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montmein69_2

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Tout ce qui a été posté par montmein69_2

  1. Cela semble se préciser avec les annonces de fermeture de la plage et de la route. La date première qui pourrait être la bonne c'est le lundi 5 juin. . Ils ont du aussi recevoir des nouvelles rassurantes concernant les autorisations de la FAA. Il restera alors à faire décoller et vérifier que toutes les améliorations apportées depuis IFT-3, seront efficaces et permettront de cocher des "progrès". Au mois de mai Elon avait annoncé sur X : Ce sera déjà un bon résultat si les deux parties (booster et Starship) redescendent sans gros dégât.
  2. Ce serait plutôt bienvenu que les "images de synthèse" ou "vues d'artiste" présentent cet avertissement. source : image de synthèse / vue d'artiste (ce ne sont que quelques mots) Illustrer les événements c'est bien, mais avertir de ce qui est réel et de ce qui "n'est pas encore arrivé" c'est encore mieux. D'autant que cette activité d'EVA originale puisque jamais tentée avec cette capsule Crew-Dragon "adaptée" (ouverture du sas et décompression complète de la capsule) comporte intrinsèquement des risques. Personne ne souhaite évidemment qu'il y ait un pépin lors de cette mission* * qui à ce jour n'a pas décollé la prévision actuelle c'est "No earlier than summer 2024" .... mais si jamais cela arrivait (toute mission dans l'espace est compliquée et dangereuse) l'avoir présentée comme si elle avait déjà été exécutée (les doigts dans le nez) ... ne serait pas un plus pour le Forum Webastro.
  3. Des fuites ont été détectées ... notamment d'Hélium. et il faut y remédier. Donc le lancement glisse au 25 mai à 19h09 UTC. https://blogs.nasa.gov/boeing-crew-flight-test/2024/05/17/nasa-boeing-now-working-toward-may-25-launch-of-crew-flight-test/ Une phrase m'a un peu surpris toutefois : Traduction par Google translator: Faut-il comprendre que ce n'est pas complètement maîtrisé .... mais que c'est sans risque (du moins au vu de la durée de la mission qui est relativement courte). La NASA n'a pourtant pas l'habitude de lancer une capsule habitée ...... qui n'est pas vraiment "nickel_chrome". AMHA même si le débit est très minime .... et le réservoir assez gros ..... c'est un peu ole-ole comme argumentation . Mais l'atome d'hélium est petit ... et il se faufile assez facilement. Annoncer le niveau des pertes serait plus rassurant. Les soucis qui avaient été présents lors de la carrière parfois cahotique de la navette ... auraient-il quittés les mémoires ?
  4. Dans les missions spatiales lointaines, la distance grandissante entre la sonde et le Soleil fait baisser drastiquement la puissance électrique fournie par des panneaux équipés de cellules photovoltaïques. Même si on a pu faire des progrès dans la conversion directe de la lumière en électricité par les cellules photovoltaïques .... et en augmentant la surface des panneaux .... on est coincé. Au delà de Jupiter, Saturne , Uranus , Neptune et à fortiori pour Pluton et au delà ..... les instruments doivent avoir une source fiable d'ébergie électrique et aussi être réchauffés pour pouvoir fonctionner dans le vide spatial. On a donc recours aux RTG . (Radioisotope thermoelectric generator) https://fr.wikipedia.org/wiki/Générateur_thermoélectrique_à_radioisotope Ce ne sont pas des réacteurs nucléaires. On utilise la chaleur fournie par la désintégration spontanée des atomes d'un combustible nucléaire (Pu 238 le plus souvent dont la demi-vie est de 88 ans et donc bien adapté à des missions de quelques dizaines d'années.) . La chaleur produite est convertie en électricité par des thermo-couples. On utilise aussi des petites plaquettes (Radioisotope heater unit) disséminées dans des zones éloignées de la sonde pour réchauffer directement les équipements qui s'y trouvent (mise hors gel des antennes, des moteurs de correction de trajectoire etc ....) https://fr.wikipedia.org/wiki/Élément_chauffant_à_radioisotope Quelques exemples de missions : A noter que pour les gros rovers martiens (Curiosity, Perseverance) , on a du utiliser aussi un RTG car les tempêtes de poussières réduisent l'efficacité de panneaux solaires souvent empoussièrés pour de longues périodes. Et il faut une puissance minimale toujours disponible pour les moteurs permettant les déplacements du rover, franchissements , sols rocailleux, désensablement, gestion des communications etc .... Bref ... rien n'est simple. Il faut accepter des compromis, et ne pas non plus stigmatiser de façon primaire et indifférenciée l'utilisation du nucléaire. D'ailleurs quand chacun branche son smartphone pour le recharger ....
