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Goofy

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Tout ce qui a été posté par Goofy

  1. Cela existe déjà chez Unistellar, c'est l'Equinox. L'Equinox c'est l'eVscope1 sans l'oculaire électronique (donc avec un coût moindre) L'Equinox possède le même capteur IMX 224 que l'eVscope1. L'eVscope2 possède un capteur un peu plus grand, un IMX 437 (l'eVscope1 n'est plus commercialisé) Personnellement, j'utilise beaucoup l'oculaire électronique. Je trouve que le visuel a plus de "peps". Il montre plus de brillance et des couleurs un peu plus vives que l'image de contrôle visible sur la tablette. Je paramètre avec la tablette et quand le moment de l'observation est atteint, c'est surtout l'oculaire qui me procurera le plus de satisfaction. En plus c'est plus immersif, même s'il s'agit d'un oculaire électronique (nous ne voyons pas directement ce que voit le miroir, mais ce que voit le capteur, en direct ou en synthèse). ----- Bonjour Bruno, Notre camarade l'a observée le 25 avril 2022 (l'info est ajoutée en bordure basse de l'image). L'eVscope permet aussi de pointer directement une supernova, si bien sûr elle existe dans sa base de donnée. Dans ce cas le nom de cette SN figurera dans le cartouche informatif comme nom d'objet observé. Sinon il faut pointer la supernova aux coordonnées équatoriales J2000 et dans ce cas ce seront les coordonnées équatoriales J2000 qui figureront comme nom d'objet observé. Cette supernova SN 1989B est actuellement encore visible dans M66, même si elle a perdu en magnitude: https://www.messier.seds.org/more/m066_sn89b.html J'ai encore observée récemment cette supernova, le 26 avril 2022, mais là j'avais pointé M66 pour l'observer, raison pour laquelle M66 figure dans le cartouche informatif : (Ce cartouche informatif est ajouté automatiquement par l'application si on demande à sauvegarder le visuel de l'oculaire, sinon si on sauvegarde au plein format du capteur, il n'y a pas de cartouche informatif. Je trouve utile ce cartouche informatif : nom de l'objet observé / durée de la vision amplifié / coordonnées arrondies du site d'observation / date de l'observation)
  2. Avec un eVscope nous pouvons certes poser 1 heure et même bien plus plus, mais je ne vois pas l'intérêt avec ce type de matériel. Autant comme le précise Colmic, s'orienter vers un assemblage de plusieurs éléments, tous les connecter en filaire et faire de l'acquisition cumulées pendant longtemps: les résultats obtenus seront bien meilleurs (plus de diamètre et plus de bricolage informatique possibles en post traitement) Le domaine de prédilection de l'eVscope c'est le visuel amplifié de quelques dizaines de secondes à 3 ~ 4 minutes maxi. Il m'arrive parfois d'aller à une 15aine de minutes, mais c'est rare. Au-delà nous ne gagnons plus grand chose en qualité et il faudrait accumuler pendant beaucoup plus longtemps pour voir une amélioration et là on rentre dans le domaine de la photo, ce n'est pas son job. Cependant nous pouvons avoir besoin de faire de l'acquisition pendant beaucoup plus longtemps pour les besoins spécifiques de la Science Participative (généralement plusieurs heures pour les exoplanètes ou une 40 aine de minutes pour le Planetary Defense). Là c'est un emploi particulier de l'eVscope et tout est prévu pour nous simplifier ce travail (je participe à ces travaux, nous avons un Slack dédié pour cela avec divers canaux pour chacune des disciplines avec des représentant de l'AFA, du SETI et d'Unistellar) L'eVscope est conçu de base pour pratiquer le visuel amplifié, pas pour faire de la photo. Nous devons donc obtenir un visuel