Fred_76

Bonjour La nuit prochaine, du 6 au 7 décembre, la Lune et les Pléïades seront dans un mouchoir de poche. Mais je profite du ciel dégagé de ce soir, entre les nuages, pour préparer la séance. 105x0.5" 800 ISO 70 mm de focale environ, Canon 6D, obj Sigma 70-200/2.8 S. Empilement sur Sequator+Photoshop. Évidemment, on ne peut pas avoir les Pléïades et la Lune bien exposées ensemble... A+ Fred

Je sais plus… mais je crois qu’on touche le fond !

Nous voyons ici un ensemble de trous dont les bords, s'ils n'existaient pas, seraient dans le trou formé par le bord épais. On voit donc des trous dans un trou, mais ces trous sont troués et le bord rompu contient en lui même des trous... topologiquement nous sommes en présence d'un pulmentum inferno que Leonardo da Vinci aurait probablement nommé une infernalis difficultas.

Si la balle va trop vite, elle fait un trou alors que la surface de la raquette est déjà quasi complètement constituée de trous… allez comprendre ce qu’il advient des trous troués ! Ça me troue le … Hilari pourrait peut être en dire plus, car elle a visiblement plus d’expérience que sa fille, question alésage :

Le double vitrage sépare les deux milieux froid/chaud et comme il est isolant, la couche perturbée est faible, d’où un impact mineur sur la qualité de l’image. Mais l’impact n’est pas négligeable. S’il convient à une observation diurne d’un objet du paysage, il est trop important pour une observation du ciel profond. Quand tu ouvres la fenêtre, l’air froid de l’extérieur se mélange à grandes enjambées avec l’air chaud de l’intérieur. Les turbulences sont telles et sur une si grande cellule, que toute mise au point est impossible.

Quel tabac ?

@Vador59 avait raison, il s’agissait bien du R de Rathenow en ex Prusse. La suite ici : https://www.webastro.net/forums/topic/230351-lunette-ancienne-de-marque-inconnue/

Les oculaires… mystère. Probablement des Zeiss. Sinon il y a Astrotreff : https://www.astrotreff.de/forum/index.php?thread/269149-emil-busch-rathenow-fernrohr-65-68-790/

Il y a eu des lunettes de faites, mais elles étaient peintes (blanches, crème). Je n'ai pas vu de lunettes non peintes mais je n'ai pas trop cherché non plus, juste un Google rapide sur les images... Pour trouver le logo, j'ai ouvert l'image dans Google Lens, puis sélectionné juste le R avec son triangle dans le bouchon et Google a fait le reste !

Trouvé ! https://collectiblend.com/Cameras/Busch-Emil/ Il s'agit du logo de la fabrique Emil Busch à Rathenow (d'où le R) :

Oui je pensais la même chose : - un emblème familial en relation avec la franc-maçonnerie - ou encore un emblème militaire d'un régiment L'étoile à 7 branche a une porté symbolique assez forte dans la mythologie et l'astrologie : - 7 jours de la semaine - 7 planètes sacrées (soleil, mercure, vénus, terre, lune, jupiter, saturne)

Nous avons retrouvé le pinceau à trou de Jérôme Bosch :

Ça dépend ! Entre un capteur APSC de 20 MPix et un capteur FF de 32 MPix, il n’y aura pas de différence à part le champ couvert. pour résumer, c’est l’échantillonnage qui compte : e''=206p/f p en microns, la largeur d’un photosite f en mm, la focale de l’instrument Et la quantité de lumière captée dépend de la surface d’un photosite, plus elle est grande plus elle capte.

A vrai dire si, il y a le reste de la mémoire. Et quand la mémoire flanche on dit parfois qu’on est au bord du trou voir et finalement au fond du trou.

La notion de trou va de pair avec la notion de non trou autour. Sans trou il ne reste que du non trou, ça on comprend bien. Mais si on retire le non trou, que devient le trou ? Vu que dans ce qui reste, tout est trou, le trou a-t-il encore une existence ? Peut-on envisager de trouer le trou, qui deviendrait alors une sorte de non trou de trou pour ce trou de trou. Ou alors un trou dans un trou annulerait le trou… j’y comprends plus rien. J’aimerai bien avoir une réponse à cette question, parce que depuis l’école primaire où j’ai entendu cette expression la première fois, je n’arrive pas me représenter ce que serait un trou du c__ sans fesses…

L’atmosphère et la répartitions des masses d’air, d’eau et de terre sont parmi les principaux facteurs en plus de ceux que tu as cités.

Trouvé sur le net, un gourou du trou qui sommeille en soi (le trou, pas le gourou) et qui prône son remplissage (du porte monnaie du gourou ?) : Rocco, sors de ce trou !

