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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 10/23/24 dans toutes les zones
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Bonjour à toutes et à tous, Cette année n'est décidément pas la meilleure pour nous autres astrams... Aujourd'hui le soleil était enfin de retour, j'ai donc profité de ma pause déjeuner pour imager rapidement le soleil. Voici un stack de 5 images faites avec un Sol'Ex Pro, une lunette TS-Optics de 80mm, diaphragmée à 55mm et une ASI178MM. Les traitements et stacking ont été réalisés à l'aide du mode batch de JSol'Ex. Voici l'image principale : Une version annotée avec la grille d'orientation : Le doppler, montrant en bleu les régions qui s'approchent et en rouge celles qui s'éloignent : Les protubérances, avec le doppler : Une version en négatif : Version colorisée pour les amateurs : Enfin, j'ai eu la chance d'être là au bon moment et de capturer une éjection de matière, mesurée à plus de 100km/s : Visible aussi en animation ici : Et voici le script que j'ai utilisé en mode batch pour obtenir les images : # # Performs stacking of several images processed in batch mode # [params] # banding correction width and iterations bandingWidth=25 bandingIterations=3 # autocrop factor cropFactor=1.1 # contrast adjustment gamma=1.5 gamma2 = 1.05 protus_stretch = 20 # doppler shift doppler_shift=3.5 cont_shift=37 [tmp] corrected = fix_banding(img(0);bandingWidth;bandingIterations) bluewing = fix_banding(img(doppler_shift);bandingWidth;bandingIterations) redwing = fix_banding(img(-doppler_shift);bandingWidth;bandingIterations) [outputs] decon=rl_decon(corrected) blue=rl_decon(bluewing) red=rl_decon(redwing) c=rl_decon(fix_banding(img(cont_shift);bandingWidth;bandingIterations)) [[batch]] stacked=stack(decon) stacked_cont=stack(c) stacked_blue=stack(blue) stacked_red=stack(red) doppler_base=linear_stretch(saturate(rgb(stacked_red;(stacked_red+stacked_blue)/2;stacked_blue);1.1)) # For negative image negative=invert(stacked) # A mask which has value 1 for pixels within the disk and 0 when outside mask=blur(disk_mask(stacked)) # The negative image, masked and contrasted masked_negative = auto_contrast(mask * negative;gamma) # Create a prominences image protus_neg=asinh_stretch(disk_fill(stacked);0;protus_stretch) [outputs] stretch=auto_contrast(stacked;gamma) details=draw_globe(draw_obs_details(draw_solar_params(stretch))) colorized=colorize(asinh_stretch(stretch;500;5);"H-alpha") doppler=draw_text(doppler_base;64;128;"Doppler " + doppler_shift + "px";32) protus=draw_text(asinh_stretch(disk_fill(stacked);0;10);64;128;"Protus";32) doppler_protus=draw_text(linear_stretch(disk_fill(doppler_base));64;128;"Doppler Eclipse " + doppler_shift + "px";32) conti=linear_stretch(stacked_cont) improved_negative=auto_contrast(protus_neg + masked_negative;gamma2) Bonne soirée !3 points
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Hello ! Je vous partage ma photo de NGC7635, il s'agit de ma toute première image avec une caméra monochrome que je viens d'acquérir la 533MM Pro. Je possédais déjà la version couleur dont j'étais très satisfait mais je voulais avoir l'occasion de faire plus J'ai essayé de me rapprocher d'un traitement qui reste en accord avec la photo prise par Hubble que je trouve sublime. Pour faire cette photo posé un total de 20h en LRGB SHO avec des filtres Antlia 3nm. Les détails d'acquisition sont disponibles sur astrobin Ca a été un plaisir de faire ce traitement, les couches en mono sont vraiment plus définies que ce soit en SNR mais aussi sur la séparation entre elles, on peut vraiment distinguer les zones de HA de SII et de OIII ce qui permet un traitement plus précis ! En détails : Newton 130 PDS à 618mm de focale Monture EQ6-R Pro Caméra ZWO ASI 533MM Pro Filtres Antlia SHO 3nm Filtres Antlia LRGB Serie-V (non pro) Prise depuis la banlieu Lyonnaise, le HA le soir de la pleine lune (off course...) et le reste proche de la nouvelle lune.2 points
