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  • Bonjour ! SeB2003 m'avait encouragé à donner mes impression sur le matériel que j'ai utilisé. Je commence donc par le Dobson Kepler 200/1200, instrument relativement courant et pour qui j'ai une tendresse particulière, même si je l'ai froidement revendu récemment... Il ne s'agit pas vraiment d'un test mais d'impressions. Il ne faudra donc pas me croire sur parole, mais regarder mes arguments. En outre, je ne cherche pas à juger ce matériel, mais plutôt à le décrire en situation, pour ceux qui se demanderaient comment ça marche... Je précise aussi que, lorsque je l'ai acheté, je ne connaissais absolument pas ce modèle et n'en avait pas d'idées préconçues.

    1/ Suis-je objectif ?

    Je ne sais pas, j'essaie ! Dans ce qui suit, il ne faudra pas perdre de vue que j'ai acheté ce télescope alors que j'étais déjà relativement expérimenté en observation visuelle du ciel profond (par exemple, je savais pointer), que je possédais une voiture, et que je ne suis pas un fan des grands champs (dans M42, je préfère plonger autour du Trapèze...) Certains "défauts" comme le manque de dispositif de pointage, la taille du tube optique ou la focale relativement longue, me sont donc complètement passés inaperçus.

    2/ Le Dobson Kepler 200/1200.

    Je l'ai acheté en avril 2002. À l'époque son prix était de plus de 600 € et il ne disposait que de deux oculaires : un Plössl 9 mm et un Plössl 25 mm. Son chercheur était un 6x30. Aujourd'hui, pour moins cher, on a un meilleur équipement ! Le tube est métallique et semble solide. Notamment l'araignée et le porte-oculaire ne sont pas de la camelote : rien à voir avec ce qu'on trouve sur les Dobsons Meade, et leur miroir secondaire qui se dérègle au cours de la nuit... Un capuchon ferme le tube mais tient mal. Le miroir primaire n'est pas marqué (l'est-il aujourd'hui ?), dommage. La monture Dobson est en kit. Mais le montage est enfantin. La preuve, moi qui ne suis absolument pas bricoleur, je l'ai montée sans problèle. Il y a un plan de montage et il suffit juste de placer les vis là où c'est indiqué. Aucun outil n'est requis. Pas même de colle.

    3/ La collimation.

    Abordons dès maintenant le sujet qui fâche (nombreux sont ceux qui redoutent la collimation). Je n'ai jamais collimaté un instrument aussi parfaitement que Thierry Legault et compagnie. Je ne fais "que" du visuel, je ne cherche pas la haute résolution planétaire. N'empêche, je fais quand même un peu attention. J'avais noté que le C8 se décollimatait souvent, pas le Mewlon 210. Eh bien le Kepler 200 tient étonnamment bien la collimation ! Pendant un an, je la vérifiais régulièrement avec un oculaire de collimation de type "cheshire", mais sans l'avoir retouchée. Ce n'est qu'après 800 km en voiture qu'il a fallu y retoucher. Des amis qui possédaient un laser l'ont alors refaite en 5 secondes : il y avait juste une petite vis à tourner un peu...

    Sans doute T. Legault y aurait-il trouvé à redire, mais pour des observations visuelles courantes, je ne pense pas que ça gène vraiment de se contenter d'une collimation au laser ou au "cheshire". Peut-être suis-je tombé sur un bon tube ? (après tout, j'ai vu également un C8 qui ne se décollimate presque pas...)

    4/ Le transport sur le site.

