rmor51

L'usage de Linux ne modifie pas la nature des câbles à employer.

La dernière version renferme deux nouvelles fonctions. La première est une liste des observables selon plusieurs critères: date, minimum d'élévation, écart par rapport à la Lune, etc. Une fois un objet choisi, un graphique montre son élévation, son image. Des boutons permettent d'accéder à Astrobin, Simbad, NGC, Wikipedia. La seconde consiste, dans le FITSViewer, à obtenir les objets présents dans l'image avec le site Simbad. Avec un filtre, complexe, pour sélectionner les objets et un lien avec la base Simbad.

Finalement, je n'ai pas acheté l'AM5. J'ai pris une iOptron HEM15A, plus comparable à l'AM3 en terme de charge. La présence de la raquette traditionnelle a été déterminant dans le choix.

Ce n'est pas simple une fois. Une fois que c'est fait c'est simple !

Lire le pdf joint au message. Je ne connais pas plus simple.

En planétaire, on prend plutôt des vidéos, avec un FPS assez élevé pour contrer la turbulence en particulier. Puis on analyse la vidéo et on empile les meilleurs images suivant un classement relatif. Les outils ne nomment Firecapture, Sharpcap pour la capture, Autostakker4, Registax6, AstroSurface, PSS, pour le traitement. Le traitement planétaire est différent de celui du CP. Même si le marketing indique que la 2600 peut faire du planétaire, elle n'est pas vraiment adaptée. Le capteur est bien trop grand, il faut donc faire du ROI au minimum pour atteindre un débit d'image ou FPS suffisant. On réglera un temps d'exposition court, quelque ms si le ciel est turbulent, quelques dizaines s'il est bon; en complément on règle le gain pour avoir l'histogramme à 70% environ.

Pas de MAP auto en planétaire. Allez sur une étoile proche, faire ma MAP puis revenir sur la planète. Inconvénient, déplacement possible du miroir primaire sur les SC par exemple, suffisant pour abîmer le MAP. Autre solution, rendre parafocaux un oculaire et la caméra. On fait la MAP avec l'oculaire puis on le remplace par la caméra. Avantage, pas de déplacement, l'oeil est précis pour faire la MAP sur une planète. Et ça fonctionne sans Barlow, avec Barlow et sur tous les télescopes. Parafocalisation.pdf

En photo, il faut un bon alignement polaire. Si on ne voit pas la polaire, les logiciels d'astrophoto savent le faire avec une étoile au voisinage du méridien sud. Cela nécessite quand même d'être bien orienté en azimuth et altitude, afin d'avoir une correction minimale. Pour cela, j'utilise 2 outils. Une règle en alu ou en bois, avec une boussole fixée dessus. L'axe N-S est perpendiculaire à la règle. Je pose la règle au sol, oriente celle-ci, puis je dispose les pieds du trépied en conséquence. Un inclinomètre pour régler l'altitude. Avec cette méthode, on est très bien orienté. Lorsque la polaire est visible, elle est dans le champ à tous les coups. Sans polaire, il existe la méthode du Bigourdan, que je n'ai jamais pratiqué. Elle consiste à laisser dériver une étoile dans le champ et à corriger avec les molettes l'azimuth et l'altitude. Çà prend une bonne demi-heure. La solution logicielle est plus rapide. Avec KSTARS par exemple, après avoir visé une étoile près du méridien sud, 3 photos sont prises avec une rotation de X degrés et astrométrer. Le logiciel en déduit un écart en azimuth et altitude, qu'il reste à corriger. NINA doit avoir une procédure similaire.

quel temps d'exposition est utilisé pour le guidage ?

Normal les "points" rouges rosés sur la full ?

Il y a aussi le Tokina 11-16. J'en ai eu un pour Canon, le champ est excellent pour la voie lactée. Il avait un gros avantage par rapport aux concurrents. En réglant la Map en bout de course on était parfaitement au point.

L'oeil est très précis pour le Bahtinov.

Le pro est sur une base raspberry. Puisque ta caméra de guidage fonctionne avec le guidage interne d'Ekos, c'est un problème propre à PHD2. Tu peux aller sur le site du concepteur et soumettre ton problème, en fournissant le log. https://groups.google.com/g/open-phd-guiding

Kstars-Ekos fait ce que tu demandes. Mais c'est plus long que de le faire en visuel. Pour un pilotage en distant, il faudrait automatiser la mise en place du masque et son retrait. Il est alors plus simple d'utiliser les processus de MAP standard.

Comment est branché la caméra de guidage ? En ST4 ou sur la raquette ? Un guidage inférieur à +/-3 secarc est excellent. Cherchez le 0,5 voire moins est un exercice de style. J'utilise depuis le départ le guidage interne de KSTARS. Cela fait un souci de moins. Un Stellarmate Pro coûte moins cher qu'un mini-PC + Pegasus.