confortable, acceptable et en couleurs très rapidement. Inutile de chercher à en obtenir plus: c'est de l'observation, on enchaine les objets à observer. Ce que j'apprécie avec l'eVscope 2, c'est sa compacité, son poids léger (en Nomade c'est super) et son extrême intégration (nous avons juste besoin en plus d'une tablette ou d'un smartphone pour le piloter, pas d'add on, pas de plugin, pas d'oculaires, tout au plus un filtre interférentiel en 31.75). Pas de filasse qui traine de partout et pouvant potentiellement occasionner des soucis. Sa très grande rapidité d'installation et de mise en œuvre est vraiment un atout, on peut le sortir juste pour observer pendant un 1/4 d'heure. En moins de 2' il est prêt à être utilisé, le plus long étant de bien centrer la bulle de son trépied. Une petite mise en température est conseillée, mais franchement elle n'est pas vraiment indispensable tant qu'il n'y a pas un gros écart de température interne/externe (114 mm et 450 mm de focale pour un pseudo newton) Clairement, c'est l'instrument qui sort le plus souvent parmi ceux que je possède. Un sac à dos contenant l'eVscope et son trépied (celui dédié est super) + une tablette ou un smartphone et c'est parti pour observer soit sur place soit pour aller observer en nomade ! Besoin de rien d'autre. On peut difficilement faire plus simple 🙂 Les amateurs de "mains dans le cambouis" seront déçus, ce n'est clairement pas fait pour eux: rien à bricoler et trop facile à utiliser 😉
  3. J'ai un "simple accessoire d'imagerie", mais je ne passe pas une nuit entière (voire plusieurs nuits) à imager un seul objet du ciel profond, puis à réaliser tous les traitements la journée suivante pour obtenir au final une belle photo, mais j'enchaine lors de mes soirées d'observation mes listes d'objets à observer via son oculaire électronique. Son but n'est pas de faire des photos, mais d'accéder très facilement et rapidement à des objets pour lesquels il faudrait un setup nettement plus gros, nettement plus performant, nettement plus lourd et plus fastidieux à installer. Nous obtenons rapidement des visuels confortables, contrastés et acceptables, le tout en couleurs. Franchement mon "simple accessoire d'imagerie" (qui n'en est pas un), n'a pas à rougir à côté du C11 Edge HD et de la Taka TSA-120. Les emplois sont différents et parfaitement adaptés pour dérouler des soirées d'observation. Les résultats et les plaisirs sont simplement différents 😉
  4. En H-Alpha en sortie côté oculaire, la bande passante ne fait que 0.5 à 0.8 angström autour de la raie H-Alpha à 656.28 nm. A ce niveau de filtration aussi serré, le chromatisme de la lunette n'est absolument pas gênant. Une simple achro de qualité à F/D plutôt grand est largement suffisante.
  5. Goofy

    C/2017 K2 (PANSTARRS)

    Avec cet instrument, il y a un autre aspect que je trouve vraiment sympa: la science participative (ou science citoyenne / Citizen Science). Cela permet d'avoir un but supplémentaire dans notre pratique de l'astronomie. L'institut SETI, l'AAVSO et d'autre organismes officiels expriment des besoins d'observations pour lesquels ils n'ont ni le temps, ni la disponibilité en gros télescope professionnels. L'eVscope est un petit instrument, mais du fait qu'il y a une grande répartition des utilisateurs sur la surface du globe terrestre (près 10 000), cela permet de faire des synthèses d'observations très intéressantes pour les professionnels. Le site Unistellar présente ces besoins dans diverses catégories: occultations d'étoiles par des astéroïdes (cela permet d'affiner l'orbite de l'astéroïde et leurs dimensions + formes éventuellement), les astéroïdes dangereux