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  1. FredFred67

    FredFred67

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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 03/15/25 dans toutes les zones

  1. Salut tout l'monde, La semaine dernière j'ai loupé un phénomène rare et exceptionnelle : 7 nuits consécutives de ciel dégagé.....pour cause de grosse crève, bref ça n'arrive qu'une fois tous les dix ans et je suis passé à côté 🤯🤯🤯🤯 Du coup j'ai passé mes nerfs à retraiter LDN 1251 faite cet été suite à un problème de couleur et de rendu final trop "gris" J'ai donc tout repris depuis le début et avec les connaissances de Pixinsight qui commencent à se mettre en place, je pense arriver à avoir un meilleur rendu sur les couleurs. Ce n'est certe pas encore parfait, mais je pense qu'il y a de l'amélioration. Petit rappel d'acquisition : L : 1150*60s RGB : 20*60s A vous de me dire et de me conseiller 😉
    5 points
  2. Salut à tous ! Bon, me voici à vous partager un champ pris les 28/02 et 01/03 derniers de NGC 2237 (Rosette) à NGC 2262, en passant par SH2-280 (au milieu) ! A peu près 6h de conservé, pris avec l'Askar SQA55 et l'Altaïr 26C + Filtre Antlia tirband RGB. Suite des prises "d'hiver" à 265mm de focale donc ! Prétraitement Siril/Sirlic Traitement pix habituel rapide (GradientCorrection / SPCC / BlurX / StarX / Star stretch Seti astro / EZStretch Starless / NoiseX ) Ajustement starless sous PL8 par zones Assemblage + StarPikes et export JPG J'ai eu pas mal de difficultés avec le fdc cette fois curieusement, je n'arrive pas à savoir pourquoi, en outre une gradient à droite un peu bleu compliqué (peut être l'éclairage de ma maison car j'avais des amis ce soir là...) Voila voila !
    4 points
  3. NGC 1499 California Photos réalisées à la lunette Skywatcher Esprit 120ED à 650mm de focale sur monture Wave 150i Nikon Z7 défiltré/refiltré EOS For Astro, et filtre IDAS NBZII Pose de 6h40 en 64x400s , 64 darks, 64 flats, 64 bias, gestion du setup avec un Asiair Plus, EAF ZWO, Lunette guide 60/360mm et camera AZI290MM/mini. Faite à Hamois en Belgique la nuit du 30/11/2024 T Logiciels utilisés: Pixinsight, darktable, GIMP sous Linux. Ciel de qualité Bortle 4. La nébuleuse Californie (également appelée NGC 1499) est une nébuleuse en émission située dans la constellation de Persée. Elle a été nommée ainsi car sa forme ressemble approximativement à celle de l'état de la Californie sur les photographies à longue pose. D'une longueur d'environ 70 années-lumière, NGC 1499 se trouve à environ 1500 années-lumière de notre système solaire, ce qui fait d'elle l'une des régions HII les plus proches. Cette nébuleuse, découverte par l'astronome américain Edward Emerson Barnard en 1885, est probablement illuminée par ξ Persei, une étoile géante bleue de type spectral O7.5III. En raison de sa très faible magnitude surfacique, il est extrêmement difficile de l'observer visuellement, mais constitue une cible de choix pour les astrophotographes. La nébuleuse Californie (également appelée NGC 1499) est une nébuleuse en émission située dans la constellation de Persée. Elle a été nommée ainsi car sa forme ressemble approximativement à celle de l'état de la Californie sur les photographies à longue pose. D'une longueur d'environ 70 années-lumière, NGC 1499 se trouve à environ 1500 années-lumière de notre système solaire, ce qui fait d'elle l'une des régions HII les plus proches. Cette nébuleuse, découverte par l'astronome américain Edward Emerson Barnard en 1885, est probablement illuminée par ξ Persei, une étoile géante bleue de type spectral O7.5III. En raison de sa très faible magnitude surfacique, il est extrêmement difficile de l'observer visuellement, mais constitue une cible de choix pour les astrophotographes. Lien HD: https://lucnix.be/i.php?/upload/2024/11/30/20241130122728-cf8a4873-xx.jpg
    2 points
  4. Un Voyage au Cœur du Cygne Sous un ciel nocturne parsemé d’étoiles, dans l'immensité de la constellation du Cygne, j'ai pointé ma lunette vers une région méconnue mais fascinante : les nébuleuses Sh2-115 et Sh2-116. Avec mon filtre Antlia ALP-T, j’ai cherché à révéler la structure complexe de ces nébuleuses en hydrogène alpha, capturant la lumière émise par ces vastes nuages de gaz ionisé. Sh2-115, la plus imposante des deux, est une nébuleuse en émission située à environ 7 500 années-lumière de la Terre. Nichée dans les bras de la Voie lactée, elle est intimement liée à une région de formation d’étoiles alimentée par le rayonnement intense d'étoiles massives. Son éclat discret la rend difficile à observer en visuel, mais en longue pose, elle se dévoile sous la forme d’un entrelacs de volutes et de filaments sculptés par les vents stellaires. À ses côtés, Sh2-116, bien plus modeste en taille, ressemble à une petite bulle lumineuse flottant dans l'espace. Autrefois considérée comme une simple nébuleuse planétaire, elle est en réalité une petite région HII. Sa présence renforce l'intérêt de cette zone céleste, ajoutant une touche de contraste et de mystère à l’ensemble. Après plusieurs heures de pose sous mon ciel habituel, les brutes révélaient déjà les premiers détails. Les structures sombres et denses du fond galactique tranchent avec la douce lueur éthérée de l’hydrogène ionisé, créant un tableau cosmique saisissant. Le traitement des données a ensuite permis d’affiner chaque nuance, faisant ressortir les filaments et les contrastes subtils qui donnent vie à cette portion du ciel. À travers cette capture en Ha, Sh2-115 et Sh2-116 s’inscrivent désormais dans ma collection, témoins silencieux de la richesse du cosmos et de la patience qu’exige l’astrophotographie 🙏 Cliquez sur la version full pour les détails https://flic.kr/p/2qRSB2e 🔴🔵 : Filtre Antlia ALP-T Ha ⏱ :121x300" 🚨 : ZWO Asiair Plus 🔭 : Askar FRA600 f/3.9 📷 : ZWO ASI6200Mc Pro à -10° ⚙️ : iOptron GEM45 🎯 : ZWO ASI290MM Mini & guide scope Omegon 50mm 💻 : Siril - PixInsight - Photoshop 🌍 : Env Lyon 🌈 : Bortle 5.9 📅 : 22,25, 26/07/2024