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Merci @krotdebouk C'est une composition d'une image alignée sur la comète et d'une image alignée sur les étoiles. Comme il n'y a pas d'autres objets dans le champ, la manip est finalement assez simple.2 points
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Histoire du type qui voulait décrocher une comète Pas si facile de décrocher une comète, par les temps qui courent. Un mois que cela dure. Des nuages, de la pluie, de la pluie, des nuages. Matin, soir, midi, après-midi, nuit. Rien à faire, ou quasi. Comme depuis des mois. Ou alors à la sauvette, à la va-comme-j'te-pousse, entre deux masses grises informes. Un jeté de jumelles dans les nuées, et la boule floue a déjà disparu, impossible de la retrouver. Ou à travers les stratus, même, quand il n'y a plus que ça à faire. A travers le gris épais. Carrément. Alors quand une pause dans la déveine survient, quand une vraie pause s'annonce, avec des heures et des heures de bleu éhonté, suivies d'une nuit claire en perspective, sous un ciel transparent comme ça, on fonce à 200 à l'heure. Pas si facile de décrocher une comète. L'humidité, les basses couches atmosphériques, avec la crasse, le crépuscule, la nécessité d'un horizon bien dégagé. La montagne s'impose, histoire de ne laisser aucune miette au hasard. Mais pas n'importe laquelle. Pas n'importe où. La montagne, c'est sauvage, et il y a de la nature partout, qu'il faut prendre en considération, avec des arbres à perte de vue. Même que tu ne t'installes pas là où tu veux pour observer. Il y a du relief, des ravins, des sommets qui obstruent la vue, qui t'empêchent de viser la nébulosité que tu convoites, et aucun parking là où tu le souhaiterais. Les fonds de vallée sont terribles pour ça. Reste un col, hypothétique. Mais pas n'importe quel col, encore. Parce qu'un col, par définition, c'est entouré de montagnes, entouré de plein de montagnes, dans toutes les directions, qui bouchent la vue, inévitablement. Sans parler du vent, qui s'y concentre. Or là, ce qu'il te faut, c'est un azimut sans concessions, totalement dégagé, disons entre 230 et 280 degrés, très exactement, sans sommité en face pour te dégrader le panorama. Un à-pic de plus ou moins mille mètres ; un méplat résolument dégagé, du sol au plafond, juste devant tes optiques. Autrement dit, rien entre toi et la comète. Ni terres, ni eaux, ni air. Ni hommes, ni dieux. On est loin du col estival de base, avec sa boutique à touristes et sa part de tarte à la myrtille décongelée à 6.30€, dégoulinante de jus mauve, dont tu aimes à te lécher les doigts, en short et en tongs, en plein mois d'août. Une gageure. Sans blague : essaye de trouver un col qui soit un véritable balcon, accueillant par surcroît, avec une vue pile dans la direction que tu espères et, accessoirement, une belle et grande montagne dans ton dos. Essaye seulement, et tu m'en diras des nouvelles. Alors le col du Gourdon, dans le Diois, un peu à l'est de Bourdeaux. Va pour celui-ci, après deux heures de recherches dans tes papiers de grimpeur, ton énorme tas de Top25, tu parviens à t'en convaincre. Ou alors, juste en-dessous, pour faire bonne mesure. Moins de vent, panorama exactement dans l'azimut, avec un énorme kilomètre de roches dans tes arrières, qui fera barrière à la lumière gênante de la Lune, quand elle se lèvera. 860 mètres d'altitude : cela devrait aller pour ce qui est de s'affranchir des basses couches de l'atmosphère. Température frisquette, doudoune obligatoire. Soleil couchant d'anthologie. Les pieds dans le thym et la garrigue pagnolesque, que ça te nous conserve encore comme des relents de vacances un peu tardives. L'air qui embaume. Les parfums qui montent d'une après-midi chaude de fin d'automne. En altitude, l'hiver arrive vite. Déjà la fin de la belle saison, avec ses dernières brebis bêlantes qui, en contre-bas, ne sont pas encore descendues, ou qui ont été oubliées. Un dernier rayon ardant, puis c'est un éventail immense dans l'atmosphère enfin détendue, comme un soupir avant la nuit. 19h40, la chevelue est là, déjà visible aux jumelles, sur un fond de ciel encore bien bleu. Une sorte de petit V blanc jaunâtre, un peu incurvé, magnitude 4, peut-être, bientôt visible à l'oeil nu. Tu avais douté de sa visibilité même, à l'oeil non aidé, parce que si la comète avec été vue une semaine auparavant vers la magnitude 2, étincellante et inoubliable, dans la lumière horizontale à peine assombrie par la chute du jour, comme une Ingrid Bergman dans la splendeur de ses vingt ans, le temps avait fait oeuvre depuis - déjà, et l'astre s'étant éloigné du Soleil, il avait rapidement diminué en brillance. Six fois moins éclatant, à l'estime. Mais non. Elle est bien là, cela ne fait aucun doute. 