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Des lancements pour la constellation OneWebdevaient être réalisés sur Soyouz (contrat Arianespace/Starsem) . Annulés pour cause de décision russe en réponse aux mesures prises par l'Occident suite à l'invasion de l'Ukraine. Un lancement devait être réalisé depuis le cosmodrome de Baïkonour en Russie, et les 36 satellites y avaient déjà été transférés. La Russie a stoppé les préparatifs du vol. Apparemment les satellites ne sont pas récupérables ..... vu le contexte actuel. Et pas question pour la société d'envisager de lancer à nouveau avec Soyouz à l'avenir. Du coup la société privée a trouvé une solution à sa convenance du côté de Space X qui devrait assurer le lancement du reliquat (33%) de sa constellation. Space X développant et lançant sa propre constellation (Starlink) .... la situation est un peu cocasse. Un spécialiste des satellites Caleb Henry* a qualifié de "dance with the devil" (danse avec le diable) cette alliance * Caleb Henry is a senior analyst for Quilty Analytics https://oneweb.net/resources/oneweb-resume-satellite-launches-through-agreement-spacex

L'arrivée du convoi Crawler - MLP - SLS sur le pas de tir 39 B (Kennedy Space Center)

On s'y attendait, l'ESA suspend la mission ExoMars. https://www.esa.int/Newsroom/Press_Releases/ExoMars_suspended

fausse manoeuvre ! (de moi, pas du crawler 🥴)

Pour suivre les opérations du Roll-out qui débute dans quelques heures ( à environ 21h) Rollout will begin at 5 p.m. EDT (2100 GMT) on Thursday

Le lanceur SLS de la mission Artemis 1 fixé sur le MLP, va sortir du VAB et être déplacé par le "crawler" vers le pas de tir 39 B du Kennedy Space Center (une opération nommée Roll Out) Une photo datant des années 60, montre le trajet à effectuer depuis le VAB jusqu'au pas de tir (visible sur l'arrière plan du cliché) Les préparatifs actuels dans cet article https://eu.floridatoday.com/story/tech/science/space/2022/03/16/nasa-schedule-artemis-sls-debut-roll-launchpad/7048794001/ Les ingénieurs en charge des opérations au sol et de la conduite expliquent comment piloter ce "monstre" et sa charge (d'une valeur d'environ 1 G$ pour le premier SLS et la capsule Orion)

Je m'avance façon "marcher sur des oeufs" ..... pour donner quelques nouvelles de ces "relations" Roscosmos/ESA . En rappelant que c'est Dmitri Rogozine qui est directeur de l'agence spatiale russe. Et qu'il fait partie du "sérail" entourant la plus haute instance. Son parcours pour atteindre son poste actuel n'est pas inintéressant : https://fr.wikipedia.org/wiki/Dmitri_Rogozine Il a publié plusieurs tweets concernant l'ISS. Je n'y reviens pas dans le détail (un Fil de la partie Actualités en a expliqué la plupart des aspects factuels) Concernant la mission ExoMars qui devait être lancé vers la fin 2022 depuis Baïkonour avec un lanceur russe Proton, sa position est que l'Occident doit lever toutes les sanctions contre la Russie pour que l'atterrisseur Kazatchok (de fabrication russe) et le rover Rosalind Franklin (ESA fabrication euripéenne) qu'il doit transporter puissent être lancés. La situation est donc complètement bloquée. Pour le moment guère d'espoir que cela puisse évoluer. https://www.sciencesetavenir.fr/espace/systeme-solaire/frances-westall-je-suis-effondree-tout-comme-mes-collegues-europeens-et-russes-par-la-situation-de-la-mission-exomars_162162 Le rover est encore en Europe (chez Thale Alenia en Italie), il n'était pas encore prêt pour sa livraison à Baîkonour. Donc il ne sera pas pris en "otage" La décision de l'ESA, si oui ou non elle choisit de poursuivre la mission seule (il faut un lanceur ..... le reliquat d'Ariane 5 est déjà réservé pour d'autres lancements .... et Ariane 6 cumule les retards, son vol inaugural est espéré vers la fin du premier semestre 2023 (sans garantie ....). Donc aucune possibilité d'utiliser la "fenêtre" d'accès à Mars de 2022. Il faut en plus concevoir, financer et construire un atterrisseur (équivalent de Kazatchok)* , ou qu'une autre agence spatiale ayant ces compétences accepte un partenariat .... il y a peu de chances .... mais qui sait ..... un miracle (avec le Japon via la JAXA ????? ou un mécène multi-milliardaire comme Elon Musk ?????) * l'ESA n'a qu'un expérience très limitée avec une tentative lors d'ExoMars 2016 ..... et le prototype Schiaparelli qui s'est écrasé (çà a échoué pour une erreur logicielle lors de la rentrée atmosphérique, mauvais déploiement du parachute, extinction prématurée des rétro-fusée .... et boum !!!!) https://www.lesechos.fr/2016/10/exomars-latterrisseur-schiaparelli-sest-ecrase-sur-la-planete-rouge-219395 En espérant que cela n'enfreint pas la charte du forum, et pour information, un tweet reprenant un de ceux de Rogozine (au ton et à l'ironie plutôt désagréables)

