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Fred_76

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Tout ce qui a été posté par Fred_76

  1. J'ai : - iPhone 13 avec iOS 17.1.2. - MemStar version name 1.9.7 / version code 11. La connexion bluetooth s'est bien passée quand j'ai essayé dans la salle du club. 30 minutes plus tard, quand j'ai voulu me reconnecter, impossible. L'application a bien trouvé le MemStar dans le scanning. J'ai cliqué dessus, le message "Ne touchez pas le boitier...." s'est affiché pendant un moment puis a disparu. Le boitier continuait alors de clignoter et les lignes "Installation" et "Mise en station" (terme impropre d'ailleurs) restaient grisées. J'ai alors : - appuyé sur le bouton du MemStar, et recommencé la connexion, ça n'a rien changé. - redémarré l'app, ça n'a rien changé. - retiré et remis les piles, et plus de problème. >>> au fait, il serait préférable de fixer le boitier de piles au dos de la carte électronique (pas du côté composants) et de visser la carte dans le boitier. Ca éviterait de devoir la manipuler à chaque fois qu'on change les piles, au risque de la faire tomber, de tordre la LED ou de casser la tige du bouton poussoir, surtout qu'après il faut viser juste pour les remettre dans les trous du boitier. Dans le noir, avec les doigts gelés, c'est pas simple de manipuler ce petit boitier... >>> pour les termes, à la place de "Installation" je propose de dire "calibration sur 4 étoiles", et à la place de "mise en station" d'utiliser "caibration rapide" ou "alignement".
  2. De toutes façon, ta monture n'est pas faite pour l'astrophoto. C'est une AltAz et il y aura beaucoup de rotation de champ dès que tu dépasseras quelques dizaines de secondes de pose (typiquement au delà de 30-60s/pose selon la zone visée). Tu peux par contre t'en servir pour du planétaire et dans ce cas pas besoin d'un appareil photo, il faut une petite caméra, bien plus légère. Pour en savoir plus sur l'effet de la rotation de champ : RASC Calgary Centre - Field Rotation
  3. Tu peux acheter une queue d’aronde plus longue. C’est pas très cher et ça te permettra de te mettre sur le point d’équilibre.
  4. Pas uniquement. Il faut réinitialiser complètement la MemStar quand il y a un plantage. Et la seule façon de le faire aujourd’hui c’est de retirer les piles. D’où l’intérêt de l’interrupteur.
  5. Et Jack Ma a ajouté « et les chinois le construiront, l’amélioreront puis le feront eux même pour le tiers du prix ».
  6. En fait je ne l’utilise pas vraiment. Trop lourde pour mes deux petites montures… (Astrotrac et Star Adventurer Mini). Mais en visuel ça va sur une monture Polaris (des années 70).
  7. .Materiel : - un vieux trépied vidéo Manfrotto - une monture Astrotrac - une rotule 3 axes à engrenages Benro GD3WH - un Canon 6D - un support en L Arca Swiss - un objectif Canon EF 100/2.8 Macro - un MemStar - 3 piles AAA - des élastiques - un petit tournevis cruciforme J’ai finalement opté pour une rotule avec engrenages, bien plus facile à régler précisément. Celle ci est pas mal et c’est la moins chère sur le marché (on la trouve à 160€ en cherchant bien). Premier test Pas terrible, mais c’est pas vraiment la faute du MemStar. Comme tout le monde, les piles étaient HS après 3 mois dans le placard. Donc piles neuves. Il a fallut retrouver le petit tournevis cruciforme qui avait roulé au fond de la caisse à outils du club. >>> Ca serait bien de faire un boîtier plus facile à ouvrir pour en changer les piles. Sans devoir utiliser de tournevis. Installation du boîtier sur le support en L de mon 6D, avec des élastiques ! Ça tient bien mais c’est sur qu’à l’avenir il faudra un support plus adapté. >>> Ça serait bien que sous le boîtier on puisse y clipser une plaque qui permettrait d’adapter divers modes de support. Par exemple un insert pour griffe porte accessoire d’appareil photo, ou une vis Kodak, ou un support de chercheur ou de viseur de fusil (ils ont un standard très répandu et je trouve bien dommage qu’il ne soit pas utilisé en astro). La connexion de l’app au boîtier s’est bien passée mais au bout de 3 minutes, plop, fini. Impossible de se reconnecter. Obligé de réinitialiser le boîtier en retirant les piles… donc à nouveau tournevis cruciforme. >>> Ça serait bien de mettre un simple interrupteur pour éteindre/allumer complètement le boîtier (ça sauverait aussi les piles). Ensuite recherche des 4 étoiles. Pour la première, pas de problème. J’avais choisi Vega. Pour la seconde, je voulais Deneb, refusée, puis Rigel, pas de chance elle n’était pas acceptée non plus, puis Bellatrix, là ça a été. Mais obligé de faire des aller-retours avec SkySafari parce que je suis une tanche en repérage dans le ciel (sinon je n’aurais pas besoin d’un MemStar 😇). >>> Ça serait bien d’avoir une carte du ciel simplifiée asservie aux mouvements du téléphone, qui montrerait la zone où chercher les étoiles 2, 3 et 4. On gagnerait un temps fou. Ensuite les nuages qui s’approchaient recouvraient trop le ciel pour aller plus loin. A suivre !