2 à 3 degrés de queue, immédiatement, puis 4. Une vérification aux jumelles : l'astre en montre un peu plus : 8 degrés, que tu t'empresses de détecter également sans aucune aide optique. Puis le ciel s'épaissit, et tu en vois davantage encore. 12 degrés à l'oeil nu maintenant, en vision décalée, comme aux jumelles, avec lesquelles tu balayes lentement le ciel, de gauche à droite, pour en voir plus. Et peut-être même 15 degrés à l'oeil nu ; mais là, on entre dans le domaine de la subjectivité. Savoir si cette comète est plus spectaculaire que Neowise en 2020, ou pas … autre conjecture. Elle entre cependant aisément dans le groupe de tête, celui des comètes qui laissent une trace vibrante dans ton esprit, et que tu aimerais à pouvoir décrocher plus souvent. Halley, Hale-Bopp, Neowise, Et maintenant Tsushin. Hyakutake ? Non, pas Hyakutake. Trop terne dans ton souvenir. Le silence de la nuit n'est troublé que par le hululement du grand duc, là-bas, quelque part dans les buissons, et le pétillement discret des APN qui enregistrent la scène, à quelques mètres de là. Lunette, téléobjectifs, petites et grandes focales, microscope, radar, smartphone. Oeil et âme poétiques, profonds et mystérieux. La tête dans les lavandes et les herbes folles, le nez dans les étoiles, on croit pouvoir toucher une comète du bout du doigt. A peine si le froid de la nuit, le lever d'une Lune presque pleine, la rosée qui dégoutte et le brouillard ont prise sur tes rêves. C2 points
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Dans un ciel un peu moins nuageux, Tsuchi dans toute sa splendeur le soir du 18 octobre après le taf. EOS 90D + objo EF-S 18-135 mm ( à 18 mm + ouverture à 4.5 ). 81 poses de 10 sec à 800 ISO. No DOF(s). Empilement avec Sequator, traitement Darktable et GIMP, anim' via IrFanView et UnFreez. Ambiance ciel bleutée avec l'éclairage rasant de la Pleine Lune en lever sur l'horizon opposé.1 point
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On enchaîne avec le soleil! Ciel bien bleu ce matin!!!! la petite lunette crache enfin ses flammes, ça pète dans tous les sens, on peut grossir de façon éhontée (ethos 8 sur powermate 2,5x soir 130x) , un régal!!!! D'abord une vue d'ensemble à 9h30 : Bino sur powermate 2,5x (donc 2x avec le tirage de la bino) : 35x Puis on détaille la protu bien large du bas , délitement 11 sur la bino ( 75x) Et enfin la protubérance bien vive en haut , en poussant le grossissement à 130x en mono :1 point
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Ici c'est dédié à l'eVscope 😉 Je pourrai poster des résultats issus du Vespera Pro dans le groupe eVscope en face, cela ne posera pas de problème de type de télescope numérique, on est si peu nombreux.1 point
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Bonjour @StarLord22, Il manque davantage encore une idée précise de ce à quoi va principalement servir ce futur télescope. L'instrument polyvalent n'existant absolument pas, ignorer à quoi son utilisation est destinée ne permettra pas de former une réponse correcte. Si la réponse est "Je veux voir les planètes, mais aussi des galaxies, des nébuleuses et plus tard faire un peu d'astrophoto" je crois sincèrement que la réponse est quasi impossible à formuler. A chaque compartiment de notre discipline correspond un type d'instrument spécifique. Pour essayer de vous convaincre, je ne prendrai qu'un tout petit exemple en astrophoto. Si vous voulez astrophotographier des objets planétaires, il vous faut un rapport F/D le plus important possible dans certaines limites