pour la Terre (pour affiner leurs paramètres orbitaux), les comètes (pour affiner leur connaissance, leurs structures et leur composition), les exoplanètes (pour confirmer si ce sont bien des exoplanètes ou bien si ce sont des étoiles binaires) et des programmes ponctuels divers. Sur leur site, nous choisissons le thème et nous précisons notre région dans le monde (Europe de l'ouest pour moi). Il nous est alors proposé une liste d'objets à observer à la demande des organismes et il nous est indiqué le paramétrage correspondant de l'eVscope: https://unistellaroptics.com/citizen-science/ (aller dans le menu "Citizen Science", choisir une catégorie et tout en bas de la page des prédictions, indiquer dans la liste déroulante le secteur où nous nous trouvons (Western Europe pour moi). On a alors les besoins et le protocole à suivre pour les observations demandées. Côté utilisateur de l'eVscope, ce n'est pas très visible (frustrant), nous devons travailler en vision directe du capteur (pas en vision amplifiée). L'application Unistellar pilotant l'eVscope intègre les procédures du mode Science Participative. Nous intégrons alors dans l'eVscope les paramètres indiqués et nous démarrons la procédure d'acquisitions. Tout s'enregistre automatiquement et en temps réel sur la carte mémoire de l'eVscope (64 Go). Les procédure peuvent durer de quelques minutes (occultation d'étoile par un astéroïde) à plusieurs heures (exoplanète). A la fin de la séance, l'application nous demande de réaliser un dark (ajouté aux données enregistrées). Une fois la séance terminée, de retour à la maison nous procédons au transfert des données de l'eVscope vers le serveur Unistellar en Wifi (l'eVscope a son propre réseau WiFi). La fibre est recommandée, il peut y avoir plusieurs 10aine de Go à transférer. Nous remplissons également un formulaire de C/R en ligne. Puis Unistellar répercute les data reçues vers les organismes qui les ont sollicitées (SETI, AVVSO, etc.) Au bout de deux à trois semaine après envoi des data et du C/R, nous recevons un C/R d'exploitation de nos data par l'organisme concerné. Ils peuvent nous fournir la courbe de lumière de notre observation s'il s'agissait d'une exoplanète par exemple : https://unistellaroptics.com/citizen-science/exoplanets/results/ Tout ceci représente un aspect intéressant pour notre pratique de l'astronomie: avoir un but supplémentaire, participer à des programmes établis par des professionnels. Nous avons également un Slack de communication dédié sur lequel nous dialoguons entre utilisateurs et avec des professionnels ou leurs représentants. Ils sont vraiment intéressés par les possibilités que représente le réseau Unistellar avec nos petits eVscope (disponibilité, synthèse et répartition mondiale, il y a toujours un ou plusieurs utilisateurs bien placés pour une observation) J'ai commencé à participer à cela, j'aime bien cette démarche 🙂 Par exemple, j'ai refait l'observation de la comète C/2017 K2 (PANSTARRS), objet de ce sujet, mais en appliquant cette fois-ci leur protocole. Ensuite j'ai transmis les data (2 Go), puis mon C/R.
  6. Goofy

    C/2017 K2 (PANSTARRS)