  8. C'est faux. Il y a de nombreuses technologie de capture du CO2 à la source (donc dans les usines qui en émettent) et de purification. De nombreux projets sont en phase de réalisation. Le CO2 est ensuite destiné à être injecté dans les anciens champs pétrolier/gaziers, à la place du gaz naturel qui en avait été extrait. ExxonMobil investi énormément dans cette solution de "Carbon Capture and Storage", d'autres le font aussi. Les systèmes de compression capables de pomper le CO2 dans le sous-sol existent et fonctionnent depuis des lustres, les pipelines existent aussi déjà (ils fonctionneront juste dans l'autre sens), les champs pétroliers/gaziers existent aussi et la plupart étaient déjà équipés pour réinjecter (de l'eau essentiellement) dans le sous sol. Ces champs ont contenu du gaz naturel pendant des centaines de millions d'années, ils peuvent tout aussi bien contenir du CO2. Ce qui n'est pas mur technologiquement, c'est la capture du CO2 contenu dans l'air ambiant. Des solutions fonctionnent mais à de tels coûts en opération (maintenance, durée de vie) et avec de si faibles rendements qu'ils ne sont pas du tout rentables. Ce qui est mûr techniquement et très facile à implémenter comme géo-ingénierie, c'est d'obliger(*) les nouvelles constructions, et à terme les plus anciennes, à remplacer les surfaces sombres des toitures (tuiles, ardoises, bâche goudronnée) par des éléments à haut albédo (et au passage de généraliser l'installation de panneaux solaires sur les toits). (*) Ah mais j'y pense, j'ai utilisé le mot tabou "obliger". C'est vrai que si tout un chacun veut obliger les autres à faire ce qu'il dit, il ne veut en aucun cas être obligé à faire quelque chose... sinon il file tout droit casser l'Arc de Triomphe et émettre COx & SOx en brûlant des palettes et des pneus à chaque rond-point. Est-ce donc anormal ? Si tes fringues sont usées, tu commences par les réparer, et après un moment, tu les changes et tu prends ce qui te plaît/est plus efficace/sans gluten/à la mode/pratique... C'est pareil dans toute industrie, l'industrie du pétrole ne déroge pas à la règle.
  9. Pas que, et d'ailleurs les investissements dans le biogaz sont très minimes. Il y a surtout le photovoltaïque (après la Chine, Total est le premier producteur d’électricité photovoltaïque au monde, ils fabriquent aussi des panneaux solaires à haute performance avec leur filiale SunPower), l’éolien, et même l’hydroélectrique (par exemple un énorme barrage au Mozambique), et aussi les batteries supermassives (avec leur filiale Saft). Ça change radicalement de l'industrie du pétrole. La seule chose en commun, c'est la capacité de mettre en oeuvre des investissements (milliards de dollars) et la capacité à gérer ces projets gigantesques, choses que les instances publiques sont absolument incapables de faire. Il y a de l'argent public, énormément, détrompe toi, et ce n'est pas virtuel. Mais ce sont les entreprises qui investissent dans cette R&D et bénéficient de subventions pour ces recherches. Ces subventions sont de plusieurs types, mais principalement des crédits d'impôt, de charges sociales et des facilités pour l'installation de leurs implantations (sauf quand des écolos-bobos CBD addicts de Polytechnique s'insurgent contre l'installation de TotalEnergies sur le plateau d'Orsay...). Le public investi aussi beaucoup dans la formation universitaire en proposant des cursus sur ces nouvelles technologies. Mais ça ne se fait pas en 3 jours, ne t'en déplaise. Les organismes d'états - par nature incompétents - sont incapables de gérer en direct de tels projets.
