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montmein69_2

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Tout ce qui a été posté par montmein69_2

  1. Deux articles qui me paraissent intéressants pour se situer dans la Galaxie. sources : https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/astronomie-systeme-solaire-evolue-plus-grands-bras-spiraux-voie-lactee-30861/ https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/astronomie-bras-galactique-contenant-terre-serait-deux-fois-plus-vaste-prevu-93670/ Tout en sachant qu'il est difficile d'étudier (et donc représenter la voie lactée, puisqu'on est à l'intérieur) La position actuelle du Soleil et de son cortège de "poussières"(planètes, astéroïdes, comètes etc ...). Et tout cette matière visible tourne autour du centre de la Galaxie. Et interagit .... avec le centre galactique , les autres étoiles (et leur cortège) situées dans le bras local, et les deux bras qui encadrent le bras local (Sagittaire et Persée). Et cela subit aussi les ondes gravitationnelles émises par les événements (visible ou invisible) se produisant dans des zones plus lointaines et même extérieurs à la Galaxie. Bref le mouvement du Soleil ..... depuis qu'il s'est allumé ... a du être plutôt changeant, pour ne pas dire cahotique.
  2. Un article sur le site ArabiaWeather qui outre les prévisions météorologiques s'intéresse à la comète (version en anglais) et aux sciences en général. https://www.arabiaweather.com/en/content/the-most-beautiful-scenes-of-the-green-comet-which-visited-earth-for-the-first-time-in-50000-yearsand-the-reason-for-its-appearance-with-three-tails
  3. Merci @chrismlt pour ces informations sur cette mission d'exploration 👍 Si tout se passe bien on ne devrait pas attendre trop longtemps ce rapprochement avec 1999 VD57 (provisoirement nommé Dinkinesh .... mais en "attente d'approbation formelle par l'Union astronomique internationale". ) Et le programme s'annonce bien intéressant pour la suite : source : https://canadatoday.news/ca/nasa-just-redirected-its-lucy-mission-to-visit-a-skyscraper-sized-asteroid-245045/
  4. Effectivement pour l'instant la seule "dérogation" pour le spatial, concerne des éléments "chauffants" utilisant la désintégration radio-active (Pu 238 pour les USA) afin de ▶️générer de l'électricité : RTG (Radioisotope thermoelectric generator plutonium pellet) pour alimenter les éléments "vitaux" d'une sonde devant fonctionner (disons au-delà de Mars/Jupiter) la distance au soleil rendant les panneaux solaires moins efficaces (même si on essaye de d'augmenter leurs dimensions et de trouver des cellules photovoltaïques plus performantes. On est forcément limités suivant la puissance électrique dont on a besoin à bord, et l'éloignement du Soleil. La chaleur produite est convertie en tension électrique avec des thermocouples A noter que les deux rovers martiens US (Curiosity et Perseverance) sont équipés avec un RTG (nécessité d'une alimentation suffisante pour les déplacements faire fonctionner les appareillage) ▶️ éviter ,que dans le vide spatial l'électronique parfois éloignée de la partie centrale des sondes (sur des antennes, divers appareils scientifiques devant être installés sur des "mats" par exemple) soit impactée par la température très basse, au point de ne plus fonctionner voire être totalement détruite. 😱 Là c'est toujours le matériau radioactif qui est dispersés dans un "pellet" en céramique et il va transmettre la chaleur directement au contact des boitiers (simplement pour maintenir la température) Pour en revenir à ce nouveau "réacteur de propulsion" NTP : Il faut avoir des chiffres pour savoir quelle quantité de matériau radioactif et sous quelle forme/conditionnement il faut l'envoyer dans l'espace. Pour ceux cités plus haut (et aussi Cassini qui était équipé de trois RTG pour son long périple) la sécurité était assurée. Le nombre d'échecs au lancement a - de façon générale* - depuis le début des années 2000 été réduit et n'a pas concerné des missions portant des RTG * c'est surtout pour des lanceurs nouveaux effectuant les vols de qualification (généralement les trois premiers) qu'il y a eu des échecs