cependant, afin d'avoir une image de l'objet au foyer la plus grande possible. Cela est obtenu avec une focale longue. Comme ces objets sont lumineux, un F/D important ne gêne pas, le rapport signal/bruit sera toujours suffisant compte tenu de la sensibilité importante de nos capteurs en imagerie. A contrario, le jour (enfin plutôt la nuit) où vous voudrez faire de l'astrophoto du ciel profond il vous faudra un instrument presque à l'opposé. Comme les objets sont très très peu lumineux, il vous faudra un F/D le plus petit possible de manière à générer un rapport signal/bruit exploitable tout en maitrisant les temps de pose. Ceci implique alors une focale courte Bien sûr tout ceci est un raccourci quelque peu réducteur, mais c'est pour tenter de vous faire prendre conscience que sans savoir ce que l'on va faire, il n'est pas possible de faire un choix ou d'en préconiser. C'est pourquoi depuis que vous nous sollicitez, chacun tente de vous faire dire ce que vous souhaitez faire de votre premier instrument. Si vous cherchez un instrument qui fait un peu de tout, tout d'abord je ne sais pas si cela existe, mais ce qui sera sûr c'est qu'il ne fera rien de vraiment bien. Cela vous conduira à être plutôt déçu et de vite abandonner l'astronomie ce qui serait fort dommage. Aussi dans votre situation de très grand débutant, acceptez d'y aller étape par étape. je vous propose trois grandes étapes : Étape 1 : Commencez par du visuel pur avec un instrument facile d'emploi, vite mis en oeuvre et qui donnera dès le début de grandes satisfactions. Pour cela c'est le diamètre qui va compter 250 mm serait un choix judicieux dans votre budget sous forme d'un Dobson d'occasion. Cet instrument va vous permettre en un an ou deux selon l'intensité de votre pratique de découvrir le ciel, d'en apprendre les arcanes, les secrets, les merveilles aussi et surtout. Nul besoin à ce stade d'une monture équatoriale qui consomme beaucoup de budget et n'apporte que très peu. Étape 2 : Vous vendrez votre premier instrument pratiquement le même prix que vous l'avez acheté en occasion puis vous passerez au visuel assisté. Votre nouvel instrument sera toujours un Dobson mais cette fois un instrument informatisé avec un suivi motorisé. Vous acquerrez une caméra astro intermédiaire du type IMX 585 qui va vous montrer les planètes et le ciel profond sous un autre jour, si je puis dire. Les logiciels, le gain, les temps de poses, les empilements vont devenir votre quotidien ou presque :vous entrerez alors en douceur dans la troisième étape. Étape 3 : L'astrophotographie. Vous aurez déjà deux ou trois années de pratique et une bonne expérience à la fois du ciel, mais aussi des instruments, de l'électronique, de l'informatique, des traitements photo. A ce moment vous saurez exactement ce que vous voulez faire et vous serez devenu autonome pour faire le choix qui vous correspond, niveau de performance recherché, cibles privilégiées, et tant d'autres critères. Voilà une feuille de route que je vous propose. Vous pouvez bien sûr la modifier à l'infini, l'essentiel est qu'il en existe une pour savoir où l'on va. Sans cela il va nous être terriblement difficile de répondre. En effet vous parlez plusieurs fois d'un instrument 150/750 sur une monture EQ 3.2. Oui bien sûr mais pour quoi faire ???? En visuel vous serez limité par un petit diamètre et assez vite déçu. Vous aurez acheté une monture équatoriale qui présente d'emblée des difficultés aux débutants alors qu'elle n'apporte quasiment aucune valeur ajoutée à la pratique bien qu'elle aura consommé la plus grande partie du budget, ce qui est très dommage. En astrophoto, elle représente vraiment le minium minimorum et avec elle les résultats encourageants seront plus difficiles à atteindre. Comme je vous l'écrivais plus haut, ce setup n'a pas de point de performance spécifique et risque de vous décevoir parce que bon nulle part. Au risque de me répéter, choisissez aujourd'hui l'instrument qui correspond à votre niveau et à vos envies d'aujourd'hui. Demain sera un autre jour avec d'autres envies, d'autres besoins donc avec un autre instrument. D'autres avis viendront. Ney1 point
