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2 nuits dégagées ! Youpiiii ! J'ai choisi un champ un peu large pour essayer de faire la part belle aux IFN, c'est ma version des Pléiades. On peut discuter le résultat et les couleurs. L'autoguidage a été souvent dans les choux (donc du déchet), sauf après le retournement...Je me demande si je ne dois pas faire une petite laparotomie exploratrice de la GTI... (réglage backlash...). 🗓️: 13 et 14/12/2025 🔭: Askar SQA55 📷: Player One Poseidon C-Pro ❄️-10° ⚙️: StarAdventurer GTI 🚥: Player One Anti-Halo UV/IR cut 🎯: ZWO ASI120mini + lunette 30 f/4 💻: NINA + GSS + PHD2 ⏱️: 198x120s (6h30) 🎚️: Gain 125 🖥️: Siril + PixInsight + Photoshop 🌍: Haute-Vienne 🌔: 0% 🌌: Bortle 412 points
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Salut, Hier, j'ai eu le bonheur de pouvoir faire du visuel à travers le T500 de @savoyard pendant que mon matos lui, tournait en autonomie complète à 20 bornes de là. Ce fut une soirée à marquer d'une pierre blanche bien que j'ai loupé le "casque" au T500, trop occupé étais-je à discuter avec un "voisin de monture" de son club. Cela m'a néanmoins donné l'idée de le faire lorsque je suis rentré sur le coup de 01H30. Donc voici, résultat de 2H1/2 d'intégration en poses de 240Sec au T350 F4.6 et ASI6200MC en starless: A vos commentaires a+ Serge9 points
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Salut, j'en profite que WA ait racheté un HDD (ou un SSD si on est rêveur) pour vous montrer l'acquition de première partie de nuit. Le but de la manip n'est pas NGC 891 mais plutôt toutes ses voisines dont certaines offrent de bons détails. environ 2 1/2H de poses au T350: La version annotée: A vos commentaires a+ Serge8 points
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AU COEUR DE LA NEBULEUSE D'ORION Bonjour à tous, Je poste vite fait un petit trapèze d'Orlon dessiné hier au C11. La constellation est au zénith quasiment, et la stabilité est pas mal du tout. E et F brillent de façon étonnante ! J'ai donc esquissé une nouvelle fois le berceau de cette sublime nébuleuse M42. Je me suis aussi attardé sur Messier 1. Moins spectaculaire sans doute... Ma soirée a été écourtée par le dysfonctionnement de ma raquette de commande. Aie...J'ai soupçonné le cable d'alimentation mais je crains fort que ce ne soit la raquette elle-même qui s'appelle rechange ? Eh bien c'est un mal pour un bien, j'ai commandé le petit boitier ioptron wifi pour désormais effectuer le tout à partir de ma tablette voire mon smartphone. Je vous ferai un compte rendu du résultat. Bon ciel de Noel à tous Gildas7 points
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Salut, voici ma 2ème cible de la nuit dernière, avant que je ne rentre et bascule sur le casque de Thor. C'est une cible que j'ai repéré à travers mon cliché à 40mm d'Orion, plus haut ici. Je crois que c'est une nébuleuse que l'on voit rarement sur les forums. C'est le résultat d'environ 2H30 d'integration: et la starless: A vos commentaires a+ Serge6 points
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Bonjour à tous ! Je vous présente ma dernière image toute neuve de cette nuit, le duo M77 (en haut à gauche) et NGC1055. Elle a été capturée avec un newton 150/750 + correcteur x0.95 et une miniCAM8 mono. Il y a 2h30 au L et 3x30' pour la couleur, du NINA, du Pix et de l'Affinity Photo. Pas pu poser plus, elles ne sont pas bien hautes dans le ciel. C'était la photo d'identité destinée à illuster une manip spectro faite il y a un mois : M77 est une galaxie à noyau actif (AGN) de type Seyfert II (le noyau actif est partiellement caché par des poussières). Son spectre a été capturé avec un C9XLT @ x0.63 + Player One Neptune-M (IMX585) + Alpy 600 en 18 x 300" (1h30). Le pic d'émission Hα est noyé dans les émissions voisines, je me suis donc servi des autres émissions plus nettes en Hβ, Hϒ et OIII afin d'évaluer le redshift. Le décalage vers la droite (vers le rouge) sur les pics Hβ et Hϒ est d'ailleurs bien visible. Ma manip me donne une M77 qui s'éloigne de de la Terre à 1132.91 km/s pour 1137 km/s d'après la littérature, soit 0.4% d'écart >> satisfaction de l'opérateur . Cette nuit là, j'avais bien l'intention de capturer le spectre de NGC1055, autre galaxie Seyfert de type II mais ça s'est pas super bien passé pour la cadrer d'abord puis les nuages sont arrivés, la routine quoi... Une prochaine fois probablement car j'aimerai voir les différences de spectres entre une galaxie de type Seyfert vue par la tranche et vue "de face. Et voilà !6 points
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Salut, grâce à la chirurgie exploratoire sur Orion faite au Sigma Art 40mm F1.4,: j'ai eu l'envie la nuit dernière de prendre S2-264 nébuleuse faiblarde très étendue autout de Lambda Orionis. J'ai pu cumuler 80 poses de 240Sec soit 5H30 d'integration sur l'ASI6200MC+Filtre IRcut. J'aime bien cet objectif, il est très bon: et la version starless: A vos commentaires a+ Serge6 points
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Après de nombreux essais et réglages, cette image est le résultat de la combinaison de données prises à plusieurs mois d’intervalle. Les poses Ha/OIII réalisées en octobre sont venues compléter un jeu plus récent en SII/Hβ, afin d’exploiter au mieux le signal disponible. La météo capricieuse de fin d’année ne laissant guère d’alternatives, il a fallu composer avec ces données pour finalement donner naissance à cette version finale en HSO-Hβ qui me convient parfaitement NGC 1499 – La nébuleuse de la Californie Située dans la constellation de Persée, NGC 1499 est une vaste nébuleuse d’émission distante d’environ 1 000 années-lumière. Sa forme allongée rappelle étonnamment la côte ouest des États-Unis, d’où son surnom de California Nebula. Elle est principalement illuminée par l’étoile chaude Xi Persei, dont le rayonnement ionise le gaz environnant et révèle de fines structures de poussières et de filaments. Très étendue mais relativement faible, NGC 1499 est une cible idéale pour l’imagerie en bande étroite, permettant de mettre en évidence la complexité et la profondeur de cette immense région de formation stellaire. La version full pour les détails https://app.astrobin.com/i/zsy3n45 points