Explication ..... La trace de passage de la station reste dans une bande de part et d'autre de l'équateur (environ 52° N et 52° S) pour permettre les lancements depuis Cap Canaveral pour les USA et Baïkonour pour les russes. Ce qui est certain c'est qu'elle peut passer au-dessus du Kazakhstan (là où se trouve le centre spatial de Baïkonour (lancement des capsules Soyouz) , et récupération des cosmonautes en fin de mission dans la steppe. Mais pas sûr que la Russie ait certaines parties qui sont à une latitude aux alentours (ou inférieure) à 52° N . Il y a une visualisation des "traces" de son orbite qui se décale ici : https://spotthestation.nasa.gov/tracking_map.cfm

[mode humour : ON] D'un autre côté, si on est un tantinet taquin, on pourrait se hasarder à dire, que si le modèle de HLS Starship (pour assurer la navette entre Orion et le sol lunaire lors de la mission Artemis 3) prend du retard et qu'il s'avérait pas prêt dans les délais prévus ..... c'est que la priorité d'assurer la cyber-défense de la patrie était incontournable. [mode humour : OFF]

Il parait logique qu'il s'agisse d'équipes de spécialistes du cyber, des antennes et de l'électronique qui soient ré-affectés à ces types d'activité. Ce qui mettra en veilleuse les nouveaux développements, donc les améliorations à intégrer dans de nouveaux prototypes. Mais pour ce qui est - par exemple - de la construction de rings et leur assemblage, ainsi que de terrassements, d'installation d'une ferme à ergols , de hangars etc ... sur différents sites (Boca Chica, Floride) peut-on envisager que cela puisse continuer ?

Le booster B7, qui devrait - sous réserve - réaliser une tentative de vol - dans un avenir indéterminé - , est en phase d'assemblage dans le High Bay. (situé dans la zone de construction de Boca Chica). Les prototypes B5 et B6 ..... sont donc mort-nés 😷

Après les tests de résistance réalisés sur le booster B4 (voir le Fil correspondant), les essais vont être à présent réalisés sur le prototype de Starship S20. Même si ce prototype ne volera probablement jamais, ces tests font suite aux manoeuvres de prise et déplacement avec les chospsticks de Mechazilla qui ont permis d'empiler le S20 sur le B4 (et donc de ne plus utiliser des grues et augmenter la rapidité des manoeuvres) Je suppose que les tests sont pour s'assurer (?) que ces manoeuvres n'ont causé aucun dégât (genre fissure de métal, soudure etc ..) et valider les opérations pour les prototypes suivants qui eux devraient voler. Mais quand ? C'est une autre histoire.