  10. Il est effectivement douteux, comme tu le supputes, d’affirmer « Cette transition, […] prendra du temps. […] Je dois assurer la sécurité d’approvisionnement au coût le plus efficace. » Donc stoppons immédiatement toutes les énergies fossiles. C’est si simple (et idiot). Toute transition, comme son nom l’indique, prend du temps. Sinon ça ne serait pas une transition. Et les investissements dans l’infrastructure à mettre en œuvre sont colossaux. Ce n’est pas le Pr. Tournesol avec ses idées révolutionnaires de moteur à eau sans gluten qui aura les moyens de les implémenter dans le monde entier. Et ce n’est pas non plus le clampin écolo-dépressif shooté au CDB bio qui pourra organiser les travaux. Et si ça coûte un bras au client final (toi, moi, nous), ça sera à nouveau le saccage de l’Arc de Triomphe. C’est pourquoi avoir une « world company » qui met maintenant 50% de ses investissements dans ces énergies renouvelables est énorme, n’en déplaise aux râleurs perpétuels.
  11. Bah, tout dépend de ton échantillonnage. J’avais utilisé les valeurs par défaut du fichier initial de Jacques… je ne sais pas comment tu trouves le 4.83 donc impossible de te répondre. C’est expliqué dans le message ou je dis ce qui se passe en cas de très bon seeing. Note que la turbulence fait danser l’étoile dans toutes les directions, donc elle n’influe pas sur sa rondeur. Par contre la dérive (défaut de MES, flexion, EP) va étirer l’étoile dans une direction. Mais plus il y a de turbulence, moins l’effet de la dérive sera visible. Par exemple, considérons un ciel avec un bon seeing et 2 px de dérive sans autoguidage. Une étoile a un petit diamètre de 6 px et un grand diamètre de 6+2=8 px. Sa rondeur est de 6/8=75%. Si avec un mauvais seeing son petit diamètre est de 12 px, son grand diamètre sera de 14 px (on retrouve les 2 px de dérive), et sa rondeur égale à 12/14=86% (ces chiffres sont des exemples). Autrement dit l’etoile semblera plus ronde, mais plus grosse, avec le mauvais seeing qu’avec le bon. C’est pour ça qu’au delà d’un seuil, le critère sur la dérive n’est plus déterminant pour régler le paramètre de déplacement minimal d’autoguidage, c’est celui de la turbulence qui est dimensionnant.
  12. Non. Comme c’est écrit c’est la valeur max des 2.
  13. Des big sociétés comme TotalEnergies investissent des fortunes dans le photovoltaïque et l’éolien. Peut être se mettront ils aussi un jour dans l’hydroélectricité, même si c’est moins probable. En attendant, ils investissent aussi dans le gaz naturel qui, quoique énergie fossile émettrice de CO2, en émet quand même 30-50% moins que le fuel, le gasoil ou l’essence. Ils investissent aussi beaucoup dans le recyclage des plastiques et des huiles usagées (huiles de synthèse et naturelles), et dans le stockage de CO2 (en provenance des usines émettrices). Sans oublier le stockage électrique… A priori dixit TotalEnergies, environ 50% de leurs investissements se font désormais dans ces énergies renouvelables, de recyclage et de transition. C’est énorme et surtout, le changement de gestion a été effectué en quelques années seulement.
  14. Le MnMo est par définition un paramètre de guidage, pas d'imagerie. L'imagerie suit le guidage, si le guidage est bon, l'image sera bonne (dans l'idéal). Autoguider sur la turbulence est à éviter absolument car elle fluctue tellement vite que les ordres de correction seront complétement aléatoires et incohérents... donc tu seras obligé de jouer sur les autres paramètres (hystérésis, amortissements...). Dans la doc de PHD Guiding, on lit "Garder le paramètre “Min-Moves” plus grand que les fluctuations de seeing". Donc oui, le plus simple est de ne tenir compte que du seeing (s) et de l'échantillonnage d'autoguidage (ea), donc d'utiliser ce que j'ai expliqué : MnMo = s/2ea. Si on avait un ciel parfait, avec très très peu de turbulence, on prendrait un autre critère pour MnMo, et ce serait effectivement la dérive (généralement en AD si la mise en station est bonne) qui va jouer sur l'ovalité de l'étoile. Si on s'en tient à l'ovalité (r = rapport du plus petit diamètre ou FWHM sur le plus grand diamètre ou FWHM), il faudrait alors considérer une formule de type (1-r)ei/ea, ce que tu utilises. Pour faire consensus je pense qu’on pourrait retenir : MnMo = Max [ (1-r)ei/ea ; s/2ea ] Avec : - ea et ei les échantillonages (en "/px), respectivement de l'autoguidage et de l'imageur - r le ratio d'ovalité admissible (généralement r ~ 0.85) - s le seeing (généralement entre 1" et 3" voire 4") En regardant cette relation de plus près on voit que le critère sur la dérive devient prépondérant si le seeing est inférieur au tiers de l'échantillonnage de l'imageur, environ. C'est généralement très rare... Par exemple : - Newton 150/750 et un Canon 1000D, échantillonnage = 206*5.71/750=1.56"/px, il faudrait un seeing de < ~0.5" ce qui n'arrive que sur les sites d'exception. - Lunette Redcat 61/300 et un ZWO ASI2600MC Pro, échantillonnage = 206*3.76/300=2.6"/px, il faudrait un seeing < ~1", ce qui est vraiment rare. Attention, l'ovalité que j'indique peut être calculée de plein de façons différentes (en tenant compte de l'axe réel de l'étirement, ou sans en tenir compte, à partir des FWHM ou d'autres considérations), selon le logiciel ça peut être ce que j'appelle ici r ou 1-r... Et ça porte plein de noms, par exemple rondeur/roundness, ovalité/ovality, aplatissement/flatness, excentricité/eccentricity... Maintenant, une dernière considération. PHD Guiding propose de nombreux algorithmes de guidage. Le paramètre MinMo n'a pas toujours la même définition d'un algo à l'autre...