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Hello, Autre image "fraîche" , réalisée fin novembre, enfin traitée. La nébuleuse NGC1333, lieu de formation d'étoiles. Déjà faite aussi par le passé, avec moins de réussite. ça m'a pris quand même 3 nuits pour accumuler assez d'images pour les 4 filtres. SCT Celestron C8 (203/2000) + réducteur Antares 0.63x + réducteur TS CCD47 0.67x focale @ 881mm f/d 4.3 Caméra QHYminicam8 mono Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA L= 1500 x 20s R= 102 x 60s G= 104 x 60s B= 101 x 60s Mode Full Gain 82 offset 50 T° -5°C Pré-raitement Sirilic/Siril , Pixinsight. Etirement VeraLux Une brute de 20s avec le filtre L: Image finale:5 points
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Salut, je vous propose une nébuleuse discrète que vous ne verrez pas sur tous les forum visités par tous et le chien (ne pas oublier le chien). J'avais adoré le fantôme de Cassiopée et j'avais découvert sur ce cliché son pendant coté Orion à coté d'Alniham: donc, voici la belle issue d'environ 5H d'intégration: Avos commentaires a+ Serge4 points
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Hello, Me voici de retour après une (trop) longue période d'absence active sur le forum (temps pourri, occupations, flemme, etc....). Retour aux affaires avec quand même quelques images réalisées entre temps. NGC 2403 (aussi appelé Caldwell 7) est une galaxie spirale intermédiaire rapprochée et située dans la constellation de la Girafe. NGC 2403 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1788. SCT Celestron C8 (203/2000) + réducteur Antares 0.63x + réducteur TS CCD47 0.67x focale @ 881mm f/d 4.3 Caméra QHYminicam8 mono Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA L= 599 x 20s R= 70 x 60s G= 68 x 60s B= 65 x 60s Mode Full Gain 82 offset 50 T° -10°C Pré-raitement Sirilic/Siril , Pixinsight. Etirement VeraLux (je ne sais pas si les images vont bien s'afficher) Une brute de 20s filtre L:4 points
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Salut, chez moi l'horizon sud est un peu masqué et le sud c'est vers le centre ville... Donc j'ai en gros 2h30 de prises de vue possible par nuit sur cette cible. Comme je l'avais fait pour l'aigle, j'ai décidé cet hiver de passer le plus de temps possible sur cette cible en parallèle du reste. Malheureusement la météo, c'est la cata et depuis octobre, j'accumule des petits bouts sur je ne sais plus combien de bouts de nuits... Pour augmenter la qualité, sur M16 j'avais sélectionné 50% des meilleures images. Pour le moment, je suis à presque 12h de cumulé avec 75% de retenu. Faut que j'avance encore car je souhaite réduire à 50% aussi et je dois faire le RGB... Vu les prévisions, je vous fait un point intermédiaire. J'ai mis l'image sur Télescopius mais je n'arrive pas à mettre un lien correct ici. Vous savez comment faire avec Telecopius ? En attendant la voilà en découpant le lien télescopius et donc pas moyen de zoomer. https://telescopius.com/pictures/view/254470/deep_sky/ngc-2023/ic434/by-hibon Suite au prochain épisode Sam4 points
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Salut les cométistes, C'est reparti pour une année on l'espère bien chevelue ! 2025 ne nous a pas déçus malgré des prévisions plutôt pessimistes, avec une très belle C/2025 A6, mais aussi 3I pour celles et ceux qui ont eu la chance d'avoir un bout de ciel bleu, de même que R2, K1 et T1 (que j'ai malheureusement loupées....). 24P/Schaumasse : on démarre avec une périodique qu'il faudra aller chercher en seconde partie de nuit en janvier, avec une magnitude qui frôlera 8 C/2025 R3 (PanSTARRS) : il faudra aller la chercher bas sur l'horizon le matin en avril avant son périhélie, ensuite elle sera du soir mais au ras de l'horizon, les prédictions la donnent à un peu mieux que m8, mais elle pourrait être bien plus brillante grâce à la diffusion des poussières de la queue (elle passera entre le Soleil et la Terre) 10P/Tempel 2 : une autre périodique qui devrait passer sous la barre de m10 entre la mi-mai et la mi-octobre ! Elle grimpera à m7 durant l'été, au moment où elle sera assez basse sur l'horizon sud 169P/NEAT : une comète plus difficile qui naviguera autour de m12 en août dans le ciel du soir 161P/Hartley-IRAS : une autre périodique un peu plus accessible, qui se baladera dans le ciel du soir entre m9 et m10 de fin septembre à fin octobre C/2025 T5 (ATLAS) : on termine l'année avec une comète difficile, qui stagnera à m12,5 de décembre 2026 à janvier 2027, elle fera un petit tour à proximité de Rigel dans Orion Je vous remets le triptyque de liens habituels : La page de Seiichi Yoshida : http://aerith.net/ Celle de Gideon van Buitenen : https://astro.vanbuitenen.nl/comets Le site du COBS : https://www.cobs.si/analysis/ Pas d'images pour l'instant, problème lié à WA...4 points
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Hello à tous et toutes! Un an s'est écoulé depuis l'acquisition de ma lunette Takahashi FC 100/800 DZ ; je possède toujours la SW 100/900 ED, qui bien que sortant moins souvent , est utilisée assez régulièrement, principalement pour les observations publiques. Il m'a semblé complémentaire et "honnête"...d'affiner mes impressions lorsque je passe d'une lunette à l' autre, où que je les mets encore parfois côte à côte... Mon tout premier CROA " waouh" ...avec la Taka, sur mon spot d'observation péri urbain habituel, s'est déroulé sous un ciel particulièrement transparent et peu turbulent...je l' ai constaté en re- observant le ciel quelques jours après. Des conditions donc très flatteuses pour la FC 100, sans négliger aussi peut-être l' impression de " mieux voir" ? avec un instrument haut de gamme...cela peut jouer sur l' objectivité de l' observation.... Est ce pour conclure que la différence en visuel entre mes deux lunettes est moins " spectaculaire" que prévu ? ...je n' irai pas jusque là, mais les différences sont parfois subtiles, et il faut vraiment les deux lunettes côte à côte pour les remarquer. Quand j' ai effectué mon test " comparatif, je venais de découvrir l'amélioration significative de la 100 ED avec un renvoi coudé à prisme, par rapport au diélectrique SW fourni de base avec la lunette...