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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 11/16/24 dans toutes les zones
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Voici une jolie cible, pas facile, faite de lumiere diffuse, de contraste entre poussiere noir ,nuages éclairés et etoiles multicolores. Avec beaucoup d'etoiles, et il faut bien diminuer les étoiles pour y voir quelque chose, dans ce zoom sur la voie lactée entre le Cygne et Céphée. Rien que pour le cadrage, comme il est pas dans l'asiair, et pas de grosses etoiles a coté , pas facile a cadrer autrement qu'en iteration de poses. Voici 78 subs de 5 min retenus en RVB sous un ciel bortle 4. Sur mon 200/800, reduit a 600mm. Avec ce temps et la pleine lune, j'ai le temps de faire du traitement de photos. Elle a été prise a la nouvelle lune de la toussaint sur 2 nuits. Image presque brut, juste etirée et background extraction pour que ce soit plat, propre, donc noyé dans les étoiles: Et enfin la meme image traitée, avec les étoiles réduites:3 points
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La AR3889 et la AR3892 furent aussi ma cible ce matin, le long filament approche le 550 000 km environ. Et une seconde composée de deux images, une pour la chromosphère et une autre pour les protubérances. @banjo, j'ai voulu tester ta méthode, mais dès le départ je ne vois pas les protus, alors difficile de les faire ressortir en utilisant les tons clairs et foncés.2 points
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Voici la dernière mouture de la documentation du planétarium KSTARS et du module d'astrophoto EKOS. Les principales nouveautés sont: * Dans le module capture on peut gérer plusieurs trains optiques, chacun avec leur caméra d'imagerie, leur RAF, leur EAF. Typiquement, une monture avec 2 tubes et un seul guidage. A suspendre lors des MAP. * Dans le module de guidage, prise en compte des étoiles doubles. * Dans le module Planification, c'est l'algorithme Greedy qui a été implémenté seul. Je rappelle que l'on peut créer des séquences directement dans le Planificateur. Support de plusieurs cibles avec des trains optiques différents, en parallèle. Plus une refonte des écrans de Capture et Monture. Bonne lecture ! Manuel utilisateur Kstars-Ekos v3.7.3.pdf1 point
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Bonjour, j'ai encore pu profiter de quelques rares heures de ciel dégagé en Anjou, le 16/11/2024. Réveil 3H30, mise en place du matériel et là : Un grand MERCI à @Alex.lepadawan et sa question sur SYNSCAN car j'avais le même problème et je ne comprenais pas pourquoi je n'arrivais pas à faire ma mise en station. Merci à @Caius pour la réponse. Du coup, suite aux remarques de @Caius et @MatEX sur mon précédent poste j'ai augmenté mon temps de pose à 8ms voir parfois 9ms. Sur FIRECAPTURE le gain max est de 100 et je crois qu'elle fonctionne en 12bits). J'ai aussi branché ma caméra sur le port USB3 de mon PC, même si la T7C, n'a qu'un câble USB2. Et j'ai nettoyé le capteur (même si il reste encore quelques poussières !!!). MATERIELS : - HEQ5 PRO GOTO, - C8 HD edge, - Filtre TS UV/IR cut, - Barlow TELEVUE x2,5 - T7C - Duration=120.012s (Un temps peut-être un peu trop long pour avoir Io bien rond) - Frames captured=4452 - ROI=512x594 - Shutter=8.000ms - Gain=84 (84%) TRAITEMENT : - AutoStakkert, - RegiStax 6, - PIPP pour le GIF Bon ciel.1 point
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A priori peu de risques. fusible en plus, si tu veux mettre les bretelles, mais effectivement l'asiair prend 10A sans probleme en entrée, pour la somme de toute tes consos. Effectivement faire gaffe a pas avoir des consommateurs qui depassent pas les 4- 5A, mais dans notre monde astro, je connais rien qui fasse ca. Donc a moins d'acheter du matos non astro (type camping en 12V, frigo, chauffage ... ) sur un site non astro, et donc qui pourrait consommer plus, peu de risque. Enfin on n'est jamais a l'abri d'une piece electronique qui lache, mais coté puissance, si aucun consomateur unique au dessus de 4A et somme inferieur a 10A tu es OK. Par contre tes 60Wh, c'est juste pour une nuit d'hiver de 12h. Je viens de fait 10h avec ma batterie 240Wh, il restait 20% a la fin.1 point
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Pour info, un dev de GraXpert travaille en ce moment sur la correction des étoiles. Il en est qu'au début et ça commence à être pas trop mal.1 point
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Merci. J'ai essayé d'utiliser le process MMT pour supprimer les structures de petites échelles et voir si on pouvait mettre en évidence des structures plus grandes qui apparaitrait avec l'augmentation de la température. Et bien ça n'est pas évident! Il me semble voir apparaitre des structures horizontales à 2°C mais c'est léger... Pour bien faire il faudrait sans doute soustraire un masterbias de ces darks. Peut être que je rate quelque chose mais c'est vrai que je doute qu'en pratique il y ait une grande différence dans le résultat final entre -10°C et 2°C Je pense qu'à occasion, j’essaierai de faire une série de darks de 300s et avec une température de 15°C pour mieux mettre en avant le courant Dark.1 point