A Boca Chica ont eu lieu ces jours derniers des essais de résistance du B4 avec remplissage des réservoirs avec de l'azote. Puis début d'essais de remplissage cryogénique (toujours avec N2)

Concernant la rehausse de la station : - l'utilisation de la propulsion du module Zvezda pour rehausser est assez rare. Il y a quelques allumages pour vérifier à intervalle, que les moteurs sont toujours OK - le plus souvent c'est un cargo Progress (donc russe) qui effectue la poussée de rehausse. Il est dans l'axe de la station (vu la configuration du segment russe) et sa poussée est dans le sens de rotation de la station. Il y a aussi des propulseurs sur le nouveau module russe Nauka (pas encore utilisé). - Suite à l'aggravation des relations les américains cherchent une solution : les cargos Cygnus ou Dragon pourraient se charger de faire la rehausse, mais c'est plus compliqué et nécessite une ré-orientation de la station avant de procéder à la phase de poussée, puis de la remettre dans la configuration adéquate après*. Donc c'est faisable mais complexe (d'autant que des manoeuvres de grande amplitude d'orientation de la station feraient "travailler" les jonctions entre les différents modules) Et par ailleurs .... l'idée de "retirer le coeur" de l'ISS (Zvezda) pour un remplacement ..... cela me parait utopique et imaginé par certains façon "émotion à fleur de peau dont les poils se hérissent" dans le contexte "stressant" de l'évolution de la situation en Ukraine - et possiblement ailleurs -. Techniquement la station serait incontrôlable pendant "l'opération", il pourrait arriver n'importe quoi car ce serait une opération longue : et là, l'orientation des panneaux solaires , l'évitement de débris, la baisse ou la hausse de la station , le fonctionnement du "système vie", tout cela serait non contrôlé ou en instabilité critique. Si on se place dans cette fiction il serait de toute façon non concevable de laisser quelqu'un à bord* ..... ce qui sans conteste ne faciliterait pas les opérations. * faire endosser à des astronautes US, européens, japonais etc ... un rôle à risque comparable à celui qu'avait tenu les "liquidateurs" russes sur le toit de la centrale de Tchernobyl ... qui peut y croire ?

La photo postée par @Fred_76 lundi (voir plus haut) montre impact et incendie sur la partie avant du hangar .... donc si la queue a été préservée, l'avant de l'avion a du subir de gros dégâts ..... donc çà sent le cockpit roussi 🤥 La vidéo elle, parle d'une déclaration des autorités ukrainiennes annonçant la destruction ....mais évidemment .... sans sources précises ... et dans le chaos actuel ..... on spécule.

Difficile effectivement de savoir , avec les quelques infos qui ont été données au début, ce qu'il en est exactement, mais les traces d'impact, d'incendie sur le toit du hangar, laissent peu d'espoir pour le très gros porteur. Et si c'est annoncé aussi du côté officiel ukrainien ......

la forme combinant une translation et une rotation est effectivement une torsade. Cette forme (version simple) est notamment créée en enroulant un fil unique sur un cylindre ou dans les filetages réalisés sur un tour à chariot. Si on combine plusieurs fils électriques (ou mèches de cheveux) en torsadant ..... comme dit ci-dessus par @Denis Udrea la combinaison est une tresse à n brins

Une mission qui est organisée à l'initiative du milliardaire J. Isaacman (cofinancée par Space X) qui sera accompagné de trois autres passagers dont deux ingénieurs Space X. Ce sera la première d'une série de trois missions. Elle utilisera une capsule Crew-Dragon modifiée. Ce qui devrait permettre une sortie EVA. Le scaphandre serait un dérivé du scaphandre intra-véhiculaire créé par Space X pour les relèves d'équipage de l'ISS. Il faudra voir si toutes ces modifications seront menées à bien. Il est prévu de faire orbiter le véhicule avec une incursion à une altitude record (ceintures de Van Allen) et d'y faire de la science (sic) . La durée du voyage serait de cinq jours. Une image (simulation) qui fait fureur ..... sur les réseaux sociaux et dans les oeuvres des You-tubeurs.