  5. Le starship S29 a été placé sur le booster B11. La date du lancement attendra l'autorisation de la FAA qui serait donc publiée fin mai -début juin Cela reste encore ..... du domaine des supputations ..... les surprises ne sont pas rares.
  6. Relayant un tweet d'Elon, une annonce récente sur le délai prévisible : Comme on est mi-mai .... rajouter 3 à 5 semaines nous rapproche significativement de la fin du délai annoncé pour IFT-4 soit la fin du 2 Trim 2024. Mais bon .... l'optimisme est le moteur de l'histoire. Ce qui interroge quand même, c'est de savoir si le délai restant nécessaire qui est annoncé concerne la partie "pas de tir/OLM/tour/chopsticks" , ou bien la fin des tests / mise au point de B11/S29, ou probablement les deux. Il sera évidemment utile de savoir si la sécurisation des tuiles (encore défaillante lors d'IFT-3) est un problème réglé, vu que la récupération (objectif important) est à ce prix. et que celle dite "virtuelle" du B11 en mer est un enjeu intermédiaire majeur pour la suite. Installation du booster B11 sur l'OLM Un static fire en prévision ? Ou bien installation - possible - par dessus (stacking) du S19 ?
  7. Il y avait eu, il y a une quinzaine d'années un "engouement" pour le moteur VASIMR inventé par Chang-Diaz (ancien astronaute - 7 missions avec la navette - et créateur de la société AD Astra Rocket pour la mise au point du VASIMR) Il avait même été question d'installer - avec possible implication de la NASA - un moteur expérimental VASIMR de faible puissance sur l'ISS . Cela n'a jamais pu se concrétiser. Et accessoirement, il y a eu des "passes d'arme" suscitées par Zubrin (Mars Society ) déniant la possibilité de créer un VASIMR efficace pour le voyage martien ..... tout cela parait avoir fait flop. https://planete-mars.com/vasimr-zubrin-defie-chang-diaz-den-debattre-avec-lui/ Ni les russes, ni les chinois ne paraissent avoir une "invention géniale" dans leur escarcelle - respective - permettant de réduire les durées de voyage vers Mars, ni d'augmenter significativement la masse de fret qu'on peut faire atterrir en une fois - et en douceur - sur la planète rouge. Pour le moment on ne peut qu'en rêver.
  8. C'est suite à la découverte de ces soucis que la date du lancement a été décalée. (fin 2025) Mais si on a su réaliser les missions Apollo avec les boucliers thermiques il y a 50 ans ..... on devrait y arriver à présent puisque les matériaux ont évolué. Cela dit pour ce qui est de la réutilisation .... ce sera sans doute plus compliqué, puisque les rentrées atmosphériques à la seconde vitesse cosmique .... ce n'est pas simple (la température atteinte sur le bouclier est environ 2700 °C ). On verra s'il faudra changer le bouclier entre deux missions lunaires. Il ne faudrait pas faire rôtir les astronautes.
  9. Pour s'arracher à la Terre, ou redécoller de la Lune ou de Mars *... je ne sais pas si on pourra trouver autre chose que la propulsion chimique. * pour des trajets qu'on pourra faire dans un avenir proche Pour des vols entre planètes ou vers des lunes lointaines et autres comètes , on aura peut-être recours à de la propulsion nucléaire dans un avenir indéterminé. La propulsion ionique, la voile solaire .... pour le moment cela reste limité à des sondes de faible masse et en acceptant des durées de trajet plutôt longues. Cela parait donc plutôt pour des vols non habités.
  10. Assurément dans les deux ou trois décennies à venir, le problème du financement va devenir majeur. De grosses missions avec du matériel très coûteux comme un observatoire devant détecter des "mondes habitables" ..... c'est tentant mais il faudra financer sa construction, sa maintenance, les équipes chargés de dépouiller et interpréter les données (même si l'IA vient à la rescousse). De même des missions poursuivant l'étude des planètes et lunes de notre propre système solaire, éventuellement en se posant dessus et en y entamant un travail suivi sur les sols, la glace , le volcanisme, d'éventuelles mers sous glaciaire .... demanderont aussi de gros investissements en instruments embarqués et en retour d'échantillons (qui seront analysés dans des laboratoires sur Terre ou dans une station spatiale dédiée). Or avec les objectifs de présence sur la Lune actuels et dans la foulée des missions sur Mars (habitées ou avec de la robotique avancée) pourront-elles pouvoir cohabiter avec les précédentes ? On peut l'espérer mais la probabilité ..... AMHA en demeure assez faible. Les budgets militaires ne faisant pas mine d'aller vers la baisse.