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Et bien, mission accomplie. Pour débuter, j ai fait la mise en station avec la méthode de la croisée de la polaire (tuto youtube) en quelques minutes. J ai voulu voir la Lune mais trop trop lumineuse. Du coup j ai observe Vega pour me faire la main. Et puis sur Stellarium j ai vu que je pouvais observer Saturne. Alors j ai tenté, et j ai vu les anneaux de Saturne !!! j ai vu que ma mise en station était OK car juste le RA pour remettre Saturne dans le champ je n ai pas trop réfléchi, j ai mis le 10mm et la barlow x2 pour voir le plus gros, sans me poser de question Bilan : mes nuits à potasser ma première session ont été rentabilisées mon gamin est fou d avoir vu les anneaux de Saturne. Et je pense que je suis encore plus ouf que lui !! Bilan 2: il me faut potasser un peu l optique pour comprendre les oculaires (champ, focale etc...)1 point
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Bonsoir à tous, Enfin ! Après avoir commencé à imager en août avec ma lunette, j'ai enfin pu terminer mon 1er projet avec ce matériel : NGC 7380, la nébuleuse du Sorcier. Version préliminaire en Hα courant août : Entre le 15 août et le 9 novembre, il s'est écoulé près de 3 mois : il faut dire que courant septembre et la toute fin octobre, la météo était rarement de la partie - sauf les nuits de pleine lune. Or, il me manquait la couche [OIII] et les couches couleur, qui nécessitait des nuits sans lune ou approchant. Je dois avouer que, courant septembre puis octobre, ma motivation avait grandement faibli Cette image est aussi la 2ème que je réalise en SHO, avec étoiles RGB : c'est encore un défi de réaliser un traitement qui soit efficace, sans trop tirer sur les curseurs. Je pense - mais vous serez les principaux juges - que j'y suis parvenu, parvenant à faire ressortir le signal sans exagération. Lunette TS-Optics CF-APO 102, avec réducteur 0.8x (F/5.6) Monture équatoriale Sky-Watcher EQ6-R Pro Prise de vue via ToupTek ATR2600M Guidage via ToupTek GP CMOS 02000 KPB sur OAG Pilotage via N.I.N.A. Prétraitement et traitement avec PixInsight et Affinity Photo Du 15 août au 9 novembre 2024 Brutes : - Hα = 40 x 180" + 48 x 300" - [OIII] = 72 x 300" - [SII] = 72 x 300" - RGB : 3 x 20 x 180" Intégration : 21 heures DOF : - Darks : 64 - Flats : 15 - Bias : 300 Lien vers la full et autres détails techniques : https://www.astrobin.com/aw4j1z/1 point
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Suite et fin de la construction de mon abri : le plancher ouvrant ! Découpe des volets (car le cercle que j'avais tracé au début ne se trouve plus à la bonne place, à cause du châssis qui bute sur le béton de la monture et n'avance pas assez) : Et voilà : On retire la barre de seuil et la cale pour ouvrir le plancher : Cela prend 10s à ouvrir ou refermer ! On peut monter dessus, mais comme c'est sous le contrepoids, ce n'est pas vraiment prévu (si ça arrive, ça tiendra, c'est l'essentiel). Clap de fin pour la construction de l'abri. La suite, ce sera la mise en place d'un mini-PC, pour commander la monture et les caméras à distance, en wifi, avec Chrome Remote (qui fonctionne extra facilement, c'est super, merci @John Mc Burne pour l'astuce !).1 point
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Bonsoir a tous, je viens apporter ma modeste contribution , un petit panel d'images du 06 et 07/11 C9.25 / Astrosolar 3.8 / x5 / Apollo M C9.25 / Astrosolar 3.8 / x5 / Apollo M TS130/910 / Quark Chromo / ERF 1.25'' / Apollo M TS130/910 / Quark Chromo / ERF 1.25'' / Apollo M TS130/910 / Quark Chromo / ERF 1.25'' / Apollo M Time Lapse de 50 min environ Nouveau_dossier_(4)_h264-420_Rec.709L_1080p_23.976_HQ_2xSlow.mp41 point
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Bonjour à tous. Nouvelle session solaire au profit de cette magnifique journée du 24 octobre. L'occasion de sortir les filtres et de faire un max d'observations. Mais aussi d'étrenner mon APM x2.7 nouvellement arrivée dans ma collection de barlows. Le but est de tabasser en UV. On commence avec ma série LB. Après l'uv, le rouge autour H-alpha. J'ai été agréablement surpris de constater l'activité des protubérances. Ca pète plutôt bien même. Mes "hautes résolutions" maintenant. Histoire de voir ce que cette APM x2.7 tirée à x4 peut donner. C'était surtout l'uv qui m'inquiétait. Mes calculs d'échantillonnage appliquée à l'imx 533 mm me donnait une valeur optimale qui ne serait atteinte que de justesse avec une barlow