  5. Pour ma part, à ce stade je m'en tiens à la mise au point d'un tel moteur ..... pour le reste il faudra de toute façon être bien patient 😜 D'autant que l'on peut lire, pour ce seul moteur .... que certains s'y sont cassés les dents : Mais après tout, on a du faire des progrès .... et découvrir de nouveaux matériaux. Donc conservons un brin d'optimisme. Et on espèrerait ensuite une première série de tests effectués en le mettant en route dans l'espace à bord d'un vaisseau de taille encore modeste , ce qui ne manquerait pas déjà de susciter une levée de bouclier. (au moment du lancement, et si "l'allumage" du réacteur se fait trop près de la Terre 😱 ). Alors pourquoi pas envisager de se placer sur l'orbite NRHO lunaire qui doit être utilisée pour les missions Artemis. Cela permettrait d'observer "de loin" donc pas trop près de la Terre , mais dans une zone assez facilement accessible ? Si toutes ces étapes étaient concluantes .... on pourrait se pencher sur un prototype de "vaisseau spatial fonctionnel pour aller et revenir de Mars" l'utilisant.
  6. Hum ..... tu fais un constat "à charge" un peu biaisé (avec un soupçon de mauvaise foi) concernant le sigle LH2 En effet quelques lignes avant on lit : C'est une présentation simplifiée du principe de la motorisation NTP, et le sigle LH2 est expliqué. Mais peut-être as-tu pratiqué de la lecture rapide ? La suite de l'article entre dans des détails techniques plus pointus, et comme dans tout domaine scientifique spécialisé, il y a un "jargon". On peut sauter le passage, si çà prend la tête. Sans oublier l'usage du dictionnaire (sur papier ou sur le web) si parfois on cale sur du vocabulaire . On en est à la phase de commencer à développer un moteur..... c'est peut-être un peu tôt pour finaliser le design complet du "vaisseau spatial" et ses performances . Lorsqu'il y aura un prototype construit pour tester la partie moteur dans l'espace, on aura sans doute des premiers chiffrages comme tu le souhaiterais. Quand au design du vaisseau complet c'est encore une étape supplémentaire ultérieure. Pour le profil du voyage .... je ne sais pas. Ce qui parait nécessaire c'est un assemblage en orbite terrestre (probablement haute) de plusieurs modules (de vie, de stockage, celui de l'atterrisseur) avec le module moteur qui ne sera activé que pour la trajectoire d'injection vers Mars. Il y aura probablement en fin de voyage, une mise en orbite autour de Mars (donc freinage possible par l'atmosphère même si elle est ténue, avec peut-être - probablement ? - l'aide une rétro-propulsion. Mais je suppute qu'on coupera la propulsion nucléaire avant la mise en orbite, pour éviter de polluer Mars et que cette rétro-propulsion pourrait-être plus classique, comme c'est le rôle des moteurs de correction d'orbite.* * on peut s'inspirer (du moins dans le principe) de ce qui est utilisé dans le module ESM de la capsule Orion qui a tourné autour de la Lune lors de la mission Artemis I récemment (avec une gamme de puissance adaptée pour un gros vaisseau martien et sans doute des ergols moins polluants si ils peuvent supporter un voyage long dans les conditions du vide spatial). Là encore les contraintes techniques peuvent limiter le choix et ne pas s'accorder facilement avec la préoccupation écologique . Mais on fera peut-être des progrès dans ce domaine. https://developpement-orion.over-blog.com/2018/10/les-moteurs-de-l-esm.html
  7. La pollution principale concerne la phase du décollage et du parcours dans l'atmosphère dense (jusqu'à environ 50 km d'altitude) C'est là qu'il faut la propulsion la plus puissante. Donc moteurs principaux à la poussée maximum, et souvent propulseurs d'appoint. Le largage de ces derniers occasionne des débris retombant (en mer ou au sol) et des reliquats d'ergols (vidange ou restant dans le réservoir)., C'est aussi parfois le cas pour des premiers étages souvent largués en mer ou sur le sol (lancements de Baïkonour, ou de certains pas de tirs chinois par exemple). Ces types de propulsion commencent déjà à être moins utilisées dans les plus récentes versions de lanceurs entrées en service