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Bercées de poussières cosmiques et d'hydrogène, les pépinières stellaires de la constellation d'Orion sont l’une des plus belles régions du ciel d’hiver ! Dans la mythologie grecque, Orion représente un chasseur légendaire qui se vantait de pouvoir tuer n'importe quel animal. Dans certaines versions de la légende, il fut tué par le Scorpion, qui a été placé à l'opposé de la voûte céleste par les dieux qui les ont ainsi séparés afin qu'ils ne soient jamais au-dessus de l'horizon en même temps. - La grande nébuleuse d'Orion ou Messier 42 est l'un des objets célestes les plus faciles à observer. Elle se trouve dans l’Épée de la constellation d'Orion, juste en dessous de sa ceinture qui, formée de trois étoiles très serrées et alignées, se repère facilement. Elle est une des nébuleuses les plus spectaculaires, et la nébuleuse la plus intense visible à l'œil nu depuis l'hémisphère nord. - La nébuleuse de la Tête de Cheval, officiellement connue sous le nom de Barnard 33 (IC 434 désigne la nébuleuse émissive à l'arrière-plan), est une nébuleuse obscure dans la constellation d'Orion. La nébuleuse est située juste en dessous d'Alnitak (ζ Ori), l'étoile la plus à l'est de la ceinture d'Orion. Elle est facilement reconnaissable par la forme en tête de cheval qui lui a donné son nom et qui se découpe dans la nébuleuse. En effet, derrière la nébuleuse se trouve de l'hydrogène qui, ionisé par l'étoile brillante proche Sigma Orionis, donne une couleur rouge. L'obscurité de la tête de cheval est causée par la présence d'un nuage dense de gaz et de poussière. Cette dernière absorbe fortement le rayonnement visible émis par le gaz ionisé d'arrière-plan. : Antlia ALP-T Ha & OIII 5nm, Antlia ultra RVB : 61x300" : ZWO Asiair Plus : Askar FRA600 f/3.9 : ZWO ASI6200Mc Pro : iOptron GEM45 : ZWO ASI290MM Mini & guide scope Omegon 50mm : Siril - PixInsight - Photoshop : env Lyon : Bortle 5.9 : 28-29/10 , 04/11/2024 La version full https://flic.kr/p/2qss3DV3 points
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Seconde observation cette semaine, la première étant assez décevante, avec un ciel laiteux, mais j’avais pu observer Saturne, la comète qui remonte pas mal et reste bien brillante et interessante au télescope (mais la vue est gâchée par l’éclairage public), et une longue contemplation de la galaxie d’Andromède. Le ciel est quasi coronal dans la journée, un beau fin croissant de Lune (3° jour) avec Vénus comme un phare sur l’horizon ouest, le télescope monté ( dobson 400mm) attend dans le jardin et prend le frais. Vers 20h Saturne est jolie à 300x malgré une turbulence bien présente. Le ciel est humide. Je ressors vers 23h, la turbulence diminue, et va encore diminuer au cours de la soirée, laissant présager de belles observations. Je commence par le fétus, NGC7008, en attendant que les lumières s’éteignent. Elle est bien visible sans filtre au 21mm, mais noyée dans un fond de ciel très présent. Je passe le filtre OIII qui fait ressortir tout de suite la nébuleuse, accolée à un couple d’étoiles qui lui font comme un cordon ombilical. On note un épaississement anguleux sur la coque très lumineux, et à l’opposé une condensation plus discrète, un peu enroulée. Les détails ressortent mieux à 150 et 230x. Le gaz est visible sur toute la bulle allongée, piriforme. La coque n’est pas visible près des deux étoiles. Coque plus ténue à cet endroit? éblouissement par les étoiles proches? J’enlève ensuite le filtre et peux positionner 3 étoiles dont ce qui semble être la naine blanche centrale. Le filtre UHC n’apporte rien. Le grossissement de 400x non plus. Puis,après minuit et l’extinction de l’éclairage public, j’observe M52, amas très riche et comme décoré d’une étoile orangée très brillante, pour me diriger ensuite vers la Bulle. La nébuleuse est bien visible avec UHC ou OIII, mais de bulle, je n’en verrai point ce soir. Je me tourne au sud vers NGC 936, sans détail, et NGC1055, une sorte de sombrero plus faible , ou de mini NGC981, avec une large bande d’absorption qui sépare visuellement un disque entier et de l’autre le sommet du bulbe qui émerge de cette poussière. Grossissement de 80 à 230x, ce dernier grossissement donnant plus de contraste. Puis j’observe NGC 772 qui ne me montre pas grand détail. je dois batailler contre les banc de brouillard qui passent rapidement, et de la buée qui revient sur le secondaire, le chercheur, les oculaires…. La nuit est très calme, plusieurs vols de grues rappellent, comme Orion déjà haute, que l’hiver revient. Il commence à se faire tard, il faut travailler demain, je vais faire un tour sur M33, NGC981, M77 et M74, puis Jupiter avec la grande tache rouge qui a émergé sur le limbe; Les satellites sont des disques parfaitement immobiles à 400x. Je jette un rapide regard sur Mars qui s’approche et me montre de jolis détails que je n’aurai pas le temps et l’énergie d’observer.2 points
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Bonsoir a tous, je viens apporter ma modeste contribution , un petit panel d'images du 06 et 07/11 C9.25 / Astrosolar 3.8 / x5 / Apollo M C9.25 / Astrosolar 3.8 / x5 / Apollo M TS130/910 / Quark Chromo / ERF 1.25'' / Apollo M TS130/910 / Quark Chromo / ERF 1.25'' / Apollo M TS130/910 / Quark Chromo / ERF 1.25'' / Apollo M Time Lapse de 50 min environ Nouveau_dossier_(4)_h264-420_Rec.709L_1080p_23.976_HQ_2xSlow.mp42 points