Un cargo Dragon doit décoller samedi 28 août pour effectuer un ravitaillement de l'ISS. CRS 23 est lancé dans le cadre du contrat CRS de la NASA. Il doit transporter outre le fret habituel, un bras robotique créé par une société japonaise GITAI : https://gitai.tech/en/2021/06/25/gitai-passes-all-nasa-safety-reviews-for-iss-onboard-demonstration-ready-for-launch-en/ Launch time: 07h 37 GMT soit 09h 37 heure Paris Launch site: LC-39A, Kennedy Space Center, Florida La récupération du premier étage de la Falcon 9 doit être réalisé sur la barge "A Shortfall of Gravitas" (ASOG). Cette barge auto-propulsée fait son entrée en service. https://www.meretmarine.com/fr/content/elon-musk-presente-la-nouvelle-barge-de-recuperation-autonome-de-spacex

Le premier vol des missions Artemis n'a pas encore décollé (probablement début 2022) qu'on parle déjà des préparatifs de la mission suivante. Ce sera le premier vol habité qui prendra la direction de la Lune, mais qui ne fera que tourner autour du satellite de la terre : Artemis II. Le lanceur sera le SLS n°2 qui pour le moment est en pièces détachées : le début de l'assemblage de son core central progresse pas à pas. https://www.nasa.gov/exploration/systems/sls/multimedia/two-major-artemis-ii-core-stage-structures-joined.html Le réservoir LOX : Assemblage du réservoir LOX avec la partie Intertank : Un schéma pour repérer les deux parties ci-dessus (4 et 3) dans le premier stage du SLS :

Bien que le développement du système SuperHeavy/Starship soit suivi dans les Fils consacrés aux prototypes (BN et SN) il parait normal que dans le cadre du projet Artemis, il y ait un Fil pour la version lunaire qui sera un véhicule spécifique répondant aux besoins de la NASA. De même que les versions HLS de National Team et Dynetics ont leur prore Fil. On note que la sélection unique de ce Moon-Starship effectué récemment par la NASA (avec 2,9 G$ de financement) pour effectuer la mission Artemis III (les deux autres concurrents ayant été écartés) vient d'être remise en cause par le Sénat US. source : https://spacenews.com/senate-bill-would-direct-nasa-to-select-a-second-hls-company/ Le financement est augmenté fortement et porté à un peu plus de 10 G$ Le Sénat demande à la NASA de procéder à une nouvelle sélection (Space X inclus) afin de désigner au moins deux compagnies A noter que la formulation utilisée par le Sénat “not fewer than 2 entities” n'interdit pas de sélectionner et financer les trois projets. Le financement sera individualisé et le versement sera pluri-annuel Une vue d'artiste de ce que pourrait être le Moon-Starship (donc adapté à un atterrissage lunaire) qui n'effectuerait que la navette entre la Gateway et le sol lunaire. Les spécificités : sans ailerons ni protection thermique (ce modèle ne reviendra jamais atterrir sur terre) probablement une rétro-propulsion avec des moteurs spécifiques placés haut pour éviter les projections de cailloux/régolite (les Raptor du bas ne seront pas utilisés pour l'alunissage) des pieds plus écartés pour assurer une bonne stabilité sur un terrain assez accidenté : les premières missions Artemis habitées n'aluniront pas toutes au même endroit (pas de landing zone préparée)