x4. J'étais très bien avec ma powermate x5 mais l'envie d'exploiter à fond l'uv me démangeait. Bilan mitigé pour cette session. A tester en planétaire désormais. L'avantage toutefois, c'est que j'arrive à faire passer mon petit Cak 3 nanomètres sur un neewton non désaluminée à cette saison. Pas si mal mais on sent que la résolution manque. Alors quel coupable ? Le seeing assez turbulent du moment ou mon échantillonnage non approprié ? Peut-être un premier élément de réponse avec l'image suivante prise avec une BP plus large... Petit hic toutefois puisque l'APM laisse passer beaucoup plus d'UV que la TV PM. Bonjour la dispersion ! OIII, impeccable ! Et du calcium, maintenant. Ca s'annonce intéressant. J'ai pu continuer sur la lancée de mes premiers tests... Ici avec le kit non modifié de l'Antlia 5 angströms. Là, avec le kit dont j'ai retiré l'ERF pour le remplacer par mon petit 393-3 nm. Tiens, surprise ! J'ai l'impression qu'on a perdu du contraste. La bande passante se serait-elle élargie ? A vue d'oeil, j'aurai tendance à dire que l'on est passé de 5 angströms à environ 1 nm. Oui mais pourquoi ? Mon 3 nm est-il pourri ? Il n'est tout de même pas moins étroit que l'ERF du 5 angströms ? Il me semblait que ce fameux ERF faisait 25 nm de large. Si le pic Cak du filtre est isolé avec 25 nm, pourquoi ne le serait-il pas aussi parfaitement qu'avec un 3 nm ? Ou bien mon raisonnement est biaisé par des données manquantes... Ensuite, le montage complet auquel je rajoute le 393-3 nm. Sans surprise, le contraste reste très similaire. Coupler les deux ne sert donc à rien pour ainsi dire. Autre image, 2 heure plus tard ( j'ai fait ma pause déjeuner entre-temps... ). Et puis les protus. A comparer avec l'image Ha 3 nm. C'est très instructif. On se rend compte que certaines des protus qui brillent bien en H-alpha semblent plus timides en Cak. Enfin, quelques semi hautes résolutions en calcium avec l'APM X2.7 sans tirage. Bon week-end à tous.1 point
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@banjo époustouflante cette animation 😲 Je vais quand même vous proposer ce que j'ai fait hier, à mon modeste niveau. Tout d'abord une vue composée de deux images, une de la chromosphère et une des protubérances, assemblées sous Gimp. La seconde c'est une animation à partir de 33 acquisitions de 30S, un problème de suivi ne pas permis d'en faire plus. Les images résultantes ont été traitées avec AstroSurface et assemblées avec PIPP.1 point
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bonjour , animation sur les boucles du 24 Octobre ciel nuageux au début , notez le gain (115) , puis laiteux g=77 Paul https://filedn.eu/l2nPBH98WiObh3PvvEdlhNQ/2024-10-24-09h40_2--Expo%3D10.0ms_Gain%3D115.gif1 point
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Tu veux l'optique+le tube ? Je peu te passer une annonce sur le bon coin, les fdp mondial relay sont a 1 euros ce weekend. Je te fais l'ensemble pour 5 euros P.s faudra repeindre le tube, en prévision de le repeindre j'ai regardé ci on pouvait enlever "Perfex", c'est assez tenace mais ca doit partir au dissolvant (la c'est a moitié enlever)0 point
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C'est sûr mais ça oblige ensuite à refaire les flats Tu verras, tu as accès aux courbes d'humidité, T°C, pt de rosée0 point
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Bravo à vous pour vos sublimes clichés solaire … pour ma part en LB j’ai commandé un filtre pour le C8 ( bon j’ai une vieille pla-m monochrome mais elle a fait le taf avec la petite 35 Lunt ) j’espère pouvoir apporter prochainement ma petite contribution. Ayant crée un club en début d’année nous repartons sur de nouveaux objectif avec en commande une petite lunt60 . mais je continue tjrs à shooter avec mini35 en attendant même si c’est loin d’êtres à votre niveau .0 point
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Bonjour, Je suis étonné de ne pas avoir trouvé ici de sujet parlant des jeux de société, et en particulier des jeux de plateau, sur le thème de l'espace. Étant donné qu'il s'agit là d'un de mes autres passe-temps favoris, je décide de lancer le sujet, avec 3 de mes jeux sur ce thème. Soyez libres d'en faire de même ou de partager vos impressions sur ces jeux si vous les connaissez. High Frontier 4 All On commence avec un jeu qui sera à destination des plus fous passionnés, c'est-à-dire ceux qui sont prêts à passer plus d’une heure pour l'explication des règles, à faire fondre les neurones pour choisir la meilleure stratégie, et à débriefer les coups des uns et des autres à l’issue des 3 heures de jeu. Tout ça pour dire qu'il s'agit d'un jeu très complexe qu'il vaut mieux sortir avec les amateurs de jeux classés dans la catégorie "expert." Avantage, on peut y jouer en solo si l'entourage n'est pas réceptif à ce genre de jeu. Il y a aussi une