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Chez moi, l'astro, ce n'est pas en continu. C'est par période. L'hiver arrivant, je vais m'y remettre... 😉1 point
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Superbe capture @polorider ! Bravo !1 point
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Salut tous, Un petit coup de chance, ce soir, avec l'arrivée de ce que les Ricains appellent un "sucker hole". Quoi qu'il en soit, après un épisode cévenol dramatique, ce jour, la comète a bien voulu se montrer pour quelques minutes, avant le retour des nuages. Les éclairs ourlent l'horizon sud, au moment où je rédige ces lignes. On va ramasser comme il faut cette nuit. On est face à l'Ardèche, avec le haut Virarais et le plateau d'Annonay juste en face, sous les nuages, pour vous situer un peu. 100 à 200 mm d'eau dans la journée. C1 point
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en banlieue parisienne, hier soir et ce soir sont les deux premiers sans nuage depuis que la comète est visible dans l’hémisphère nord. - invisible à l’oeil nu, - dans le chercheur 9x50, on voit un point plus gros qu’une étoile, un peu diffus, - au C8, on voit le coeur entouré d’un halo. Le début de la queue est à peine discernable, diluée dans la pollution lumineuse. À 20h30 la comète passe derrière l’immeuble.0 point
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https://entrepreneurs.lesechos.fr/creation-entreprise/idees-success-stories/telescope-sevun-la-revolution-astronomique-de-deux-passionnes-detoiles-2090969 Bon ça semble comme prévu plus compliqué à mettre sur pied et c’est bien triste, mais prévisible au vu des prétentions de départ très …. Optimistes voire aguicheuses…. Un projet lancé en grande pompe par deux entrepreneurs sans expérience dans l’optique ou la mécanique, avec semble t il peu d’expérience en astronomie et aucune dans la fabrication d’instruments. Une promesse de made in France pour un budget très très limité. Un projet financé par des fonds publics et un financement participatif pas tout à fait étudié, et pas mal de bénévolat …. ca me laisse un peu amer et je pense, comme plusieurs ici le disions il y’a deux ans, que c’était très prévisible…. je pense à ceux qui ont investi là dedans…suite à des publicités un peu trop enthousiastes et quand je lis ça : “ Cependant, une partie des pièces pour l'optique et des accessoires, qui représentent 33 % du coût de production, viendront d'Asie car, selon Paul Gheno, elles ne sont pas produites ailleurs. Le coût global de fabrication est estimé à 600 euros par unité. Lors de leur étude de marché, les clients potentiels se disaient prêts à payer entre 600 et 850 euros… Le télescope Sevun sera finalement commercialisé entre 2.000 et 3.000 euros. Un prix justifié par la polyvalence, l'innovation et surtout la volonté de produire Made in France” ben je suis un peu en colère. Il y a des opticiens en France. le porte oculaire sera t il fait par eux ou acheté sur étagère en Chine? Et le budget final est supérieur à ce que proposent certains artisans français, pour un 250mm….. et surtout les entrepreneurs s’expriment sur Les Échos mais pas ici oû ils ont fait leur pub, ni sur Facebook, ni sur leur site…. Je vais encore passer pour le méchant et le lourdingue mais un forum sert aussi à pouvoir s’exprimer.0 point
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Je ne trouve pas qu’amputer une partie importante du spectre visible , avec perte de lumière totale et modification de la couleur des astres soit une bonne solution option. En plus ça coûte une centaine d’euros de mémoire,…. Autant mettre cet argent dans une lunette vraiment achromatique voire apochromatique. Une achro 100/500 c’est 300e + filtre 92e…… une ed 80 c’est c’est 500e… le choix est très vite fait pour moi!0 point
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ben je crois que l'élève a largement dépassé le vieil astam et ça fait me vachement plaisir @olivierfred42 le réducteur Keppler 0.5 a je crois 45mm de BF ( en 2") , je l'ai fait fonctionner à 0.7 en le vissant dans la camera avec un petite rallonge et ça valait aussi bien que le 6.3 de meade Paul0 point