    2 points
  5. Une nouvelle vidéo absolument magnifique.
    2 points
  6. Fini pour M33 cette saison, elle reviendra en Septembre. Elle est trop basse maintenant pour ajouter du temps. J'ai passer 4 nuits partielle dessus en Octobre Nov. et Décembre, avec retenus: 5h en RGB et 2,5h en Ha/OIII sur la 2600MC Avec le 200/800, ca donne un échantillonnage juste a 1". J'ai pousser le contraste car cette galaxie a tendance a apparaitre dans un nuage de brume, avec un hallo de poussières important autour qui donne des images tres grise ou uniforme. Et j'ai pousser les couleurs aussi. Siril + Graxpert + Gimp. Au final ca donne des bras relativement bien résolus en étoiles, et des nebuleuses juste partout !!! Quelque extrait puis la photo globale: Bras exterieurs tres etoilés avec des nebuleuses en pagaille, des Ha et des nébuleuses OIII en vert/blanc. Un bras vers l'exterieur resolu en etoiles. Le centre ! Bourré de Ha.
    1 point
  7. En effet, surtout sur les caméras modernes darks et bias sont moins nécessaires. Par contre pour la photométrie les flats sont primordiaux ! Il faut vraiment les faire avec soin.
    1 point
  8. 1 point
  9. Ah génial ce CROA, merci de nous avoir fait vivre ce beau moment ! C'est un chouette rattrapage pour tous ceux qui ont manqué cet événement 👍.
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  10. Pleine lune de cette nuit, Canon EOS 70D + sigma 150/600 ça vaut pas le combo lunette + caméra astro, mais ça marche aussi
    1 point
  11. Bonsoir, vous aviez raison ! un grand merciii Photo de la pleine lune ce soir avec un oculairede 20mm, débutant mais je ne lâche rien ! Merci encore D'ailleurs à l'occasion j'aimerais bien voir ce que ça donne avec les vôtres
    1 point
  12. Belle image et originale, bravo ! 👍👍🙂
    1 point
  13. Une e.vion 60 ou 80mm, pour 40 euros J'ai trouvé une annonce qui devrait vous intéresser sur leboncoin https://www.leboncoin.fr/ad/sport_plein_air/2952922415
    1 point
  14. Voilà un moment que je réfléchissais à un post pour regrouper mes ballades célestes aux jumelles 10x42 et à la lunette de 60mm. Je me décide enfin à l’ouvrir, en espérant que les quelques CROA que j’y déposerai au fil de l’eau permettent de faire honneur aux petits instruments et donnent envie à chacun de sortir sans complexe les siens et d’exploiter le potentiel parfois mal connu (ou méprisé) de ces modestes optiques. Aux quatre coins du Cygne, à la lunette de 60mm Le coup d’envoi est donné par la toute nouvelle venue chez moi, la petite TS Photoline 60/360. Depuis son acquisition récente la pauvre n’a eu que trop peu l’occasion de sortir pour des séances approfondies, la priorité ayant été donnée lors des rares nuits claires d’Octobre aux jumelles et au baptême du strock-250. Après une interminable semaine de brouillard, une nuit exploitable et presque inespérée s’est présentée Dimanche. Fini donc les tests planétaires et solaires rapides entre deux nuages, il est temps de passer aux choses sérieuses et de voir ce que cette petite merveille a dans le tube, sur des cibles un peu plus délicates. Installé à 21h15 sur la terrasse fraichement rénovée pendant les vacances, je constate avec appétit que le ciel est entièrement dégagé, sans aucun vent. Les quelques 8°C sont largement soutenables ainsi, bien que l’humidité taquine les 95% : la buée sera probablement de la partie et j’assure le coup en installant une résistance chauffante alimentée par une petite batterie externe. Ca ne tiendra probablement pas la séance complète mais retardera tout de même assez longtemps le vilain voile sur la lentille. L’éclairage public n’est pas encore éteint mais dans l’ombre de la maison je profite tout de même d’une belle voie lactée parfaitement visible du Cocher jusqu’à l’Aigle, faisant le pont entre la nostalgie des douces nuits d’Été et l’attente impatiente des fraîches soirées d’Hiver. La parcourant d’un bout à l’autre je m’arrête finalement sur la constellation du Cygne, dont le corps tout étendu plonge désormais inlassablement vers l’Ouest. Il est pourtant encore temps début Novembre de profiter de ses trésors avant qu’ils ne soient engloutis jusqu’à l’année prochaine. Le temps que la lumière artificielle quitte la scène et que les yeux s’habituent à l’obscurité, je braque mes projecteurs en guise d’échauffement sur quelques étoiles doubles bien choisies. La plus célèbre (bien que seulement optique) de cette zone est bien sûr la belle Albireo/β Cygni (3,1-5,1 ; 34"). Déjà facilement séparée au 24mm, elle domine un champ bien fourni de près de 4,5° piqueté d’étoiles faibles. La différence d’éclat est évidente tandis que les couleurs restent subtiles à 15x. À 50x les teintes jaune et bleue deviennent bien prononcées, et le disque d’Airy déjà visible à ce grossissement suggère une mise au point parfaite qui permet de profiter au mieux de cette magnifique vision : tandis que les étoiles aux alentours demeurent bien blanches et faibles, le couple coloré y règne majestueusement. Un essai à 135x permet d’apprécier