variante famille et une variante pour joueur intermédiaire, mais c’est se priver d’une très grosse partie du jeu. Un véritable OVNI ludique (sans jeu de mot) En Bref : High Frontier 4 All est un jeu de Phil Eklund sorti vers 2020. Il se joue de 1 à 5 joueurs, et la durée d'une partie se situe autour des 2 heures (3 pour les débutants du jeu.) Il s'agit en réalité de la 4ème édition du jeu, dont la première date de 1999. C'est un jeu en constante évolution. Phil Eklund est en effet ingénieur en aérospatial et ce jeu consiste davantage en une simulation avec un réalisme poussé. C’est un jeu plutôt compétitif mais avec des coopérations possibles, avec une interaction moyenne entre joueurs, laissant peu de hasard (ou celui-ci peut-être maitrisé,) et très thématique. Les mécaniques principales sont le "deck building," c'est-à-dire créer la meilleure combinaison de cartes, la gestion des ressources, et l’exploration. But du jeu : Chaque joueur représente une faction qui va participer à la conquête du Système Solaire, en choisissant le meilleur moyen pour s'établir sur les autres corps célestes. Pour cela, il va falloir assembler un lanceur optimisé pour le voyage interplanétaire. Les joueurs vont acheter et vendre aux enchères des brevets pour des modules spatiaux (propulseurs, robonautes, raffineries, générateurs, réacteurs, radiateurs,) qu'ils vont devoir lancer et assembler entre eux en Orbite Basse Terrestre (LEO.) Il faudra choisir ensuite un chemin pour arriver à destination, en faisant des compromis entre durée de parcours et consommation d'ergols. Afin de s'installer sur les corps spatiaux, on pourra choisir entre envoyer un lanceur lourd et gourmand contenant tout le nécessaire, ou envoyer plusieurs lanceurs légers et économes, nécessitant plus de temps. On peut également optimiser les vols en réalisant des rendez-vous dans l'espace et faire un poste avancé pour les missions lointaines. Il va falloir également prendre en compte les risques inhérents au voyage spatial : zones de radiation (ceintures de Van Allen par exemple,) éruptions solaires, champ magnétique intense (Jupiter,) freinage atmosphérique, anomalies techniques du lanceur, … S'établir sur d'autres planètes nécessitera et permettra d'utiliser les ressources présentes sur place (eau, régolithes à composés variés,) afin de créer du carburant ou des technologies avancées. Critique personnelle : Réalisme : gros plus pour les passionnés du spatial. Les valeurs des ressources sont calculées selon la réalité : une masse de 1 d’un module représente 40 tonnes, un réservoir d’ergol représente une quantité de 40 tonnes d’eau (hydrogène + oxygène,) une poussée (burn) représente un changement de vitesse (delta-v) d’environ 2,5 km/s, la consommation en ergol sera dépendante de la masse de la fusée (par exemple un réservoir d’ergol permettra 6 poussées pour un lanceur économe de masse 3, mais une seule pour un lanceur de masse 12,) … Le temps est représenté par le nombre de tours de jeu, 1 tour valant une année, la durée de la partie est représentée par un certain nombre de cycles solaires de 12 ans (un peu plus que la réalité mais c’est pour les besoins du jeu.) Il y a des événements cycliques, par exemple les tempêtes solaires, la présence de comètes périodiques, le survol de Vénus qui permet l’utilisation de l’effet de fronde gravitationnelle pour aller sur Mars à moindre coût lorsque les planètes sont en opposition, … La carte qui paraît infiniment complexe est en réalité une carte de toutes les trajectoires possibles dans notre système solaire (Réseau de Transport Interplanétaire.) C'est un peu abstrait mais chaque zone peut correspondre à un espace de Lagrange, à une orbite, à une trajectoire de Hohmann, … Par exemple, pour quitter l’Orbite Terrestre Basse (LEO,) il faut réaliser une poussée (burn) afin de passer en Orbite de Transfert Géostationnaire (GTO ou Cycler) et une seconde poussée pour arriver en Orbite Géostationnaire Terrestre (GEO) [il y a en effet une différence de vitesse delta-v autour de 4,5 km/s entre la LEO et la GEO.] Sur un trajet de Hohmann, on aura le choix de dépenser de grandes quantités de carburant pour prendre la trajectoire, ou de réaliser un vol d’une durée plus longue, ce qui permet de simuler le concept des fenêtres de tir qui peuvent être très longues. Les factions disponibles représentent des lanceurs existants ou expérimentaux : SLS pour la NASA, Starship pour SpaceX, Long March 9 pour la Chine, Angara 7 pour Roscosmos, Ariane 64 pour l’ESA, … Les brevets (cartes) utilisés sont des technologies réelles ou théoriques, y compris leurs caractéristiques : puissance de poussée, consommation d'ergols, nécessité de refroidissement, … on trouve par exemple les voiles solaires, la possibilité de les pousser à distance avec un laser, les propulseurs à ergols classiques ou nucléaires, … Les