ou en phase développement. Certains auront un premier étage récupérable et réutilisable. Cela dit pour le moment, certains modèles "anciens" continuent à être exploités, et il faudra attendre que la nouvelle génération prenne la relève. Sont en progression : ° la motorisation métha-LOX (méthane - oxygène cryogénique), notamment pour son utilisation avec récupération/réutilisation d'un étage (moins de suie - gestion plus fine du throttle (modulation de la poussée pour atterrissage). On trouvera çà dans la motorisation du Falcon 9, du Starship de Space X, celle du New Glenn de Blue Origin, celle du Vulcan d'ULA, probablement le CZ 9 chinois en développement, plusieurs petits lanceurs du New Space dans divers pays. Sans oublier le lanceur expérimental Themis, qui pourrait succéder à Ariane 6 ° la motorisation LH2-LOX plutôt utilisée -maximum d'efficacité - au-delà de l'atmosphère dense. Mais le core central (1er étage) de plusieurs lanceurs peut avoir cette propulsion : Ariane 5 et Ariane 6 l'utilise (moteurs Vulcain et Vulcain 2). Le lanceur japonais LH3 entrant en service très prochainement aussi (2 ou 3 moteurs L9). Pour la chine le nouveau lanceur CZ 5. Cela dit il est souvent nécessaire d'obtenir un supplément de poussée important au décollage, et certains lanceurs sont dotés de propulseurs d'appoint "à propergol solide" (mélange de perchlorate d'ammonium/ poudre d'aluminium dans un "caoutchouc" , encore souvent appelé "poudre") de tels propulseurs peuvent fournir jusqu'à 90 % de la poussée au décollage. D'autres ont des propulsuers d'appoint en kerolox. Bref les contraintes techniques et les performances demandées au lanceur ne sont pas toujours obtenues en espérant ne relâcher que de la vapeur d'eau. ° Cela dit il reste aussi des premiers étages utilisant une propulsion kerolox (kéroséne / LOX) : la plupart des lanceurs russes [qui terminent d'utiliser les derniers Proton reliquat de la propulsion diméthylhydrazine asymétrique (UDMH) et de peroxyde d'azote] sont en kerolox : différentes versions de Soyouz , d'Angara, et les chinois qui ont aussi quasiment abandonné l'ancienne propulsion UDMH/N2O2 pour utiliser le kerolox pour des propulseurs d'appoint : CZ 5, Le SLS américain qui a fait sa première mission Artemis 1 en fin d'année 2022 est le plus puissant lanceur en activité, il combine le kerolox pour son corps central et deux gros boosters "à poudre". Pour en revenir à la propulsion NTP du sujet, il faudra concevoir un lanceur fiable pour atteindre l'orbite en y placer l'étage contenant la propulsion nucléaire*. A chacun de proposer un tel lanceur avec la propulsion capable de le faire et de respecter au mieux la bio-diversité ..... rien de simple. * il faudra probablement d'autres lancements pour les autres "parties" d'un vaisseau spatial, qui seront assemblés en orbite terrestre avec la partie "moteur NTP", cela avant de prendre la trajectoire d'injection vers Mars. Et ne pas oublier comme signalé par PEV77 d'emporter un atterrisseur martien (Human Landing System)
  8. Les projets de tels vaisseaux ont déjà été nombreux*. Souvent envisagés avec une distance assez grande entre la partie "motorisation" et la partie "habitation" * par la NASA ou Roscosmos mais aussi par les auteurs de SF qui laissaient libre cours à leur imagination. source ;https://mashable.com/article/nasa-nuclear-thermal-rocket-test
  9. C'est un projet pas vraiment nouveau de mettre au point de nouvelles techniques de propulsion pour des fusées ou des stations spatiales habitées (Deep Space Spaceship), afin d'envisager des voyages vers d'autres planètes (ou lunes, astéroïdes,....) de durée notablement réduite comparée à de la propulsion avec des ergols liquides classiques? Le principe : https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/mars-nasa-prepare-fusee-propulsion-nucleaire-aller-mars-seulement-45-jours-103043/ https://www.techno-science.net/actualite/essais-2027-moteur-nucleaire-missions-habitees-interplanetaires-N22793.html La propulsion utilisant l'énergie fournie par un réacteur nucléaire à fission est donc à nouveau étudiée ..... cela débouchera-t-il sur du concret .?