  11. ▶️ ceci examine la possible évolution significative des engins qui étaient prévus dans la version initiale de la mission. Ceci est une simple supputation ..... on verra ce qui évoluera ou sera remplacé, d'abord dans les propositions des sociétés répondant à la demande de la NASA, puis après, une sélection de ce qui sera considéré comme acceptable/réalisable/économique Sur cette infographie ) sont entourés les engins susceptibles d'être abandonnés ou de subir des modifications. ▶️ 1 - l'hélicoptère : si on fait le pari que Perseverance sera toujours complètement opérationnel dans plusieurs années, ne plus envoyer un hélicoptère pour participer à la collecte des tubes (économie vs risque de ne pouvoir rassembler les tubes et les charger dans le dispositif de retour) ▶️ 2 - l'atterrisseur : incontournable avec son dispositif de chargement . Peut-être contenant un lanceur capable de retourner directement vers la Terre. On éviterait la phase délicate du RdV en orbite avec une sonde et le transbordement des tubes. Mais complexifié et alourdi par l'engin qui devra gérer l'intégralité du retour. ▶️ 3 - l'engin de retour : Il devrait à la fois permettre le retour en orbite et gérer le retour vers la terre. Il serait donc plus lourd et plus complexe : plus d'ergols - système de contrôle de l'intégralité du vol - système de transmission de données - système de parachutes - probablement plusieurs étages ? Un système jamais envisagé à ce jour. ▶️ 4 - sonde de retour : elle ne serait plus nécessaire. Donc économie mais moins de sûreté puisque à l'origine c'était un engin qui était conçu pour le voyage de planète à planète qu'on sait maîtriser. La tâche s'annonce complexe et difficile à réaliser . On verra si les ingénieurs proposent des solutions inédites et moins couteuses que celle d'origine. Ci-après, le scénario établi par les chinois pour leur mission permet d'examiner les solutions qu'ils veulent retenir : extrait de l'article Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mission_de_retour_d'échantillons_martiens
  12. Fil destiné à suivre les propositions que recevra la NASA, puis le choix effectué par l'agence entre les propositions des postulants, et ensuite la mise en oeuvre de la réalisation technique et logistique de cette phase de retour entre les deux planètes. On peut penser que ce doit être avec des économies substantielles tout en maintenant des exigences strictes sur le confinement / protection du container contenant les tubes d'échantillons pour éviter toute contamination à l'arrivée sur Terre.
  13. La mission initiale avec le rover Perseverance (prélèvements d'échantillons avec mises en tube - collecte des tubes déposés dans des zones précises - retour des tubes sélectionnées - avec le rover seul ?* - vers une zone comportant le futur atterrisseur et un système de décollage ** ) devant se continuer pendant plusieurs mois (ou années ?) . Cette phase au sol, pourra continuer à être suivie dans ce présent Fil. * plus aucune certitude que la phase de retour vers la terre utilisera aussi un hélicoptère martien pour participer à la collecte au sol - ** la nécessité de réduire les coûts .... laisse une grande incertitude sur cette phase et la façon de rapatrier le chargement en sécurité vers la terre. Du coup je crée un nouveau Fil qui sera plutôt réservé au suivi des négociations pour gérer cette phase de retour entre les deux planètes des échantillons : ▶️ chargement après sélection des tubes en container de protection anti-contamination ▶️ puis décollage d'un engin pour le retour vers la terre *** *** on ne sait rien pour l'instant sur les techniques envisagées, en attente des propositions des firmes privées sollicitées et la sélection d'un ou deux finalistes par la NASA Le Fil nouveau correspondant (cliquer sur le titre) : Remarque : On peut craindre (de notre point de vue d'européens) que le volet européen géré par l'ESA qui devait participer à la phase de retour .... passe "à la trappe" (ce n'est qu'une supputation de ma part mais ce possible "coup de Trafalgar" ne serait pas une première - cf mission ExoMars -)