corps présents sur la carte présentent des caractéristiques connues actuellement : masse, atmosphère, présence d'eau en quantité variable (atmosphérique, océan sous la surface, glace,) la composition dominante du régolite (chondrite carbonée, Helium, Fer, …) Rejouabilité : positif mais difficile pour le débutant Ce jeu est ce qu’on appelle un bac à sable, c’est à dire qu’il n’y a pas de direction imposée, le joueur fait ce qu’il veut. On peut essayer de revendiquer la première visite d’un maximum de planètes et d’astéroïdes, de développer le plus de colonies, de créer le lanceur le plus optimisé qui soit avec des technologies avancées, de tenter d’aller explorer les objets de la ceinture de Kuiper, de reproduire des missions passées ou présentes avec le même plan de vol (Voyager, JUICE.) Il y a également possibilité de négocier avec les autres joueurs, bien que cela ne soit pas toujours fréquent (au moins pendant les premières parties où l’on découvre chacun dans son coin les mécaniques.) Par exemple, on peut demander d’utiliser l’usine d’un adversaire pour faire un ravitaillement, ou lui acheter des brevets. Si l’on en a la possibilité, on peut également commettre un crime, c’est-à-dire se passer de l’autorisation de l’adversaire s’il n’a pas d’humain présent sur le site en question. Au final, dans ce jeu, on prend beaucoup plus de plaisir à réaliser des objectifs que l’on se fixe plutôt que de marquer des points. La renommée va-t-elle davantage au premier Homme sur la Lune, à la sonde qui a visité le plus de planètes en premier, ou aux robots Martiens ? Règles du jeu : le point plutôt négatif Le jeu est édité en anglais. L’association éditrice 500 nuances de geek a publié une version française qui comporte en plus les modules 1 et 2 (extensions) pour un prix inférieur à la boîte de base en VO (autour de 80€ tout de même.) Les règles sont réellement indigestes. C'est déjà le cas dans la VO, c'est encore plus flagrant en VF où il y a quelques erreurs de traduction, des icônes qui ne sont pas passées à l'impression, parfois des exemples venant d’anciennes versions avec des caractéristiques modifiées dans la version actuelle, la carte du Système solaire n'est pas traduite (encore que ceci est négligeable.) Les règles (y compris en VO) comportent de nombreux renvois à d'autres pages, l’organisation par chapitre n'est pas très logique. Heureusement, il y a une courbe d'apprentissage sympa, quoique pas très linéaire. Mais les règles sont logiques donc cela s’apprend assez vite. Il y a un premier livret de règles pour un mode familial intitulé Space Diamonds. Cela permet d'apprendre les basiques du jeu, en particulier les trajectoires de vol, d'abord sans utiliser de carburant (voile solaire) puis en utilisant du carburant de façon simplifiée. Puis, il y a une version pour joueurs initiés intitulé Race for the Glory où les règles sont assez simplifiées : pas de nécessité de refroidissement des propulseurs, pas d’éruption solaire ou d’anomalie, … quasiment le jeu complet mais nécessite (un peu) moins de réflexion et de planification. Le jeu complet s'appelle le Core Game et peut être complété au choix par des extensions appelées modules sont les 3 premiers sont inclus dans la boîte en VF (voir plus loin.) Il faut compter au total une centaine de pages pour toutes les variantes !! Il est largement recommandé de regarder une vidéo plutôt que de lire les règles, dans un premier temps du moins. Les règles ne sont pas figées. Il existe des living rules régulièrement mises à jour par l’auteur du jeu. Les plus passionnés voudront toujours jouer avec la dernière version de ces règles. En pratique, les changements sont très minimes, et sont surtout en rapport avec l’évolution des connaissances et des découvertes : un astéroïde posséderait au final davantage d’eau qu’on ne pensait, une technologie de propulsion est au final moins efficace que ce que l’on avait modélisé, … Extensions : De multiples objectifs ou variantes utilisant les règles de base sont proposés dans les annexes, parfois coopératifs, parfois compétitifs. Cela peut être une course vers une planète, s’installer plus loin dans le Système Solaire alors que le Soleil devient une géante rouge, … Le module 0 inclut l’aspect politique et les joueurs vont pouvoir voter pour les idéologies qui vont les avantager : libre circulation pour utiliser les usines adverses, subventions pour payer moins cher les brevets, … Le module 1 introduit notamment des propulseurs plus puissants pour faciliter l’exploration lointaine (objets transneptuniens) et des cargos permettent de rapporter sur Terre les technologies fabriquées sur les autres corps. Cela introduit également des objectifs afin de marquer des points. Le module 2 propose la possibilité de créer des stations spatiales interplanétaires (Bernal) et des colons, représentant l’implantation humaine durable en dehors de la Terre. On peut également faire migrer sa faction depuis la Terre vers un Bernal. Le module 3 (non inclus en VF) imagine une époque où les factions sont en guerre, transformant le jeu en 4X : Exploration, Expansion, Exploitation, Extermination. Le module 4 (non inclus en VF) imagine un futur où les humains ont évolué avec de nouvelles aptitudes, et donne de nouveaux objectifs. On est plutôt sur de la science-fiction que de la simulation ici. Toutes les images sont issus de Board Game Geek0 point