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Bonjour a tous, Les pleiades sont au zenith en ces nuits d'automne, j'ai pu prendre pas mal de subs la semaine derniere. Mais .. gros problème, je ne sais pas pourquoi, les aigrettes de mon newton ne s'arretent pas, elle traverse toute la photo, et avec toutes les étoile des pleiades, c'est sale et moche. Quelqu'un sait a quoi c'est du ? comment gerer ca? Merci ! 6h en poses de 2 min sur mon newton 200/600 (avec reducteur) et asi2600MC. traitement DSS + Siril + graxpert + Gimp Aigrettes partout, traverse tout le champ sans disparaitre, dans le coins haut/droit notamment, pas d’étoiles, mais les aigrettes des etoiles du centre.1 point
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Bonsoir, Voici l'image que je viens de traiter... Les lights de 600 secondes ont été pris sur 5 nuits entre fin septembre et début novembre et j'en ai sélectionné 120 pour cet assemblage, soit 20 heures au total. C'est la première fois que je photographie cet astre magnifique et c'est aussi la première fois que je fais autant de lights sur le même astre... J'ai pu me rendre compte que cumuler un temps de poses très long est vraiment bénéfique pour le traitement (plus simple à traiter) et donc pour le résultat... Après, on aime ou on n'aime pas le choix des couleurs (qui restent classiques je pense pour une image prise en caméra couleur)... J'en suis vraiment content même si, en zoomant, on se rend compte que le fond de l'image n'est pas très lisse... Avec mon set-up (TS Photoline 72 mm + EQM35 pro + Asi2600mc pro pour l'essentiel), difficile d'avoir des détails très évidents (je n'aurai jamais le détail des nébulosités de la trompe par exemple), alors ma priorité est de rendre l'image la plus harmonieuse possible dans son ensemble, comme pour un paysage... J'ai traité cette image sous pixinsight et retouché les couleurs, contrastes, etc, sous Gimp. Les étoiles sont toujours quelque chose de compliqué à traiter je trouve mais en même temps, c'est presque le plus important à mon sens... Avec une réduction d'étoiles, je me retrouve souvent avec un halo plus sombre autour des étoiles ou des étoiles trop ou pas assez lumineuses... Enfin, jamais un résultat magnifique comme on peut le voir sur de très belles images. Là, j'ai essayé autre chose et j'aimerais avoir votre avis : je n'ai fait aucune réduction d'étoiles mais j'ai créé un star Mask avec starnet v2 que j'ai traité comme une photo à part entière. J'ai donc traité mon image starless que j'ai délinéarisée sans les étoiles et j'ai délinéarisé les étoiles à part, en ne faisant apparaître que les étoiles que je voulais voir. Je me suis occupé des couleurs des 2 images indépendamment et ensuite, j'ai assemblé les deux images avec Pixelmath... Au niveau traitement c'est très simple à faire : par exemple, pas besoin de créer de masque pour traiter le bruit (puisque mon image est une starless), etc... Mais je ne sais pas si pour des traitements plus complexes, ce serait adapté... Voilà, j'espère que vous prendrez un moment pour lire ma petite prose et si certains ont un avis sur ce procédé de traitement et ses limites, etc, et bien je veux bien les lire. Merci beaucoup, bonne soirée à tous, Roland1 point
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UNE GALAXIE ET UNE BULLE DE SAVON.... Bonjour à tous ! Voici deux nouveaux dessins réalisés cette semaine au T280mm. L'incontournable galaxie du Sculpteur tout d'abord toute à la verticale : NGC 253. La capture d'écran parle d'elle-même pour illustrer le caractère optimal du positionnement de la galaxie. L'aptitude de l'oeil humain à embrasser dans un seul champ une telle étendue....Je m'imaginais en dessinant une intelligence quelconque présent dans cette galaxie dans quelques millions d'années : pourrait-elle imaginer un oeil minuscule en train de contempler son univers...Bon, je m'égare ! La nébuleuse planétaire NGC 246 Revenons à des horizons moins lointains, encore que...Et rendons hommage à cette jolie bulle de savon : NGC 246. Le recours à un filtre est particulièrement efficace sur cet objet...Il faudra que je m'intéresse de plus près à l'une des étoiles qui mettent en valeur sa structure. Je crois que l'une d'elles est une double... La dernière capture d'écran aura vite fait de montrer que tous ces objets se situent dans un petit périmètre au zénith ! Bon ciel d'Halloween à tous ! Gildas1 point
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Par curiosité je suis allé fouiller mes archives pour voir si je l'avais observée. C'est le cas le 11 novembre 2002, mais avec une lunette achro chinoise classique 150/1200 qui a une résolution théorique de 0,8'' pour 2" la 60mm (avec la formule 12"/D(cm)). Ciel de ville, optique moyenne mais incontestablement plus puissante que ta 60mm, j'avais noté: "Compagnon assez faible vu incontestablement, X 300" . Je n'ai apparemment pas testé à plus faible G. Elle ne doit pas être évidente à la 60 mais on ne sait jamais...1 point
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Bonjour ces 3 h de poses en HOO c'est pas terrible , alors j'ai refais 4 h avec le filtre CLS ce qui fait 7H en tout je n'ai pas séparer le Ha Oiii , j'ai tout simplement additionner les 7 heures de poses de 5 mn un graxpert sur le linéaire sortie de siril, un starless, gimp pour finir je trouve cette version beaucoup mieux la version starless et la version avec réduction d'étoiles j'avance tout doucement avec mon APN qui chauffe le bougre1 point
