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rmor51

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Tout ce qui a été posté par rmor51

  1. J'avais une AVX que j'ai remplacé par une iOptron, car il m'était impossible de court-circuiter l'AP par la raquette et donc d'utiliser l'AP astrométrique de Kstars.
  2. 1 Kg de contrepoids seulement ! Combien faudra-t-il en rajouter pour équilibrer, sauf avec une barre touchant le sol ?
  3. Quand j'utilisais un APN avec un 135mm, j'avais fait mon masque sur un transparent imprimé avec une jet d'encre.
  4. A priori pas besoin d'un dongle hdmi sur le RPI ou sur le mini-PC. Avec Nomachine, j'ai la résolution maximale de l'écran du client. Pour le mini-PC, en l'occurrence un Mele, il faut brancher le moniteur, une fois qu'il a fini de booter. Au niveau temps de réponse, je pense que c'est la qualité de la connexion qui prévaut. Donc une connexion câble sera meilleur que du wifi. Et en 5Ghz c'est mieux qu' en 2,5 Ghz au détriment de la portée, qu'on résout avec un répéteur. Tout cela reste subjectif, car je n'ai pas fait de mesures objectives. Au niveau encombrement, le RPI reste plus pratique qu'un Mele, avec sa vis Kodak pour le fixer.
  5. Avec un PC, la meilleure solution à mon sens, est une connexion avec Nomachine sur Stellarmate. Kstars tourne sur le Stellarmate, pas sur le PC. Le temps de réponse est meilleur qu'avec l'app Stellarmate pour Androïd. Avec Stellarmate X, le temps de réponse est bien meilleur me semble-t-il. La connexion Web est identique, pour moi, en terme de rapidité, à la connexion avec Nomachine.
  6. Je viens de regarder Indiwebmanager. Il y a un bouton vnc, en fait novnc, qui permet d'accéder à l'application Kstars dans le navigateur. Cela a fonctionné avec Chrome, pas avec Firefox qui fige! Firefox is unfortunately not supported at the moment since it does not support dual websocket technology that is employed in EkosLive.
  7. Pour ma premiére participation à la semaine astro du club en Dordogne, j'allais étrenner mon dernier achat, une Celestron AVX. Sous un chaud Soleil, montage de l'appareil. Vient le moment de brancher les câbles, en particulier le 12V du moteur DEC. A trois, on cherche. Tous les connecteurs genre RJ45 sont identiques. Pas de schéma ou de photo sur la documentation. Au bout d'un moment, je me décide et branche le cordon sur l'une des 3 possibles. Funeste erreur, car un petit panache de fumée s'élève. Carte grillée ! Sur l'AVX, le nom des prises est juste en relief, noir, sur le plastique noir. En plein Soleil, quasi invisible. J'ai reçu une carte le mardi matin, et oh miracle, ils avaient modifier le design pour éviter des branchements malencontreux !
  8. Merci pour ces explications. Un poil compliqué quand même ! Je vais tester.
  9. Il existe une version de Stellarmate pour les processeurs x86, à racheter sans doute, si tu as déjà la version Raspberry. Je viens de tester Stellarmate sur un Mele Quieter3C avec 256 Go et 8Go de RAM. Par rapport au RPI4 4Go, la différence de vitesse à l'utilisation n'est pas phénoménale. Et de toute façon, ce n'est pas à mon sens le facteur limitant, qui serait plutôt la portée du hotspot wifi. Mais ça se règle très bien avec un répéteur wifi. Les défauts du Mele: un bouton marche/arrêt sur lequel on peut appuyer involontairement; tous les branchements sont sur 3 côtés, à l'arrivée c'est assez arachnéen ! De ce côté le RPI4 est plus compact et moins encombrant avec ses câbles. Le matériel que tu proposes est compact, mais ne comprend que 2 USB3 type 2, au lieu de 3 sur le Mele, 2 sur le RPI4 + 2 USB2 type A. Une alim 12V, pas terrible si on a une Star Adventurer, en nomade. Le 5V du RPI4 est plus adapté dans ce cas. Par contre, idéal pour l'OS Windows. Dernier point le prix: on trouve des clônes du RPI4 en Angleterre pour 150€ port et TVA inclus. Avec boîtier, ventilo, câbles, alimentation, etc. Perso, je ne vois pas d'intérêts à troquer mon RPI4 et sa clé USB 128Go, contre un mini-PC.
  10. Pourriez-vous développer un peu, si ce n'est trop demandé ?
  11. Je suis en train de rédiger un manuel utilisateur de Stellarmate, centré sur les fonctions d'Ekos. En français, of course !