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Salut, Bravo et Bienvenu sur le forum ! Et après Jupiter, tu peux commencer par des cibles "faciles" mais sympa; la Polaire (pas si facile à pointer finalement, tu verras... Tu pourrais avoir le tube dans une position... exotique. Et puis bien sûr, les stars de l'hiver; les pléiades, la nébuleuse d'Orion M42, ... Les débuts en ciel profond peuvent paraître difficiles, mais l'œil s'habitue avec le temps (au cours de la nuit, et au cours des nuits). Tu verras beaucoup plus de choses dans une nébuleuse après plusieurs observations, et en t'aidant de photos trouvées sur le net (Heuuuu, pas celles du JWST sinon tu vas pas comprendre!) Et Courage pour braver le froid !0 point
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comme chez moi pendant la moitié de l'année, d’ailleurs c'est parti, grisaille jusqu'en mai...0 point
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Le support est en alu donc les vis vont user la surface avec le temps et dégrader le règlage. les pastilles laton ou acier permettent d'avoir un contact plus constant ; cela a un autre avantage pour la fabrication du sillon, si tu te rates tu peux recommencer sans conséquence. M4 ça sera très bien, par contre pour limiter le jeu du filetage il faut reduire la longueur de la vis entre le pastille et l'insert. Sur une de tes photos on voit la corniere avt qui porte le ressort, elle est trop fine, il va falloir ajouter des épaisseurs d'alu collées pour tenir l'insert. Yannick0 point
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Y en a qui ont la chance de voir autre chose que des nuages 😜0 point
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Bonjour les ami(e)s, Je viens de recevoir mes doubles leds Franck , il me manque plus que Picolay mon fils passera peut être ce week end pour l'installer . En attendant je vais faire un peu de microbiologie j'ai un vase avec du colza de la terrasse, on verra ce que cela donne . A bientôt Charles0 point
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Terraforming Mars Troisième jeu dans ce sujet, mais premier dans mon ordre d’acquisition, Terraforming Mars est un jeu complexe mais beaucoup plus accessible que les précédents. Il arrive donc ici en troisième dans ma logique puisqu’il s’agira, après avoir développé une colonie sur Mars, de terraformer la planète pour la rendre habitable par les humains. Le jeu a été un carton dès sa sortie, a remporté les prix dans la catégorie expert du prestigieux Spiel des Jahres en 2017 et de l’As d’Or en 2018. Il a été décliné ensuite en version numérique et de nombreuses extensions sont sorties. En Bref : Terraforming Mars est un jeu de Jacob Fryxelius, sorti en 2016. Il se joue de 1 à 5 joueurs et une partie dure environ 2 heures. C’est un jeu peu coopératif, les interactions entre joueurs se résument à bloquer rarement l’adversaire, le hasard dépend des cartes tirées mais toutes ont un intérêt si on les combine bien, le thème est très présent. Ses mécaniques principales sont le deck building, le placement de tuiles, et la gestion des ressources. But du jeu : Les joueurs vont devoir terraformer Mars, pour la rendre vivable par les humains comme sur Terre, et pas dans des dômes. Il faut réaliser 3 objectifs : monter la température moyenne à 8°C, avoir 9% de la planète recouverte d’eau, et monter le taux d’oxygène à 14%. Tous les joueurs contribuent à ces objectifs, la fin de la partie est déclenchée dès qu’ils sont atteints. Pour cela, les joueurs acquièrent des cartes qu’ils vont jouer et essayer de combiner au mieux. Certaines cartes sont jouées une seule fois, (créer une mine de titane ou une centrale électrique créant ainsi des ressources,) d’autres cartes sont des bonus permanents ou à activer à chaque tour (conversion d’énergie en oxygène, production de bactéries,) les dernières sont des événements uniques, souvents chers mais très utiles (écrasement d’une comète composée d’eau, éruptions volcaniques intenses réchauffant l’atmosphère, …) Les ressources gagnées, créées et dépensées sont les crédits, l’acier (qui vaut 2 crédits pour certaines cartes,) le titane (qui vaut 3 crédit pour certaines cartes,) les plantes (8 peuvent être transformées en forêt,) l’énergie (qui se transforme en chaleur en fin de tour car cela ne se