  10. 90 ans c'est un bel âge. D'autres astronautes ou cosmonautes* n'ont pas vécu aussi longtemps.... Gagarine nous a fait le saut de l'ange à 34 ans ..... les astronautes des accidents de Challenger et Columbia bien jeunes aussi .... parfois en mission, parfois d'accident de la vie, etc .... That's life * Pour les taïkonautes ... ils sont - sauf erreur - tous encore en vie (les vols habités chinois sont assez récents)
  11. Le cumul du nouveau retard d'entrée en service d'Ariane 6*, et le gel des vols du lanceur VEGA suite à l'échec du premier vol commercial de la version VEGA C** nous laisse le "cul nu" question lanceurs comme disait ma grand-mère. * report annoncé par J. AschBacher le directeur de l'ESA pour le 4ème trimestre 2023 (sous réserve de nouveau glissement de la date) ** pour le moment pas d'annonce de date. La commission d'enquête a demandé -pour le moment - des mesures ... d'amélioration du suivi de la qualité ... ce qui est bien le minimum 🙄 On sait déjà que deux vols ont été achetés (par l'ESA) à Space X (utilisant le lanceur Falcon 9) pour "dépanner" ° lancement de EUCLID qui étudiera l’expansion de l’Univers (pour 2023 ?) Euclide, c’est un télescope infrarouge de dernière génération . Son objectif sera de scruter les tréfonds du cosmos pour s’intéresser à la matière noire, mais aussi et surtout à l’énergie noire. ° lancement de HERA qui doit compléter la mission DART de la NASA qui a percuté un astéroïde (Didymos) réalisée en 2022. HERA doit notamment apporter des précisions sur la déviation de l'astéroïde. Date du lancement pas encore fixé Donc .... pour le moment on ne sait pas si les lancements reprendront au CSG. Ce Fil risque d'être un peu squelettique .... et consacré à annoncer d'éventuels transferts de lancement vers d'autres opérateurs. Tout va très bien Mme la Marquise .... pourrait-on chanter 😒 🥴 😢
  12. source : https://saf-astronomie.fr/c-2022-e3-ztf/ Cette anti-queue serait donc orientée vers le Soleil.
  13. Certains des échantillons rapportés contiendraient du metton. Mais cela reste en débat. Spécialistes et complotistes s'écharpent.