    Bonjour Bruno, Les étoiles lumineuses sont souvent déformées. C'est moins visibles sur les étoiles plus faibles. Le logiciel intégré est sans doute perfectible, mais il évolue. La collimation et la mise au point au masque de Bahtinov sont OK. Le bas de l'image tranche avec le reste de l'image: Initialement la comète était plus basse dans le champ oculaire. Le suivi étant perfectible, il y a eu un recalage automatique (brutal) qui a remonté le centre du visuel vers le haut dans le champ oculaire. D'où une exposition moindre dans la partie basse du visuel et cet aspect bizarre des étoiles. La monture est une altazimutale, d'où une dérotation du champ effectuée par le logiciel intégré, trame après trame. Pour l'empilement des trames du visuel amplifié, ce n'est pas l'idéal. Mais l'instrument est tellement pratique tel qu'il est conçu. De toute façon, il n'est pas fait pour faire de la photo, mais pour obtenir des visuels acceptables rapidement (souvent entre 2 et 4 minutes). Je déroule mes listes d'observation durant mes soirées astro, enchainant les objets visités. J'apprécie l'utilisation d'un tel instrument: compact, léger, très vite mis en œuvre, prêt à observer en très peu de temps, tout est intégré. Il complète bien ma TSA-120 et mes SC 10" et C11. Les usages et les sensations sont totalement différents. Pour la couleurs, ci-dessus avec la comète nous n'en voyons pas, mais quand il y en as, c'est chouette, d'autant plus que c'est visible à l'oculaire (électronique). Et ça c'est un réel plus de voir franchement de la couleur ainsi. Exemple de couleurs: (à l'oculaire le visuel est plus sympa: un peu plus de punch, des couleurs un peu plus éclatantes et un fond de ciel paraissant un peu moins bruité visuellement):
  7. Bonjour 🙂 La comète C/2017 K2 (PANSTARRS) observée à l'oculaire électronique de mon eVscope 2 . L'eVscope (114 mm / F 450 mm) n'est pas fait pour faire de la photo, mais du visuel amplifié visible dans son oculaire électronique (bien que l'on puisse sauvegarder les visuels obtenus, ce que j'ai fait ici. C'est pour cela que je poste ici dans la section "Observation", enchainant les observations durant ma séance astro). Les visuels à l'oculaire sont plus beaux que ceux des images sauvegardées (visuels un peu plus contrastés et avec des couleurs un peu plus vives) La comète C/2017 K2 (non périodique) est actuellement dans la constellation d'Ophiuchus. Magnitude visuelle +7.20 Distance 710 années lumière. Durant les 15 minutes d'intégration de la vision amplifiée, la comète s'est déplacée significativement (filé horizontal de son noyau cométaire). On devine assez bien sa chevelure s'élevant vers le haut sur cette capture :
  8. Avec ma TSA-120 j'utilise la série des Pentax XW (3.5 , 5 , 7 , 14 et 40 mm). Ils passent très bien sur cette belle lunette 🥰
  9. Bonsoir Bordav 🙂 Le tissu ciré de la tente astro Explore Scientific est plus épais et plus qualitatif que celui de la tente astro Omegon. Les coutures sont mieux finies et plus robustes. Elle est plus vite montée que le tente astro Omegon. Par contre l'espace intérieur est plus petit (1m52 x 1m52), mais on peut avoir deux pièces de dimensions identiques. Depuis que je l'ai, je n'ai eu aucun soucis. - Aucun problème avec l'humidité (j'ajoute un tapis de sol (une bâche) pour isoler l'intérieure des remontées humide provenant du sol herbeux ) - Pour la résistance au vent: on la fixe au sol à chaque coin via des piquets de tente et elle est également maintenue par des haubans + piquets de tente depuis chaque coin en haut de la tente. Si le vent est faible aucun soucis. Par vent plus fort, je n'ai pas essayé, je ne fais pas d'astro dans ces conditions. Le tissu est étanche au vent et opaque à la lumière. - Je ne l'ai pas testée sous la pluie. Je ne fais pas d'astro si la météo annonce que le temps va ou risque de se dégrader. Je la monte pour observer et je la replie après l'observation. Je ne la laisse jamais à demeure. Tout au plus je la laisse montée la nuit pour qu'elle soit sèche le lendemain avant de la plier Je n'ai aucune idée de sa résistance si elle reste montée à demeure pendant longtemps, mais son tissu est en nylon épais et ciré.