le spectacle d’un peu plus près, avec une séparation accrue et des couleurs qui demeurent assez saturées, bien que dans l’ensemble l’image s’assombrisse et le champ se fasse bien plus pauvre avec seulement une dizaine d’étoiles restantes. La plus belle vue restera celle à 50x, bien équilibrée entre champ, séparation et couleurs. L’entrée suivante est une paire (réellement double cette fois) plus faible mais un chouia moins serrée, 16 Cygni (6,0-6,1 ; 39"). Dans un premier temps, petit passage sur M27 toute proche, bien évidente même en VD dans son trapèze d’étoiles. Même à 15x sa forme est aisément reconnaissable. Puis je vise l’étoile et tout de suite quelque chose ne vas pas. L’étoile en question n’a qu’une seule composante visible. Celle juste en dessous de magnitude similaire est bien trop éloignée pour que ça corresponde… Petit moment de trouble, puis après réflexion je constate sur le PSA que je vise la mauvaise 16 ! Il s’agit de 16 Vulpeculae, dans la constellation voisine du Petit Renard ! C’est également une étoile double, mais sa résolution est complètement hors de portée de cette pauvre petite lunette… Passé ce moment de solitude, direction l’aile Nord du Cygne pour trouver cette fois la véritable 16 Cyg. Elle se présentera comme une jolie paire serrée et équilibrée, très légèrement jaunâtre. À 50x en revanche la subtile coloration semble avoir disparu. Le grand intérêt du choix de cette double réside surtout dans son voisinage tout proche, en la personne de NGC 6826 alias la « Nébuleuse du clignotant ». Pas facile à distinguer des étoiles du champ, je la repère uniquement à x15 par le fait qu’elle forme presque un rectangle avec la double et deux étoiles de mag 7. À x50 elle est encore quasi ponctuelle, comme une étoile de mag 8-9, mais son aspect flou la met plus en avant. À x100 la nébuleuse planétaire s’élargit enfin en VI, arborant une forme légèrement ovale et un cœur plus brillant. Dans ce cœur sans doute se cache l’étoile centrale de mag 10,5 que je n’ai pas pensé à tenter d’isoler visuellement (la faute à mon manque d’expérience sur ce genre de cibles de toute évidence) mais pourtant à portée de l’instrument. Une autre double intéressante dans le Cygne est la célèbre 61 Cyg (5,2-6,1 ; 30"), dite « Étoile volante de Piazzi ». Sa popularité ne réside pas dans ses caractéristiques visuelles mais est plutôt due à son mouvement propre élevé, qui la fait se déplacer de manière notable sur quelques années par rapport aux étoiles environnantes. À l’oculaire, c’est néanmoins une très jolie double bien détachée du riche champ qui l’entoure, avec une magnitude d’écart bien évidente. À x50 la différence d’éclat semble moins prononcée mais toujours en faveur de la composante Nord. Les deux m’apparaissent identiquement blanches. Pour terminer cette sélection, un dernier couple stellaire, δ Cygni/Fawaris (2,9-6,3 ; 2,5"). Choisi pour sa grande difficulté, sa résolution est en théorie possible, à la limite du pouvoir séparateur d’une lunette de 60mm. Pourtant ses 2,5" d’écart se traduiront visuellement par un parfait disque d’Airy bleuté, même à 135x. Sans doute la composante la plus faible était noyée dans la lumière de l’étoile la plus brillante ? Tant pis pour le challenge, mais je ne repars pas bredouille de cette endroit pour autant, car ici-même débute le deuxième acte de la soirée, celui des amas ouverts. À commencer par NGC 6811, dans le même champ au Nord-Ouest. L’amas se présente à x15 comme un groupe très serré d’étoiles non résolues mais piqueté sur l’ensemble de sa surface. À x50 il arbore une forme irrégulière et bien plus pauvre en son centre, avec une dizaine d’étoiles résolues en VD et le double en VI, réparties par « grappes » de 4 ou 5. C’est une belle découverte, qui je trouve mériterait une plus grande notoriété. Un petit vent froid s’est installé sans prévenir et me rappelle que le temps passe très vite et que demain c’est Lundi et reprise du boulot. Il va falloir accélérer un peu pour les objets restants ou le réveil va être difficile… Heureusement les amas restants sont tout aussi faciles à pointer, en particulier M29 dans le même champ que la brillante Sadr. Voilà un objet du catalogue Messier que je n’avais pas encore observé, pas même aux jumelles. À x15 c’est un simple petit groupe serré de 5-6 étoiles en VI, pas très spectaculaire. En grossissant un peu (x50), 8 étoiles sont résolues, deux groupes de 5 et 3 en vis-à-vis. Je remarque également deux étoiles un tout petit peu à l’écart, sans savoir avec certitude si elles appartiennent bien à l’amas. L’ensemble est plus dispersé à x100 mais me permet de réaliser rapidement un petit croquis d’ensemble. Bon je n’ai toujours pas saisi pourquoi on l’appelle la « tour de refroidissement », néanmoins je trouve cet objet plus plaisant que l’idée que je m’en étais fait maintenant qu’il m’est plus familier. Je ne manque pas ensuite l’occasion de passer par M39, autre amas ouvert encore non observé tout instrument confondu. Repéré aisément même à l’œil nu