, une belle et grande montagne dans ton dos. Essaye seulement, et tu m'en diras des nouvelles. Alors le col du Gourdon, dans le Diois, un peu à l'est de Bourdeaux. Va pour celui-ci, après deux heures de recherches dans tes papiers de grimpeur, ton énorme tas de Top25, tu parviens à t'en convaincre. Ou alors, juste en-dessous, pour faire bonne mesure. Moins de vent, panorama exactement dans l'azimut, avec un énorme kilomètre de roches dans tes arrières, qui fera barrière à la lumière gênante de la Lune, quand elle se lèvera. 860 mètres d'altitude : cela devrait aller pour ce qui est de s'affranchir des basses couches de l'atmosphère. Température frisquette, doudoune obligatoire. Soleil couchant d'anthologie. Les pieds dans le thym et la garrigue pagnolesque, que ça te nous conserve encore comme des relents de vacances un peu tardives. L'air qui embaume. Les parfums qui montent d'une après-midi chaude de fin d'automne. En altitude, l'hiver arrive vite. Déjà la fin de la belle saison, avec ses dernières brebis bêlantes qui, en contre-bas, ne sont pas encore descendues, ou qui ont été oubliées. Un dernier rayon ardant, puis c'est un éventail immense dans l'atmosphère enfin détendue, comme un soupir avant la nuit. 19h40, la chevelue est là, déjà visible aux jumelles, sur un fond de ciel encore bien bleu. Une sorte de petit V blanc jaunâtre, un peu incurvé, magnitude 4, peut-être, bientôt visible à l'oeil nu. Tu avais douté de sa visibilité même, à l'oeil non aidé, parce que si la comète avec été vue une semaine auparavant vers la magnitude 2, étincellante et inoubliable, dans la lumière horizontale à peine assombrie par la chute du jour, comme une Ingrid Bergman dans la splendeur de ses vingt ans, le temps avait fait oeuvre depuis - déjà, et l'astre s'étant éloigné du Soleil, il avait rapidement diminué en brillance. Six fois moins éclatant, à l'estime. Mais non. Elle est bien là, cela ne fait aucun doute. 2 à 3 degrés de queue, immédiatement, puis 4. Une vérification aux jumelles : l'astre en montre un peu plus : 8 degrés, que tu t'empresses de détecter également sans aucune aide optique. Puis le ciel s'épaissit, et tu en vois davantage encore. 12 degrés à l'oeil nu maintenant, en vision décalée, comme aux jumelles, avec lesquelles tu balayes lentement le ciel, de gauche à droite, pour en voir plus. Et peut-être même 15 degrés à l'oeil nu ; mais là, on entre dans le domaine de la subjectivité. Savoir si cette comète est plus spectaculaire que Neowise en 2020, ou pas … autre conjecture. Elle entre cependant aisément dans le groupe de tête, celui des comètes qui laissent une trace vibrante dans ton esprit, et que tu aimerais à pouvoir décrocher plus souvent. Halley, Hale-Bopp, Neowise, Et maintenant Tsushin. Hyakutake ? Non, pas Hyakutake. Trop terne dans ton souvenir. Le silence de la nuit n'est troublé que par le hululement du grand duc, là-bas, quelque part dans les buissons, et le pétillement discret des APN qui enregistrent la scène, à quelques mètres de là. Lunette, téléobjectifs, petites et grandes focales, microscope, radar, smartphone. Oeil et âme poétiques, profonds et mystérieux. La tête dans les lavandes et les herbes folles, le nez dans les étoiles, on croit pouvoir toucher une comète du bout du doigt. A peine si le froid de la nuit, le lever d'une Lune presque pleine, la rosée qui dégoutte et le brouillard ont prise sur tes rêves. C
    5 points
  2. Bonjour à tous. Voilà la petite dernière. Matos habituel: Monture AVX, zwo 2600mm, filtres Antlia 3nm, Newton 150mm f4. Environ 7h de pose par filtre pour un total d'environ 21h. Traitement: Siril, Topaze Denoise, Photoshop. Bon ciel à tous.