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Je vais peut-être dire une bêtise mais regarder du côté des vielles occaz japonaise peut être intéressant. Il y a quelques années j'ai trouvé un vieux 114/1000 HS pour 15 balles dont le pied et la monture était impec, franchement la monture est de bien meilleure qualité que les copies chinoises actuelles. Elle supporte facilement une petite 80mm et même plus et peut facilement être utilisée en version AZ comme sur la photo (bon, là j'ai dû mettre un contre poids car avec l'appareil c'était un peu lourd).1 point
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Pour les bricoleurs d'azgti : "Dans cette vidéo, je vais aller de l’avant et ouvrir ma nouvelle monture AZ-GTi, car qui se soucie des garanties ?! Regardons à l’intérieur et voyons ce qui peut être fait pour rendre la monture meilleure pour notre objectif !" https://www.youtube.com/watch?v=hgEzeXrhhEg&t=10s Edit: il y en a une pas cher dans le grenier: https://www.webastro.net/petites_annonces/az-gti_95216.htm1 point
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... serait-ce l'équation du bonheur ? 🤔 L’automne est une saison parfois très mitigée en Ardèche. En général assez venteux et humides, les mois d’octobre et novembre peuvent parfois nous réserver de bonnes surprises à nous, observateurs des objets célestes. Cette année, la météo nous a accordé un automne jusqu’ici assez tiède, avec un nombre correct de soirées exploitables pour de l’observation astronomique. Qui dit température correcte, dit absence de neige ou glace sur les reliefs. Une bonne nouvelle : cela signifie que mon site de crête favori, sis à ~1000m d’altitude, est encore accessible ! Plutôt que de fêter Halloween, nous nous dirigeons donc, moi avec mon 300 et mon ami et son dobson 250, vers mon site fétiche. L’idée : baptiser nos dobsons sous des cieux bien sombres, et pour une fois ne rester qu’entre nous ! Pas de partage ou d’initiations, de présentation du matériel et des objets classiques à des néophytes venus découvrir notre passion. Non, en ce 31 octobre, nous décidons d’être égoïstes et de profiter – pour une fois – de nos observations sans interruption extérieure. Entendons-nous bien, le partage dans l’astronomie est un des aspects que j’aime le plus, mais j’ai besoin aussi, de temps à autres, de me retrouver en paix avec mon télescope, sans contrainte et pouvoir passer un quart d’heure à chercher une cible complètement pâlichonne. Et d’ailleurs, c’est précisément comme ça que j’ai commencé la soirée ! Je vous fais grâce de la demie heure de Tetris pour caser un 300 et un 250 tubes pleins ainsi que tout notre matériel dans ma bagnole, ainsi que des 45 minutes de route qui ont suivi pour accéder au site. Nous sommes en place vers 21h20, il n’y a pas de vent, il fait frais (moins de 10°C) et le ciel au-dessus de nos têtes est… spectaculaire ! En sortant de la voiture, sans aucune accoutumance à l’obscurité, la Voie Lactée nous saute déjà aux yeux d’un horizon à l’autre, ou presque ! L’horizon sud, sur une bonne vingtaine de degrés de hauteur, est visiblement chargé d’humidité et très clair : nous avons bien fait de prendre un peu d’altitude 😊 Je disais donc que j’avais commencé la soirée par passer un quart d’heure à chercher une cible : galérer serait le terme plus approprié. L’amas globulaire M72 et l’amas ouvert M73 m’échappaient inlassablement… Que ce soit en partant d’Albali dans le Verseau ou Deneb Algedi dans le Capricorne, je ne parvenais pas à localiser le duo. Pourtant, la description faite de M73 dans mon Delachaux & Niestlé est alléchante : « amas ouvert insignifiant »… ! De quoi piquer notre curiosité 😄. Me voyant m’échiner en vain, mon ami décide de les chercher de son côté également et il les trouve en cinq minutes chrono et me le pointe au laser… En fait, j’avais mal préparé mon pointage et cherchais à 3 ou 4 degrés à côté… Il faut dire que la journée avait été particulièrement longue et éprouvante, je n’étais clairement pas au maximum de ma forme (oui, je me cherche des excuses). Toujours est-il que le petit amas globulaire M72 reste peu résolu en son centre, avec seulement le pourtour qui propose des étoiles ponctuelles de magnitude assez grande. M73 quant à lui m’a semblé à la hauteur de sa réputation 😅 Il m’est apparu comme un petit triangle d’étoiles, sorte de M103 du pauvre. Je n’ai franchement pas grand-chose de plus à en dire. Ma cible suivante était la petite nébuleuse planétaire NGC 7009 dite nébuleuse de Saturne. « Petite » est effectivement l’adjectif qui me semble le mieux lui convenir ! Le cheminement est simple : prolonger la ligne Albulan 1 – Aqr7 de deux longueurs vers l’Est. Je repère le champ au 28mm mais ne vois rien. Je passe le filtre OIII et rien ne me saute aux yeux… Je passe le 18mm + filtre OIII et là oui, je vois qu’il y a une source de lumière non ponctuelle dans le champ ! Ce n’est qu’avec le 11mm que la petite nébuleuse planétaire commence à s’apprécier : elle évoque effectivement la géante aux anneaux avec ses anneaux circumnébulaires. La belle reste néanmoins toute petite et