en remontant depuis Deneb, c’est un large ensemble d’une vingtaine d’étoiles brillantes assez espacées, avec une forme globalement triangulaire. J’y compte jusqu’à 26 étoiles à x50. Ce ne sera pas l’amas le plus incroyable observé, mais je reste satisfait de cocher un Messier de plus. Pour terminer cette balade aux quatre coins du Cygne, j’ai choisi de rendre visite à l’amas NGC 6940, dans l’aile Est. Bien que ses caractéristiques me semblaient prometteuses, je suis finalement resté sur ma faim devant ce large groupe épars d’une dizaine d’étoiles faibles. Je choisis de ne pas aller plus loin pour ce soir et à 23h30 je me tourne vers l’Est pour quelques minutes de vagabondage entre Jupiter, Mars, les 3 amas du Cocher (M38 et sa « croix », M36 le plus petit avec ses 5-6 étoiles bien résolues, et M37 le « granuleux », un peu plus large que M36), les Pléiades, Bételgeuse, M42 et Cr69, l’amas juste au-dessus d’Orion et bien visible à l’œil nu, les Hyades qui couvrent tout le champ du 24mm et enfin Saturne, le tout à x15. Finalement, une petite sortie bien fructueuse qui me confirme que cette petite lunette est un bon complément aux jumelles pour les objets qui méritent un peu plus de grossissement, aussi vite sortie, facile à emmener partout et qui s’en sort très bien en ciel profond pour le moment. Il me tarde déjà de voir ce qu’elle peut offrir sur des objets plus discrets comme les galaxies et les amas globulaires.
    1 point
  15. Champ magnifique et très immersif 👍
    1 point
  16. 14/03/2025 Eclipse de Lune Pour cet événement et cette nuit spéciale, j'ai fait le choix d'un mode léger: les petites jumelles Auriol 12x32@4,8° (acheté 12€ chez L.dl!). Peu avant 5h, je commence à regarder depuis le balcon la Pleine Lune au Sud-Ouest. Des branchages sont dans la ligne de visée, je sors donc me poster devant la maison sur le bord herbeux de la rue de mon lotissement, assis sur une chaise pliante de camping. Du nomadisme à domicile!... 5h10 Couvert d'un bonnet et de gants, je commence à scruter le disque brillant qui se trouve dans la direction proche d'un lampadaire allumé peu gênant dans cette situation. Les binoculaires légères ne sont pas des références optiques, mais à force de réglage j'arrive à trouver une bonne mise au point et un bon axe de visée pour limiter le chromatisme à son minimum et à une appréciable discrétion. L'image n'est certes pas ciselée au scalpel, mais je distingue bien les mers, chaînes de montagne et les plus grands cratères. Les plus remarquables sont les ovales gris de la Mer des Crises et Grimaldi, respectivement à l'Ouest et à l'Est. Ainsi que Copernic au centre, Tycho et Longomontanus au Sud. Je retrouve la silhouette inquiétante d'un monstre dévoreur de cratères formée par les chaînes de montagne du Nord et de l'Ouest (voir mon CROA de l'éclipse de l'automne dernier, lien en bas). A part çà rien de particulier ne vient perturber la vue d'une Pleine Lune comme il y en a tous les mois... J'observe quelques minutes, puis ferme les yeux pour des micro-siestes de quelques minutes assis et immobile dans la fraîcheur piquante de cette nuit parfaitement claire. Ce n'est que vers 5h50 que je crois percevoir un léger assombrissement à l'Est. Si la Lune est passée furtivement dans la pénombre depuis près d'une heure, l'heure de l'ombre approche. ~6h10 L'assombrissement s'intensifie légèrement et l'échancrure ténébreuse apparaît enfin! Je vais la suivre continuellement aux jumelles en levant de temps en temps les yeux nus en direct. Bien calé sur le dossier, les coudes serrés près du corps, les mains en appui sur les pommettes, je limite le bougé pour une vue la plus stable possible. Grimaldi a disparu, l'Océan des Tempêtes ainsi que la Mer des Humeurs s'effacent. Puis c'est au tour de Copernic, Longomontanus, Tycho... Ce disque sombre qui grignote petit à petit l'Astre Sélène me donne un curieux effet d'aplatissement contrastant avec les reliefs courbés de l'Ouest lumineux. L'arc de séparation Ombre/Lumière, Noir d'encre/Blanc-gris n'est pas du tout comme le terminateur habituel des phases croissantes et décroissantes. Pas de dentelures finement taillées par le relief d'un Pôle à l'autre, juste un gradient rapide entre les valeurs extrêmes de la lumière. La Lune décline vers l'horizon et la ligne d'arbres. Je trouve une position très stable coudes sur les genoux pour apprécier ces derniers instants. Je frissonne de plus en plus fort de la morsure du froid. Je ne sens presque plus le bout de mes doigts. Mais je ne peux me détourner du spectacle beaucoup plus impressionnant cette fois que fin septembre. J'apprécie la perspective avec le haut des arbres, fractales des branches et aiguilles de pin qui masque progressivement l'objet unique de mon observation. Je me lève pour voler encore quelques moments. 6h35 Frigorifié mais satisfait, je plie ma chaise et je quitte dans un dernier regard à l'œil nu un bien étrange croissant de Lune, l'obscurité couvre un quart de la surface blanchâtre sans passer par les Pôles...