    2 points
  3. Bonjour à tous 😇 ... à L'observatoire CPAFO Phillipe Renaud à créé une mosaique de 4 panneau sur m31 avec un c14 en mode fastar 137x120s par panneau aquisition et prétraitement par Phillipe Renaud et traitement par moi meme si vous aimez, lachez un petit j'aime sur astrobin
    1 point
  4. On enchaîne avec le soleil! Ciel bien bleu ce matin!!!! la petite lunette crache enfin ses flammes, ça pète dans tous les sens, on peut grossir de façon éhontée (ethos 8 sur powermate 2,5x soir 130x) , un régal!!!! D'abord une vue d'ensemble à 9h30 : Bino sur powermate 2,5x (donc 2x avec le tirage de la bino) : 35x Puis on détaille la protu bien large du bas , délitement 11 sur la bino ( 75x) Et enfin la protubérance bien vive en haut , en poussant le grossissement à 130x en mono :
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  5. Salouté! Il y a quelques mois, je vous avais partagé mes dessins sur l’aéronautique et l’espace sur mon compte, et vous aviez été nombreux à les adorer ! Suite à cela, @Albuquerque m’as proposé de dessiner son monoplace! Un très bel avion dont j’ai adoré travailler dessus! j’espère qu’il vous plaira hihi! Ciao!
    1 point
  6. Merci Jorris 😉
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  7. Une protu qui a rapidement évolué cet après midi! (Bino 75x)
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  8. La dernière vidéo sur Yt d’astronogeek fait une parenthèses sur ce procédé
    1 point
  9. Encore et toujours la comète Tsuchinshan-ATLAS 😁 Elle a perdu en luminosité mais elle se couche maintenant nettement après le Soleil, donc visible quand le ciel est bien sombre . J'ai un peu foiré mon cadrage (trop bas) pour tenter une mosaïque... : Antlia UV/IR-Cut : 30x30" : ZWO Asiair Plus : Askar FRA600 f/3.9 : ZWO ASI6200Mc Pro : iOptron GEM45 : ZWO ASI290MM Mini & guide scope Omegon 50mm : Siril - PixInsight - Photoshop : env Lyon : Bortle 5.9 : 20/10/2024 La version full https://flic.kr/p/2qp9nrg
    1 point
  10. Bonjour @Léoo, Sur ce lien : https://ssi.rip/administration/precautions-elementaires/calculer-la-force-dun-mot-de-passe/ vous accéderez à l'ancien site de l'Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d'Information où vous trouverez un calculateur de la force d'un mot de passe sans avoir à le donner. Ce site est maintenant officieux (mais encore utile), le nouveau site est ici : https://cyber.gouv.fr/ mais je n'y ai pas trouvé le même calculateur. Il existe de nombreux sites qui vous proposent de calculer la force de votre mot de passe. Évitez les soigneusement dans la mesure où un certain nombre ne sont pas connus et sont tout simplement un piège pour récupérer votre mot de passe. En effet sans y réfléchir chacun spontanément met son mot de passe, le site l'enregistre ainsi que toutes les références de votre terminal comme son adresse IP, sa MacAdress, son mail utilisé comme identifiant. Vous connaissez la suite ... Si vous n'avez pas le temps de consulter tout ceci sachez qu'un mot de passe composé de 16 caractères, incluant chiffres et lettres minuscules et majuscules, complété par un ou plusieurs caractères spéciaux vous met à l'abri de l'attaque brutale par un supercalculateur. Lorsque j'étais en responsabilité voici ce que je proposais aux personnes de mon équipe pour créer leur mot de passe solide : Choisissez un mot connu depuis votre enfance (en effet sa mémorisation tôt dans la vie le protège beaucoup plus de l'oubli), un lieu d'habitation en langue locale ou en patois ou le nom de famille de votre grand-mère maternelle (il ne figure sur aucun de vos documents référencés), mettez les voyelles en majuscule les consonnes en minuscule (ou l'inverse) ajoutez le nombre d'années que vous avez habité là ou l'âge qu'avait votre grand-mère quand vous êtes né, terminez enfin par l'ajout d'un ou plusieurs caractères spéciaux (comme remplacer le "a" par un "@") et vous obtenez un mot de passe très très solide, facile à retenir même s'il est complexe car vous avez en mémoire sans effort la méthodologie de fabrication. L'essentiel est que votre mot de passe ne soit dans aucun "dictionnaire" de casseur de MdP (comme azerty789 par exemple) c'est par là que commencent les calculateurs de casse. Enfin évitez de mettre le même mot de passe sur tous vos points de connexion. Si un jour il est cassé, imaginez la catastrophe pour vous, banque, assurances, médical, etc ... Pour conclure l'espérance de vie d'un mot de passe ne doit pas excéder 1 mois. Aussi dans sa construction prévoyez deux chiffres pour le mensualiser ou l'anti-mensualiser (12 pour janvier, 11 pour février ... 