  10. Je ne fais plus que du visuel et un peu de VA maintenant. La photo c'est terminé. A une époque je cherchais aussi un instrument polyvalent pour du visuel principalement, donnant satisfaction en planétaire et en CP. La formule SC correspondait bien à ce que je recherchais. Polyvalent, bon partout, excellent nul part. J'ai donc choisi un LX200 GPS de 10" sur monture à fourche. Acheté neuf. Il me procure beaucoup de satisfactions. Frédéric Jabet d'Airy Lab a établi son bulletin de contrôle et a trouvé que c'était une très bonne optique pour un SC (avec ses défauts inhérents à ce type de formule optique). Mais l'âge avançant, je trouve que le poids du tube optique + le poids de la fourche solidaire représentant presque 30 kg, cela devient contraignant pour mon dos. Donc fin 2021, j'ai décidé de changer de SC. J'ai opté pour un tube optique C11 Hedge HD. Ce tube optique de presque 13 kg, va être pour moi bien plus agréable à porter et à mettre en place. 10" vs 11", il n'y aura pas de différence, ou si peu. J'ai une AZEQ6 qui va parfaitement faire l'affaire pour une utilisation visuelle en configuration Alt-Azimutale. Malheureusement les stocks pour du C11 Hedge HD sont nuls et je veux du neuf. L'importateur annonce un délai pour juillet, pas avant. Jai donc passé commande chez O.U. début janvier et versé un acompte pour être sûr d'avoir un C11 Hedge HD dès que l'importateur en recevra. Maintenant pourquoi un Hedge HD et non un Classic pour du visuel ? - il se dit régulièrement que la qualité des Hedge HD est un cran au-dessus des Classic, - du fait du champ aplani, la collimation est plus tolérante et il se dit qu'elle tient mieux dans le temps, - à 66 ans ma capacité d'accommodation oculaire a beaucoup diminué et cela va aller en empirant. Avec un champ "plan", pour mes yeux l'image sera nette au centre et pratiquement jusqu'en bordure de champ sans devoir jouer de la molette de mise au point entre le centre et le bord du champ. Il y a certes une différence de prix non négligeable, mais c'est juste douloureux au moment de l'achat. Après je n'y penserai plus, seule l'utilisation restera. En complément j'ai à côté une TSA-120 et des jumelles APM 100 SD 90° (et un petit SC Nexstar 6SE). Quand le C11 Hedge HD sera là, je revendrai mon LX200 GPS 10", doublon inutile.
  11. J'utilise la NIX II de chez Berlebach. J'ai ajouté l'option du repose pieds. Celui-ci apporte un confort supplémentaire réel, surtout quand l'assise est haute. On peut régler la hauteur de l'assise de 25 cm jusqu'à 90 cm en continu. Cette chaise astro est belle et très bien finie. La matière est la même que celle des trépieds Berlebach. L'assise étant peu rembourrée, j'ai ajouté à demeure un coussin en mousse. Replié, le trépied est tout plat (l'assise et le repose pied s'enlèvent entièrement par simple coulissement). C'est plus facile pour le transport et le stockage. https://www.berlebach.de/en/?bereich=details&id=99 https://www.berlebach.de/en/?bereich=details&id=371
  12. Pour l'équilibrage de mes jumelles, j'ai choisi une méthode simple et efficace: freins desserrés, mes jumelles sont toujours parfaitement équilibrées quelle que soient les oculaires utilisés et l'inclinaison en site des jumelles. J'utilise des plombs de pêche en forme de poire: 2x100g , 2x200g et 1x500g, ce qui permet d'utiliser une gamme de contrepoids allant de 100 g jusqu'à 1,1 kg (gamme de poids à adapter en fonction de votre gamme d'oculaires). Les poids sont emballés dans du film alimentaire pour éviter le contact direct avec le plomb. De base et sans contrepoids, pour l'équilibrage initial je règle la position des jumelles sur la fourche avec mes oculaires les plus lourds et avec les jumelles pointant très haut dans le ciel. A partir de là en fonction des oculaires utilisés (donc plus légers), j'ajoute les poids nécessaires pour conserver l'équilibrage, freins desserrés. Le montage est tout simple et ne nécessite aucun bricolage sur la monture ou les jumelles. La monture ne souffre pas (freins desserrés). Le coût est très léger: Il suffit de pendre le ou les poids qui conviennent aux oculaires utilisés
  13. Pour information, APM propose leurs oculaires APM UFF 24 avec leurs bino APM 100 ED et SD. Ces oculaires font effectivement 55 mm au plus large. J'ai des APM 100 SD 90° (APM UFF 24 livrés avec) et mon écart interpupillaire est peu important (63 mm). Les APM UFF 24 passent bien. Avec leur relief d'œil assez généreux, cela ne me pose pas de soucis. Juste une petite gêne au niveau de l'arrête du nez qui touche les œilletons. La qualité des visuels délivrés est bonne sur ces jumelles à F/D 5.5.
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