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  17. Ce qui est interessant, c'est surtout que on etudiait l'astronimie au lycée ! Ca fait longtemps que c'est plus le cas...
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  18. Un MAK127 sur AZ5 est un très bon choix pour débuter avec une préférence lunaire/planétaire. Le tout restera en plus très transportable et sous un beau ciel tu pourras profiter de bien des amas globulaires, des galaxies...
    1 point
  19. Salut, bien content de relire ton compte-rendu car j'ai à peu près le même ressenti. Je viens en effet de craquer pour les Swaro SLC 10X56 il y a un petit mois je dirais, j'ai donc pu commencer quelques tests en diurne et nocturne. Hélas les conditions météo pourries n'ont permis que des tests soit en période de lune, soit avec pas mal de voiles diffus, donc un ciel pas bien noir. Hé bien force est de constater que j'ai aussi du mal à bien positionner de façon sûre les yeux : avec ou sans lunettes, avec les oeiletons sortis ou pas, l'écart des fûts est aussi très sensible, attention aux zones sombres volatiles. Bien entendu, le fait de garder mes lunettes de vue semble introduire pas mal d'aberrations optiques en plus, mais cela est valable sur d'autres jumelles testées, et semble logique. Mais le pire, c'est : - comme une espèce de reflet concentrique avec le bord de champ, d'une petite portion de cercle, en diurne. Heureusement cela semble lié à l'orientation par rapport au soleil, plus marquée en lumière rasante, quasi disparu quand on est presque dos au soleil - et en nocturne, le bord de champ semble comme tu le dis "blanchi" sur une petite zone, mais comme le ciel était un peu voilé j'ai du mal à faire la part des choses entre ces voiles et un réel défaut. Et du coup par contraste le centre du champ paraît parfois anormalement sombre. Mais ces 2 ressentis semblent plus ou moins disparaître selon comment on place l'oeil. Je ne sais pas s'il s'agit de la grande pupille, ou du relief d'oeil, ou autre, mais en tous cas le placement d'oeil et le l'écart des tubes semblent très sensibles sur ce modèle, à affiner sans cesse. Un peu déstabilisant par rapport à mes autres jumelles plus petites ou tu règles l'écart une fois pour toutes, tu positionnes tes yeux de façon sûre et basta. En tous cas, j'avoue que tout cela m'a un peu déstabilisé par moment, sur des jumelles de ce prix et cette réputation, et pour lesquelles je n'avais lu que des louanges terribles et aucunement évocation de ces petits "reflets". Je me sens donc moins seul en lisant ton CR et l'évocation de ces "flares" qui semblent correpondre vraiment à ce que je constate aussi. Te rappelles tu des sources où tu aurais lu cela aussi ? Sinon, pour le reste, rien à dire c'est du top, qualité, finition, luminosité, qualité d'image, contrasté et piqué, couleurs, agrément d'utilisation ... Je suis même très surpris de la préhension agréable et pas si lourdes que cela, malgré un poids de 1300 g sur la balance courroie incluse. Tests à poursuivre pour cette histoire de "flares" donc, mais d'ores et déjà je ne les rangerais pas dans la catégorie de perfection absolue, comme j'ai pu le lire par ex sur le site de Scope Views. Bizarre de la part d'un testeur visiblement expérimenté, alors que j'ai constaté ces petits "reflets" quasi tout de suite ...
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  20. Hello chère communauté, Je crée ce sujet suite à la découverte de tous vos clichés sur ce forum. En effet, je contribue sur la Wikipédia Française au projet Astronomie, et plus spécifiquement sur la création et l’amélioration d’articles sur les étoiles, les nébuleuses, et d’ordre général tous les trucs qu’on peut (plus ou moins facilement) observer la nuit dans le ciel. Et je rencontre un souci de taille : presque aucune illustration n’est libre de droit sur internet pour illustrer tous ces articles. Pourtant, les clichés sont à chaque fois magnifiques ! Je viens donc vous proposer, pour ceux qui le souhaiteraient, de placer les clichés de votre choix (dont vous êtes propriétaires, créateurs) sous licence Creative Commons, et ainsi les mettre en ligne sur Commons (le projet d’images libres de Wikipédia), de sorte que l’on puisse réutiliser les images pour illustrer nos articles d’astronomie avec les clichés correspondants. Comme vous le savez sûrement, la propriété intellectuelle est importante : https://www.webastro.net/forums/topic/58131-photos-et-propri%C3%A9t%C3%A9-intellectuelle/ Pour pouvoir utiliser une image dans un article Wikipédia, il faut que celle-ci soit sous licence Creative Commons, et plus spécifiquement sous CC-BY-SA 4.0. Si cela sonne comme du charabia pour vous, cette licence signifie que : Il est possible d’exploiter l’œuvre y compris à des fins commerciales et de modifier celle-ci à condition que l’œuvre dérivée soit distribuée sous une licence identique à l’œuvre originale. C'est-à-dire que vous restez propriétaire de l’image dans tous les cas. L’image peut cependant être réutilisée (y compris à des fins commerciales), à condition que vous soyez crédités, et que l'œuvre créée soit elle aussi sous licence CC-BY-SA 4.0. (infos ici : https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/deed.fr) Si certains d’entre vous sont tentés, voici la marche à suivre : Je (ou vous) mets/mettez en ligne l’image sur Commons en remplissant le nom, la description, et les autres infos utiles Vous envoyez un email (je peux fournir le modèle et toutes les infos utiles) à l’équipe de Wikipédia en charge des droits des images pour expliquer que vous êtes propriétaire de l’image, et que vous souhaitez placer l’image en question sous licence libre. Je (ou vous) place/placez les images sur les articles Wikipédia correspondants Nous manquons cruellement d’illustrations sur à peu près tous les objets stellaires de tous les catalogues astronomiques (Sharpless, RCW, Gum, NGC, IC, Caldwell, Collinder...). Et si l'article concerné par votre cliché n'existe pas, ce sera une belle occasion de le créer N’hésitez pas à poster dans cette discussion les clichés que vous souhaiteriez placer sous licence, ainsi nous aurons une liste de suivi des différentes mises en ligne à faire. Je m’occuperai de vous contacter en privé pour les détails concernant la licence et la mise en ligne. Merci d’avoir pris le temps de me lire, je me tiens disponible pour toute question Mathis / Arek7 Synthetic RGB of the Sadr Region Erik Larsen said: 30 10min subs with OIII filter and 25 10min subs with 6nm Ha filter at ISO 1600 stacked in DSS then adjusted in PS CS2. Canon 500D(modded) , Orion Atlas mount and the lens was the Nikon 180ED @ f/2.8 and a 7x40mm finder as a guide scope. includes w:IC 1318, w:NGC 6888, w:IC 1311, w:NGC 6914, w:NGC 6910, w:IC 4996, w:NGC 6913, w:34 Cygni, Sadr (w:γ Cygni), w:40 Cygni, qui illustre l'article Cygnus X sur Wikiépdia
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  21. Parfois la vie est ironique. Certains savent que j'ai fait l'acquisition d'un 300 mm parce que ma passion se tourne autour du ciel profond. L'ironie veut que mon CROA du jour concerne la Lune 😅 Les nuits précédant son arrivée n’étaient pas propice à l'observation alors point d'hésitation lorsque j'ai constaté qu'aucun voile nuageux ne pointait le bout de son nez ce soir. Collimation (ou tentative 😄) dans l'après-midi et mise en température dans la soirée: rien ne pourra m'arrêter. Vers 22h, le phénomène de lune cendrée est bien visible et agréable à regarder, plus encore à 50x. Les 70° de champs me laissent le temps de faire défiler la sphère lentement et de mentalement dépeindre quelques détails. A l'heure où la photographie est si qualitative, je m'étonnes toujours du tel détail qui pique la rétine lorsqu'on se place derrière l'oculaire! Chaque arête au contraste saisissant, chaque pic central semblant être clairement défini, chaque nuance de gris donnant l'illusion de l'immédiate proximité de ce monde réservé à une 12aine de privilégiés. Le passage à 95x me donne d'autant plus de plaisir que le champs de 82° laisse la bille entièrement dans l'oculaire (mais c'est tout juste!). Tout de suite ça défile plus vite et ça zouk sévère. Point de grossissement plus élevé cette fois. L'œil doit s'accrocher aux détails plus fugace et l'observation devient plus délicate mais toutefois fort agréable. L'œil à l'oculaire, je me suis demandé "et maintenant, on fait quoi?" C'est vrai, la lune fourmille de cratères mais cette fois je veux essayer autre chose. Je veux essayer d'observer. En d'autres termes de chercher et d'analyser. @GeoffreyJoe m’a conseillé un jour de creuser ce que je vois pour comprendre ce qui est observé et ce conseil je me le suis appliqué. Tout ce qui est visible sur la surface lunaire est d'origine diverse alors je me suis mis à la recherche d’éjectâts bien visible permettant d'identifier le cratère d'impact à l'origine de leur présence. Cette recherche donne ensuite une idée de l'angle de l'impact, du rebond central, de la taille du bolide bref, une observation détaillée. Le trio Theophilius / Cyrillus/ Catharina est visible au bord du terminateur, en plein milieu du disque lunaire et sera mon repère. Pour les novices en la matière, ce sont eux: La première trace d'éjecta qui attire mon attention se trouve au sud ouest de la mare nectaris, en direction de la rupes altai. Il est proche de Polybius, est rond, défini et contrasté. Cela me laisse penser qu'il doit être contemporain de Polybius toutefois je n’ai pas son nom. En plein milieu de la mare nectaris, un petit cratère est également prolongé d'un long éjectât blanc, presque touché par le précèdent éjectât, contrastant avec le sol gris et lisse de la mer. Son petit nom: Rosse. De même caractéristiques que le précédent et dans le quasi même axe, je m'imagine déjà un couple de cailloux ayant terminé sa balade cosmique par un double impact à la surface de la lune. Stoppant la folle chevauchée des deux amoureux, la lune offre au couple une sépulture commune, comme main dans la main m, pour le reste de l'éternité. Ironie de la vie. [...] J'en ai 3 ou 4 autres comme ça, ainsi que des cratères atypiques, toutefois un CROA de 2 pages, ce n’est pas ce qui est le plus lisible alors je les garde pour plus tard si le récit plaît. J'ai juste pris du plaisir à observer et je tiens à vous remercier pour vos encouragements à partager mon enthousiasme. Mes notes m’ont permis de me remettre à l'esprit ce moment et je sent que mes observations futures seront plus qualitative puisque je pourrais reprendre le chemin où je m'étais arrêté. Bon ciel à vous les gens, Florent.