( découverte faite suite à l' utilisation d'un prisme Amici ; utilisé avec la 100ED ,sur les cibles lunaires et planétaires) J' ai ensuite fait l'acquisition d'un deuxième RC Taka prisme en 1,25" pour la 100ED...que j' utilise aussi pour le ciel profond. Test à l' aveugle : pourrais je reconnaître avec quelle lunette j'observe? Sur un amas ouvert ( Pléiades par exemple ) à faible grossissement, et à condition que la MAP soit faite ?...Franchement non! Si observation d'une étoile brillante, la 100ED présente par contre une légère nuance rose autour du disque d'airy. Si j' ai les 2 lunettes côte à côte, l' intensité lumineuse sur le disque d'airy semble plus forte avec la Taka, avec une impression d'étoile plus " brillante ". Si je fait par contre la mise au point , je vais tout de suite identifier la lunette utilisée à l' aspect de l' image intra et extra focale ( beaucoup plus semblables l' une à l' autre sur la Taka, plus de couleurs sur les anneaux de diffraction avec la 100 ED ) Si j' ai les deux lunettes côte à côte, à grossissement similaire, l' image paraît un peu plus " fade" sur la 100 ED , légèrement moins contrastée, mais c'est subtil ! Je n' ai pas eu l'occasion de comparer les lunettes sous le bon ciel ardennais ; j' ai néanmoins la nette impression avec la Taka de pouvoir mieux apprécier la résolution en étoiles périphériques d' amas globulaires comme M 13, M 15, M 22, M4..etc...il est possible aussi que ma capacité d'observation visuelle se soit améliorée... Sur la lune : elle apparaît plus " blanche" avec des ombres plus noires avec la Taka, mais la perception des fins détails ( comme les 3 craterlets de Platon) me semble identique avec les deux refracteurs. Si la mise au point est faite, j' aurais du mal à identifier la lunette... Observation récente de Saturne avec les deux instruments : autant de détails et de couleurs. Jupiter : la Taka prend largement le devant! Les bandes équatoriales sont beaucoup plus contrastées, l' appréciation des bandes fines plus aisée. Et capacité à garder une image satisfaisante à plus fort grossissement ! On sent vraiment que l' on peut plus " pousser" la lunette... La 100 ED commence à s'essouffler à 180x, alors que 200x passe souvent sur la Taka ( et même 250x sur Saturne récemment sous de très bonnes conditions). Le plaisir d'utiliser la Taka est bien sûr magnifié par sa compacité, beaucoup moins encombrante que la 100 ED , se comportant beaucoup mieux sur une configuration azimutale , dispositif de mise au point qualitatif , ...etc... Mais je dois constater que les deux lunettes sont optiquement assez proches . Suis je déçue ? ...je vais plutôt me réjouir que cette 100ED doit être un bon échantillon....cela m'avait été d'ailleurs confirmé par un astram expérimenté de mon club, ayant possédé de nombreuses lunettes , qui l' avait trouvée excellente.. Je constate parfois, avec des témoignages d'astrams du forum ,que la prise de conscience de la qualité optique d'un instrument peut se faire de façon tardive : " Je regrette de m'être séparé de ce télescope"....et parfois des années après, et l'utilisation de nombreux instruments différents... Je concluerais donc par : si vous utilisez fréquemment une lunette 100mm et que vous avez le budget...foncez pour une Taka FC 100....mais une bonne lunette ED trois fois moins chère peut fournir aussi d'excellentes observations...4 points
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bonjour a tous voici M45, photo prise il y a quelques jours. première fois que je vise cette objet avec ma lunette. les nuages ce sont invité après le retournement au méridien pour ce dissiper une petite heure plus tard 63x240sec avec ma 82ED, 294mc pro et asiair + au traitement, je me suis aperçu qu'une "petite" galaxie était visible (les pléiades pointent comme une flèche dessus), il s'agit de UGC 2838 bon ciel a tous !3 points
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Une cible datant du 23 août pour tester mon filtre ANTLIA Triband V2 241x60s SIRIL + Graxpert + Photoshop Mais traitement repris avec RCAstro dernièrement (j’ai craqué pour la suite StarX, NoiseX et BlurX…)3 points
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Bonsoir les ami(e)s . J'espère que vous allez bien . La vidéo que je vous présente est un peu longue , mais elle montre un ver ( STENOSTOMUM) qui est capable de se regénérer s'il est coupé en deux ,il peut alors se présenter avec deux têtes . Des exemplaires on été emportée dans l'ISS ...... Pour plus d'informations Futura sciences( des scientifiques observent des vers à deux têtes ) L'objectif est de 40X , bonne soirée à toutes et à tous amicalement Charles3 points
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Bonjour, Retour très intéressant. Pour me situer brièvement : je suis tireur dans un laboratoire photo professionnel, et ce que tu décris correspond exactement à ce que l’on rencontre dès qu’on passe de l’écran au papier — encore plus en ciel profond. Le tirage n’est pas une simple étape technique, c’est un métier à part entière, et les essais successifs que tu évoques font pleinement partie du processus. Un point important à clarifier, car il revient souvent : le CMJN n’a aucune utilité en impression photo jet d’encre. Les imprimantes photo, qu’elles soient de bureau ou de laboratoire, impriment toutes à partir de données RVB. Elles utilisent leurs propres encres (souvent bien au-delà du simple CMJN) et un moteur de conversion interne piloté par le profil ICC du papier. Travailler en CMJN, ou avec un profil type ISO Coated, revient donc à restreindre inutilement le gamut et à compliquer la chaîne couleur sans bénéfice réel. En pratique, en labo comme en atelier : on travaille exclusivement en RVB, avec un espace large et propre : Adobe RGB (1998) ou ProPhoto RGB selon les habitudes, et on laisse la conversion se faire au moment du tirage, via le profil ICC précis du couple imprimante / encre / papier. Le soft proofing a bien sûr tout son sens, mais en RVB, avec le bon profil papier. Le CMJN est un excellent outil… pour l’offset et la presse, pas pour le tirage photo. Concernant les papiers, un point mérite aussi d’être nuancé. On lit souvent que seuls les papiers brillants permettent d’obtenir des noirs profonds. Ce n’est pas faux… mais ce n’est pas toute l’histoire. Un papier mat peut parfaitement produire des noirs très denses, à condition que ce soit un vrai papier photo mat de qualité (baryté mat, cotton rag, fine art mat) et que l’image soit préparée pour ce support. La différence, ce n’est pas tant la profondeur du noir que sa perception : en brillant, le noir paraît plus dense grâce aux reflets, en mat, le noir est plus doux, plus absorbé, mais souvent plus lisible et plus stable selon l’éclairage. En laboratoire, on constate souvent que : un mat bien choisi donne des noirs moins « claquants », mais plus détaillés, les très basses lumières passent parfois mieux en mat qu’en brillant, surtout sans lumière rasante, et l’absence de reflets change complètement la lecture d’une image très sombre comme le ciel