  12. C'est ce que je pense aussi. Normalement le SW Mak 180, a un secondaire collé sur la lame de fermeture. Il n'y a que le primaire, réglé en udine, sur lequel on peut agir. Il faut sacrément le secouer pour le dérégler. Ce que je voulais dire c'est qu'il y a d'autres moments pour pouvoir imager dans de bonnes conditions. Le facteur limitant restant les nuages 😭
  13. Je viens de tester Stellarmate avec un Mele QuieterC3 256 Go. Aucun souci avec Stellarmate qui se charge sans problème. Seul petit souci, si on branche un moniteur sur le port HDMI, on reste sur le splash screen, alors que Stellarmate est opérationnel. On peut s'y connecter avec le smartphone, un tablette ou un PC. Evidemment c'est plus rapide qu'un RPI, mais sans être primordial pour l'utilsation de Kstars. L'alimentation est en 12V. En nomade, il faut un câble d'alim USB-C spécifique. Il y a 3 USB-3 type A et un USB-C, un HDMI, un slot SDCard, un port Ethernet. Il y a un bouton de mise en route, très mal agencé. Il est relief sur le côté du boitier. En le saisissant, on peut appuyer dessus sans s'en rendre compte et couper l'alimentation. Il aurait été préférable de déporter le marche/arrêt sur le fil de l'alim, par exemple. Une fois que l'on a tout branché, on a quelque chose d'arachnéen dans un plan, tous les connecteur sont sur le pourtour du boîtier. Beaucoup moins pratique que le RPI. Ayant commencé à rédiger un manuel utilisateur de Stellarmate, je suis donc rentré dans dur en utilisant l'app Android pour me connecter. L'écran d'un smartphone est vraiment minimal. Une tablette me semble préférable. On retrouve les différents modules d'Ekos, le module d'astrophoto de Kstars. Mais avec des fonctionnalités absentes. Pas de dithering manuel, pas de possibilité d'utiliser PHD2 pour le guidage, pas d'alignement sur n étoiles par astrométrie, pas de planetarium en natif, mais la possibilité d'utiliser Skysafari avec un pilote Indi. En attendant d'en découvrir d'autres au fur et à mesure de l'avancement du manuel. Pour ma part, je préfère utiliser une connection par Nomachine (plus simple à mettre en oeuvre que VNC) avec un PC et avoir accès directement à Kstars et son excellente ergonomie, en plus de pouvoir profiter pleinement du planétarium. Mon setup est piloté aujourd'hui avec un RPI4 4Go et une clé USB 128 Go, qui me satisfait totalement. Une alimentation en 5V, plus simple en nomade avec une Star Adventurer, une forme plus ramassée avec tous ses branchements, pas de bouton marche/arrêt. Je me sers de l'app au démarrage pour mettre à jour, l'horodatage et la localisation de Kstars. Ensuite j'utilise le PC client pour la mise en route de la session. Pendant que ça se passe, je fais autre chose. Un mot encore: pour la Star Adventurer et les visueux qui désirent optimiser leur pointage, la solution RPI4 + Stellarmate, avec une tablette ou un smartphone, me semble parfaitement adaptée. Et ce pour un prix modique. Le Mele dont j'ai parlé est à 329€, alors qu'on peut trouver des clônes du RPI pour 150€, avec boitier, ventilo, câbles, etc. Voir un fil dans le club Linux à ce sujet. Bon cieux ! (Voeu pieux ?)
  14. Je viens de tester Stellarmate avec un Mele QuieterC3 256 Go. Aucun souci avec Stellarmate qui se charge sans problème. Seul petit souci, si on branche un moniteur sur le port HDMI, on reste sur le splash screen, alors que Stellarmate est opérationnel. On peut s'y connecter avec le smartphone, un tablette ou un PC. Evidemment c'est plus rapide qu'un RPI, mais sans être primordial pour l'utilsation de Kstars. L'alimentation est en 12V. En nomade, il faut un câble d'alim USB-C spécifique. Il y a 3 USB-3 type A et un USB-C, un HDMI, un slot SDCard, un port Ethernet. Il y a un bouton de mise en route, très mal agencé. Il est relief sur le côté du boitier. En le saisissant, on peut appuyer dessus sans s'en rendre compte et couper l'alimentation. Il aurait été préférable de déporter le marche/arrêt sur le fil de l'alim, par exemple. Une fois que l'on a tout branché, on a quelque chose d'arachnéen dans un plan, tous les connecteur sont sur le pourtour du boîtier. Beaucoup moins pratique que le RPI. Ayant commencé à rédiger un manuel utilisateur de Stellarmate, je suis donc rentré dans dur en utilisant l'app Android pour me connecter. L'écran d'un smartphone est vraiment minimal. Une tablette me semble préférable. On retrouve les différents modules d'Ekos, le module d'astrophoto de Kstars. Mais avec des