01 pour décembre) Exemple : 17% PoNT@rLieRSuD%09 Ceci pourrait être le mot de passe d'une personne qui a habité dans sa jeunesse : 1) 17 ans = pour les deux premiers chiffres 2) à Pontarlier Sud placé entre % = Ville de sa jeunesse 3) 09 =mensualisation du mot de passe pour le mois d'Avril en anti-mensuel. C'est bien un mot de passe pratiquement incassable et pourtant facile à retenir grâce à des processus mnémotechniques simples. A titre indicatif il faudrait environ 1 000 000 années à un ordinateur de bureau ou environ 280 ans à un réseau d'ordinateurs spécialisés pour casser le mot de passe exemple ci dessus. L'intelligence artificielle viendra sans doute réduire ces temps en "profilant" l'utilisateur sur la base de ses publications, les réseauxciaux en particulier, afin de percer à jour ses schémas mentaux, ceux qui créent les mots de passe. Vous pouvez aussi utiliser des gestionnaires de création et de conservation des mots de passe. Si vous les stockez sur le cloud vous n'êtes pas à l'abri d'un vol de données par des hackers, si vous les stockez en local, une panne de votre ordinateur et c'est perdu. Chacun choisira selon ses critères. Vous pouvez contrôler que votre mot de passe n'a pas encore été volé. C'est ici : https://haveibeenpwned.com/Passwords Ney
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  11. Bonjour tout le monde, La question est souvent posée par les débutants (dont je fais partie, et je me la suis posée) de savoir : est-ce que ça vaut VRAIMENT le coup de prendre un dobson 300 plutôt qu'un 250 ? Il se trouve qu'hier soir avec un collègue du club nous avons pu comparer côte à côte les deux tubes : son Perl 250/1200 et mon TS 300/1500. Les conditions : Nous étions tous les deux exactement au même spot, à quelques mètres d'écart. Un bord de chemin de campagne en vallée du Rhône, pollution lumineuse très forte par la présence de la Lune à 96% d'illumination (mais cachée par une haie d'arbres hauts sur tout le début de session). Le seeing était bon. Les deux télescopes ont été sortis en même temps et étaient peu ou prou à la même température. Nous avons fait la collimation ensemble avec le même collimateur laser Omegon (que je n'ai pas lui-même vérifié, mais vu qu'on l'a utilisé pour les deux scopes...). Chaque objet a été pointé simultanément avec les deux télescopes et observé avec le même oculaire à tour de rôle : ES 28/68, ES 18/82 et ES 6.7/82. Nous étions trois observateurs : moi, ayant débuté l'astro "sérieusement" il y a deux ans, mon ami débutant de cet été mais très assidu, et sa compagne néophyte totale qui a déjà mis l’œil à l'oculaire quelques fois mais qui ne pratique pas seule. Plutôt une "consommatrice". Niveau logistique : Sans surprise, le 250 est très largement à son avantage. Déplaçable tout seul en un voyage sur quelques dizaines de mètres, à deux c'est un jeu d'enfant. L'ensemble est relativement lourd (+/- 23kg) mais assez compact donc pas de problème. Le 300 n'est pas déplaçable seul du tout, à cause de sont poids bien sûr plus élevé (+/- 33kg) et de son encombrement bien supérieur. A deux, il est déplaçable d'un bloc sur quelques mètres mais guère plus. Seul, il est indispensable de séparer la base et le tube. Et même comme ça, l'encombrement de ce dernier interdit de le transporter réellement, surtout de nuit ! C'est un peu comme si vous trimballiez un petit chauffe-eau. Là où le 250 autorise un peu de flexibilité, le 300 s'utilisera à proximité immédiate de son lieu de stockage / du véhicule qui le transporte. Avantage sans appel au 250. M103 : Le bel amas ouvert dans Cassiopée est rapidement repéré assez facilement à gauche de Ruchbah, le premier "creux" du W. L'image est superbe dans les deux télescopes à tous les grossissements. La couleur de la supergéante rouge centrale de l'amas est plus évidente dans le 300, mais parfaitement visible dans le 250 tout de même. En y prêtant attention, j'ai l'impression d'un léger gain de