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Excellente idée. J'ai suggéré le 6D car il a un très bon capteur mais le choix est vaste, te focalise pas absolument sur le défiltré comme il a été dit. L'astrophoto, c'est aussi des logiciels complexes à maitriser (NINA gratuit, SIRIL gratuit, PixInsight...) qui ne sont pas complètement indispensables mais fortement recommandés, des connections à maitriser, des erreurs de suivi à comprendre... et je ne parle pas encore de l'autoguidage et du retournement au méridien qui viendront ensuite te pourrir le cerveau. Donc, je pense qu'il vaut mieux commencer avec du matériel simple type APN + objectif photo sur ta monture et d'avancer sans bruler les étapes. AMHA0 point
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si c'est possible, mais pas le plus simple, mais ça se fait elle est très bien cette monture, c'est ce que j'ai, eu, et que j'ai toujours (enfin une version autre que skywatcher un poil plus avancée on va dire pour faire simple). c'est une super monture pour peu qu'on la connaisse, elle a ses limites physiques. bien reglée tu la garedera longtemps, le truc c'est juste que le 200/1000 c'est trop gros pour elle, mais tu pourra faire des photos quand même, n'aie crainte Pour apprivoiser le matos c'est bon, ça serait juste plus facile avec une focale plus courte. Et ça te coutera moins cher plus tard de passer sur une petite lunette ou un petit newton que d'acheter une monture adéquate pour ce tube. (compte autour de 2000 balles pour une eq6 et equivalentes...) commence avec ton matos, trouve toi un apn (defiltre c'est beaucoup mieux mais pas indispensable, on arrive en hiver, tu as les pleiades, andromede, orion qui ne requierent pas de filtre et qui passeront avec un apn standard, puis au printemps les galaxies, pareil, pas d'un apn defiltré) t'es tranquile jusqu'en Mai, lorsque les nebuleuse ha pointeront le bout de leur nez. et si ça ne le fait pas en CP, il reste la lune, les planettes, voir pourquoi pas du solaire (avec un filtre adapté, pas de solaire sans filtre adapté, c'est très dangereux pour les yeux > cecité, et pour le matos)0 point
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Propre, bravo ! C'est un montage suivi comète + suivi stellaire ?0 point
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Une achro courte c’est vraiment truffé de chromatisme. Je n’ai aucun plaisir à observer dedans , même à faible grossissement …… la seule raison de le choisir est le budget ( ou utilisation spécifiques bien choisies, guidage, chercheur géant etc)0 point
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Je pense que je vais préparer différentes cales. J'ai peur que le post-it reste trop rigide ou se barre. Je dois encore avoir de l'adhésif mousse 3M (mais c'est du double face... Donc il faudra couper) et de la mousse adhésive d'isolation fenêtre. Le dernier peut se comprimer à 1/10eme de son épaisseur d'origine. Avec la bonne épaisseur, çà devrait maintenir correctement et répartir la pression, tout en faisant qu'elle soit minime.0 point
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On pourrait aussi trouver une lentille ou doublet chez Thorlab, edmund ou autre. Je sais que Myriam @lyl avait travaillé sur des réducteurs de focale pour télescope planétaire à long FD, un simple doublet sur étagère pouvait faire des miracles! en doublet nu, ça devrait pas être très cher, un 25,4mm de diamètre serait largement suffisant et facile à adapter sur la fin du montage. faudrait juste pas qu'il nécessite des km de tirage pour bien bosser!!!0 point