profond. Le papier n’est donc pas un simple support, c’est un outil de rendu. Chaque surface impose sa logique : le brillant flatte, le satiné équilibre, le mat interprète. Aucun n’est supérieur aux autres — ils ne racontent juste pas la même chose. Et j’insiste vraiment sur un point fondamental : l’étalonnage écran et papier n’est pas une option, c’est la base absolue. Sans écran calibré correctement, on ne corrige pas une image : on la devine. Et sans profil ICC précis du couple imprimante / encre / papier, on ne tire pas une photo : on tente sa chance. En laboratoire, la chaîne est simple et immuable : écran calibré à des valeurs cohérentes (luminosité, point blanc, gamma), fichier travaillé en RVB (Adobe RGB ou ProPhoto), soft proofing activé avec le profil ICC exact du papier utilisé, et une seule gestion des couleurs, pas deux. C’est ce qui permet d’avoir : un tirage prévisible, reproductible, et fidèle à l’intention de départ. Sans cette cohérence écran → fichier → papier, on peut multiplier les essais, baisser ou monter la luminosité, changer de papier… le résultat restera aléatoire. Avec elle, un tirage bien préparé sort juste du premier coup, ou presque — et quand ce n’est pas le cas, on sait exactement pourquoi. si vous avez des questions hesitez pas 😉3 points
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Coup de théâtre, rectificatif ! J'ai bien décelé PK174-14.1, je viens de debriefer de nouveau avec photo de champ de Wikisky ! Je m'étais trompé sur les étoiles jalon, au début j'avais pris le duo de mag 14,8 et 15,8 trop au nord, mais étonné d'avoir vu ces étoiles avec UHC j'ai revérifié : en fait ce sont des étoiles un peu orientées pareil juste au S mais plus brillantes, que j'ai vues (mag 13-13.5), plus une autre un peu plus faible à O, les 3 formant un triangle isocèle E/O ouvert. Et là bingo, la NP forme un Y au N de ces étoiles, pile à la position où j'ai perçu un petit disque fantômatique 😀, alors oui excessivement difficile, parmi les observations les plus extrêmes (mais pas la pire) que j'ai pu faire.3 points
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et même plus de 9h dont la moitié en luminance avec des poses de 180s Après une première version en rgb baader contre Antlia le match j'espérais un net progrès avec la luminance. J'ai même rajouté pas mal de rgb mais je ne vois pas trop d'amélioration : les étoiles sont un peu plus grosses et les nébuleuses sombres ne sont pas beaucoup mieux Pas compris comment assembler avec Siril donc à l'ancienne avec Iris après le prétraitement des 4 couches avec Siril puis Graxpert Par contre, j'aime bien le cadrage, on dirait un papillon2 points
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Un peu l'inverse pour nous hier soir... Arrivée à l'Observatoire à 18h.. Soirée passée à vérifier, bricoler, apprentissage logiciel, installation Grappa,.... Ciel, bouché, voiles, brouillard,....mais "ça doit se dégager vers 23h" Vers 24h...vers 1h,...vers deux heures.... Au programme, l'occultation à 3h08 TU (4h08 TTC) d'une étoile magnitude 13,5 par un satellite de Jupiter KAllichore. Kallichore mesure 2km, est à 23 000 000 km de Jupiter soit un peu plus de un degré... Et il faut des temps de pose inférieurs à 100ms pour une durée d'occultation de 0,2s... Et à 2h30 le ciel se dégage, ciel magnifique, quelques brumes... On est trois devant les écrans. Après réduction, pas d'occultation, mais bon...on a fait avancer la science... un tout petit peu.... Au dodo à 5h45... JL2 points
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Bien vu, c'est fait avec la taka FSQ85 Pour tenir compte de vos remarques :2 points
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Le setup est plutot simple (environ 100€ à la louche). Pour les résultats, ca permet d'obtenir ça (oui j'aurais préféré insérer les 2 images ici, mais l'interface est soit toujours en panne, soit pas trés pratique...) https://www.dropbox.com/scl/fo/q9yedtinioy8hz69kv5sb/AFGFsuDMkM2R27mEoEXPDh4?rlkey=5n4y3m2a0tmzfm5k4zm93r398&st=feqd7fsm&dl=0 Sur la premiere image, celle qui m'a servi de calibration, l'echelle horizontale, c'est le décalage doppler (1kHz/division) et en vertical, c'est le temps (0.1s/div). Le debut est en haut, on voit arriver le meteor à environ 2000m/s (7200km/h). Il ralenti (c'est la partie oblique) à l'entrée dans l'atmosphére, puis explose (le gros paté) et la ca reste vertical: il n'y a plus de vitesse, donc plus de doppler. Sinon, on arrive à trouver des echos comme la deuxieme image, ou un effet periodique apparait: c'est une rotation de l'objet Ce genre d'activité peut avoir 2 objectifs: - soit compter et faire un retour sous forme de "collorgramme". https://www.rmob.org/ Les résultats peuvent etre corrélés avec les pluies de météores et leurs ZHR. -soit capter un objet et en retracer la trajectoire (radio-goniométrie). Pour ca il faut plusieurs stations (4 min) synchronisées. Là ca devient trés fun. Là, le but est de déterminer une zone d'atterrissage. C'est un peu ce que fait Fripon, et ça marche. Et Voila un papier qui date un peu mais ou tu reconnaitras qqs noms (https://arxiv.org/pdf/1804.05203) Pour le post dont tu parlais, je ne connaissais pas. Il explique bien le principe. Le logiciel qu'il utilise est Echoes (https://www.gabb.it/echoes/051_data_formats.html) C'est du libre, en python et qui a été porté sur RPi. Perso j'utilise un script léger d'acquisition qui tourne 24/24 sur RPi et non sur PC (histoire de l'emprunte carbone...) Sinon, le principe n'est pas nouveau, tout a déja été décrit. Les applications amateures sont moins courantes, IMHO. Et voila un lien qui peut ouvrir quelques perspectives: https://www.imo.net/observations/methods/radio-observation/ Fred2 points
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Voici d'autres dessins jusqu'en 1740. Année 1673 : Observatoire royal de Paris, 1er avril - 26 juillet 1673 Cette année-là, nous avons une grande surprise : la liste de tous les télescopes utilisés à l'Observatoire de Paris en 1673. Cette liste se trouve sous la première image. Une personne maîtrisant le français pourrait la traduire. Une autre liste d'instruments a été établie en 1684. Voici la liste de tous les télescopes de l'Observatoire de Paris en 1673, ainsi que leurs marques : Borelli, Divini, Campani. La focale est indiquée : 35 pieds pour le Campani, 45 pieds pour le Divini (je crois), 40 pieds pour le Borelli (difficile à déchiffrer) et un autre Borelli de 36 pieds. Les télescopes Campani de 20 et 17 pieds, présents et utilisés à l'époque, ne sont pas mentionnés. Il manque également 6 pieds dans la liste ; il s'agit probablement d'un autre télescope Campani apporté à Paris par Cassini. 17 pieds. Une autre série de dessins de la même année :2 points