netteté dans le 300 par rapport au 250, dans les petites étoiles centrales, mais la différence est très ténue et je connais déjà bien cet amas pour l'avoir observé plusieurs fois. Mon collègue débutant percevra certaines différences seulement une fois que je les lui aurait fait remarquer, tandis que la néophyte n'y verra aucune différence. Objectivement, la différence de rendu à l'oculaire est minime : l'amas est splendide dans les deux instruments. M57 : Le bel anneau de la Lyre est très haut dans le ciel. Facilement observable dans les deux instruments. Avec le 28mm pas de différence notable. Au 18mm peut-être un peu plus de nuances dans l'anneau au 300. En grossissant assez fort avec le 6.7, la différence entre les deux télescopes est plus marquée. L'image est un peu plus contrastée dans le 300. C'est flagrant pour qui a déjà un peu d'expérience, à peine notable pour néophyte. M13 : Le célèbre amas d'Hercule... Toujours aussi splendide malgré la l'impact de la Lune qui commence à se faire gênant. Les deux télescopes offrent un superbe spectacle, mais ici le 300 sera avantagé dès les faibles grossissements : plus d'étoiles résolues dans le centre et en augmentant les grossissements, l'impression croissante de plongée au cœur de l'amas, sans réelle perte de contraste. Le 250 montre un centre de l'amas plus laiteux et moins résolu. C'est évident même pour la personne néophyte : effet "Wouah!" en passant d'un télescope à l'autre. Le 300 est là assez largement à son avantage. la Lune : Une fois notre satellite bien levé au-dessus des arbres, nous abandonnons le ciel profond et nous plongeons sur elle. Là très honnêtement, la différence entre les deux télescope nous est apparue presque négligeable. Peut-être un micro-poil de saturation en plus dans le 300 ? Mais ce n'est même pas sûr. A noter qu'à très fort grossissement, le 250 avec ses mouvements plus "raides" et son gabarit plus compact est plus agréable à manier : l'image tremble moins et il est évidemment moins sensible au vent. Nous terminerons la soirée sur deux étoiles doubles. Epsilon Lyrae : La fameuse "double double" à gauche de Véga voit sa E1 et E2 facilement séparées même dans le chercheur (elles sont écartée de 3'28"). Chacune d'elle se dédouble dans les deux télescopes en poussant le grossissement, mais la séparation est plus évidente dans le 300. Peut-être simplement dû à la focale un peu plus longue ? Polaris : L'étoile polaire, Alpha Ursae Minoris, est aussi une double. La composante principale, que nous connaissons tous bien, est bien plus lumineuse que son compagnon. Ce dernier apparaîtra de manière plus évidente dans le 300 mais reste bien visible dans le 250. Les deux composantes distantes de 18" sont bien séparées dans les deux instruments. En conclusion : Au final, que retient-on de ce test ? - un 300 en montre un petit peu plus sur presque tout les objets, et beaucoup plus sur d'autres. Cela mérite une soirée sur de la nébuleuse diffuse/étendue : c'est prévu pour une nuit sans Lune ! - un 250 en montre déjà beaucoup sur tous les objets du ciel nocturne. Même là où le 300 est largement avantagé, le 250 n'est pas en reste est le rendu à l'oculaire est déjà superbe. - le 250 se met en œuvre, de manière générale, beaucoup plus facilement. Il est plus pratique dans tous ses aspects. - nos deux télescopes ont été achetés d'occasion en très bon état. Le 300 a coûté exactement 2x plus cher que le 250... Avec le budget du 300, on peut acheter le 250 + les 3 oculaires Explore Scientific utilisés pour ce test... Du coup, lequel choisir ? Comme premier instrument ou seul instrument : sans hésitation aucune le 250. Il sortira bien plus souvent, pourra être embarqué presque partout sous de bons cieux bien noirs, et en montrera presque autant qu'un 300. Prenez le 300 si vous avez soit déjà un instrument de plus petit diamètre que vous utilisez souvent, soit si vous habitez déjà sous des cieux noirs et qu'il restera "à demeure" chez vous. Auquel cas, les questions à se poser sont de savoir "jusqu'à quel diamètre je peux monter?" eu égard au budget et au fait de vouloir ou non observer sur un escabeau. J'espère que ce test vous aura paru pertinent, et serai ravi de lire vos retours d'expérience ou vos avis tout simplement. Bon cieux à toutes et tous G.
