Fred_76

Bah si quand même un peu, c’est sa hauteur au dessus de l’horizon qui dépend de la latitude. La longitude influe sur sa position horaire autour du pôle céleste.

Et oui, le visuel est bien moins spectaculaire que les photos. Un diamètre de 150 mm n'est pas énorme pour du visuel. Il faut en général plus de 350 mm de diamètre et un bon ciel pour commencer à voir des couleurs dans les objets du ciel profond (l’œil humain a besoin d'assez de lumière pour commencer à distinguer les couleurs). De plus, observer de sa fenêtre sous un toit est une TRÈS TRÈS TRÈS MAUVAISE IDÉE, je suis étonné que tu arrives à voir ne serait que quelque chose ! Te ne nous as pas dit quel télescope tu avais, car des 150/750 chez Skywatcher, il y en a plusieurs. Est-ce un télescope de type Dobson, ou bien sur une monture équatoriale. On ne le répétera jamais assez, avant d'acheter, il faut se renseigner... c'est valable pour tout d'ailleurs, pas que pour l'astro. Tu dis avoir acheté un collimateur laser... pourquoi ? Ce type d'appareil exige un certain savoir-faire avant d'être utilisé correctement. Un simple trou bien centré dans le bouchon du porte oculaire aurait largement suffit pour commencer.

Pas nécessairement, il suffit juste de penser à mettre la main devant.

Bonjour, Je viens tout juste de recevoir un filtre Optolong L-Pro UT pour Plein Format Canon. UT, c'est pour "ultra thin" (ultra fin), le verre ne fait que 3/10e mm au lieu de 1 mm. C'est mieux pour la photo à l'objectif pour des focales courtes de 24 mm et + dixit Optolong. Donc quelques remarques : - le filtre est livré dans une boite solide qui se referme facilement - une fois installé dans l'appareil photo, en l'occurence un Canon 6D, le filtre montre énormément de jeu et bouge tout seul à la moindre vibration. Il manque entre 2/10e et 3/10e de mm en longueur et en largeur. C'est pas terrible pour un filtre vendu plus de 200€. Cela dit, un peu de scotch noir et ça tient bien. - première lumière avec un flat, pas de problème de gradient coloré ainsi qu'on peut le voir sur cette photo tout juste sortie de mon boitier. D'abord les 3 plans de couleur, ensuite le résultat en couleur (sans rééquilibrer la BDB). Pour le moment c'est très rassurant. Je n'ai plus qu'à tester sur le ciel, quand la Lune sera moins pleine. La comparaison entre le filtre Astronomik CLS et le Optolong L-Pro UT, ça se passe de commentaire !

Ben non, j'ai pas dit ça... clic : rouge, clic : 50%, clic : 100%, clic : éteint

Les appareils photos normaux coupent la lumière au delà de 640 nm environ, ce qui est dommage car en astro, les objets du ciel profond émettent beaucoup en H-alpha (on écrit aussi Ha ou Hα) à 656 nm. Si tu veux en savoir plus sur les diverses solutions, regarde ici (normalement à la SAH ils disent pas trop d’âneries, quoique 😉 ) : https://sahavre.fr/wp/defiltrage-ou-modification/

Pour 8€ (ils en avaient avant à 3.50€ mais ne semble plus les faire) : https://www.decathlon.fr/p/lampe-frontale-a-piles-80-lumens-onnight-100/_/R-p-128225?mc=8384991 clic : rouge clic : blanc 50% clic : blanc 100% clic : éteint Plus simple tu meurs... Celle ci est au même prix mais à la place du rouge, c'est de l'UV : https://www.decathlon.fr/p/lampe-frontale-de-onnight-100-uv/_/R-p-192711?mc=8670505

Décathlon, rayon pêche, la moins chère.

Désolé pour les âneries. Cela dit, je me suis lancé dans d’autres choses bien plus importantes à mes yeux et à mon cœur. Je vous invite à agir : https://parrainage.refugies.info Спокойной ночи

La sensibilité du silicium dont sont composés les capteurs va jusque 1100 nm environ mais leur zone de prédilection est plutôt entre 700 et 850 nm.

Il y a deux cas : 1. caméra astro avec régulation de température : on peut faire ses darks quand on veut, de jour comme de nuit, du moment que le capteur reste au noir. 2. caméra ou APN sans régulation de température : il est préférable de faire les darks dans les mêmes conditions que l'acquisition pour avoir une température similaire. Donc si la température du frigo convient, pourquoi pas, mais ce n'est pas garanti. D'où la prise des darks dans la nuit après avoir fait ses poses, et histoire d'optimiser les installations, sur le télescope, en faisant attention de bien boucher toutes les entrées de lumière (bouchon à l'ouverture, tissus derrière le miroir, j'ai jamais eu de pb avec le PO). Les offsets ? A quoi ça sert avec les matériels récents ? Une fois qu'on connait le niveau d'offset (ou sa loi en fonction du gain), ça n'est plus qu'un chiffre à saisir à la main. Note qu'avec les caméras refroidies régulées récentes, on peut même aussi se passer des darks. Il n'y a plus que 2 choses à faire : des flats, et surtout du dithering.