mériterait de grossir très fort l’image j’imagine. Pendant ce temps, mon ami pointe quant à lui l’amas globulaire M15 avec son 250 et je l’entends s’extasier depuis plusieurs minutes. Je vais donc le voir et découvre un amas globulaire spectaculaire, de taille très généreuse qui occupe une très large portion du champ. « Wow ! » inévitable. Il est au grossissement maximum de 265x et l’image reste parfaitement contrastée et nette, un vrai régal ! Nous passons de longues minutes à l’observer et échanger autour de sa ressemblance avec M13. Nous en arrivons à la conclusion que M13 chez nous, en plaine, est semblable à l’oculaire à M15 ici. D’ailleurs, pour corroborer l’idée, le lendemain, depuis chez lui en vallée du Rhône, il a repointé M15 et le résultat était, d’après lui, sans commune mesure : ce n’était simplement pas du tout le même objet ! Comme quoi, le meilleur accessoire astro, c’est du Sans Plomb 😆 Je retourne à mon tromblon et pars à la recherche d’une autre nébuleuse planétaire, en plein centre du triangle Dehneb – Diphda – Shemali de la baleine : NGC 246. La belle est trouvée facilement et montre une belle structure en forme de bulle filamentaire toute en nuances, avec le filtre OIII bien sûr. La naine blanche centrale est bien visible avec sa magnitude 11,8 ce qui rend selon moi le spectacle encore plus intéressant. En rédigeant ces lignes, j’apprends que l’étoile centrale HIP3678 est un système multiple, et que ses deux composantes principales sont séparables avec un télescope amateur à fort grossissement. Je me le note pour la prochaine fois 😊 La nuit avance inexorablement, et à 23h nous constatons que l’horizon sud s’est bien amélioré : en fait, un paquet de villes et villages ont coupé l’éclairage public en bas ! La différence aux faibles hauteurs est flagrante. La voûte au-dessus de nous reste splendide, et striée assez régulièrement d’étoiles filantes. Ça tombe bien, mon programme m’amène à pointer à 20° de hauteur, sous Diphda la pointe du triangle de la baleine, poursuivant ma descente jalonnée par deux trios d’étoiles remarquables, pour découvrir celle qui restera mon coup de cœur de la soirée : NGC 253, la galaxie du Sculpteur. Quelle beauté ! Quel délice ! Cette observation seule justifie l’achat et les emmerdes d’un 300 tubes plein. La galaxie vue de ¾ est immense et m’évoque immédiatement une sorte de « méga » M82. De forme oblongue cigaroïde, les différences de densités et obscurcissements sont parfaitement visibles à 50x ou 80x. Les contrastes sont saisissants et le spectacle me transporte. Cet « univers-île », distant de 11,4 millions d’années-lumière, en montre tellement et semble à la fois proche et inaccessible. Nous y passons un long moment et avant de continuer mon programme, je cherche rapidement – et en vain – NGC 288 (amas globulaire) et NGC 247 (galaxie de Burbridge) censés être tout proches mais ne m'y attarde pas faute de résultat immédiat : je n'avais pas préparé et j'ai encore des objectifs pour ce soir ! Toujours dans la baleine, direction le cou de l’animal cette fois pour partir à la découverte d’une autre galaxie : M77, toute à côté de Al Kaff al Jidhmah. Trois fois plus éloignée que la précédente : le spectacle en est un peu à l’opposé : peu étendue et ne montrant au final que peu de choses. Elle arbore quand même des contours nébuleux et d’une forme évoquant une fleur plus qu’un cercle régulier. Cette observation porte à 78/110 mon tableau de chasse du catalogue de Messier 😄 D’ailleurs, je m’étonne que ce bon Charles ait inclut une galaxie comme M77 et pas celle du Sculpteur, bien plus remarquable (dans tous les sens du terme). Mon compère a entre-temps pointé M33, célèbre galaxie du triangle qui montre un centre bien lumineux et de belles amorces de bras spiraux, vision incomparable par rapport à notre ciel de plaine quotidien. Je la pointe également au 300, et les bras spiraux sont bien plus évidents et contrastés ! Le spectacle est saisissant et la comparaison entre les deux télescopes, de diamètres pourtant proches, est sans appel à l’avantage du 300 sur ce type de cibles. Nous regardons l’heure et il est déjà plus tard que l’heure de retour que j’avais annoncé à ma femme 😶 Hors de question de remballer tout de suite, bien que fatigués nous sommes grisés par ces superbes observations et puis, c’est un long weekend qui s’annonce, il sera toujours temps de récupérer plus tard. Direction la Grande nébuleuse d’Orion que mon ami ne connaissait pas, ayant débuté récemment. Je me rappellerai longtemps cette scène. Tandis qu’il me dit qu’il va pointer Jupiter avant de rentrer, je lui dit : « Attends, prends mon filtre OIII, ton oculaire de plus grand champ et pointe l’étoile centrale du trio là, tu vas voir c’est sympa… 😊 » Oui j’ai dit « c’est sympa », l’air un peu détaché. Je ne voulais pas qu’il s’attende à quoi que ce soit et voir sa réaction. « Ah ? bon ok… Waaaaaaaa mais c’est quoi ça ?!! » « Je te présente la grande nébuleuse d’Orion, amuses toi bien ! » Et nous nous sommes bien amusés à détailler ses volutes de gaz ionisé avec le filtre, OIII, le filtre UHC, les deux télescopes à tous les grossissements disponibles. Y aurait-il assez d’une vie d’astronome amateur pour venir à bout de cette seule pouponnière d’étoiles ? Pour ma part, c’est un plaisir à chaque fois renouvelé et c’est invariablement avec