stocke pas,) et la chaleur (8 font augmenter la température de 2 °C.) Les tuiles sont posées en fonction des cartes, de la conversion de certaines ressources, ou en fonction de bonus (par exemple une fois que les 0°C sont atteints, un océan est placé du fait de la fonte du permafrost.) Il y a les tuiles océans (chaque tuile représente 1% de la surface de Mars,) les tuiles forêts (chacune augmentant le taux d’oxygène de 1%,) les tuiles cités (qui rapportent des crédits et des points en général,) et d’autres tuiles uniques. Si le début est plutôt lent, du fait de l’absence de ressources, les tours sont de plus en plus long au fur et à mesure de la partie avec de plus grandes possibilités de combinaisons. La victoire est attribué au joueur qui aura le plus contribué à la terraformation. Critique personnelle : Réalisme : très bon Hormis l’aspect peut-être trop science-fiction de la terraformation, le jeu se base sur des concepts et des technologies (au moins théoriquement) possibles. La couverture de 9% de la surface d’une planète correspond à la capacité de celle-ci à avoir des cycles hydrologiques stables, la température moyenne de 8°C permet de garder l’eau à l’état liquide toute l’année, le taux d’oxygène de 14% est celui qui permet de vivre normalement (c’est le cas en haute altitude en Bolivie notamment.) Plus exactement, le taux d’oxygène dans l’air est de 21% partout sur Terre et à toute altitude, c’est la concentration en particule qui évolue en fonction de l’altitude. Une pression atmosphérique de ⅔ atm équivalent à une altitude de 4000m est considérée comme viable. Malheureusement, la capacité à garder l’air dans l’atmosphère martienne n’est pas abordée dans ce jeu, et c’est le point le plus bloquant à la possibilité de terraformer la planète. Sur chaque carte, il y a une description de la technologie utilisée, permettant succinctement de comprendre les concepts de la terraformation. Malheureusement, la qualité des illustrations est assez inégale : on a parfois des photos, parfois des dessins de qualité moyenne. La carte représente une face de Mars et les reliefs sont détaillés, en particulier la position des grands volcans martiens et des zones de faible altitude où seront placés les océans. Règles : très bon Bien que considéré comme un jeu expert, il fait partie des jeux abordables de cette catégorie. Les règles sont bien expliquées, tiennent sur une dizaine de pages, et sont très visuelles. Les cartes utilisent des icônes claires, ainsi qu’une explication écrite de ses effets. La redondance permet à tout joueur quel que soit son niveau de ne pas avoir besoin de se référer au livret de règles. Rejouabilité : bon Le tirage et le très grand nombre de cartes permettent une grande rejouabilité en mettant en place des stratégies différentes. Le fait de jouer en solo impose de terraformer seul la planète en un nombre de tours limité. Cela développe la capacité à terraformer vite et à créer des stratégie dans tous les domaines, alors qu’à plusieurs, en général, les objectifs de terraformation sont répartis en fonction de leurs cartes et de leurs stratégies. Ce qui signifie qu’un joueur habitué du solo va “rusher” la fin de partie en multijoueur, et va réduire l’intérêt de la construction du jeu. De très nombreuses variantes existent afin d’augmenter la rejouabilité, mais je n’utilise que la première Variantes : Hellas & Elysium propose simplement un nouveau plateau double face avec 2 autres régions martienne, avec des bonus de placement différents. Venus Next ajoute des cartes et un petit plateau avec une simple échelle de terraformation de Vénus, qui n’est pas nécessaire de compléter pour terminer la partie. Prelude ajoute des cartes permettant un début de partie plus rapide avec des productions de ressources qui ne démarrent pas à zéro Colonies ajoute d’autres zones à coloniser afin d’apporter davantage de ressources Turmoil ajoute un module politique sur lequel les joueurs vont pouvoir influencer pour obtenir divers bonus. Utopia & Cimeria est une extension prévue cette année qui donne à nouveau un plateau double face Il existe des tuiles, officielles ou non, qui permettent de représenter les océans, forêts et cités en 3D au lieu de simples hexagones en carton. Cela donne une belle impression une fois la partie terminée. Toutes les images sont issues de Board Game Geek0 point