Oui mais n1 n’est pas indépendant de la longueur d’onde… cf réponses précédentes. Donc vouloir annuler avec un tel système la « polarisation » de la lumière issue du Soleil qui est loin d’être monochromatique, ça n’a aucun sens. Ça ne marcherait que si on ne laissait passer qu’une bande étroite, par exemple dans le Ha.

Oui, mais cet angle dépend de la longueur d’onde. L’angle de Brewster = arctan(n1/n2) avec n2 = 1 (c’est généralement le cas avec l’air) et n1 l’indice de réfraction du verre de la lame. Donc la réflexion ne sera quasi nulle QUE pour la longueur d’onde sélectionnée, pas ailleurs. C’est bien pour ça que ce principe est surtout utilisé conjointement avec des illuminateurs laser, ou derrière des filtres à bande étroite, dont on connaît alors très bien la longueur d’onde. —- édit —- corrigé inversion n1/n2

Et oui, ça change avec la longueur d’onde. par exemple ici la description du FPL-53 de O’Hara : http://oharacorp.com/pdf/esfpl53.pdf On voit que l’indice de réfraction varie quand même pas mal : de 1.44986 à 365 nm jusqu’à 1.43652 à 707 nm pour la plage de longueur d’onde qui nous concerne. Près de 1% de variation. L’angle de Brewster varie alors de 55.405° à 55.157° pour ce verre, soit un écart non négligeable de 0.25° environ. Un écart de 0.25° se voit sur un niveau à bulle premier prix.

Mais l’angle de Brewster change avec la longueur d’onde, puisque l’indice de réfraction du verre est dépendant de la longueur d’onde…

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Parce que tu crois qu’ils en ont à faire quelque chose, de deux ou trois militaires russes à bord ? N’oublie pas que cette Putin massacre des bébés, des familles qui cherchaient juste à fuir ou à se nourrir, des handicapés, détruit tous les biens culturels ukrainiens (églises, bibliothèques, musées, écoles, bâtiments publics…). Alors les pekins à bord de l’ISS… tant pis.

Et ça apporterait quoi ?

Ou plutôt « Yoni soit qui mâle y pense » 😉

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? ou l’inverse…. On trouve des écrans à LEDs pour dessinateurs a moins de 30€ dans tous les formats jusqu’au A3. Ils sont alimentés par un simple port USB et sont largement suffisants pour faire des flats convenables, quitte à atténuer un peu la lumière avec un filtre. Et voilà ! Meme si l’uniformité n’est pas à 100%, c’est pas bien grave. L’intérêt des flats est surtout de virer les poussières. Le vignettage de l’optique est quasiment retiré et ce qui reste à cause de la non uniformité du flat se retirera très bien avec le retrait de gradient (qu’il faudra faire de toute façon). Les feuilles EL sont bien moins fiables, j’en ai déjà parlé.

Un gros merci !!!

Le pilotage avec le téléphone est extrêmement pratique. Et si tu connectes l’appareil photo a la monture, tu pourras faire du dithering qui améliorera énormément les images, sans compter que c’est bien plus pratique à utiliser. J’ai mis tout une explication sur le club Paysages de Nuit (c’est pareil pour la SAM et la SA2i):

As tu essayé d’utiliser ta monture en manuel (avec les boutons qui sont dessus) et aussi depuis l’application Star Adventurer Console ? Il y a un bug dans la monture qui fait que lorsqu’on fait un réglage en manuel et qu’on le change depuis l’appli (et vice versa), ça met le bazar dans la monture. Il est probable que la mise à jour du firmware résout ce problème, mais s’il se reproduit, sache qu’il faut utiliser la monture soit en manuel, soit avec l’app, mais pas les deux !

Les piles rechargeables ne délivrent que 1,2 V au max de leur charge. La monture est donc rapidement sous alimentée dès que les batteries se déchargent un peu car elle a besoin d’au moins 4,4 V comme dit dans la notice d’emploi : Pour un fonctionnement stable, ce sera donc soit des piles alcalines, non rechargeables, soit un powerbank 5V (pour recharger les téléphones, par exemple), mais suffisamment intelligent pour être capable d’alimenter quelque chose qui consomme très peu (sinon branche dessus une bande chauffante pour éviter la buée sur ton objectif/lunette). Pour les filets d’étoiles, désolé, je ne voulais pas te heurter… c’est un grand classique en astro (comme ceux qui disent astrologie au lieu d’astronomie).

Comment est elle alimentée ? (Des « filets » d’étoiles 😮😮😮)