    Moi qui étais habitué à mes 4 voyages pour remplir la voiture lorsque je faisais de la CCD, quel plaisir de n'avoir plus que 2 voyages ! Le carton du Kepler tient sur le siège arrière d'une Clio, à condition de le pencher un peu (du coup, il est parfaitement coincé et ne bouge pas). Je conseille cette méthode plutôt que le poser dans le coffre, car le siège arrière amortira mieux les vibrations vu trajet, c'est mieux pour la collimation. Pour transporter le carton jusqu'à la voiture, il suffit de le poser sur une épaule, ça laisse une main libre pour ouvrir ces satanées portes coupe-feu ! Je ne sais pas combien il pèse, mais le gringalet que je suis n'a jamais été gêné pour ça, sauf qu'il fallait faire attention dans l'escalier, qui était étroit. Quant à la monture Dosbon, elle est munie d'un poignée de transport ! D'une main la monture, de l'autre le sac avec les atlas et les oculaires... La monture tient sur le siège avant, à droite du conducteur, ou bien dans le coffre, où je laissais en permanence un petit tabouret pliant.

    5/ Le montage.

    Ah, l'un des gros avantages de ce télescope ! Lors d'observations en groupe, j'étais toujours le premier à observer ! be.gif On pose la monture par terre, on pose le tube sur la monture (le tube est muni de tourillons - des disques fixés dessus - qui s'encastrent dans la monture). Pour ne pas avoir de soucis d'équilibrage, il vaut mieux installer les ressorts. C'est la partie la plus pénible du montage : les ressorts relient une vis de la monture à une vis du tube. Il faut tirer assez fort pour les fixer. La difficulté, ce n'est pas la force, mais plutôt le fait de ne rien bouger pendant qu'on tire sur le ressort. Bref, il faut maîtriser sa force... avec un peu d'habitude, tout ça se fait dans le noir.

    Le chercheur peut se démonter. Il est fixé sur le tube par un système de queue d'aronde très efficace. En général, quand je le réinstalle dans sa queue, l'alignement est préservé. S'il faut le réaligner, c'est très simple : il y a deux vis à 90° pour orienter le chercheur, qui reposent sur un ressort. Ce système permet un alignement quasi-instantané, que ne permet pas le système assez casse-tête des trois vis. C'est l'une des meilleurs surprises du Kepler. Par contre, sur mon modèle, la base du chercheur avait un rayon de courbure plus petit que celui du tube et avait tendance à se dévisser. À force de la revisser pour maintenir le serrage, j'ai fini par fendre, puis casser la base. Il a fallu en racheter une autre...

    À noter que c'est à l'acheteur d'installer le chercheur proprement dit dans son collier, ce qui réclame un peu de patience, à cause du joint qu'il faut coincer à l'intérieur.

    6/ Observer un objet.

    Le tabouret que j'avais acheté au supermarché du coin pour une bouchée de pain (et que j'ai fini par casser en m'asseyant trop fort, car c'est de la camelote...) est parfaitement adapté à la hauteur du tube. En fait, ce Dobson est relativement bas. Il ne faut pas essayer d'observer debout, sous peine de mal au dos. Par contre, assis sur ce petit tabouret, il y a un confort que je n'avais jamais connu auparavant, moi qui observais quasimment toujours debout sur mes précédents télescopes (C8, Perl 200/800 et Mewlon 210 sur monture allemande). Une nuit, j'ai passé plusieurs heures à explorer l'amas de la Vierge sans lever les fesses du tabouret, et c'était aussi plaisant que de regarder la télé ! Bon, au zénith il faut un peu se redresser, et se pencher un peu à l'horizon, mais il est inutile de se mettre debout ! Pour moi qui aime dessiner à l'oculaire, c'est un gros avantage ! :rolleyes:

    Le pointage se fait au chercheur. On dénigre parfois les chercheurs 6x30 mais je le trouve tout à fait utilisable (un 8x50 est mieux, certes, et d'ailleurs c'est lui qui est maintenant livré avec le Kepler). Un ami possède un chercheur 50 mm dont on ne distingue pas le réticule, trop fin, d'où une imprécision au pointage qui fait perdre beaucoup de temps. Le réticule du Kepler est suffisamment grossier pour être visible sans problème ! La mise au point à l'oculaire est tout à fait classique, avec la crémaillère. Pas de jeu ou de défauts particuliers.