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  12. Et voilà ca c'est fait ! Enfin une trouée de ciel dans le beaujolais et disponibilité personnelle..... plusieurs clichés de 15 ou 20 secondes au Lumix g80 objectif 25 mm ouverture 1.7 samedi vers 20h A peine visible œil nu en vision périphérique Ce soir si les conditions s'y prêtent je tenterai au Seestar
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  13. Peut-être la dernière image de la comète C/2023 A3 Tsuchinshan-Atlas avec un APN car elle s'éloigne très vite et elle perd bcp en luminosité. Sony RX10 IV, 48x10s + 35x6s. 1000 Iso f/3.5 Le 19/10/2024 de 20h à 20h30
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  14. Je suis d’accord. Il faut avant tout un bon PC fixe…
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  15. Et comme promis une photo pris au seestar hier soir
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  16. Voici mon premier traitement avec pixInsight
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  17. Image réalisée sans trucage (René Maltête) : Il y a 13,8 milliards d'années, quelques secondes avant la création de notre univers... "Tout est au point. Lançons ce Grand Collisionneur de hadrons et voyons ce qui se passe". "C'était mieux dans l'ancien temps"
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  18. pour moi il n’y a absolument aucun determinisme, aucune nécessite que ca apparaisse. mais quand on voit la difficulté a maintenir des assemblages moleculaires dans la durée en milieu aqueux je pense au contraire que ca ne peut se produire que dans des conditions tres precises et suffisement stables, et meme plus probablement une succession de conditions particulieres et de recettes pour avoir toutes les pieces du puzzle en meme temps au meme endroit, et aussi pas mal de chance pour que ca se maintienne assez pour pouvoir multiplier et essaimer. c’est apparu assez rapidment sur terre et trés probablement plusieurs fois (et disparu plusieurs fois aussi) donc ces conditions doivent etre assez classiques dans des mecanismes géologiques qu’on connait deja (type dorsale par exemple) mais a des endroits bien précis avec des conditions tres particuliéres, ce qu’on ne connais peut etre pas encore et c’est pas facile d’aller observer ou mesurer sur place. je suis un peu déçu, je mettais plein d’espoir dans la voie argiles donc la multiplicité de structures pouvait permettre d’avoir un semblant de codage et de traitement d’informations de facon minérale. je trouvais ca trés elegant pour passer de l’inerte au vivant. les argiles ont cette capacité a prendre une multitude de formes propres au codage d’infos, tout en ayant la solidité pour la concervation de des infos en milieu trés hostile, et tout en protegeant aussi la matière organique. enfin on est peut etre pas au bout de nos surprises
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  19. Bonjour, Comme DSS refuse de registrer sur la comète j'ai fait un essai en me contentant de 13 images au lieu de 41, ce qui divise pratiquement par 3 la dérive de la comète. Celle-ci n'a plus trop la gueule de travers et j'ai l'impression de ne pratiquement rien perdre sur les étoiles: Je ne sais pas ce que vous en pensez? Cordialement, Claude
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  20. Jolie série @viking asgard 👍 Je pense que tu fais un bon choix en baissant un peu la luminosité. Le rendu est moins "flashy" et tu y gagnes en naturel 🙂
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  21. Bonjour les ami(e)s, Je pense que je vais utiliser picolay j'ai regardé la documentation cela semble top ,pour le télécharger je vais attendre le départ des petits enfants c'est difficile avec eux . Il est possible avec mon microscope d'utiliser des filtres polarisants pour les objectifs 4X et 10X pour les autres il n'y a plus de places ....... J'ai aussi un condenser pour le réglage des lumières J'ai fait une petite vidéo d'un cheveu (blanc) en lumière polarisée l'objectif est de 4X avec un changement de position du filtre Merci encore Franck pour tes infos et les réglages que tu as fait pour l'améliorer l'image de la coupe du pistil c'est beaucoup mieux ainsi A bientôt Charles I
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  22. Visiblement non, c'est assez tolérant en visuel avec des oculaires. D'après les retours outre-atlantique il faut juste essayer à la place ou après le fût du renvoi-coudé, quelle position corrige le mieux. Ouais... Mais effectivement le budget est un peu hors de propos vu l'usage 😄 Je vous ferai un retour en tout cas, en espérant que la météo reste coopérative 🥲