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Bonsoir, Quand on connaît un peu le domaine des jumelles (mais c'est aussi valable pour des optiques de diamètre plus grand, ce qui est courant pour nous en Astro ;-), rien qu'avec ces éléments, cela veut dire que le matériel a subi des dommages (autres que le transport), chute ou cogné qq part, hormis l'oeilleton qui ne tient pas. Une chute peut être accidentelle, mais on voit aussi bcp d'utilisateurs qui au final "se foutent du matériel". Après tout, c'est leur argent, le pb est plutôt la revente à qq d'autre... Quand on connaît un peu le domaine des jumelles (bis !), tu sais que la marque (n'importe quelle marque) ou un revendeur à qui tu ramènerais le matériel reconnaît au premier coup d'oeil (et même des 2 yeux, arf !) qu'il y a une décollimation du produit, et s'il y a eu une chute (décollimation+marque à un ou plusieurs endroits), en aucun cas, la marque prend sous garantie. L'avenir de cette paire de jumelles arrivée au niveau du SAV est soit retour à l'expéditeur (à ses frais) et/ou mise direct à la benne si le client ne veut pas récupérer la marchandise.0 point
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C'est normal car un trou noir en rotation extrémale présente deux avantages importants : - L’un est que des planètes peuvent graviter tout près de son horizon des événements sans être avalées. - L’autre est que la planète la plus proche de l’horizon peut subir une distorsion temporelle gigantesque. Pour un trou noir de Kerr très proche de la limite critique Jmax, le rayon de la dernière orbite circulaire stable peut-être quasiment égal à celui de l’horizon lui-même, 100 million de kilomètres (à quelques mètres près, on va pas pinailler). C’est la raison pour laquelle la plus proche planète de Gargantua, nommée Miller, peut graviter extrêmement près de l’horizon des événements sans être engloutie. En voici la preuve irréfutable en image : Source : https://blogs.futura-sciences.com/luminet/2015/11/28/la-physique-etrange-dinterstellar-26/ Mais on sait maintenant que la vie sur la planète Miller entraine de profondes mutations physiques et génétiques. Les scientifiques qui ont pris la photo ci-dessus ont pu observer ces changements sur deux habitants du Pays maudit qui ont été envoyés en mission sur la planète, la Schtroumpfette et un Schtroumpf lambda. Nous les voyons ici avant et après quelques heures passées sur Miller : Avant Après Là par contre je ne retrouve pas la source mais les images parlent d'elles mêmes.0 point
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Je ne sais pas si je fais un doublon sinon je suis surpris que la nouvelle ne soit pas encore propagée ici ! Jibé alias Jean-Baptiste Crétaux est décédé d'après l'annonce faite Lundi sur l'autre forum. Je ne le connaissais pas mais je m'étais interessé à l'oeuvre de sa vie, je veux parler de sa célèbre lunette du Père Josset à Puimichel à l'époque avant son déménagement à Barcelonette. D'après le nombre de messages (+5 000) que je vois sur webastro j'en déduis que c'était aussi une figure de ce forum ! Son profil : JiBé - Webastro Le site original de l'observatoire : La lunette du père JOSSET (archive.org) Le nouveau site : Facebook Reportage France 3 : Peut être que finalement celà n'interesse personne, cependant je pense qu'il doit évoquer des souvenirs aux quelques anciens ici et même certains l'on peut être cotoyé.0 point
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Salut, petite anecdote de chats plutôt marrante. En Janvier dernier, on a adopté un chat auprès d'une association qui s'occupe des chats érrants dans une grande ville voisine. Nous, on vit pour ainsi dire au milieu des bois à la campagne. Nous avons eu, de temps à autre, des problème de chats érrant qui ne se laissent pas approcher (ce qu'il ne les empêche pas de ce reproduire). Bref, notre chat (le gris sur la photo) "flèche" à commencé il y a quelques semaines à faire copain copain avec un jeune chat issu de la dernière portée des "sauvages". au début, le copain (le beige qui s'appelle maintenant "Yellow") était à l'extérieur de la grande baie à attendre son copain (ils ont à peu près le même age) pour jouer. Ces 2 là ne se sont jamais battu et allez comprendre pourquoi, "Flèche" n'a jamais essayé de défendre son térritoire. Petit à petit, il rentrait dans la maison partager le miamiam. Et enfin, maintenant, Yellow a élu domicile parmi nous, et il se laisse carresser, surtout quand il est avec Flèche. Je n'ai jamais vu des chats sans aucun lien de parenté tisser des liens aussi étroits, c'est plutôt surprenant. Donc, on a voulu adopter 1 chat, et au final, nous en avons 2...🤔 A noter que le dominant des 2 c'est Flèche qui est pourtant bati comme un vélo, et que Yellow, construit comme un tank se laisse faire. Bref, voilà, juste une histoire de matous avec un qui a trouvé une maison par le truchement d'un autre...🤪 a+ Serge0 point
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Ah, ca doit être un autre membre donc @cajuva La lunette après un petit nettoyage. Le traitement optique ainsi que la peinture du tube resteront marqués. Ah voir sur le ciel, ça pourrait faire une lunette a petit budget pour un amateur pour la lune et les planètes. En terrestre rien a signaler, tout roule.0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00