des yeux d’enfants que je redécouvre cette splendeur. Nous finissons enfin par pointer tous les deux Jupiter et je constate avec bonheur que l’image à 320x, mon grossissement maximal, est sublime : très contrastée, gavée de fins détails et très stable. Un délice pour les yeux de détailler ses bandes et zones de couleurs variées, les tempêtes qui émaillent le globe un peu partout aux frontières des différentes bandes. L’œil se perd un peu en détails et je ne suis rappelé à l’ordre que par le suivi un peu chaotique avec un dobson aux mouvements azimutaux rétifs : il faudra que je vois pour identifier et régler ce problème. Les premiers bâillements arrivent, signe qu’il est temps de se mettre à ranger et repartir, c’est qu’on a un bout de route ! A la descente, nous nous retrouvons dans une véritable purée de pois ! Nous avons définitivement bien fait de prendre de l’altitude 😊 3h du matin sont dépassées depuis un petit moment, il s’agit d’aller dormir un peu car demain soir, c’est soirée club… ! Merci de m’avoir lu. G.1 point
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M33, la galaxie du triangle, située en dessous de celle d'andromède captué en LRVB + Couche de Ha dans la R. 20h36 de pause en tout sur deux nuits. Elle se trouve Distance : Environ 2,723 millions d'années-lumière avec une magnitude de 5.72 On peut même apercevoir une petite galaxie en arrière-plan en bas à gauche. La full et exifs sont disponible sur ma page astrobin: https://www.astrobin.com/snwxr9/D/1 point
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Voilà un moment que je réfléchissais à un post pour regrouper mes ballades célestes aux jumelles 10x42 et à la lunette de 60mm. Je me décide enfin à l’ouvrir, en espérant que les quelques CROA que j’y déposerai au fil de l’eau permettent de faire honneur aux petits instruments et donnent envie à chacun de sortir sans complexe les siens et d’exploiter le potentiel parfois mal connu (ou méprisé) de ces modestes optiques. Aux quatre coins du Cygne, à la lunette de 60mm Le coup d’envoi est donné par la toute nouvelle venue chez moi, la petite TS Photoline 60/360. Depuis son acquisition récente la pauvre n’a eu que trop peu l’occasion de sortir pour des séances approfondies, la priorité ayant été donnée lors des rares nuits claires d’Octobre aux jumelles et au baptême du strock-250. Après une interminable semaine de brouillard, une nuit exploitable et presque inespérée s’est présentée Dimanche. Fini donc les tests planétaires et solaires rapides entre deux nuages, il est temps de passer aux choses sérieuses et de voir ce que cette petite merveille a dans le tube, sur des cibles un peu plus délicates. Installé à 21h15 sur la terrasse fraichement rénovée pendant les vacances, je constate avec appétit que le ciel est entièrement dégagé, sans aucun vent. Les quelques 8°C sont largement soutenables ainsi, bien que l’humidité taquine les 95% : la buée sera probablement de la partie et j’assure le coup en installant une résistance chauffante alimentée par une petite batterie externe. Ca ne tiendra probablement pas la séance complète mais retardera tout de même assez longtemps le vilain voile sur la lentille. L’éclairage public n’est pas encore éteint mais dans l’ombre de la maison je profite tout de même d’une belle voie lactée parfaitement visible du Cocher jusqu’à l’Aigle, faisant le pont entre la nostalgie des douces nuits d’Été et l’attente impatiente des fraîches soirées d’Hiver. La parcourant d’un bout à l’autre je m’arrête finalement sur la constellation du Cygne, dont le corps tout étendu plonge désormais inlassablement vers l’Ouest. Il est pourtant encore temps début Novembre de profiter de ses trésors avant qu’ils ne soient engloutis jusqu’à l’année prochaine. Le temps que la lumière artificielle quitte la scène et que les yeux s’habituent à l’obscurité, je braque mes projecteurs en guise d’échauffement sur quelques étoiles doubles bien choisies. La plus célèbre (bien que seulement optique) de cette zone est bien sûr la belle Albireo/β Cygni (3,1-5,1 ; 34"). Déjà facilement séparée au 24mm, elle domine un champ bien fourni de près de 4,5° piqueté d’étoiles faibles. La différence d’éclat est évidente tandis que les couleurs restent subtiles à 15x. À 50x les teintes jaune et bleue deviennent bien prononcées, et le disque d’Airy déjà visible à ce grossissement suggère une mise au point parfaite qui permet de profiter au mieux de cette magnifique vision : tandis que les étoiles aux alentours demeurent bien blanches et faibles, le couple coloré y règne majestueusement. Un essai à 135x permet d’apprécier le spectacle d’un peu plus près, avec une séparation accrue et des couleurs qui demeurent assez saturées, bien que dans l’ensemble l’image s’assombrisse et le champ se fasse bien plus pauvre avec seulement une dizaine d’étoiles restantes. La plus belle vue restera celle à 50x, bien équilibrée entre champ, séparation et couleurs. L’entrée suivante est une paire (réellement double cette fois) plus faible mais un chouia moins serrée, 16 Cygni (6,0-6,1 ; 39"). Dans un premier temps, petit passage sur M27 toute proche, bien évidente même en VD dans son trapèze d’étoiles. Même à 15x sa forme est aisément reconnaissable. Puis je vise l’étoile et tout de suite quelque chose ne vas pas. L’étoile en question n’a qu’une seule composante