    Pour suivre un objet, il faut pousser le télescope à la main. C'est enfantin : pour aller à gauche il faut pousser à droite (car l'image est inversée !icon_wink.gif, et ainsi de suite. Sauf qu'il faut s'habituer (mais ça vient vite) aux mouvements. En effet, la monture Kepler est assez dure, et on avance par petits à-coups. Cela dit ce n'est pas forcément un inconvénient : au moins c'est stable, ça ne tourne pas tout seul par grand vent comme ma monture actuelle, avec ses roulements à billes...

    Personnellement, je n'ai jamais été embêté par le suivi au Dobson. Je sais que certains n'aiment pas ça, mais je ne les comprends pas. Peut-être emploient-ils des grossissements abusifs ? Au zénith, OK, ce n'est pas facile. Mais pour la grande majorité des cas, le suivi manuel devient un geste inconscient qui n'empêche pas, par exemple, de dessiner. Le fait d'être assis pour observer est un avantage qui contrebalance largement l'inconvénient du suivi manuel.

    7/ Les oculaires.

    J'avais à l'époque, également, des Super Plössls Meade 15 mm et 6,4 mm (des "made in Japan" - il paraît que les SP actuels, "made in China", sont moins bons). Eh bien quand je choisissais un oculaire, c'était toujours par rapport au grossissement qu'il donnait, jamais par rapport à la marque. J'en déduis donc que mes 4 oculaires étaient de qualité comparables. Tous les 4 avaient à peu près le même champ, comme annoncé (52° théoriquement). Au 25 mm, les Pléiades étaient vues en entier. J'avais comparé le Meade SP 6,4 et le Kepler 9 avec le Vixen LV 6 d'un ami. C'est le LV 6 qui donnait la meilleure image sur M57 (mais en pinaillant !icon_wink.gif. Par contre, le Kepler 9 et le Meade SP 6,4 avaient une meilleur magnitude limite stellaire (à égalité entre eux). Bref, ces Plössls étaient de qualité comparable aux Meade. D'ailleurs ils se ressemblaient parfaitement.

    8/ Performances en ciel profond.

    Lors d'une nuit d'exploration de l'amas de la Vierge, où j'avais repéré une cinquantaine de galaxies, j'ai noté également (je prends toujours des notes) les galaxies non vues. Le lendemain, j'ai constaté à partir de mes notes que la magnitude limite en galaxies était d'environ 12,6 ou 12,7. À part pour quelques exceptions, la magnitude est un critère pertinent pour une galaxie (contrairement à tous les autres objets du ciel profond). Dans mon précédent Mewlon 210, j'atteignais un peu plus de 13,0. Au C8 j'étais tout juste à 13,0 sauf sur certaines galaxies. Ah, donc le Kepler serait un poil moins lumineux ? En fait, le site où j'observais s'était dégradé, et je m'en suis rendu compte peu à peu. Cela dit, je pense qu'il doit quand même y avoir un tout petit écart, peut-être 0,1 ou 0,2 magnitude. Et encore... Car mes "records" précédents en galaxies avaient été obtenus lors de soirées à la transparence très bonne pour le site. Or, lors de mes vacances en 2003, j'ai observé depuis un site très bon. J'ai pu voir au Kepler 3 galaxies dans le Quitette de Stéphan, comme avec le Mewlon 210 autrefois (mais peut-être plus difficilement).

    En fait, la vraie déception, mais elle est commune à mon ancien C8, c'est que les objets du ciel profond restent des taches floues. Alors qu'au Mewlon 210, ils laissaient parfois percevoir des détails. Mais bon, c'est très peu de chose, ça ne concerne pas beaucoup d'objets.

    9/ Performances en haute résolution.

    Une nuit, j'ai emmené le Kepler lors d'une soirée-club où il y avait une lunette Meade 178 ED. Que valait le Kepler par rapport à la lunette ?

    Sur Epsilon de la Lyre, le Kepler montrait avec le SP 6,4 (x180) deux fois deux taches informes distinctes. À la lunette, c'était deux fois deux disques d'Airy parfaits, bien ronds (avec un fin liseré violet bien discret...). Pas de secret ! Cela dit le pouvoir séparateur était a priori le même. Mais l'image était autrement plus belle à la lunette ED !