En fait tout ça, c’est comme si on disait que

Une autre image d'Islande avec la Voie Lactée m'a étonné. La voici : On distingue le centre de notre Voie Lactée, bien au dessus de l'horizon (c'est la zone très lumineuse un peu à droite au dessus des éperons rocheux). La photo est prise depuis la plage de Vìk, réputée pour son sable noir. Les pics au centre sont appelés les Reynisdrangar, au sud-ouest de la plage. Or, depuis Vìk, en Islande, le centre de la Voie Lactée (SgrA*) est toujours SOUS l'horizon, toute l'année ! Au mieux il le frole à moins de 2° en dessous, et dans ce cas il est plein Sud, pas au Sud Ouest... Sans parle du halo de lumière zodiacale qui ne peut pas avoir cette orientation depuis Vìk... En été la nuit est très courte et la Voie Lactée est quasi verticale dans le ciel. En hiver, on peut avoir la Voie Lactée très basse sur l'horizon, mais elle sort alors de l'horizon depuis la gauche de l'image pour replonger sous l'horizon très loin sur la droite, hors champ, même avec un grand angle. Cette photo est encore une fois un photomontage d'une vue d'un paysage, avec une image de la Voie Lactée prise ailleurs à un autre moment. On peut conclure que la plupart - sinon toutes - les images de Philippe Sainte-Laudy présentant un paysage étoilé ou avec la Lune, sont des montages, ne respectant pas du tout la vue qu'on aurait depuis l'endroit où la photo a été prise. N'espérez donc pas reproduire ce paysage de Voie Lactée depuis la plage de Vìk, ce n'est pas possible, jamais la Voie Lactée ne s'y montrera comme ça !

Pas tant que ça, ça reste une photo de la « Nébuleuse du Bidule » sauf si tu ajoutes en arrière plan la « Galaxie du Machin » et des IFN autour.

Non bien sûr…

A noter que Philippe Sainte-Laudy est coutumié du fait, ainsi trouve-t-on ces photomontages sur son site. Pour commencer cette vue avec des aurores, tirée de cette photo du paysage, de jour, notez que les vagues sont exactement les mêmes : Puis ces deux images avec des aurores parfaitement symétriques : Si si, ce sont les mêmes aurores ! J'ai fait pivoter l'image de droite de 180°, et hop... Ou encore cette image disproportionnée de la Lune au dessus du paysage : Ou dans le même registre que l'image des Lofoten en Norvège, cette magnifique Voie Lactée prise au travers des pins recouverts de neige en Laponie... mais montrant les constellations australes (astrométrie effectuée avec Nova Astrometry). C'est une manie 😉 Night Aventure - Ciel étoilé en Laponie Il y en a d'autres.

Voici une photo trouvée sur le site Nature Photographie de Philippe Sainte-Laudy : Le photographe précise qu’il s’agit d’un paysage des îles Lofoten, avec un ciel étoilé. Cependant une chose cloche au premier abord : le halo blanchâtre dans le ciel. Un nuage ? Non, en tous cas pas celui auquel on pense 😉 La trace d'une faible aurore boréale ? Non plus Un reflet ? Encore moins, de la part d'un photographe aussi expérimenté. En fait il s'agit du Grand Nuage de Magellan. Mais que fait le Grand Nuage de Magellan dans le ciel des Lofoten ? Le Grand Nuage de Magellan est une galaxie du Groupe Local, voisine donc de la notre, qui se trouve à une déclinaison de -69,75° ! Elle est donc visible - normalement - de l'hémisphère Sud (en fait un peu dans l'hémisphère Nord jusqu'à environ 20° nord, mais elle est alors très proche de l'horizon). Pour mémoire, voici où se trouvent les îles Lofoten et en vert, sous la ligne pointillée rouge, la région de la Terre d'où le Grand Nuage de Magellan est visible. La photo est donc un photo montage complétement irréaliste d'un ciel austral sur un paysage boréal. Mais on peut en dire plus. La photo indique comme titre "Northern stars - Nuit étoilée en Norvège - Lofoten". Or comment se fait-il qu'on retrouve exactement le même paysage sur le site de Philippe Sainte-Laudy, mais dans sa galerie de photos d'Islande ?!!! Voici un montage qui montre le raccord excellent entre ces deux images : Sur le site du photographe, on peut déduire que la photo du paysage islandais a été prise quelque part entre la cascade de Skógafoss et la ville de Vik, pas trop loin de la route nº 1 que le photographe suivant dans son périple. L’auteur reconnaît dans un de ses articles qu’il peut « (…) utiliser les possibilités de Photoshop en postproduction pour éliminer les objets gênants », mais ici il a non seulement remplacé le ciel mais aussi le paysage… C’est une élimination pour le moins radicale. Cela dit, on peut quand même reconnaître que Philippe Sainte-Laudy fait de superbes photos de paysages, magnifiquement mises en valeur par un post traitement parfaitement maîtrisé. Dommage cependant que ces trucages grossiers se mélangent à la qualité du reste de son travail. Il devrait à minima respecter les lieux, autant sur place (ce qu'il fait en tant qu’adepte du « leave no trace »), que sur les images.

Si je résume ta pensée, c'est pas bijectif.

Essaye de prononcer Schwartzschild après un trou normand…