visible. Celle juste en dessous de magnitude similaire est bien trop éloignée pour que ça corresponde… Petit moment de trouble, puis après réflexion je constate sur le PSA que je vise la mauvaise 16 ! Il s’agit de 16 Vulpeculae, dans la constellation voisine du Petit Renard ! C’est également une étoile double, mais sa résolution est complètement hors de portée de cette pauvre petite lunette… Passé ce moment de solitude, direction l’aile Nord du Cygne pour trouver cette fois la véritable 16 Cyg. Elle se présentera comme une jolie paire serrée et équilibrée, très légèrement jaunâtre. À 50x en revanche la subtile coloration semble avoir disparu. Le grand intérêt du choix de cette double réside surtout dans son voisinage tout proche, en la personne de NGC 6826 alias la « Nébuleuse du clignotant ». Pas facile à distinguer des étoiles du champ, je la repère uniquement à x15 par le fait qu’elle forme presque un rectangle avec la double et deux étoiles de mag 7. À x50 elle est encore quasi ponctuelle, comme une étoile de mag 8-9, mais son aspect flou la met plus en avant. À x100 la nébuleuse planétaire s’élargit enfin en VI, arborant une forme légèrement ovale et un cœur plus brillant. Dans ce cœur sans doute se cache l’étoile centrale de mag 10,5 que je n’ai pas pensé à tenter d’isoler visuellement (la faute à mon manque d’expérience sur ce genre de cibles de toute évidence) mais pourtant à portée de l’instrument. Une autre double intéressante dans le Cygne est la célèbre 61 Cyg (5,2-6,1 ; 30"), dite « Étoile volante de Piazzi ». Sa popularité ne réside pas dans ses caractéristiques visuelles mais est plutôt due à son mouvement propre élevé, qui la fait se déplacer de manière notable sur quelques années par rapport aux étoiles environnantes. À l’oculaire, c’est néanmoins une très jolie double bien détachée du riche champ qui l’entoure, avec une magnitude d’écart bien évidente. À x50 la différence d’éclat semble moins prononcée mais toujours en faveur de la composante Nord. Les deux m’apparaissent identiquement blanches. Pour terminer cette sélection, un dernier couple stellaire, δ Cygni/Fawaris (2,9-6,3 ; 2,5"). Choisi pour sa grande difficulté, sa résolution est en théorie possible, à la limite du pouvoir séparateur d’une lunette de 60mm. Pourtant ses 2,5" d’écart se traduiront visuellement par un parfait disque d’Airy bleuté, même à 135x. Sans doute la composante la plus faible était noyée dans la lumière de l’étoile la plus brillante ? Tant pis pour le challenge, mais je ne repars pas bredouille de cette endroit pour autant, car ici-même débute le deuxième acte de la soirée, celui des amas ouverts. À commencer par NGC 6811, dans le même champ au Nord-Ouest. L’amas se présente à x15 comme un groupe très serré d’étoiles non résolues mais piqueté sur l’ensemble de sa surface. À x50 il arbore une forme irrégulière et bien plus pauvre en son centre, avec une dizaine d’étoiles résolues en VD et le double en VI, réparties par « grappes » de 4 ou 5. C’est une belle découverte, qui je trouve mériterait une plus grande notoriété. Un petit vent froid s’est installé sans prévenir et me rappelle que le temps passe très vite et que demain c’est Lundi et reprise du boulot. Il va falloir accélérer un peu pour les objets restants ou le réveil va être difficile… Heureusement les amas restants sont tout aussi faciles à pointer, en particulier M29 dans le même champ que la brillante Sadr. Voilà un objet du catalogue Messier que je n’avais pas encore observé, pas même aux jumelles. À x15 c’est un simple petit groupe serré de 5-6 étoiles en VI, pas très spectaculaire. En grossissant un peu (x50), 8 étoiles sont résolues, deux groupes de 5 et 3 en vis-à-vis. Je remarque également deux étoiles un tout petit peu à l’écart, sans savoir avec certitude si elles appartiennent bien à l’amas. L’ensemble est plus dispersé à x100 mais me permet de réaliser rapidement un petit croquis d’ensemble. Bon je n’ai toujours pas saisi pourquoi on l’appelle la « tour de refroidissement », néanmoins je trouve cet objet plus plaisant que l’idée que je m’en étais fait maintenant qu’il m’est plus familier. Je ne manque pas ensuite l’occasion de passer par M39, autre amas ouvert encore non observé tout instrument confondu. Repéré aisément même à l’œil nu en remontant depuis Deneb, c’est un large ensemble d’une vingtaine d’étoiles brillantes assez espacées, avec une forme globalement triangulaire. J’y compte jusqu’à 26 étoiles à x50. Ce ne sera pas l’amas le plus incroyable observé, mais je reste satisfait de cocher un Messier de plus. Pour terminer cette balade aux quatre coins du Cygne, j’ai choisi de rendre visite à l’amas NGC 6940, dans l’aile Est. Bien que ses caractéristiques me semblaient prometteuses, je suis finalement resté sur ma faim devant ce large groupe épars d’une dizaine d’étoiles faibles. Je choisis de ne pas aller plus loin pour ce soir et à 23h30 je me tourne vers l’Est pour quelques minutes de vagabondage entre Jupiter, Mars, les 3 amas du Cocher (M38 et sa « croix », M36 le plus petit avec ses 5-6 étoiles bien résolues, et M37 le « granuleux », un peu plus large que M36), les Pléiades, Bételgeuse, M42 et Cr69, l’amas juste au-dessus d’Orion et bien visible à l’œil nu, les Hyades qui couvrent tout le champ du 24mm et enfin Saturne, le tout à x15. Finalement, une petite sortie bien fructueuse qui me confirme que cette petite lunette est un bon complément aux jumelles pour les objets qui méritent un peu plus de grossissement, aussi vite sortie, facile à emmener partout et qui s’en sort très bien en ciel profond pour le moment. Il me tarde déjà de voir ce qu’elle peut offrir sur des objets plus discrets comme les galaxies et les amas globulaires.0 point
