Aller au contenu

copex30

Membre
  • Compteur de contenus

    50
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par copex30

  1. Bonjour,

     

    Je me demandais si il était possible d'entraîner un télescope à l'aide de la cinématique d'un vélo.

    on voit plutôt des entraînements par courroie, par roue dentée voire par friction mais pour une construction personnelle, serait-il possible d'utiliser une chaîne de vélo reliée à ses pignons. Le système de dérailleur permettrait de se déplacer plus ou moins vite.

    Quelqu'un a-t-il un avis là-dessus ?

     

    Merci.

  2. Hello,

     

    J'aimerais avoir votre avis sur la réalisation d'une configuration potentielle pour la photo.

    Je possède un newton 450 FD4 que j'utilise pour le visuel et j'aimerais le passer en instrument dédié photo.

    Pour le moment, je ne regarde que la réalisation théorique : juste voir si c'est possible sur papier.

     

    J'aimerais combiner un réducteur-correcteur + un guideur hors-axe/dérotateur de champ/"optique adaptative" + une roue à filtres et enfin la caméra CCD.

     

    Je dispose déjà d'un correcteur Televue Paraccor et surtout d'un réducteur-correcteur Keller en 2" réduisant la focale d'un facteur 0.73x (cf :http://www.astrooptik.com/) qui réduirait la focale de 1800 mm à ~ 1315 mm

     

    - Pour le keller, le plan focal doit se trouver à 66 mm +- 1mm pour un maximum d'efficacité. Disons 66.5 mm

     

    - Je n'ai trouvé qu'un seul dérotateur/guideur/"OA" sur le marché : le easystar d'Orion (cf : http://www.telescope.com/Astrophotography/Autoguiding-Solutions/Orion-SteadyStar-Adaptive-Optics-Guider-with-Rotator/c/4/sc/60/p/53077.uts ).

    D'après la documentation, l'épaisseur optique de cet appareil est de 40 mm

     

    Ce qui laisse encore ~ 66.5-40 = 26.5 mm.

     

    Il me faut donc une CCD avec un back focus très petit.

     

    J'ai trouvé une version de la QSI 540 dont le back focus est de 9 mm sans adaptateur.

     

    Il faut encore rajouter les filtres. Avec des filtres de 3 mm d'épaisseur genre Astrodon, cela rajoute 1 mm sur le chemin optique.

     

    Il reste donc 17.5 mm. A ma connaissance, il n'existe pas de roue à filtre aussi fine. De plus, il faut encore rajouter les adaptateurs. C'est donc fichu pour trouver cela dans le commerce il me semble.

     

    Donc, il faudrait que je fasse faire par un tourneur un adaptateur mécanique de la bonne épaisseur entre le guideur hors-axe et la caméra qui permettrait d'y glisser un tiroir à filtres.

     

    Ai-je oublié quelque chose dans mon ensemble ?

     

    Merci.

  3. Avoir les bénéfices d'un tout grand miroir sans les inconvénients (budget, poids, réalisation...), c'est un doux rêve... mais ce n'est qu'un rêve.

     

    Serge et Moot ont tout dit.

     

    Aucun télescope professionnel n'est capable de faire de l'interférométrie quotidienne dans le visible. J'ai eu la chance de discuter une fois avec un astronome pro venant de mission du VLT et, d'après lui, c'est déjà tout un bazard pas possible pour faire de l'interféro dans l'infrarouge. Il pense qu'il n'y a quasi aucune chance de pouvoir en faire dans le visible avec cette génération d'instruments (alors que c'était une des grandes pubs faites autour du VLT lors de sa conception).

     

    Le principe est simple mais la réalisation est plus que délicate.

    Il faut placer 2 miroirs de façon adéquate l'un par rapport à l'autre à +- 1/2 millième de micron près....

     

    Autrement, pour l'amateur, la seule possibilité de combiner 2 petits instruments est la vision binoculaire. Mais on gagne en luminosité (2 images pour le cerveau au lieu d'une) et pas en résolution.

     

     

    Et même avec des miroirs sphériques, il faut que les rayons de courbure de chaque miroir soient égaux avec une très grande précision.
  4. Bonjour,

    Pour répondre rapidement à ta question concernant les rapports de luminosité :

    La lumière collectée est fonction de la surface du mirroir (rappel : la surface d'un cercle est donnée par la formule (diamètre/2) X PI)

    Le miroir du C14 fait 355 mm contre 300 pour le second instrument.

    Son diamètre est 1.18 X plus grand.

    Donc, la surface collectrice du C14 est (1.18)^2 ~ 1.4 X plus importante. il collecte donc 40 % de lumière en plus.

     

    Mais pour être plus précis, il faut tenir compte de l'obstruction centrale :

     

    - La surface collectrice du miroir du C14 est de (355/2)^2 X PI = ~ 99.OOO mm2

    - Hors le C14 a -du fait de son miroir secondaire- comme un trou dont le diamètre est de 32% de 355 ~ 114 mm et donc une

    superficie de (114/2)^2 X PI ~ 10.000 mm2.

    - Donc, la surface collectrice réelle du C14 est de ~ 89000 mm2.

    - pour le 300, sa surface est de (300/2)^2 X Pi ~ 70500 mm2

    - Son obstruction est de 26% de 300 = 78 mm : ce qui équivaut à une surface de (78/2)^2 X Pi ~ 4800 mm2.

    - La surface collectrice réelle du 300 est de ~ 67500 mm2.

    En tenant compte de l'obstruction, le C14 collecte donc 89000/67500 ~ 1.32 x plus de lumière que le 300.

    Il est donc ~32 % plus lumineux.

    Il faut encore tenir compte des pouvoirs de réflectivité des miroirs et de la transmission de la lame de fermeture du C14.

     

    En espérant t'avoir aidé.

    Bon choix : cela semble de toute façon 2 superbes instruments.

     

    Bonjour,

    attention quand même, le DK300 n'est pas encore vraiment disponible sur le marché. Je connais la personne qui a commandé le premier exemplaire et à ma connaissance, il n'a pas encore été livré (mes infos datent d'il y a 2 semaines) après pas mal d'attente. Ca ne me parait pas anormal qu'il y ait du retard pour un prototype, mais si c'est pour un achat rapide, il vaut mieux opter pour le C14 ou autre modèle disponible.

    En tout cas, je ne pense pas que tu auras des avis d'utilisateurs car il n'y en a pas encore.

     

    Eric

  5. Bonjour,

     

    Ces photos sont superbes et très impressionnantes quand à la façon dont elles ont été obtenues.

    Je suis très intéressé par cet appareil et il serait une des raisons qui me pousserait à rester chez Pentax plutôt que de passer vers Canon.

    Mais j'ai quelques questions.

    Sur les performances de l'astrotracer, Pentax communique - pour une focale de 200mm - sur un temps de pose de 110sec à 300 sec d'après la latitude de l'objet photographié.

    Pourquoi s'être limité à des poses unitaires de 45 sec ?

    Y avait-il une dérive des étoiles visibles pour un temps de pose plus long ?

    Si oui, cela signifie alors que les performances annoncées sont trop optimistes ?

    Le GPS est-il facile à calibrer et surtout de façon reproductible ?

     

    J'envisagerai de l'utiliser avec des focales supérieures à 200 mm (de 300 à ~ 700 mm), as-tu fait des essais avec de telles focales (évidemment avec des temps de poses beaucoup plus court) ?

    C'est utopique ?

     

    En bref, c'est déjà un chouette gadget rien qu'en regardant tes photos mais si il tient vraiment ses promesses, ce serait un super méga !:ù$^" de ouf pour notre passion.

     

    Merci.

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.