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pareil, je le trouve vraiment plus simple que freecad, plus intuitif, et aussi plus agreable visuellement. j'en ai parlé avec un ami qui fait de la modelisation et de la mecanique de précision (domaine medical), ils forment les stagières et les nouveau sur fusion, rapide à prendre en main, mais ne l'utilisent pas professionnellement à cause des licenses, apparemment chère et "prise de tête". mon bébé en phase de reglages / tests2 points
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En 1673, de nouveaux dessins montrent le télescope de 34 pieds et d'autres instruments. Sur certains dessins, en y regardant de plus près, l'instrument utilisé est indiqué dans les notes, par exemple : télescope de 34 pieds, télescope de 100 pieds, télescope de 17 pieds, télescope de 20 pieds. Cette précision est toutefois incohérente ; sur d'autres dessins, l'instrument utilisé pour les observations n'est pas spécifié. Étape par étape. Voici les premiers dessins du télescope de 34 pieds pointant vers Mars, Jupiter et Saturne. On peut y lire : « Telescopio Campani ». La lentille d'objectif existe toujours et est une excellente lentille à diffraction limitée. Son diamètre était de 80 mm (d'après les notes de Cassini), soit 3 pouces de Paris, ce qui correspond précisément à 81 mm de diamètre. Associée à une distance focale de 10,900 mm, elle offre un facteur chromatique de 1,6, idéal pour un télescope monolentille du XVIIe siècle. En fait, cette lentille est biconvexe, comme la mienne. Presque toutes les lentilles Campani étaient biconvexes, car leur fabrication était beaucoup plus simple. Le télescope de 10,4 mètres était l'instrument le plus utilisé de l'observatoire. Cette photo représente le dessin de Rhéa, le satellite découvert par Cassini grâce au télescope de 10,4 mètres. Le télescope Campani de 11 mètres (34 pieds) Al van Helden a indiqué (communication personnelle du 22 décembre 2004) que le télescope au premier plan ressemblait à l'instrument de 10 mètres que Campani avait fabriqué pour les Médicis au milieu des années 1660. Campani avait envoyé un télescope de 10,4 mètres à Cassini en 1671 ou 1672, dont l'objectif est toujours conservé (dans l'ancien observatoire). Celui de Florence mesure 202 cm de long et 14,5 cm de diamètre. Il a suggéré qu'il pourrait s'agir du télescope Campani de 10,4 mètres représenté dans le tableau de l'artiste français Henri Testelin, conservé à l'Académie royale des sciences et reproduit ci-dessous. Voici le télescope Campani de 11,1 m, fabriqué pour les Médicis en 1666 et exposé au musée Galilée de Florence (avec son cache-objectif). On peut observer sa ressemblance avec le télescope Cassini de 10,4 m, de conception similaire (sans cache-objectif). Il ne s'agit pas de la lunette de 10,4 m, mais d'un télescope plus ancien, fabriqué par Campani pour les Médicis et utilisé lors du concours avec Divini. Sa construction est cependant très similaire à celle de la lunette de 10,4 m de 1672. Il me semble que seule la partie avant du tube est visible sur le tableau. Prenant au pied de la lettre le titre « Fondation de l'Académie des sciences et de l'Observatoire, 1666 », j'ai supposé que le tableau avait été réalisé peu après l'événement mentionné. Un examen plus approfondi m'a progressivement convaincu de l'erreur de mon hypothèse initiale. Plusieurs éléments, plus ou moins indépendants du tableau et des événements liés au développement de l'Académie, m'ont permis de rassembler des preuves d'une date de création bien plus tardive, ainsi que d'une interprétation légèrement différente de sa signification. Raison de plus pour célébrer les nombreux accomplissements de l'Académie et sa fondation. Sur le tableau, au centre et en bas à droite, on aperçoit deux télescopes. En bas à droite, il s'agit probablement du télescope Campani de 10,4 mètres (34 pieds), et au centre, du télescope Campani de 5,2 ou 6,1 mètres (17 ou 20 pieds), sans aucun doute celui de 5,2 mètres (17 pieds) avec lequel Cassini découvrit Japet et la Grande Tache rouge de Jupiter. Télescope Campani de 17 ou 20 pieds Dessins de Mars, Jupiter et Saturne, la première lumière captée par le télescope Campani de 11 mètres (34 pieds).2 points
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Bonjour à tous, Je vous présente quelques images réalisées avec mon Dobson Explore Scientific 305 sur plate-forme équatoriale. J'utilise une caméra Altair GPCam3 290c pour le planétaire et la surface lunaire, ainsi que quelques objets du ciel profond comme M57 et M13. Et un smartphone Samsung S22 pour des objets au champs plus large comme M42 ou la Pleine Lune. Pour le planétaire, J'utilise FireCapture et je traite avec Pipp, Autostakkert, Astrosurface et Affinity Photo. Pour les quelques objets du CP, J'utilise Sharpcap en lucky imaging. En général des vidéos SER de 2 secondes de poses que je traite avec SIRIL. Au smartphone, J'utilise le mode nuit et je le fixe sur un oculaire Meade de 18 mm. Voici donc quelques exemples. J'habite un village près de Liège ou le ciel est plus ou moins potable (Bortle 5)2 points
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Bonjour, Je reviens vous présenter M42 au smartphone, il y avait longtemps que je n'en avais plus fait. J'ai utilisé un Samsung S22 sur un oculaire Meade de 18 mm. Mode "Nuit" 9 secondes (seulement. ) Télescope Dobson Explore Scientific 305 sur plate-forme équatoriale. Retouche Snapseed. Beaufays, Belgique, 21.11.25.2 points