  15. Le MnMo de PHDGuiding est le déplacement minimal admissible de l'étoile guide avant l'envoi d'une commande de correction à l'autoguidage. Il est donc totalement indépendant de l'imageur et ne doit pas faire intervenir l'échantillonnage de l'imageur. Le but principal est de ne pas autoguider sur la turbulence. Avec un seeing moyen de 1 à 3 secondes d'arc (1" pour un bon site, 3" pour un site habituel périurbain), il faut donc régler le paramètre MnMo sur 0.5s/ea étant l'échantillonnage de l'autoguideur. Le seeing étant le diamètre apparent (généralement le FWHM) de l'étoile brouillée par la turbulence. Il faut prendre la moitié de sa valeur pour le calcul de MnMo qui lui est un déplacement du centroïde de l'étoile guide. Par exemple avec les valeurs de ton fichier Excel, on aurait : - MnMo = 0.08 px pour un seeing de 1" - MnMo = 0.16 px pour un seeing de 2" - MnMo = 0.23 px pour un seeing de 3" Mais il y a d'autres personnes qui emploient d'autres approches, par exemple ici : How to calculate Minimum Move in PHD (myastroscience.com) Il recommande la formule MnMo = 0.40*ei/ea Pour tes paramètres ça ferait : - MnMo = 0.08 px => on guide quasiment à tous les coups sur la turbulence Avec ta formule 0.25ei/ea on a - MnMo = 0.05 px => tu guides à tous les coups sur la turbulence, sauf si tu es sur un excellent et très rare seeing.
  16. Ben oui, il y a deux échantillonnages de calculés, celui de l'imageur, et celui de l'appareil d'autoguidage. Pour chacun on entre : - la focale, en mm - le diamètre, en mm - la taille d'un photosite, en µm Et la feuille Excel calcule l'échantillonnage avec la formule approximative 206p/f (la formule exacte est 2*atan[p/2000f] en radians). On a donc ei (imageur) et ea (autoguideur) en secondes d'arc. La chose intéressante que fait la feuille de calcul, c'est de donner un ordre de grandeur du "tramage en pixels" pour le dithering. L'idée est de régler le tramage de dithering td pour qu'il déplace l'image de 15-20 pixels en moyenne, ce qui se traduit par un nombre différent sur le système d'autoguidage, paramètre à saisir dans PHP Guiding. La formule est correcte, c'est td=(15 à 20)*ei/ea Tu donnes aussi un rapport MnMo à saisir dans PHD Guiding par exemple. Son calcul est expliqué dans ce post, mais tu ne fais pas comme ça. Par définition le MnMo signifie le "minimum move parameter". C'est le déplacement en pixels de l'étoile guide, en dessous duquel PHD Guiding ne fera pas de correction, afin de ne pas guider sur la turbulence. Si on prend un seeing "classique" de 1" à 3" (en gros le diamètre apparent d'une étoile affectée par la turbulence), la formule sera donc : MnMo = (1 à 3)/2ea. La formule que tu utilises est MnMo=(ei/ea)/4, elle vient d'où ?
  17. J’attends la rotule (qui arrive jeudi) et j’ai dégoté un MemStar au club. Donc test dès que la météo le permettra (si ça ne tombe pas pendant les missions qu’on me refourgue à la dernière minute).