Bien que faisant partie des "recalés" de la première attribution du contrat HLS, le team mené par Blue Origin qui était arrivé en troisième position de la sélection conserve une petite chance d'être repêché. Rappelons les première péripéties : Suite à la désignation d'un seul des protagonistes comme "lauréat" du premier contrat de HLS (à savoir Space X devant percevoir les 2,9 G$ pour son Moon Starship), les deux "recalés" soit Dynetics et le National team-Blue Origin avaient déposé une contestation officielle. Celle-ci est encore en examen, mais un nouvel événement vient de rebattre les cartes. Et cela semble faire évoluer la situation. Le Sénat a demandé à la NASA de désigner un second "lauréat" dans les 30 jours suivant son décret. Il y aura une petite rallonge pour le financement portant le total à un peu plus de 10 G$ (il n'est pas clair si Space X conserve son montant initial ou s'il y a une nouvelle répartition) source : https://spacenews.com/senate-bill-would-direct-nasa-to-select-a-second-hls-company/ Affaire à suivre 😜 La version du HLS du Team National avait été jugé assez sévèrement notamment parce que son dossier comportait des demandes de financement. Néanmoins rien - à ce jour - n'indique qu'il ne pourrait pas bénéficier de l'opération de repêchage ?* * d'autant que le montant de 10 G$ et la formulation "not fewer than 2 entities" laisse possible la qualification et le financement des trois candidats. Vue d'artiste du Human Landing System du National Team

La Russie a annoncé son intention de ne pas renouveler son engagement pour l'ISS au-delà de l'échéance des engagements en cours courant jusqu'à 2024. Plusieurs raisons invoquées : * les modules du segment russe arrivent au bout de leur durée de vie annoncée. Les fissures qu'il a déjà fallu entreprendre de colmater ne peuvent qu'indiquer que la fatigue des matériaux exposés à l'espace depuis plus de 20 ans risquent à court terme de faire courir des risques à l'équipage * la Russie escompte assurer une transition sans interruption entre leur usage de l'ISS et le lancement à partir de 2025 des premiers éléments de leur nouvelle station spatiale ROSS (Russian 0rbital Space Station). Elle serait placée en orbite beaucoup plus inclinée (inclinaison de 71,6 degrés au lieu de 51,6 degrés pour l'ISS). ce qui leur permettrait de couvrir leur territoire beaucoup plus complètement. Ils sont intéressés par l'utilisation de la "voie du nord", voie maritime libérée par la fonte accélérée de la banquise. https://www.geo.fr/environnement/canal-de-suez-la-voie-maritime-dans-larctique-doit-etre-developpee-selon-moscou-204207 https://fr.wikipedia.org/wiki/Route_maritime_du_nord Cette orbite compliquera un peu les contraintes de leurs lancements, qui seront réalisées par des tirs de Baïkonour et de Plesetsk. Pour continuer à utiliser les inusables capsule Soyouz et cargo Progress, il faudra utiliser la version la plus puissante Soyouz-1b. Pour certaines missions ce sera Angara 5 et la nouvelle capsule Oriol. Par ailleurs les rayonnements sur cette nouvelle orbite seront plus intenses - comparées à l'ISS - (le bouclier électro-magnétique de la Terre est moins efficace à ces latitudes). Il faudra améliorer le blindage des modules, et suivre "à la loupe" les effets sur les cosmonautes. Ce qui sera une "préparation" des futures missions vers l'espace lointain soumis à ce genre de contraintes. sources : https://www.bbc.com/news/world-europe-56812294 https://www.nasaspaceflight.com/2021/04/roscosmos-future-for-mid-2020s/

Le lancement du module principal Tianhe-1 de la station orbitale chinoise doit avoir lieu le 29 avril 2021. horaire annoncé : ~03h00 UTC. La lanceur CZ 5B après encapsulage du module vient d'être transféré vers le pas de tir ( centre de lancement de Wenchang)

La capsule Crew Dragon a bien décollé en fin de matinée du KSC avec à son bord quatre astronautes dont Thomas Pesquet (ESA commandant de bord) La procédure de poursuite puis d'amarrage à l'ISS devrait se poursuivre jusqu'à samedi matin. Les autres membres d'équipage : Shane Kimbrough (NASA) Megan McArthur (NASA) Akihiko Hoshide JAXA)