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  22. Les Australopithèques taillaient des pierres pour en faire des outils il y a 2.6 millions d'années. Mais les outils en os n'étaient connus -en Europe et en Asie- que depuis 400 000 ans. De nouvelles découvertes en Ethiopie (dans les célèbres gorges d'Olduvai) ont été datées de 1.5 millions d'années. Ces outils sont attribués à Homo erectus. Credit: CSIC
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  23. J'ai hérité il y a quelques années de ma mère, d'un cours de cosmologie de classe terminale , "conforme aux programmes du 30 avril 1931, à l'usage de la classe de mathématiques de l'enseignement du Second degré (lycées et collèges de garçons et de jeunes filles)". Voici l'état des connaissances de l'époque sur les "nébuleuses" en particulier : et les images obtenues à l'époque : 10h45 de pose avec un miroir de 1m50 quand même ! on fait mieux avec une lunette de 60mm... Pour ceux qui on leur bac, un petit problème (vous avez 1 heure) :
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  24. Hello les amis Je vous présente NGC7000 prise en Mars 2024 Seulement 10 poses de 600" soit une intégration totale de 1h40 Je l'ai retrouvée sur mon disque externe Je pensais la compléter mais je la poste pour avoir votre avis Fra400 sur Eq6 R Pro 533 MC pour l'imagerie 120 mini pour le guidage via DO Zwo Asiair Plus Traitement : PixInsight Ceci est la 1ère version Je compte l'améliorer un peu
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  25. Bonjour à tous, Voilà un club qui m'inspire... modeste débutant (depuis pas mal d'années), j'habite dans les Baronnies provençales où je pratique l'astrophoto (enfin, j'essaie!). J'aime beaucoup la photo de ciel nocturne avec des monuments, etc... Bravo Fred pour la qualité de tes images (traitement, traitement... mon ennemi de toujours!) et pour avoir eu l'idée de ce club qui, à n'en pas douter, me permettra de progresser dans ma pratique. Ci-joint une image de mon village avec UMa bien calée au-dessus de la montagne. Bien traitée elle serait bien meilleure... Pierre
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  26. V2 avec un peu de deconvolution , lumiere et contrast: et la version HHO Oui, c'est cette nebuleuse en peu de temps ca sort bien, elle est plus lumineuse que les autres.
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  28. C'est pas mal en première version et original vue ainsi ! Tu as peut être un poil de magenta en dominante, ça pourrait être ré-équilibré simplement je pense !
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  29. Bonjour, une image des nébuleuses dans IC2162. T200 - 1150 (fab perso) + ZWO 533MM + Baader HRVB sur monture AZ-EQ6 Pilotage et prise de vue en automatique sous NINA Traitement Pixin. La couche Ha est prédominante avec la couche rouge ce qui est bien difficile à traiter le vert et le bleu ne font que de la figuration sur cette nébuleuse. A tenter avec un OIII mais la météo n'a pas laissé le temps de la faire. A+
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  30. C'est l'avantage de la lune. Ça marche avec tous les matériels et toutes les focales
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  31. Je l'ai également traité en couleur mais le but ici est de faire du traitement Ha spécifique avec du GHS Pixinisght 😉
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  32. Très belle image , bien joué !
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  33. Exact C'est quand même la petite lulu qui sort le plus souvent (vraiment le plus souvent). De mon point de vue, l'instrument ne doit pas succomber à une mode mais bien correspondre aux objectifs de l'observateur. Certes, je veux bien croire que la majorité des astrams soit attirée par le merveilleux spectacle que leur offre (gracieusement) le ciel ce qui implique souvent un diamètre conséquent. Ce n'est pas mon cas (même si ce le fut il y a maintenant bien longtemps). Concentré sur la seule Lune , je m'efforce de comprendre ce qui s'y est passé. La majorité de mes interrogations se contente d'un petit diamètre (pratique, rapide ...). En revanche, le gros mak m'est bien utile lorsqu'il s'agit de contraste, d'une colongitude particulière ou de petites pétouilles. Avant cela, c'était le Soleil, période qui fut couronnée par les ROS à Serbannes, une grosse réunion internationale. Aujourd'hui ce sont les RPL (pour rencontres passion Lune) à Lalizolle. On y croise beaucoup de modestes diamètres à peine troublés par les gros ou les très gros.
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  34. Salut Je me suis permis quelques ajustements, ta photo le méritait, je peux la supprimer si çà te gêne
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  35. Bonjour les lecteurs de SF ! En juin 2022, j'annonçai ici la sortie de mon 1er roman de SF, BELISAMA... Sollicité par de nombreux lecteurs, j'ai creusé encore ce sillon et j'ai écrit une suite qui s'intitule LES ENFANTS PERDUS DE BELISAMA dont le synopsis est : Ce récit « Les enfants perdus de Belisama » est la suite de « Belisama ». Après l’invasion de la Terre par une civilisation extraterrestre, le sort de la planète bleue semble réglé. C’est sans compter sur le hasard, le destin ou l’existence de desseins inconnus… Cette suite majestueuse nous fait vivre une véritable épopée dans laquelle se côtoieront de puissantes civilisations galactiques foncièrement différentes, plus ou moins belliqueuses… L’Humanité trouvera-t-elle un chemin dans ce maelstrom cosmique ?... Si vous êtes tentés, sa sortie officielle est le 4 avril et il est d'ores et déjà précommandable auprès de votre librairie préférée physique ou en ligne et également auprès de l'éditeur. Astronomiquement
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  36. superbe image ! petite question tu a une 2600 MC, pourquoi ne pas l'avoir en couleur ?