    Et les planètes ? Ce soir il y avait juste Uranus... À la lunette 178 ED, c'était un disque parfait, bleu-vert. Et au Kepler aussi ! Bonne surprise ! Pourtant Uranus est petit. Mieux : la couleur d'Uranus, jolie, m'a paru plus naturelle au Kepler (à la lunette elle tirait trop sur le bleu).

    À noter que ce soir là, nous avions aussi comparé la magnitude limite stellaire entre le Kepler 200, un Newton Meade 250 et la lunette 178 ED. C'est la lunette qui a gagné ! (sur une "selected area" autour de M57.)

    Je crois que la mise en température parfaite est longue, car j'ai toujours dû attendre les fins de nuits pour avoir de belles images planétaires. À moins que ce ne soit la mise en température du sol qui soit en cause ? Toujours est-il que j'ai eu sur Saturne une belle image, lors d'un petit matin, qui m'a emballée. Mais c'est au Mewlon 210 que j'ai vu la plus belle Saturne, à une époque où pourtant l'anneau était très fermé. Sur Jupiter, jamais de belles images. Cela dit, j'observe peu les planètes et je n'ai jamais eu l'occasion de la voir en fin de nuit. Pour ce qui est de la Lune, que je n'observe quasiment jamais, j'ai eu, une fois, une vision inoubliable. Cette nuit là, je me suis dit que j'aimais la Lune (c'est fort !icon_wink.gif En fait, je crois que je n'ai jamais observé la Lune au C8, et probablement jamais au Mewlon 210 non plus, et que donc je n'avais pas vraiment de références. À mon avis, c'est le diamètre du télescope plus que la qualité optique (quelconque mais honnête) qui explique l'impression visuelle (contraste, détails, piqué...) lors de cette nuit où le ciel était plus stable que d'habitude.

    Conclusion sur la qualité optique : elle est aussi quelconque que celle de mon C8 qui était un C8 plutôt moyen, peut-être un poil inférieure en magnitude limite (pas sûr), mais en dessous d'une bête de course comme le Mewlon 210. Mais elle est correcte.

    10/ Que peut-on voir dans le ciel avec un Kepler 200/1200 ?

    - La couleur des étoiles !
    - Des étoiles doubles jusque 1" environ. Je ne suis jamais descendu plus bas que 1,1" je crois. Mais je n'ai jamais trop forcé (je ne suis pas fan).
    - La magnitude 14 atteinte de justesse sur les étoiles dans un site moyen de plaine, et presque 13 sur les galaxies (donc plus de 2000 accessibles).
    - Avec un filtre UHC (mieux, OIII), les Dentelles sont très belles et on commence à saisir les filaments. M42 est incomparable, mais bon, c'est trop facile !
    - Les amas globulaires commencent à être résolus. M13, M22 et M5 montrent 50 à 80 étoiles selon les conditions, M92, M15 et M2 sont plus pauvres mais jolis quand même. M10 et M12 aussi sont résolus en partie, mas déjà un cran en-dessous. Dans ce domaine, un diamètre un peu plus grand creuserait très vite l'écart.
    - Les nébuleuses planétaires restent de simples petites taches floues, sauf M57 et NGC 40 (anneau) ou NGC 7008 (qui montre sa forme bizarre). Mais les autres (NGC 6572, NGC 6543 par exemple) ne montrent rien. Là encore, il faut du diamètre !
    - Les comètes de magnitude 9 et 10 sont parfaitement à la portée de ce télescope, j'en ai observé quelques-unes relativement faibles. Quant aux brillantes... NEAT montrait bien sa longue queue de gaz en mai 2004, et même un peu sa couleur.
    - Sur les planètes, je pense qu'il ne faut pas être trop exigeant : on peut les découvrir, disons, mais non les étudier. J'ai pu dessiner la rotation de Mars, mais c'était en 2003.