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  23. Map : Mise au point
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  24. Merci pour les temps, je voulais attaquer le traitement des clichés mais avec le VVT j’abandonne avant d’avoir commencé. 😉
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  25. Non ça fait environ un an et demi que je fait de l astrophotographie mais c est mon premier traitement avec pixInsight La bulle est traité avec siril
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  26. J'ai bon pour la caméra, je prends, frais de ports offerts? sympa merci Bon on te charrie un peu, on est joueurs mais bien sympas tu verras, belle image dans l'ensemble, quelques petits défauts dus au matos en lui même. Tu en as d'autres des images? pour moi ce n'est pas ta toute première astro photo
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  27. Ok merci à tous pour vos réponses et conseils je regarde tous ça et je reviens vers vous pour d autre question plus tard Merci encore et bon ciel à vous tous
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  28. Ah l'enfoiré... C'est un homme sandwich... il fait 45 minutes de pub pour Unistellar Non finalement je reviens: bon, il est honnête: il le dit dés le début qu'il a un intérêt à faire cette vidéo donc on sait où on met les pieds... et sa comparaison avec le Seestar n'est pas dénuée d'intérêt
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  29. Salut Une ou deux soirées en club ( en plus de ce qui t'a été proposé au dessus ) pourrait être une bonne solution avant de casser la tirelire, le visuel c'est pas comme les belles photos vues sur le net Si le 22 c'est ton département, voir ici : https://www.webastro.net/communaute/clubs/pays/France/22
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  30. Son matos , vite dit ...on ne sait pas ce qu'il a
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  31. C'est le jeu des Milles Boules
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  32. Bonjour! Afin d' éviter des déceptions...en plus de consulter " astronomy tool" comme suggéré dans un post précédent, je conseillerais aussi , surtout pour les objets du ciel profond...d'aller voir des astro dessins...reflet fidèle du visuel à l' oculaire ( voir la galerie " dinastro", entre autres )
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  33. @'Bruno et @Skywatcher707 t’ont bien résumé la situation. Tu veux pouvoir faire du visuel et de la photo. Avec un budget de 550e le choix est très restreint. Un 150/750 sur eq3-2 peut faire le job, et il faudra s’en contenter. 550e c’est parfois le budget d’un seul petit accessoire dans une chaîne optique …… on a vu passer des photos avec un 15/750 et ça marche. Et en visuel tu verras bien si ça te plaît ou pas.
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  34. Je pense qu'il y a deux façons de choisir un télescope : − Soit tu as un projet précis, et tu choisis le télescope parfaitement adapté à ce projet. − Soit tu veux surtout découvrir le ciel, donc sans projet précis, et le choix du télescope n'est pas tellement important. Pour s'initier à l'astronomie sans trop « investir », il suffit d'un petit télescope de 130/900, ou d'une lunette de 90 mm, ou un petit Maksutov du même diamètre. Ce sont tous de bons instruments (s'ils proviennent de marques connues : Sky-Watcher, Orion, Bresser, Kepler...), si on aime l'astronomie on passera de bons moments. Pas besoin d'aller plus loin dans la réflexion. Le premier cas n'est pas fréquent quand on débute, mais il y a des débutants qui ont déjà bien réfléchi. Le plus souvent, on veut juste découvrir le ciel. StarLord22 : je pense que tu es dans le deuxième cas, c'est pourquoi j'estime qu'un Newton 150/750 d'entrée de gamme répond parfaitement à ton besoin. (Et c'est ce que tu pensais depuis le début.) Comme tu as un budget assez limité, la bonne question est surtout de savoir si tu tiens vraiment à l'astrophoto. Si tu laisse de côté l'astrophoto (quitte à la pratiquer plus tard avec un instrument dédié), tu peux acquérir pour le même prix un Dobson 200 mm ou peut-être 250 mm, qui offira des images plus riches, aussi bien planétaire qu'en ciel profond, en observation visuelle. À toi de voir : la possibilité de démarrer la photo va un peu te brider en visuel, mais ce n'est pas très grave je trouve. N'oublie pas que tu dois avoir un site d'observation. Ce point est parfois sous-estimé, donc si tu penses qu'il peut poser problème, parles-en.