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C'est le dilemme je suis pour l'instant en semi automatisé et remote (observatoire dans le jardin mais le toit n'est pas encore motorisé, et pas de flip flat) Donc j'allume a distance, je sors ouvrir et vérifier que tout va bien, et le reste dans le canapé Mes hubs usb sont pourris, en guise d'alim c'est 4 x12v sur des wago sans protection avec 2 alims chinoises 5A qui ne les délivrent pas vraiment (d'où les 2 alims que je change ce week-end avec une meenwell industrielle 12A) Stellarmate donc Indi pour le reste J'ai pas mal fouillé les DIY pour Indi surtout pour la partie dew heater - mais je n'ai vu que peu de designs (2), et quand le vois les problemes que j'ai avec myfocuserpro2 (qui me forcait à ressortir sans arrêt, pour l'instant déconnecté le temps que je corrige, j'ai voulu alléger avec un Nema 14 au lieu du 17 mais ça ne le fait pas vraiment ) j' hésite a me lancer... Je rêve du pegasusastro0 point
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Un 150 d'épaisseur courant n'a pas besoin de multiples points de soutien. Le calage latéral en caoutchouc c'est une bonne idée, Par contre, ça doit glisser sous le miroir, des patins en téflon qu'on mets en-dessous des meubles ça fonctionne bien , j'ai une photo quelque part que j'avais de mon 150, je rajoute ça si je retrouve. ----- C'est un support de TAL2 (150mm) : feuille plastifiée/nylon, récupérée de feutres auto-collant pour mettre sur la pince de maintien, calage latéral en liège, patin téflon, feutre de butée (ne touche pas le miroir) contre des secousses éventuelles. Le jeu est nul mais ça n'empêche pas la dilatation (j'étais en montagne parfois à -15°C), ça fait une grosse différence au sortir du véhicule. Le support est en alu de fonderie, ça se contracte au froid.0 point
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Suite ce matin avec Jupiter (bof bof, plein de buée interne dans le C8 grrrr), Mars pas mal, lune également. Ce soir j'y retourne0 point
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Un APN Canon d'une gamme supérieur à un autre n'est pas forcément meilleur en astrophoto. A la base, Canon ne destine pas ses APN à cet usage à part la série Ra.. Par exemple un 6D MKII est moins bon en astrophoto que son prédécesseur le 6D pour je ne sais plus quelles raisons.. J'ai eu le 1200D, comme le signale @keymlinux, problème de banding donc à éviter. Si je devais revenir à l'APN, j'irai voir sur Astrobin ce que ça donne un EOS sur mon newton. Et si je n'étais pas obligé de prendre un Canon pour des objectifs que j'ai déjà par exemple, je regarderai aussi les Nikon.0 point
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Bonsoir, Le ciel a tenu ce soir, et moi aussi . La monture était restée sur mon balcon urbain, j'ai quand même vérifié la mise en station dès que la Polaire a été accessible. La comète était repérée et pointée à 19h34 TC dans un ciel encore clair. J'ai lancé une longue série de poses de 30s. J'ai utilisé les 41 dernières pour obtenir l'image finale avec DSS. Malheureusement DSS ne m'a pas proposé le mode "Comète" et je n'ai pas pu registrer sur A3. Cordialement, Claude0 point
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On y est enfin arrivé avec @macfly51 On peut pas dire que c'était la comète du siècle dans le cadre de notre observation... Qui est peut être arrivée trop tard hélas, faute à la météo. Shoot avec le Fuji XT-5, objectif Viltrox 27mm F1.2, sur trépied. Paramètres: ISO 800, F2 Temps d'expo: 100 x 5s Impossible de supprimer le gradient. Ca mériterait une petite réduction des étoiles, mais flemme 😂0 point
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à mon avis (je n'ai pas d'info directe en ce sens) ZWO se fournit aussi en réducteur harmonique chez un fabriquant externe, qui ne tarde sans doute pas à proposer son produit à d'autres. C'est assez ancien ce type de réducteur : premier brevet en 1955 (https://www.harmonicdrive.net/_hd/content/DOCUMENTS/CSF-Mini_GearUnits.pdf) ZWO a fait une innovation en utilisant un réducteur disponible sur étagère qui de base à un suivi assez moche (forte EP) mais qui avec l'autoguidage marche très bien, en en marketant tout ça très bien comme ils savent faire. Donc pas vraiment de secret dans la monture ZWO, donc facile à copier / améliorer / redévelopper. Tout ça est très bon pour nous, on a fait un bond en avant sur les charges possibles / portabilité !0 point
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