  14. La NASA, probablement suite aux critiques assez radicales de politiques et de spécialistes qui pensent que la méthode adoptée pour le retour des échantillons est chère, complexe et risque de ne pas réussir, avec en plus un délai de réalisation qui serait trop long, a lancé un appel à proposition aux entreprises du spatial * pour trouver une solution alternative plus efficace, moins chère et réalisable avec un délai moindre. * probablement US ? https://www.nasa.gov/news-release/nasa-sets-path-to-return-mars-samples-seeks-innovative-designs/ https://spacenews.com/nasa-to-look-for-new-options-to-carry-out-mars-sample-return-program/ https://spacenews.com/nasa-open-to-significantly-reduced-return-of-mars-samples/ https://theconversation.com/the-mars-sample-return-mission-has-a-shaky-future-and-nasa-is-calling-on-private-companies-for-backup-228256
  15. Intéressant article paru dans le récent journal du CNES https://cnes.fr/fr/change6-dorn-destination-la-face-cachee-de-la-lune Cela concerne DORN un détecteur de Radon *, qui sera le "premier instrument scientifique français actif à la surface de la Lune" (quand Chang'e 6 aura atterri) * conçu et construit par l' Institut de Recherche en Astrophysique et Planétologie (IRAP) maîtrise d'ouvrage CNES Un visuel sur cet instrument : On peut applaudir les équipes qui l'ont mis au point
  16. Une video assez détaillée sur les préparatifs du vol IFT-4 et plus largement les aménagements qui ont été réalisés et les tests effectués sur des boosters et starships suivants . (après 13mn 45 .... la video switche sur la mission Chang'e 6 et autres actualités)
  17. Il a fallu patienter sans défaillir ..... mais le vol de test n°3, avec équipage (CFT Crew Flight Test) devrait avoir lieu très bientôt. (voir fin de ce post) https://starlinerupdates.com/nasa-gives-starliner-go-to-proceed/ L'équipage composé de Sunita Williams et Butch Wilmore poursuit son entrainement : ULA a publié une video de simulation du profil du vol qui sera réalisé par la capsule Starliner (qui a été baptisée Calypso (d'après le nom du navire océanographique d'exploration qui était commandé par Jacques-Yves Cousteau) ). La capsule a été insérée au sommet du lanceur Atlas V N22. la date récemment publiée pour le lancement : Plus de détails : https://spacelaunchnow.me/launch/atlas-v-n22-cst-100-starliner-crewed-flight-test/
  18. Exact le chiffre 60 correspondait à la première version (V1) du Starlink. Or le Starlink est à présent produit et mis en orbite en version 2 (plus gros, plus lourd). J'ai trouvé les chiffres de : 22 satellites en V2 pour la F9 50 à 100 satellites en V2 pour le Starship (visiblement c'est encore "à la louche" ton 120 doit être dans la limite statistique 😜) et par ailleurs la version V3 du Starlink est annoncée pour fin 2024 source : https://www.pcmag.com/news/elon-musk-projects-starship-to-deploy-v3-starlink-satellites-next-year article d'octobre 2023
  19. Concernant la constellation Starlink (en phase d'installation ..... qui n'est certes pas terminée), on peut louer la "performance" de SpaceX (chacun a le droit d'avoir un avis) mais je serai curieux de savoir la répartition des "abonnements" notamment sur les USA et sur les différentes régions du globe. Le nombre total de satellites répartis dans de nombreuses constellations .... doit grossir .... grossir .... grossir..... Quand Starship sera au point pour faire du vol suborbital et en larguer à chaque vol bien plus* que la Falcon 9 (qui en largue 60 à chaque vol) .... on devrait avoir sur le forum des faire-parts bordés de liseré doré pour saluer l'exploit. * nombre non trouvé (ou non publié ?) Image de synthèse d'un Starship (du futur) larguant par un dispenser placé dans sa "zone de fret" des satellites Starlink source : extrait de la vidéo à partir de 58 s
  20. Le commentaire des commentaires .... est une activité qui ne m'intéresse pas trop. Et les réparties version sous-entendus .... que seuls des initiés, peuvent décoder, encore moins. Je donne donc simplement un extrait (et la référence) d'un article d'un journaliste* dont le contenu semblerait pouvoir s'accorder avec l'avis qui a pu s'exprimer. Peut-être une source d'inspiration ? je reproduis un passage. * probablement anglais (surtout ne pas soupçonner que j'ai pu avoir envisagé d'évoquer "la perfide Albion" le Royaume Uni est membre de l'ESA ) source : https://europeanspaceflight.com/falcon-9-galileo-launch-highlights-ariane-6-failure/ Auteur : Andrew Parsonson (créateur du site European Spaceflight) Traduction Google translator