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  35. Salut Papou Tu pourrais nous en dire plus sur cette image? Je pense reconnaitre la nébuleuse du Sorcier.... * télescope utilisé * caméra ou APN * exposition des poses * combien de poses au total Toussa quoi on veut tout savoir
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  36. On m'a fait remarquer une dominante violacée. c'est corrigé normalement
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  37. Sur Manosque ils éteignent la plupart des rues à partie de 00h00, en dehors des grands axes... Pour faire des économies supplémentaires, ils passent les ampoules au LED blanc... 😭 Je leur ai fait remarqué que pour la biodiversité, il faudrait qu'ils passent à une LED chaude, avec rapport intercommunal sur cette question à l'appui 😆 En espérant qu'ils suivent l'idée...
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  38. ...et la toute dernière ce soir avant retour en France !
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  39. Salut, après tous ces nuages, toutes la pluie, hier soir j'ai eu droit à une trouée entre 2 perturbations pour voir cette satané comète ! La voir est un grand mot car à l'oeil nu, je n'ai rien vu ! J'ai réalisé une première série d'image avec des nuages mais je n'ai pas encore traité. Une 2ème série un peu plus tard sans nuages apparent mais avec une comète plus basse dans la pollution lumineuse. J'ai opté pour une setup avec Samyang 135 et Altair 2600mc pro et des poses de 6s. Pas de guidage. Dans cette image j'en ai utilisé 50. Traitement assez classique avec juste un fond de ciel forcément pas génial entre la ville et le nombre de poses limité mais je l'ai eu et on voit l'anti queue 🙂 Je posterai plus tard la version avec nuages si je m'en sors ! Le ciel semble à nouveau se dégager donc peut être une autre série ce soir avec la même config A+ Sam
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  40. Merc pour les retours ! 🙂 Hier soir, 2ème trouée plutôt voilée encore. Même recette. J'ai juste laissé le vert après SPCC. je ne sais pas trop quelle palette est la meilleure. Dans la première version du 18/10, j'avais mis un coupe de SCNR. Mais le verdatre lui va assez bien et j'avais ça sur d'autres comètes. J'ai aussi bridé GraXpert qui se mélange les pinceaux avec la queue. Ca se voit dans la version d'hier avec du sombre autour de la queue Une idée ?
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  41. Elle était sympa au Seestar j’ai réussi à faire 2 soirées dessus, enfin, plutôt une soirée et demi 😅
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  42. Allez, j'ajoute la mienne vu que j'ai réussi hier soir à trouver un coin. Fuji X-T5 400iso 5x7s au 18-135 f/3.5 (à 18mm)
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  43. Bonsoir à tous, C'est avec un immense plaisir que je partage avec vous cette première image, réalisée depuis une lointaine et légendaire contrée. Ce projet a commencé à germer l'hiver dernier, une saison marquante pour nous tous, et qui a eu raison de mon moral... Au bout de quelques nouvelles lunes à ronger mon frein, j'ai donc pris la décision (probablement la meilleure depuis très longtemps) d'expatrier mon setup préféré sous des cieux plus cléments. J'avais déjà pu faire l’expérience d’un remote partagé en Espagne chez E-Eye, mais fois ci j'ai souhaité explorer, tant qu’à faire, ce qui se propose dans l'hémisphère sud. Apres quelques prospections, j'ai très vite été séduit par le gite de Raymond : La Hacienda des Etoiles, une structure à taille humaine aux tarifs raisonnables. Ce nom vous dit probablement quelque chose... pour ma part il m'a tout de suite parlé ! C'est en effet chez Raymond que sont installés, entre autres, la Janus Team et leur superbe télescope. Je remercie d'ailleurs Laurent Bernasconi pour avoir fini de me convaincre sur la qualité du site, et la gentillesse de Raymond ^^. Et quelques mois plus tard, le temps pour Raymond de construire un nouvel abri, je m'envolais vers ce pays mythique, les valises chargées de matériel. Je vous épargne les embuches et quelques roulés boulés vécus durant ce périple... L'essentiel est que l'installation s'est déroulée à merveille, et que mon séjour auprès de Raymond et Nadine fut tout simplement délicieux. Et maintenant place à l'image, Les Dragons Combattants de l'Autel Lien astrobin : https://www.astrobin.com/pdyrxz/ Lien vers l'image en pleine résolution : DRAGONS FULL J'ai choisi pour première image, cet objet emblématique de l'hémisphère sud situé dans la constellation de L'Autel. Un champs lumineux qui ne manque pas de signal, et pour lequel j'ai tenté d'obtenir un maximum de nuances, tout en preservant une dynamique naturelle. Il s' agit d'une composition en SHO-RVB, sur une mosaïque de deux panneaux, cumulant un total de 60H d'exposition. Materiel : Lunette : FSQ106Edx4 Monture : Astrophysics Mach2 Caméra : ASI6200MM En espérant qu’elle vous plaise ! PS : quelques photos du setup et de son nouvel environnement...