fonctionnalités absentes. Pas de dithering manuel, pas de possibilité d'utiliser PHD2 pour le guidage, pas d'alignement sur n étoiles par astrométrie, pas de planetarium en natif, mais la possibilité d'utiliser Skysafari avec un pilote Indi. En attendant d'en découvrir d'autres au fur et à mesure de l'avancement du manuel. Pour ma part, je préfère utiliser une connection par Nomachine (plus simple à mettre en oeuvre que VNC) avec un PC et avoir accès directement à Kstars et son excellente ergonomie, en plus de pouvoir profiter pleinement du planétarium. Mon setup est piloté aujourd'hui avec un RPI4 4Go et une clé USB 128 Go, qui me satisfait totalement. Une alimentation en 5V, plus simple en nomade avec une Star Adventurer, une forme plus ramassée avec tous ses branchements, pas de bouton marche/arrêt. Je me sers de l'app au démarrage pour mettre à jour, l'horodatage et la localisation de Kstars. Ensuite j'utilise le PC client pour la mise en route de la session. Pendant que ça se passe, je fais autre chose. Un mot encore: pour la Star Adventurer et les visueux qui désirent optimiser leur pointage, la solution RPI4 + Stellarmate, avec une tablette ou un smartphone, me semble parfaitement adaptée. Et ce pour un prix modique. Le Mele dont j'ai parlé est à 329€, alors qu'on peut trouver des clônes du RPI pour 150€, avec boitier, ventilo, câbles, etc. Voir un fil dans le club Linux à ce sujet. Bon cieux ! (Voeu pieux ?)
  15. Aprés le coucher du Soleil, on a en général, mais pas toujours, une accalmie. De même en fin de nuit, avant le lever du Soleil. Il faut guetter, comme un chasseur, les moments d'accalmies. Restreindre cela de septembre à novembre me semble un peu excessif.
  16. Je vais peut être dire une bêtise. Un alignement par astrométrie ne serait-il pas plus simple et plus précis, en se servant d'un imageur sur le PO du tube ?
  17. Aucun démontage-remontage. LE RPI4, le boitier d'alim DIY, le contrôleur de MAP, le régulateur thermique sont sur une règlette, fixée sur les anneaux du tube. L'ensemble caméra imageur-roue à filtre-réducteur-bague de rotation, chercheur avec caméra guide, tout cela reste en place aussi. Juste le câble d'alimentation à retirer pour ranger le tube.
  18. Installer Nomachine ou VNC c'est quand même pas la mer à boire ! En outre, il me semble que dans l'interface web de Indiweb manager, il y a un bouton VNC pour accéder au bureau du serveur.
  19. Anydesk est bien adapté. Je vais enfin pouvoir rédiger le manuel utilisateur de Stellarmate en français !
  20. Si cette solution fonctionnait, cela voudrait dire que ton PC doit rester éveiller durant toute la session, car c'est sur lui que tourneraient les logiciels. Avec un Stellarmate, AsiAir ou autre, c'est ce qu'on cherche à éviter. LE PC sert lors de la mise en route puis normalement, on peut le couper et aller faire autre chose pendant que ça se passe. Stellarmate peut s'utiliser avec un smartphone, dont je reconnais que l'ergonomie de l'interface est sommaire. Mais on peut aussi le faire avec son PC et une connexion wifi classique par Nomachine ou VNC. Et le logiciel d'astrophoto intégré Kstars est, à mon avis bien supérieur à ton triptique APT+CDC+PHD2. Il a une interface très facile à utiliser avec un écran par fonction et un écran de contrôle de l'ensemble des opérations. Une documentation en français est disponible sur le site dans la rubrique Logiciels. Kstars est un planétarium qui intègre un module d'astrophoto : profils matériels, captures, mise au point, gestion des filtres, alignement astrométrique de la polaire, des étoiles, guidage interne ou par PHD2. L'essayez c'est l'adopter ! Je sais bien qu'on a ses habitudes et qu'il n'est pas facile de changer, mais le jeu en vaut la chandelle. Sinon, ayant abandonné le monde Win depuis bien des années pour Linux, je ne saurais répondre à ta question initiale.
  21. La solution s'appelle Indiweb manager. Sur indilib.org, dans Community - Tutorial -Indiweb manager. A rajouter dans une prochaine mouture. Jamais utilisé.
  22. Je n'avais pas du tout pensé à cela. Avec Nomachine, Teamviewer et autre, ça fonctionne aussi.
  23. Pas d'autres solutions que la capture ?
  24. Pour Ubuntu, il suffit de charger Ubuntu-Mate directement. Aucun problème avec Nomachine. On télécharge l'archive .deb et on double clique dessus. C'est tout. OK pour la priorité du hotspot. Merci pour ces remarques.
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