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Bonsoir à tous, J’ai bien failli ne poster aucun CROA ce sinistre mois de décembre, mais après une sérieuse anticipation de la moindre éclaircie, j’ai pu poser mon oeil sur l’oculaire au moins une fois ! (hors période de Lune, il ne faut pas non plus donner dans le catastrophisme). C’était parfaitement déraisonnable, en plein milieu d’une de mes plus grosses périodes de boulot de l’année, avec des journées exténuantes et des réveils très matinaux (et pas de possibilité de sieste), le tout couronné d’une belle angine déclarée la veille. C’est donc dans un piteux état mais plein de volonté que je suis allé profiter d’une éclaircie très attendue mardi soir, et que j’ai, depuis mon champ habituel, pointé mon tube près de l’horizon, toujours plein sud. L’accueil fut plaisant, j’ai réveillé une petite harde de chevreuils. Un soudain voile nuageux a failli me faire faire demi-tour quelques minutes après mon arrivée, mais il a disparu aussi vite qu’il est apparu. Je vais devoir être très expéditif afin d’avoir une chance de ne pas être à l’agonie le lendemain, voici donc le nom de cette soirée : Une heure pour Eridan. Une bien longue liste de galaxies s’ouvre à moi… Je commence par la très facile NGC 1084, dont je n’ai pas vraiment distingué autre chose qu’un ovale uniforme. NGC 1232 a été décevante par rapport à ce qui m’avait été promis dans les SCP, je n’ai vu qu’une large tache pâle et sans contraste alors qu’il paraît qu’on aurait dû y voir des amorces de spirale… il faut dire que le ciel est bien laiteux, surtout à cette hauteur. L’éclairage public est encore plein feux à cette heure. Une cible à réserver à de futures escapades dans le Morvan. Exactement la même déception sur NGC 1300 ! Elle avait l’air chouette pourtant. La petite NGC 1332 m’offre en revanche tout ce qu’elle peut, avec son noyau apparent. NGC 1309 fut perçue exactement comme elle devait l’être, un cercle uniforme et sans contraste. Un peu de difficulté du fait de la présence d’une étoile de magnitude 7 un peu éblouissante juste à côté. Joli petit duo NGC 1407-1400, deux petites apparitions circulaires dans le même champ, même à x150 ! NGC 1426 bien vue, NGC 1395 très facile avec son centre assez lumineux. NGC 1421 assez faible, se présente sous la forme d’un « trait » visible en VI. NGC 1535… ah enfin autre chose qu’une galaxie ! Très belle nébuleuse planétaire, même sans filtre. Tellement lumineuse que je la pousse facilement à x300, j’y distingue une centrale, entourée d’un petit cercle qui me semble un peu fibreux, et un halo ovale plus faible et large tout autour. Je découvre fièrement par la suite que les photos montrent exactement ce que j’ai perçu. « L’Oeil de Cléopâtre » est vraiment à mettre dans les incontournables des belles nébuleuses planétaires ! De retour sur les galaxies, je perçois NGC 1537 et 1532, deux voisines très basses sur l’horizon. Evidemment pas de détails autres que la forme globale (ovale pour la première, faible forme allongée pour la deuxième). Abandon d’office pour NGC 1291 et 685, il m’aurait fallu être sur un autre continent pour en profiter ! NGC 1600 perçue mais sans rien de notable. NGC 1700 présente un noyau un peu marqué. NGC 1723, qui promettait pourtant quelques détails, a été très difficilement perçue, nichée entre trois étoiles un peu lumineuses. J’ai perçu sa présence, mais rien d’autre. Je termine cette exploration d’Eridan par la très, très large nébuleuse par réflexion IC 2118. Evidemment ici ma lunette aurait été plus à son aise car l’objet dépasse mon champ de vision, même avec le 38mm monté. Il y a toutefois une zone, au Nord-Est, qui marque une courbure peu contrastée entre les étoiles HD32841 et HD33158. Le reste est trop diffus pour que je puisse en définir vraiment les frontières. J’y retournerai à la lunette, mais je pense qu’il faudrait un ciel excellent pour en profiter. Dommage, car sa forme était très alléchante ! Je n’ai le temps de m’extasier que quelques minutes sur Jupiter, cette exploration d’Eridan maintenant achevée. Il est déjà trop tard, je range au plus vite pour avoir une chance de dormir un nombre d’heures pas trop indécent vu mon état ! Ravi en tout cas de ce petit écart à la raison, une constellation de plus d’explorée dans les SCP, tous les objets au-dessus de l’horizon ayant été vus sans l’ombre d’un doute. Petite déception sur les galaxie NGC 1723, 1232 et 1332. Il me faudrait un ciel bien noir, et un rythme plus lent, pour pouvoir en extraire davantage. Ça me fera quelque chose sur quoi retourner l’an prochain ! En tout cas la belle surprise fut la NP NGC 1535, largement assez belle et lumineuse pour mériter sa place dans la liste Messier (ce que je trouve étrange d’ailleurs, quand je pense que M97 y est et pas elle…)1 point
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Bonsoir, bonjour, Voici une rétrospective vidéo de mes astrophotographies, accompagnée par une musique originale que j'ai composée. Les photos sont réalisées avec un Dobson Explore Scientific 305 sur plateforme équatoriale. Avec une caméra Altaïr GPCam 3 290c ou un smartphone Samsung S22 sur un oculaire de 18 mm.1 point
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Bonsoir à toutes et à tous, Je m’appelle David, j’ai 39 ans et j’habite à Yverdon-les-Bains, près du lac de Neuchâtel, dans le canton de Vaud, en Suisse, à coté de la France, en Europe, sur Terre, dans la Voie lactée, dans le superamas de la Vierge, au sein de Laniakea, quelque part dans l’univers… enfin bref, vous voyez l’idée Je suis papa de deux jeunes enfants : un garçon de 6 ans (bientôt 7, il insiste beaucoup) et une fille de 3 ans (très bientôt 4, elle insiste encore plus). C’est avec mon fils Gabriel que j’ai découvert l’astronomie il y a environ trois ans. Depuis cette époque, je vous lis en secret, en tant qu’invité. Grâce à vos posts, j’ai appris énormément de choses, même si, en y réfléchissant bien, j’ai encore tout à découvrir! Ma grande aventure cosmique a commencé le 4 janvier 2023, lorsque nous sommes tombés par hasard sur une petite lunette astronomique dans un magasin de seconde main : une Mizar 60/700 pour une dizaine de francs. Depuis, on m’a offert un Skywatcher Classic 150p avec lequel je m’amuse et passe des moments à rêvasser. La plupart du temps, j’observe depuis le jardin commun de mon immeuble, en périphérie de la ville, avec un accès très limité au ciel. Il m’arrive aussi, plus rarement, de prendre la voiture pour monter un peu. Jusqu’à présent, j’ai vu quelques planètes et une sorte de tache qui pourrait bien être la nébuleuse de la Lagune (Et non, ce n’était pas une poussière sur l’oculaire… quoi que… suspense !). En tout cas, l’astronomie me plait, même si mes connaissances restent très modestes… et mes sorties souvent rocambolesques, dignes d’un bêtisier ! Mais ça, je vous le raconterai dans mes CROA que je garde précieusement depuis que je vous ai découverts il y a 3 ans. En dehors de mon intérêt pour les étoiles, j’ai longtemps été scout (ce qui m’aide beaucoup pour faire un feu sous la pluie… mais nettement moins pour collimater un miroir). J’aime aussi lire, surtout des romans fantastiques….c’est mon moment d’évasion… quand les enfants me laissent un peu de temps, évidemment ! Bref, je suis super content de m’être enfin inscrit et j’ai hâte d’échanger avec vous. Belle soirée étoilée à toutes et tous.1 point