  14. La NASA avait publié en août 2021, un appel à projet pour un “véhicule capable de transporter les astronautes d’Artemis autour du pôle Sud lunaire”. (destiné à des sociétés américaines) https://www.nasa.gov/feature/nasa-prompts-companies-for-artemis-lunar-terrain-vehicle-solutions Northrop Grumann a décidé de postuler pour une sorte de Jeep lunaire (évidemment améliorée par rapport à celle utilisée dans les dernières missions Apollo : le Lunar roving vehicle (LRV), or more commonly called a Moon Buggy,) https://www.northropgrumman.com/space/lunar-terrain-vehicle/ Il s'agirait en fait d'un consortium d'entreprises qui collaboreraient à ce projet selon leurs compétences respectives. Parmi elles on peut citer : Pour le moment pas vraiment d'emballement dans les projets, Lockheed Martin et General Motors envisagent de collaborer sur un projet commun La NASA a ensuite précisé les choses : demande d'un avant projet aux postulants fin 2022 : le "retour" - remarques, demandes de précision etc ... - de la part des candidats postulants lui sera utile pour rédiger l'appel à canditature final. LTV : Lunar Terrain Vehicle Comme indiqué dans la citation, la NASA devrait demander les dépôts des candidatures finales des concurrents début 2023. https://www.nasa.gov/feature/nasa-makes-progress-with-new-lunar-terrain-vehicle-moon-rover-services
  15. Pour cette plongée dans l'historique des missions Apollo (plus de cinquante ans ... quand même) : La priorité impérative, pour une extraction d'urgence (en cas d'anomalie critique en phase de décollage) : on sauve l'équipage ... donc la capsule dans laquelle ils sont installés. Les autres engins (co-passagers), le module de service, et le LEM sont sacrifiés sans état d'âme. La Saturne V étant assez puissante, on pouvait envoyer le LEM comme co-passager. Sa taille impliquait de le positionner dans la partie la plus vaste de la coiffe de toute façon. Donc .... les critères prioritaires ont été respectés ..... et les manoeuvres à suivre entérinées. A présent, Un peu de HS ! (désolé) il sera intéressant de s'intéresser au futur proche , qui donnera des informations sur ce qui est prévu pour les missions Artemis et sera différent de ce qu'on a vu dans les missions Apollo. Déjà , revoir le décollage d'Artemis I et sa mission, qui, en décembre a envoyé Orion et son ESM, vers la Lune. La capsule était sans équipage, pour cette mission, qui était une répétition et un test de qualification de la capsule et du lanceur SLS version Bock 1. Lors de la prochaine mission Artemis II la configuration sera comparable mais transportera un équipage ..... Le lanceur SLS Block 1 utilisé n'emportera là encore que la capsule et son module de service ESM. Pour les missions Artemis III et IV ..... il faudra un alunisseur (équivalent du LEM) .... mais le choix s'est porté sur le HLS Moon Starship (grand et gros et lourd) qui ne tiendrait pas en co-passager avec la capsule Orion sous l'ogive du SLS. Ce HLS sera donc envoyé avant , et seul pour atteindre l'orbite NRHO lunaire (sa motorisation le permet). Orion sera envoyé par les SLS Block 1 et se mettra aussi en orbite NRHO, où l'amarrage avec le HLS Moon Starship aura lieu. Il emportera deux membres d'équipage sur le sol lunaire, leur servira d'habitat, et pourra re-décoller pour les ramener dans Orion en NRHO. Orion reviendra sur Terre, le HLS sera perdu (envoyé sur une orbite solaire) Donc on ne retrouvera pas pour les toutes premières missions Artemis le même problème de "retournement" que dans les missions Apollo. Pour la suite des missions ...... difficile d'anticiper, car les objectifs se compliquent et les moyens mis en oeuvre aussi 🤩 Le moment venu ..... il y aura des nouveaux Fils ..... pour en suivre la préparation et le déroulement
  16. @skatelife67 "à des trillions d'années" : c'est une durée, un temps, celui qu'il a fallu à la lumière depuis son émission pour arriver sur le capteur. si on veut exprimer la distance où se trouve "l'objet" observé , on utilise comme unité l'année-lumière qui est la distance parcourue par la lumière dans le vide pendant une année. à des trillions d'années-lumières : çà ferait vraiment loin. (un trillion = 1 milliard de milliards) Et si on compare (cette hypothèse) avec ce qu'on estime savoir de notre Univers ..... cela nécessiterait un changement de modèle (plutôt renversant 🤩)
  17. Le JWST ne pourra pas tout ... Premières étoiles, premières galaxies ..... donc une condensation de matière bien postérieure au big-bang (ou si on préfère, l'événement à partir duquel l'expansion de notre Univers a commencé). Le JWST ne pourra probablement rien observer d'antérieur. Pour accéder à ce qui s'est passé dans cette période très reculée .... c'est la physique nucléaire et les collisionneurs de particules comme le LHC (Grand collisionneur de protons) du CERN qui continueront à donner des pistes. Même quand le ELT de l'ESO sera en service .... on verra encore plus loin (plus tôt) du moins on l'espère, mais il n'y aura pas de miracle en observation ..... Le JWST donnera des résultats dans les domaines accessibles à ses observations ...... c'est déjà pas mal.