  18. C’est bien. cela dit 206p/f, c’est pas si difficile à calculer… ni à retenir.
  19. Oui, comme dit précédemment c’est un défaut très connu du 1100D, qui n’est donc pas conseillé pour l’astrophoto… Les bandes verdâtres viennent du bruit thermique. Il faut bien faire les darks et ne pas trop tirer sur les curseurs au post traitement.
  20. Là, ça m’intéresse du coup ! J’utilise une petite monture équatoriale Astrotrac qui permet de suivre pendant 2 heures max. Dessus, une rotule et un appareil photo avec un objectif (100 mm à 300 mm de focale en général). Le repérage des cibles faibles (nébuleuses, nuages sombres…) est toujours une galère. Donc un tel boitier devrait bien me faciliter le travail. Afin de faciliter les choses avec MemStar je compte remplacer la rotule à boule par une rotule 3 axes, de ce genre : Il faudra absolument n’utiliser que 2 axes sur la rotule, l’axe de la base (pivot sur 360°) qui correspond à l’azimut, et soit l’un ou soit l’autre des deux axes verticaux qui correspond à l’altitude, mais pas les deux. Par contre on ne pourra pas placer le MemStar au niveau de l’axe de rotation, il sera nécessairement monté contre l’appareil photo vu le peu de place disponible sur la rotule. Je ne sais pas si ça aura un impact sur la précision du pointage, mais on n’est qu’à 100-300 mm de focale donc on devrait s’en sortir. Si j’ai bien compris la logique, il faudrait procéder comme suit : 1) faire la calibration sur 4 étoiles avec la monture arrêtée 2) Ensuite viser la cible, avec l’aide du MemStar, 3) démarrer le suivi de la monture 4) Quand la monture est arrivée au bout de sa période de suivi, rembobiner (reset de la vis) 5) puis faire une calibration du MemStar sur 1 étoile, 6) Viser à nouveau la cible avec l’aide du MemStar, 7) redémarrer le suivi. 8. Répéter tant qu’il faut depuis l’étape 4. J’ai bon ? Il faudrait que je teste mais 200€ pour un test… ça douille ! PS : ça pourrait à priori aussi fonctionner avec une monture nomade sans goto, genre Star Adventurer Mini, Omegon LX… il suffirait juste de suivre les étapes 1 à 3.
  21. En tant que charentais d’origine, je fais attention à ne pas trop abuser des degrés du VSOP… Sinon, on fini par dériver grave ! 😇🫣
  22. Oui, il suffit de laisser la monture suivre pendant quelques minutes après avoir centré une étoile et de regarder à la fin de la période où se trouve l’étoile. Si elle est toujours au centre c’est que la mise en station est correcte, si elle n’y est plus c’est qu’elle ne l’est pas - d’autant moins que l’étoile est éloignée du centre. si la monture n’est pas motorisée, on s’en fout un peu de la perfection de la mise en station…
  23. Ça ne marche que s’il n’y a pas d’erreur de cône. Mais ça ira bien plus vite tout en étant bien plus simple avec un viseur polaire… (50€) pourquoi se compliquer la vie ! Sans viseur polaire, pour du visuel, il suffit juste de se mettre au nord et à la bonne altitude (égale à la latitude du lieu). Ça suffira aussi pour du planétaire.
  24. Pas toujours. pour que le primaire soit bien centré, il faut que les trous effectués sur le tube pour tenir les pattes de l’araignée soient bien positionnés, et ça n’est pas toujours (souvent) le cas. en centrant le support du secondaire sur l’axe du tube on risque à quasi tous les coups de devoir décaler les pattes qui ne seront plus alignées. la bonne façon de faire quand on a un tube déjà construit, c’est de s’assurer que les pattes opposées soient parfaitement alignées et que les paires de pattes soient bien perpendiculaires. Le support du secondaire sera alors là où il ira, généralement pas loin de l’axe du tube. ET ON LE LAISSERA LÀ ! Les bricoleurs pourront chipoter pour tout placer au quart de micropoil près, si ça leur fait plaisir, mais à part leur satisfaction personnelle, ça n’améliorera pas la qualité finale de l’image.
  25. De toutes façons, sauf sur certains tubes qui ont des trous oblongs, ou si on fabrique soit même le tube, le secondaire est placé comme il est. Il ne faut pas le « centrer » en jouant sur les longueurs des pattes de l’araignée, c’est la meilleure façon d’avoir des aigrettes dédoublées. Un secondaire légèrement decentré n’a aucun effet sur la qualité de l’image. Ça fera juste un vignettage dysymétrique qui disparaîtra de toutes façons avec les flats. Il est bien plus important d’aligner correctement les pattes de l’araignée, de s’assurer qu’elles ne sont pas vrillées, et surtout de bien faire la collimation.
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