  21. Bien difficile de fixer une date pour le premier atterrissage d'un humain sur Mars. Vu le contexte actuel. C'est la Lune qui focalise les "envies" et il faudra quelques missions pour déjà alunir en douceur, probablement dans la zone du Pôle sud. La NASA a fixé * à SpaceX l'objectif qu'une mission test (inhabitée) du HLS Moon Starship (qui n'existe pas encore) afin de montrer que cela est possible (pour un alunisseur de plusieurs tonnes ayant la capacité de redécoller) avant de réaliser la mission Artemis III (Boots on the Moon .... le retour humain). Comme le combo Booster/Starship n'a pu encore mettre le Starship en LEO (ni permettre de récupérer le booster)** on est loin d'avoir validé ces étapes. * un peu un abus de langage puisque la date a été repoussée déjà plusieurs fois ** lors de la mission IFT-3 Tout cela coûté déjà bien cher .... et si la NASA se fait "payer" en matériel (notamment la plupart des modules de la Gateway) pour troquer des sièges d'astronautes de ses partenaires (qui seront transportés -au compte goutte - vers la Lune lors de missions à partir d'Artemis IV) ..... elle rabote aussi pas mal d'autres domaines (dont les missions automatiques d'exploration ..... Mars sample return ..... est une mission en danger) Tout cela va coûter très cher, et bien entendu devrait être suivi d'une implantation sur la Lune (à défaut d'un village .... d'abord un "point de chute" mais avec les installations de support vie .... çà chiffre vite). Du coup financer simultanément un programme visant à se poser sur Mars et à y séjourner au minimum quelques mois ... cela parait très peu probable dans les 20 ou 30 ans à venir. Alors la Chine pourrait se mettre en lice pour jouer son jeu .... mais pour l'instant ils travaillent beaucoup sur les sondes automatiques, vers la Lune et vers Mars. Et les taïkonautes sur la Lune ... ils ne l' évoquent que pour le début des années 2030 .... sans vraiment dévoiler si ce sera une mission unique ou s'ils en feront plusieurs. Aucune autre agence spatiale ne parait avoir de projet martien (à réaliser seule) pour le moment. Et les alliances/coopération .... çà n'a pas de grosses chances d'aboutir. Donc ???? Reste celui "dont il ne faut pas prononcer le nom" (nan c'est pas Voldemor !) qui parle de Mars depuis longtemps, mais n'y a pas déposé son Dragon comme c'était "promis, juré, si je mens ...." . A ce jour impossible de prévoir ce qui sera entrepris et surtout quand cette initiative dépassera le stade des "one-man show en représentations avec projection sur grand écran"
  22. D'autant que le recours à SpaceX pour les mettre en orbite avait été déjà annoncé avant la fin de 2023. Je parle pour le grand public qui s'intéresse d'un peu loin au spatial. Les "fidèles" de Webastro en avaient été informés donc aucune surprise. Et il faut aurait fallu être tarte pour avoir pensé que l'Europe aurait pu faire autrement vu qu'aucun lanceur européen n'était opérationnel.
  23. La capsule habitée Shenhzou 17 s'est désarrimée de la station spatiale chinoise ce mardi 30 avril. L'atterrissage s'est bien passé. Les Taïkonautes sont rentrés "at home" après un séjour de 6 mois dans la station Tiangong. https://spacenews.com/chinas-shenzhou-17-crew-return-to-earth/ Extraction des taïkonautes de la caspule Shenhou
  24. Il devrait y avoir dans un délai de quelques années la capsule indienne Gaganyaan qui dceviendra opérationnelle pour transporter des vyomanautes ( \vjo.ma.not\ masculin et féminin identiques) les astronautes indiens. Le lanceur est le LVM 3 (avec des adaptations pour être man-rated) https://www.isro.gov.in/GSLVmk3_CON.html A noter qu'il utilise une version indienne du moteur Viking de la SEP http://www.capcomespace.net/dossiers/espace_europeen/ariane/ariane1/moteur_viking.htm Voilà qui va permettre aux nostalgiques de cette période de ressortir les documents de l'époque et pourquoi pas mirlitons, confettis multicolores et autres mirlitons pour les relire dans la joie et la bonne humeur .
  25. Pour détendre un peu l'atmosphère ..... Au moins avec quelque milliers de satellites Starlink .... les manchots empereur de l'Antarctique vont pouvoir jouer aux échecs avec les ours polaires, à toute heure, tous les jours, c'est pas un progrès majeur dont on ne saurait se passer ?
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