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Bonsoir à tous, le 30 octobre, j’étais en altitude et j’ai pu voir un beau coucher de soleil. En zoomant les photos, je me suis aperçu qu’il y avait des aigrettes vertes qui apparaissaient sur le haut du soleil. Elles ont commencé alors que le soleil était encore entier et sont restées jusqu’à la disparition complète de l’astre du jour. À un court instant il y avait un liseré vert au sommet. Je pense que je ne suis pas passé loin du rayon vert… Des fois le hasard fait bien les choses.0 point
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Bonjour, quelques photos de JUPITER et MARS réalisées le 24 octobre 2024 matin proche ANGERS. - C8 EDGE HD, - HEQ5 PRO GOTO, - Filtre TS UV/IR cut, - Barlow Télévue x2, - T7C. Capture : - FireCapture Traitement : - AutoStakkert, - RegiStax6. PHOTOS de JUPITER : Réglages caméra : - Duration=88.149s - Frames captured=6465 - Shutter=4.667ms - Gain=78 (78%) Réglages caméra : - Duration=120.043s - Frames captured=1653 - Shutter=4.667ms - Gain=78 (78%) Une petite animation : ( le capteur aurait besoin d’un petit nettoyage!!!) jup2.mp4 PHOTO de MARS : Réglages caméra : - Duration=87.950s - Frames captured=10208 - Shutter=1.001ms - Gain=80 (80%) Bon ciel.0 point
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Bonjour à tous, Sur la même période que mes prises de M33 et LBN633 la semaine dernière ou le ciel était bien clair, j'ai pu tenter Jupiter. J'ai d'abord tout sorti pour imager Saturne (que je n'ai pas encore traité) en début de soirée et levé à 1h30 pour ma première Jupiter de l'année. J'ai fait 13 vidéos de 100s, gain dans les 360, gamma à 50 et expo autour des 5-8ms si je me souviens bien. Acquisition autour de 40 images/s Soit 4000 images/vidéos Plus de 50000 images au total et j'en ai gardé 25% Donc un total pour cette photo de 13000 images empilées J'ai d'abord traité chaque vidéos (acquisition Firecapture) avec Autostakkert puis derotation Winjupos, La derotation fait vraiment la différence avec beaucoup moins de bruit. Par contre je n'ai pas trouvé comment faire une animation avec Winjupos, enfin j'ai trouvé quelques petites choses mais je n'ai pas réussi Alors si quelqu'un a un bon tuto à me proposer je le remercie. Je suis content du résultats par rapport a la qualité des brutes que je ne trouve pas top Voici le résultat A+ Manuel.0 point
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Bonjour hier soir le ciel n'était pas mauvais, alors hop j'ai sorti la lunette pour tirer le portrait de la nébuleuse du coeur IC1805 le matériel monture NEQ6 pro lunette askar fra400 CANON 1000d dé filtré partiel lunette guide SW evoguide 50x242 camera de suivi asi 224 mc filtre L.extreme piloté avec l'asiair plus pour le traitement SIRIL conversion des fichiers, calibration, extraction du gradient à la séquence HA et Oiii alignement et empilement GRAXPERT pour le gradient et le bruit SIRIL composition RGB Histogramme, étalonnage des couleurs STARNET masque d'étoiles GIMP traitement finale Les étoile sont bleutées, et le fond du ciel n'est pas terrible je vais faire 2 ou 3 h sans le filtre pour les intégrer en luminance dans la composition RGB, car dans le traitement, j'ai mis du Ha dans la luminance.0 point
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Merci Fredo et Ant (à 5km de la capitale😉) j'habite ici: et d'ordinaire j'ai tous les nuages de @sebseacteam qui restent accroché chez moi sur mes montagnes pendant que vous, vous pouvez faire des images... Donc, pour une fois que c'est mon petit coin de ciel qui est dégagé, ça rééquilibre un peu mon karma. Ou le Yang de Seb (il preferera). a+ Serge0 point
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si besoin j’échange ma FF130 contre une FSQ130, histoire de ne plus être emmerdé par le backfocus… 🤣0 point
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Merci pour ce témoignage, ça m'encourage à retenter l'observation 😉 Je tenterai la comparaison avec une étoile de même magnitude au même grossissement pour voir si effectivement une différence à ce niveau est détectable 👍0 point
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Je ne mets pas en doute ton impression sur l'eq5 que je ne connais pas et qui sort peut-être du lot. Par contre j'ai pu voir la dif entre celle que j'ai mis en photo et une version chinoise et ai aussi eu l'occasion de comparer lors d'une soirée astro la petite eq3 de ma Celestron 102 avec une très belle Vixen NP, là aussi il n'y avait pas photo.0 point
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Bon,en regard de mon niveau je vais déjà me faire plaisir et progresser dans mes observations apprendre à utiliser tout le potentiel de mon goto (il faut que je compète ma fiche) ainsi que le ciel...je ai un 8,un 13 et un récent 19 de qualité en 3,5 je vais me focaliser plus sur le ciel que sur le matos,et si j ai l occasion de jeter un œil dans un 2’́ je me ferais une idée.0 point