  18. Le Japon a confirmé son souhait de participer au projet Artemis de la NASA, qui a débuté récemment avec la mission Artemis I (décembre 2022). Pour financer sa part des investissements à réaliser la JAXA propose en collaboration avec Toyota de créer un véhicule tout terrain pressurisé. https://media.toyota.fr/la-jaxa-et-toyota-baptisent--lunar-cruiser--leur-vehicule-a-habitacle-pressurise/ Il devrait pouvoir être adaptable selon les objectifs de la mission https://www.lepetitastronaute.fr/blogs/le-rover-lunaire-de-toyota-le-rover-2-0/ Le rover avec la porte du sas permettant la sortie d'astronautes
  19. Le souhait de se défouler les zygomatiques est un droit constitutionnel sans contestation possible. Une des limites - du moins de mon point de vue - c'est de le faire dans une partie du forum où cela peut s'épanouir avec autant d'apports spirituels que souhaité. Mais il est possible que certains trouvent que ceci est caduc * : https://www.webastro.net/announcement/5-charte-dutilisation-du-site/ Pourquoi ne pas pousser le bouchon encore un peu plus loin ... pour rire un bon coup ? Concernant l'héritage d'Apollo et ceux qui en fêtait l'anniversaire .... ceci n'était en fait qu'une bonne blague potache ... cherchez où est caché le fromage. * Après tout il y a des modos qui ont cela en charge.
  20. La discussion sur les roues du Lunar Rover Vehicle (LRV) utilisé pour les trois dernières missions Apollo, est plus intéressante. source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Rover_lunaire_Apollo Une descriptions détaillée des roues est faite sur le site : https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Rover-lunaire-page-2.html Un sujet pourrait être créé sur les véhicules qui pourront être conçus pour les missions lunaires à venir (Artemis notamment) Le Japon souhaiterait créer un véhicule lunaire pressurisé pour payer sa participation au programme. (une collaboration entre la JAXA et Toyota).