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On peut à nouveau insérer des fichiers, alors voici une petite vidéo dont est issue la photo de Jupiter. VID_20251203_100538.mp4 Et celle avec l'éclipse d'un de ses satellites. VID_20250219_193653.mp41 point
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Le problème des 5 et 3.8, c'est la barlow intégrée qui génère de la diffusion. Je ne m'en n'étais jamais rendu compte, jusqu'au jour où je les avais comparés avec les 10 et 7.5 munis d'une barlow Celestron Ultima. Sur la Lune la différence était édifiente!1 point
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Bonjour à tous, petit retour ici pour vous dire que j’adore mes pano24, niveau qualité et confort c’est le top pour moi! Ils sont encore plus agréables que les ES82. sinon après quelques sorties je suis toujours aussi enthousiaste avec ces jumelles, mais une chose est sure, je les destine bien au faibles et moyens grossissements, c’est là où elles excellent . Encore hier soir , Le double amas de Persée, les pleades, M31 ou encore M42 à 28x c’est splendide ! je grossis un peu suivant les cibles mais en CP je vais très rarement au delà de 75x. je tourne très souvent avec mes 14 mm pour faire du 50x environ, ça colle bien à la plupart des cibles. 75x c’est plus pour les AG, les AO compacts et les NP. 100x pour les planètes et la Lune 140x mon maxi c’est pour la Lune. En gros : -C’est vraiment le TOP pour les AO, les nébuleuses diffuses et la Lune -Moyen sur les galaxies, AG et NP -et les planètes bof ça manque de résolution c’est très complémentaire avec un gros dob mais j’ai plus d’émotions à 50 x sur le double amas avec mes jumelles qu’à 250x sur M13 avec mon ancien 400 Autre point, vu qu’on ne grossit pas trop il est important d’avoir un bon ciel, bien noir Bon ciel1 point
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Fascinante créature dont les mouvements donnent un peu le tournis.... Sa capacité de se " régénérer" si on lui coupe la tête n' est tout de même pas son mode de " reproduction" ? ....1 point
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Après pas mal de lecture ici et là, je rebondi sur ton commentaire car ça me semble plus complexe que ça... La Théorie dit le contraire, une intervention Thierry Legault sur ce sujet et ce forum le confirme: l'ajout d'un filtre dans le train optique rallonge celui-ci d'environ un tiers de l'épaisseur de celui-ci. Donc si le BF théorique du réducteur est donné à 55mm, eh bien il faut rajouter cette distance. Il me semble que tout le monde est d'accord avec cette affirmation. Toutefois, on parle de BF théorique donné à +/- 1mm et je pense que c'est là où la théorie et la pratique se croisent. Si je me référe à ce que Hocus Focus préconise, je doit me rapprocher du réducteur de focale. Ce que je compte faire : 1- Mesurer au pied à coulisse tous les éléments du train optique depuis le réducteur jusqu'au capteur. 2- Me rapprocher du BF théorique et rajouter cette espacement de 0.67mm au mieux selon les spacers à ma disposition. 3- A partir de là, prendre une série de clichés sur M45 par exemple. Activer les annotations de rondeurs des étoiles sur Nina. 4- Procéder de la même manière toujours sur M45 en rajoutant 1-2 spacers supplémentaires et comparer. 5- La même mais en diminuant le BF puis comparer les 3 résultats. 6- Le "gagnant" sera donc celui qui me donne les "meilleurs" étoiles. Je pense qu'un test sur le terrain sera seul juge, cette approche vous paraît- elle cohérente ? Cordialement Cyril1 point
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Bah tu mets -original à la place et hop ! En tout cas il est déjà bien classe ce canasson Sam !!1 point
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Salut Seb, Superbe !! Ton setup fonctionne a merveille, le traitement est top aussi 👏🏻 Bon ciel. A+ Nico1 point
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Pour répondre franchement : oui, un vrai profil ICC imprimante Il faut effectivement : une sonde de mesure (spectrophotomètre, pas un simple colorimètre écran), imprimer une ou plusieurs chartes de couleurs sans aucune correction, mesurer les patches, et générer le profil à partir de ces mesures. C’est exactement ce que font les labos… et c’est pour ça qu’un profil précis a une vraie valeur. Sans cet équipement, on peut s’en approcher, mais on ne fera jamais un profil réellement fiable. Dans ton cas précis (Canon G650) Bonne nouvelle : Canon fournit déjà des profils ICC corrects pour ses papiers officiels → ils sont souvent très bien. Pour des papiers tiers, certains fabricants sérieux proposent leurs propres profils pour les imprimantes grand public courantes. Ça vaut toujours le coup de vérifier avant de bricoler et de perdre du temps et de l'argent. Les profils dits « universels » peuvent dépanner, mais il faut les voir comme une béquille, pas comme une solution définitive. Si un jour tu veux aller plus loin, il existe des services de profilage à distance : tu imprimes une charte, tu l’envoies, ils te renvoient le profil. Ce n’est pas très cher et ça change tout. Papier mat Très bon réflexe. Un beau papier mat de qualité (baryté mat, fine art coton) est souvent une révélation… à condition de préparer l’image pour lui. Le rendu est plus subtil, plus “photo”, moins spectaculaire mais souvent plus juste. perso je n'utilise que du papier mat pour les propres tirages jamais de lustré ou encore pire du brillant 😉 Format de fichier pour l’impression Réponse courte et claire : TIFF si possible (16 bits, non compressé ou LZW), sinon JPEG qualité maximale fonctionne très bien aussi en pratique ( et dans 99% des cas la différence de rendu n'est pas visible) L’essentiel n’est pas tant le format que : rester en RVB, (jamais de sRVB) conserver l’espace couleur (Adobe RGB ou ProPhoto), et éviter toute reconversion sauvage avant l’impression. En résumé profils ICC précis = matériel spécifique, oui, profils constructeur ou papier = très bon point de départ, fichier RVB propre + écran calibré = 80 % du boulot, le reste… c’est de l’expérience et du papier consommé 😄 Dernier point, souvent contre-intuitif : dans beaucoup de cas, confier ses fichiers à un bon laboratoire est plus économique que d’imprimer soi-même. Entre : le coût des encres, les papiers, les essais ratés, le temps passé à ajuster, recommencer, comparer, et l’investissement en matériel (sondes, profils, maintenance), le tirage “maison” devient vite cher dès qu’on cherche un résultat vraiment maîtrisé. Un bon labo, c’est : des machines calibrées en permanence, des profils ICC éprouvés, des papiers connus et maîtrisés, et surtout un tireur qui interprète l’image, pas juste un bouton “imprimer”. Pour des tirages importants, des formats exigeants, ou des images complexes (comme le ciel profond), le labo fait souvent gagner du temps, de l’argent… et quelques cheveux blancs. et je sais de quoi je parle j'étais à ta place il y a une vintaine d'année avant de creer mon labo et mon studio photo1 point