    11/ Que ne voit-on pas ?

    - Le Kepler 200 n'est pas une lunette apo de 200 mm. Ne pas viser de résoudre des étoiles doubles à 0,5", ni étudier la ronde des WOS sur Jupiter ou les tempêtes de poussières martiennes.
    - Il faut limiter son grossissement, à cause du manque de suivi. J'ai eu un Radian 4 mm pour grossir 300 fois, je pouvais dessiner avec, mais c'était la limite. Le grand champ de l'oculaire (60°) aidait.
    - Les galaxies ne montrent pas leurs bras, l'étoile centrale de M57 est invisible, les satellites d'Uranus non plus, et on ne résout pas M14 en étoiles. Pour ça, il faut un 300 mm...
    - On ne peut pas observer de trous noirs avec. De toute façon, les tous noirs n'existent pas. Enfin, si, on peut observer des nébuleuses obscures. Pas la Tête de Cheval (dans un site moyen de plaine), mais la Tache d'Encre (dans le Sagittaire)est parfaitement visible.

    12/ Bilan.

    + Télescope d'un rapport performance/prix étonnant.
    + Très simple d'emploi si l'on sait pointer un objet et si l'on n'est pas dérangé par le guidage manuel.
    + La qualité optique est quelconque, mais correcte.
    + Les oculaires sont corrects.
    + La collimation tient.
    + Télescope léger (une personne seule peut le porter) et transportable (le tube tient sur le siège arrière d'une voiture).
    + Focale des deux oculaires fournis bien choisie.
    + Chercheur très bien conçu !

    - Pas de marquage au centre du miroir (à faire soi-même) sur mon modèle.
    - La qualité optique est correcte, mais quelconque. 
    - Ressorts d'équilibrage (seule phase pénible du montage).
    - Mouvements assez durs (mais qui contribuent à la stabilité).
    - Pas de possibilité de montage "en gaucher" (porte-oculaire à droite du tube, permettant de pointer facilement dans le chercheur avec l'oeil gauche).
    - Pas de suivi motorisé (donc photo impossible en longue pose).
    - Pas de système de pointage autre que le chercheur (cercles, encodeurs ou goto).

    À acheter obligatoirement en plus :
    - Un oculaire donnant un plus fort grossissement que le 9 mm. Je préconise un 6 mm (x200), car à mon avis x300 est excessif compte tenu de la qualité optique et du manque de suivi.
    - Un oculaire de collimation ou un laser, sous réserve d'avoir un miroir marqué au centre.
    - Un altas du ciel.

    Achats supplémentaires conseillés :
    - Un filtre interférentiel (UHC ou OIII, peu importe - même si j'ai une préférence pour le OIII) (en fait, mieux vaut les deux...)
    - Un Nagler en moyen grossissement (celui qui montre le mieux les détails). J'ai opté pour le 9 mm, mais un 11 mm doit être tout aussi intéressant.
    - Un double filtre polarisant ou un filtre neutre pour la Lune.

    Je déconseille les filtres colorés. On ne voit pas assez de détails sur les planètes, à mon avis, pour que ça vaille le coup.

    13/ Moralité.

    Je me suis rendu compte à l'usage que ce télescope était, me semble-t-il, le télescope idéal pour débuter. Jusqu'alors, je pensais que c'était le 115/900. Mais les Chinois ont fait baisser les prix et le Kepler 200 coûte aujourd'hui ce que coûtait lors de mes débuts un 115/900. En outre, il est simple d'utilisation, et son diamètre permet de découvrir le ciel dans de bonnes conditions. En fait, c'est le télescope idéal du débutant sous réserve que celui-ci soit motivé (il faut apprendre son ciel, pas de goto...) et qu'il ait prévu plus gros ensuite (car on ne peut pas faire de photo).

    En prime, voici un récit de mes vacances 2003 où le Kepler a été utilisé, sauf les deux dernières soirées (attention, c'est encore plus long) :  http://astrosurf.com/astramatoria/sorties/q2003-1.htm .


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