  21. Un peu surprenant la frénésie d'échanges sur les billevesées dont il est question . D'autant que cela se perpétue depuis les années Apollo. Peut-être la conséquence de l'annonce concernant l'age des retraites ? Ou un reliquat des agapes de fin d'année, pour ceux qui ont remis le couvert à l'occasion de la visite des rois mages et de la course à la fève ? Si l'astronautique avait le pouvoir de déclencher des discussions passionnées (celles qui ont de la cohérence) ..... cette partie du forum y gagnerait sans doute en intérêt (justifié du moins on peut l'espérer)
  22. Publication sur AAPOD2 (Amateur Astronomy Picture of the day) https://www.aapod2.com/blog/6mg8iis30k4notb5j8nbbm46odn56a Publication plus que probable - si ce n'est déjà fait ?- sur le site APOD (.Astronomy Picture of the day de la NASA) Pour l'APOY (qui gère cela ?) ..... difficile de faire déjà un pronostic -gagnant - alors que l'année ..... se résume pour le moment à 11 jours ... il faudra donc patienter avant le verdict pour ce solide "candidat"
  23. Bon 2022 .... est passé. Et le premier vol orbital du tandem B7/S24 n'a toujours pas été tenté. On a pu constater que les premières tentatives d'allumage* ont provoqué des dégâts à la fois sur la zone du pas de tir, et sur la couronne de 33 moteurs du B7. * il n'y a jamais eu - à ce jour - de tentative d'allumer tous les moteurs. Il a donc fallu créer un bouclier de protection pour la partie des moteurs qui était exposée ; Les nouvelles du site de Boca Chica qui accompagnent les voeux de bonne année : ▶️ concernant le pas de tir : un revêtement supplémentaire doit être appliqué sur le sol pour mieux résister à l'allumage des Raptor 2 lors d'un décollage. Il faudra laisser après l'opération de pose du revêtement (qui aurait environ 20 cm d'épaisseur) , un temps incompressible d'environ 20 jours pour que le séchage soit complet et que les caractéristiques de résistance soient obtenues. Il a été décidé de procéder à des tests de résistance des "clamps" (pinces rétractables) qui supporteront le poids total du booster surmonté du Starship (une masse totale d'environ 5000 t) On n'est pas sûr que la "marge de sécurité" des 20 clamps installés en couronne soit suffisante. Donc on a procédé d'abord à des tests sur les clamps pris deux par deux. Et il est prévue la pose d'une charge équivalente aux 5000 tonnes du lanceur complet. Bien que tout soit fait pour l'éviter, le risque d'un RUD sur le pas de tir au décollage ne peut être écarté. Il faut donc tout mettre en oeuvre pour minimiser ce risque , car vu la proximité de la "ferme d'ergols" son ampleur fait craindre la destruction non seulement de la tour avec ses shopsticks ,ainsi que l'orbital launch mount qui supportera le lanceur, mais d'endommager aussi gravement une partie importante des équipements autour. Le temps estimé pour effectuer routes les réparations serait estimé alors à 6 mois minimum L'obtention de l'autorisation de la FAA pour un décollage sera dépendante du résultat des tests, et des mesures de correction qui seraient à réaliser. Il parait donc exclu que le vol orbital puisse avoir lieu en janvier, Elon Musk a déclaré que ce serait fin février/début mars ...mais on sait que ses annonces de dates sont toujours "approximatives". Bref attendons dans la zénitude .....
  24. L'année 2023 va être pour Ariane 6, principalement consacré aux tests réalisés avec le modèle actuellement installé dans le portique mobile. Un article détaille leur nature : https://www.clubic.com/arianespace/actualite-452145-voici-les-defis-qu-ariane-6-doit-relever-avant-de-pouvoir-decoller.html Si tout se passe correctement, le modèle de test sera évacué, et c'est une Ariane 62* de vol qui sera installée et la campagne de lancement sera entamée. * actuellement ses éléments sont encore en Europe Schéma du lanceur Ariane 62 (avec deux boosters latéraux) qui effectuera le vol inaugural L'article indique cependant que le lancement pourrait basculer sur 2024 . Il est vrai qu'on a l'habitude d'attendre pour ce vol inaugural. Espérons que VEGA C ne prendra pas trop de temps à se remettre de son échec et obtenir son retour en vol. Sinon l'année 2023 .... sera un peu tristounette du côté des lanceurs européens.
  25. C'est fou ce qu'une image d'écran et un système d'exploitation ancien suggèrent d'infos incontournables sur une industrie spatiale (avec un peu d'imagination 😜 ) A voir si la nouvelle capsule Oriol (qui est encore en développement) sera équipée de choses plus modernes. On a sans doute le temps .. car comme la station spatiale ROSS ..... c'est du côté du financement que çà coince. Une maquette d'entrainement de la capsule Oriol dans les locaux de RKK Energia. Essai d'évacuation d'urgence (à la corde lisse 😉)
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