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Hello ! De belles volutes, une immensité qui donne le tournis, un cadrage qui met en valeur des étoiles,lointaines, enveloppées de leur nuage de poussière, j’adore cette image et j’attends donc avec impatience la fin de cette aventure ! Bon ciel !1 point
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Mais heu, ok, c'est pas super que le wifi se déconnecte, mais ca devrait avoir aucun impacte sur ta séssion photo, si ?? Je veux dire que tout est connecté cablé a la cam/air, et ce que tu perds quand ca se déconnecte, c'est juste la visualisation en temps réel des image sur ton tel, mais tous les sub restent engegistrés, et l'aquisition continue, donc tu te reconnecte, et ca repart. En gros a 15M ca marche toujours, au dela de 20M ca dépand si murs, maison, beton armé, etc... normal quoi. mais tu te rapproche avec ton telephone, tu te reconnecte au wifi, et tout marche. A moins que tu ne puisse pas te connecter a moins de 10M sans mur entre les 2, le SAV ne changera rien La je comprend pas !! pourquoi ?? tout ton set-up continue a tourner ! tout marche, c'est juste que l'image n'arrive plus a ton telephone, mais rien a re-lancer, meme le guidage continue quand ca se déconnecte!1 point
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Nous allons à 1675, année où fut découverte la division Cassini avec les réfracteurs de 34 pieds et 20 pieds, note Cassini : Deinde latitudo Annuli Dividebatur bifariam, Lineˆa obscurˆa apparenter Ellipticˆa reverˆa Circulari quasi in duos annulos concentricos, quorum inside outsidei lucidior erat. Hanc phasim stim post emersionem Saturni `e Solaribus radiis per totum annum usque ad ejus Immersionem conspexi prim`o quidem, Telescopie Pedum 35, deinde minori, Pedum 20. Ejus delineationem, utcumque rudem, ownante calamo hic adjeci. Ensuite, la largeur de l'anneau a été divisée par une ligne sombre, qui semble elliptique, mais en réalité circulaire, comme deux anneaux concentriques, l'anneau intérieur étant plus brillant que l'anneau extérieur. J'ai observé tout au long de l'année suivant immédiatement cette phase où Saturne émergeait des rayons du Soleil jusqu'à son immersion ; d'abord avec le télescope de 11 mètres, puis avec un plus petit de 6 .49 mètres. J'en ai fait un croquis, certes approximatif, que j'ai ajouté ici à la hâte. Extrait de la lettre de M. Cassini concernant une tache récemment observée dans le Soleil, ainsi qu'une observation remarquable de Saturne, effectuée par le même homme, Philosophical Transactions, vol. XI, 25 septembre 1676, p. 690. Voici une description de la découverte dans les archives de la Royal Society de Londres, parmi les images et autres dessins de Jupiter datant de 1674 et 1675.1 point
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C’est vrai que 100fps avec un ROI aussi gros c’est très ambitieux. Mon PC a 32Go de ram, mais le buffer est réglé sur 4Go, et ça fini aussi par bloquer lorsque je fais des mosaïques de la lune. Mais au pire ça foire une prise et le buffer se vide et j’ai juste à recommencer cette tuile. Je n’ai jamais eu de pb en planétaire, mais j’utilise des ROI plus petits. Est ce que patienter permet de régler le pb ? Est ce que tu vois l’indication de vidage du buffer dans le disque dur comme montré dans le lien que j’ai posté plus haut ? Au pire, est ce que désactiver puis réactiver le buffer dans les réglages de firecapture au moment ou le pb arrive permet de reprendre la capture ?1 point
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j'ai bien compris, et c'est pourquoi je demandai de quoi tu parle, parce que le calibrage goto 3 etoiles, c'est pour du visuel, pas pour la photo. or tu parlais de photo en meme temps. Si il y a une camera sur un scope, utilise le platesolving avec une tablette ou mini PC. Si c'est que du visuel, alors oui, tu peux faire ton alignement goto. Mais c'est jamais hyper precis. pas suffisant pour cadrer une photo.1 point
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Quand un météore pénètre dans l’atmosphère, il s’échauffe et laisse derrière lui une traînée de plasma composée d’électrons libres. Cette traînée agit comme un miroir temporaire pour les ondes radio. Si une station émettrice envoie un signal sur une fréquence donnée, une station réceptrice située parfois à des centaines de kilomètres peut le capter grâce à la réflexion sur la traînée du météore, alors même qu’en temps normal le signal direct ne serait pas reçu. L’écho enregistré dépend des caractéristiques du météore. Un petit météore produit une traînée brève et l’écho dure généralement moins d’une seconde. Un météore plus massif génère une traînée plus dense et plus persistante, pouvant renvoyer le signal durant plusieurs secondes. Sur un spectrogramme, l’écho apparaît comme une trace claire à la fréquence de l’émetteur, parfois légèrement décalée si l’objet a une composante de vitesse vers ou loin des antennes. Ce décalage est dû à l’effet Doppler et il peut donner des informations sur la vitesse du météore. En pratique, un observateur verra donc des échos radio apparaître et disparaître rapidement à la fréquence surveillée, chacun correspondant au passage d’un météore. Lors d’une pluie d’étoiles filantes, la fréquence des échos augmente nettement et on distingue souvent des séries d’échos rapprochés. C’est une méthode simple et efficace pour détecter et étudier les météores même de jour ou par temps nuageux, quand ils ne sont pas visibles à l’œil nu. Sans spécialement "lire" chaque écho il est possible de faire du comptage simple, un écho correspond à un météore. si le suivi est fait quotidiennement on peut transformer le comptage en tableau de densité par jour et par heure .... ça donne le tableau suivant ou le pic de Perséides et bien visible.1 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