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Bon bah impec 👌 Croisons les doigts pour choper un peu de ciel pour essayer une petite mosaïque 😉0 point
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Salut, Cela n'a rien à voir en terme de qualité même sur de l'initiation. Tu le mets toi-même : "copies" (Chine). Les matériaux utilisés étaient mieux conçus et surtout faits pour durer dans le temps, ce qui n'est plus le cas ajd. C'est aussi pour cela que les montures plus haut de gamme (Japon) comme les Vixen sont recherchées, d'autant plus si en très bon état (ie SW EQ5 vs Vixen GP). En même temps, il faut reconnaître aussi que les prix de vente ont été divisés par 3 permettant à un plus grand nombre d'avoir accès à du matériel...0 point
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Avec plaisir, nous avons des nouveautés chaque année. Ta chaîne Youtube est très intéressante et cela me rappel des souvenirs avec l'interview que nous avions fait ensemble l'an passé :0 point
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oui mais pour les autres ? Ben il suffit d'avoir un système optique avec un "backfocus" plus grand 😁😁😁😁 Qu'un partenaire de ZWO va bientôt sortir ? Voire même un nouveau concept tout intégré. Pour 7000€ je fournis une camera 2600,un autoguidage intégré le tout sur un plateau rotateur. Bien entendu je ne peux pas dévoiler comment les capteurs sont reliés au boîtier. Mais disons que la seule liaison physique est l'alimentation électrique. Hein ? Qui me réveille ? Oui j'ai pas 7000€. Et oui j'ai rêvé !!!!! 😁😁❤️😁😁0 point
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Oui,c'est bien mieux!!! C'est le monde a l'envers,il vient de faire 10 jours de beau chez moi...c'est surement fini jusqu'a avril😀0 point
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Salut André, Tu peux apporter, si tu le veux bien sûr, quelques corrections pour ton image. Exemple sur la 1e, les couches couleur sont décalées, on voit le bleu qui dépasse un peu à droite. Avec Astrosurface tu peux corriger facilement avec Align RGB: Et un peu de denoise peut être... Avant: Après: image finale: Très chouette en tous cas0 point
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Hello ! Je me débrouille pas mal en python (mais moins en anaconda étant sous linux). Je suis intéressé par le projet. a+0 point
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Si la méteo s'arrange chez nous pendant l'hiver, j'avais projet de refaire pas mal d'images dans Orion. Tu viens de mettre la barre très haut avant même que je ne puisse commencer ! Magnifique version !0 point
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Extra cette Jupiter meme si tondébit est réduit. Moi je ne fais pas de planétaire donc je dis ça je dis rien 😁0 point
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Je ne parlais pas de visuel avec le Vespera, ce serais plus du visuel assisté qui viendrais compléter mes observations à l'oculaire avec mon C8, c'est à cela que je faisais allusion en parlant de visuel 😉0 point
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On pourrait aussi ajouter un catalogue communautaire, mais il faut le formaliser et surtout ne pas oublier qu'un des points importants du MeMstar est qu'il ne nécessite pas de connexion à Internet donc quid des mises à jour de ce catalogue.0 point
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Un grand bravo aux développeurs pour l'extension du MeMstar à une multitude de listes d'objets. Un petit regret, ne pas avoir la liste des Pk, des Np Abell qui sont aussi des Pk, et aussi d'un certains de nombres de Abells regroupements de galaxies. J'œuvre pour ma paroisse. Il y a sans doute d'autres demandes particulières. Mais est ce possible de complémenter la base de données ?0 point
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Salut, accouchement dans la douleur de IC2118. Je l'avais déjà faite à l'Hyperstar, ou les reflets étaient problématiques. Du coup, je me suis dis qu'avec cette lunette, ça allait être "finger in the nose"... Et bien non: A chaque fois que je fais cette cible ça se termine en séance de peinture. Grrr... Bref, 66poses de 240 Sec et j'ai décoréler la montée d'histo des étoile de l'objet. Version annotée: et starless: Bref, une cible vraiment pas facile. A vos plumes a+ Serge0 point
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Il y a deux écoles parmi ceux qui vendent des trucs auxquels ils ne connaissent pas grand chose : - ceux qui en demandent une bouchée de pain ; - ceux qui croient que c'est hyper-rare et en attendent un prix délirant.0 point
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Etre aussi belle (ngc) et nettement moins (GM) ; enfin je plaisante bien sûr0 point
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Magnifique champ, il y en a partout. Dominante rouge quand meme. Pour le SHO, c'est le S ou le H que vous avez mis en rouge ?0 point
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Bonjour, bon je le mets à genou devant mon Seestar. Car avant hier, j’avais une lune bien remplie illuminant le ciel, ajouté à la pollution lumineuse du centre de Lyon et voici ce que j’ai quand même pu obtenir en brut, la petite dentelle NGC 6960 😘 Voici mes conditions d’observation ! C’est full Lights 🙄0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00