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  37. Bonjour à tous, bonjour loulou, Là, on est dans le très haut de gamme ! L’exceptionnel ! Le remarquable ! Moi qui suis un "amoureux" 🤪 des jumelles, j'aimerais bien les posséder mais bon, pour acheter tout mon matériel astro, macro et micro, j’ai déjà vendu mes 2 reins, les 2 bras et je n'ai plus de peau aux fesses. J’attend que tout ça repousse. Amicalement FRanck
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  38. C'est superbe !
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  39. Absolument magnifique bravo 🙂
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  40. C'est vrai . . . mais par contre, d'autre le font pour nous :
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  41. Résolution remarquable !
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  42. Avec plaisir, La qualité n'est pas top mais ça laisse un souvenir de ce bon moment. Bon ciel à tous. Adrien
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  43. Petit montage de l'éclipse de ce matin. Photos faites à main levée au smartphone sur lunette 91/600 et Es 14 82°. C'était top à suivre, dommage pour la totalité mais les arbres et l'horizon on été plus fort. Belle journée à tous. Adrien
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  44. Salut, Voici la dernière image de cette lunaison avec le T200 Zen, avant que le T250 reprenne du service à la prochaine nouvelle lune. La magnifique galaxie spirale barrée NGC3718, à environ 57 millions d'a.l. dans la Grande Ourse, possède une forme très caractéristique, due à son interaction gravitationnelle avec la spirale NGC3729 à proximité. Le groupe compact Hickson 56 situé en arrière-plan, à environ 420 millions d'a.l., donne à l'ensemble beaucoup de relief. Il s'agit d'un de mes champs préférés du ciel sur lequel je reviens presque tous les ans. Sa faible luminosité surfacique le rend difficile depuis ma banlieue à 20km du périphérique parisien. La nuit de mercredi à jeudi fut relativement bonne malgré la lune, bonne transparence et turbulence raisonnable. J'ai pu faire 370*60sec de luminance et 40*60sec par filtre RVB, que j'ai pu combiner avec 356*60sec de luminance prises en 2023 dans des conditions comparables. L'image finale est obtenue à partir de 12h de luminance, avec une FWHM médiane de 1,97" et une magnitude limite de 21,7 d'après astap, et 40min par couche couleur. Je ne suis pas très satisfait de la colorimétrie, j'attendais plus de bleu et moins de vert dans la galaxie alors que j'utilise exactement le même process que d'habitude avec SPCC en particulier (ce dernier d'ailleurs semble curieusement sensibles aux étapes antérieures comme le calage des histogrammes ou la méthode de retrait de gradient). Voici donc l'image totale (clic droit pour la pleine résolution) : Une version recadrée : Et enfin la luminance annotée : e vous laisse trouver le quasar de redshift z=4,8 (WISEA J113309.46+5315307), de magnitude m_R = 21,8 et m_B = 22,51. Sa lumière a été émise il y a 12,4 milliards d'années ! Bon week-end, Dan Détails techniques : Astrographe 200/800 carbone optiques Zen + Wynne 2.5" sur AP900 ASI183mm, guidage OAG + ASI120MM, ASIAIRv1 Luminance 720*60sec à gain 110, -10 °C Chrominance 40*60sec à gain 110, -10 °C par couche RVB Conditions de turbulence correctes (FWHM de 1,97" après empilement), pollution lumineuse d'IdF à 20km de Paris. Empilement Siril, traitement PI et Rawtherapee
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  45. Bonsoir les gens ! Rien de bien original mais j'ai profité d'avoir mon petit setup monté pour faire ce que l'hiver ne m'a pas permis de faire, mauvais temps oblige. NGC 1499, La nébuleuse Californie donc, en solo, pil dans le cadre Deux nuits mais incomplètes, encore des nuages hauts... Un peu plus de 5h au final avec l'Antlia Triband RGB, la semaine dernière. Imagé avec l'Askar SQA55 (265mm) et l'Altaïr 26C (imx571). Prétraitement Siril/Sirlic Traitement pix habituel rapide (Gradient (pas mal présent) / SPCC / BlurX / StarX / Star stretch Seti astro / EZStretch Starless / NoiseX ) Ajustement starless sous PL8 (y compris les coins pas complètement traités par le gradientcorrection) Assemblage + StarPikes et export JPG Je vous laisse juges et critiques comme d'habitude !
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  46. Bonjour les amis, pour ma toute première participation au QAC je vous propose une petite énigme : à quoi se réfère le moyen mnémotechnique suivant : "La planète Mercure danse malgré autant de milliards d'années" ? Je ne sais pas si elle a toute sa place dans ce topic alors n'hésitez pas à me dire si je dois la retirer bien sûr A vos méninges ! Alexis
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  47. C'est… à boire, à boire, à boire… c'est à boire qu'il nous faut…
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  48. salut les gars, Je suis un peut a la bourre mais vous pouvez faire de la régule avec leW1209 et ajouter une sonde a oeil ca marche plutôt bien. régule sur mon asi 385 : Peltier ASI ZWO385 MC Malastyle by Mulot35 - Thingiverse tout les liens sont dans les détails de l'objet et il y a une photo du montage électrique.
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