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  44. Canon EOS 100D avec objo 50 mm /20 sec Rien d'exceptionnel bien sûr, juste le souvenir. Enfin un ciel qui s'ouvre.
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  45. Je pense que l'apparition de la vie est le fruit du hasard et de la nécessité, référence au célèbre ouvrage de Jacob et Monod. Rajouter des dizaines de milliers d'années dans un milieu favorable (?) et ça finit par se produire. Il est fort probable que les cheminées hydrothermales, les flux gazeux, la panspermie depuis Mars, etc, ont tous concourrus au résultat.
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  46. La Comète C/2023 A3 (Tsuchinshan-ATLAS) depuis le Vercors (Pas de Boussière) le 13/10/2024 à 19h30. On aperçoit l'anti queue de la comète . 3x30s, Askar FR600 f/3.9, Asi6200Mc
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  47. La comète commence à monter mais n'est pas encore à son maximum, attendu dans 2 à 3 jours. Mais c'est la seule fenêtre de beau temps, qu'il faut aller chercher à hautacam. Le soleil se coche dans un beau ciel pur,, au dessus des montagnes avec le Gabizos. http://www.astrosurf.com/uploads/monthly_2024_10/670c4c8ccc648_DSCF2789couchersoleil.thumb.JPG.44134851e0e1d142aa87d2629d1452d5.JPG Mais avec une arrivée de nuages d'Espagne, qui font craindre un échec retentissant. Il y a là deux astram du club de Hautacam, et quelques curieux venus voir la comète « du siècle », vite découragés par les nuages malgré les conseils des astrams de rester encore, quitte à être montés, afin de se laisser une petite chance de voir cette comète. http://www.astrosurf.com/uploads/monthly_2024_10/670c4c93dc7d0_DSCF2805rrivenuages.thumb.JPG.87acb0e0adb41c2e619e53db2412885d.JPG Finalement, la comète se montrera, les nuages la laissant apparaitre dans une magnifique trouée. http://www.astrosurf.com/uploads/monthly_2024_10/670c4ca12b0ec_montagnesnaturelles16-9.thumb.JPG.5a81f6408af2a660e03d92ba0f4df6e2.JPG J'ai prévu d'effectuer à la fois une aquarelle de la scène, et un dessin du noyau et de la coma au télescope, ce qui va s'avérer difficile, d'autant qu'il faudra partager le dobson avec 6 autres personnes. L'image au télescope est belle, contrastée, limitée par la turbulence et l'effet de dispersion atmosphérique, qui seule me donnera une impression de couleurs.
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  48. Bonsoir, Elle est bien visible à l œil nu, environ une heure après le coucher du soleil. Ca rappelle des souvenirs! C était limite avec ces nuages qui arrivaient de l ouest. (J ai eu moins de chance pour l aurore, le ciel totalement bouché au nord) Région toulousaine 50D sur trepied 100mm (macro) 5s ouvert a 2,8 800iso
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  49. Bonjour Octeville-sur-Mer (76) le 10/10/2024 un peu avant 23h (21h TU). Voici le SAR (Arc rouge stable), qui se cache derrière les nuages au dessus des épaves des barges La Tortue, La Bécasse et La Grenouille. Un SAR n'est pas une aurore même s'il y est associé. C'est une structure optique visible dans la haute atmosphère subaurorale. Alors que les aurores sont créées par des particules énergétiques tombant du ciel et interagissant avec l'atmosphère terrestre, les arcs SAR sont générés par une énergie thermique et cinétique extrême dans l'atmosphère terrestre. Panorama réalisé à partir de 15 photos prises avec un Canon R6 mk II, un Sigma 14 mm f/1.8 Art, poses de 15 s, 800 ISO, f/2. Alignement manuel des images avec Autopano, puis un peu de Photoshop pour enlever les silhouettes floues des amis photographes du club Reflex d'Octeville et des artéfacts d'Autopano. A+ fred
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