Aller au contenu

Toucan

Membre
  • Compteur de contenus

    668
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Toucan

  1. Bonjour Roger, Cela nous rajeunit pas car c'est également à la suite de cet événement que je me suis intértessé à l'espace. Je me rappelle des gros titres en première page des journaux (en particulier France-soir) qui prônaient à la devanture des kiosques.
  2. Dans les plans actuels, si les Chinois ne leur grillent pas la politesse, les Américains devraient être les premiers à retourner sur la Lune par l'intermédiaire de la mission Artemis prévu pour 2026 (ou plus comme c'est souvent le cas dans les programmes spatiaux).
  3. Je l'ai parfaitement indiqué sur mon post en disant qu'il serait encore exploité (avec capacité réduite) durant une dizaine d'années. Le dernier communiqué de la NASA prévoie sa fin en 2035, donc si le titreest un peu décalé, sa retraite est en vue.
  4. Bien entenu. j'ai cité Armstrong en exemple, mais le prochain humain pourrait-être Chinois, Indien, Européen, etc.
  5. PS : bien que ce post soit à caractère "semi-détente", on peut se demander tout de même, à quand le nouvel Armstrong ?
  6. Indéniablement, la réussite de SpaceX en a surpris plus d'un, surtout à la relecture des articles datant d'une dizaine d'années. Ces derniers rédigés par des "spécialistes" disant que la démarche d'Elon Musk ne marcherait jamais, notamment avec son ambition de récupérer la majeure partie de son lanceur ! Force est de constater qu'ils étaient à côté de la plaque, le succès de SpaceX prenant au dépourvu tous les autres opérateurs (y compris Américains). En ce qui concerne Ariane 6 (attendu avec impatience), il apparait évident qu'il sera impossible de s'aligner sur les prix de SpaceX (on parle d'un Falcon deux fois moins chère) sans la main à la poche des contribuables européens (subventions). Même si la cadence potentielle sera limitée à une douzaine de tirs par an, le système n'a pas trop de soucis à se faire au travers du sacro-saint accès à l'espace. Le marché institutionnel, s'ajoutant au captage de contrats ne désirant pas dépendre de SpaceX (à l'instar de Bezos d'Amazon), devrait pérénniser le programme européen dans l'attente de l'apport des améliorations (horizon 2030 pour la récupération d'étages, etc.)
  7. Toucan

    Space X, sur un nuage...

    Toujours le premier à me critiquer gehelem malgré que vous êtes souvent à côté de la plaque à l'exemple de la phrase que vous avez posté ci-dessous. Mes dires étant confirmés par des nombreux écrits, je vous insére ci-dessous l'encart du dernier A&C attrait à votre allusion Par ailleurs, je me demande si vous être seulement capable de réaliser des tableaux de synthèse comme celui que j'ai réalisé pour les lanceurs de SpaceX, Sauf votre respect, j'en doute fortement !
  8. Toucan

    Space X, sur un nuage...

    Cela peut sembler rébarbatif pour certains, mais les stats de SpaceX sont tellement hors normes dans l'histoire des lancements spatiaux que je me sens obligé de compléter le fil "SpaceX sur un nuage" ! Ainsi, durant le premier trimestre 2024, au travers de 31 mises à feu, l'opérateur US a placé sur orbite 87% du tonnage mondial, soit une masse avoisinant les 430 tonnes ! De son côté, Starlink est désormais connectée à plus de 3 millions de personnes réparties dans une centaine de pays (un million de plus qu'à la fin de l'année passée) Falcon 9 vient également d'injecter un premier lot d'une nouvelle constellation d'espionnage US, de quoi alumenter encore plus son activité. Ci-dessous, petite synthèse de l'offre actuelle lanceurs de SpaceX.
  9. Toucan

    Space X, sur un nuage...

    Excusez du doublon, mais je n'arrive pas à l'effacer !
  10. Toucan

    Space X, sur un nuage...

    Désolé, mais ce n'est pas mon intention de me limiter à cette mission (par ailleurs déjà trèsmédiatisée dans les revues dédiées) Mon sujet est de présenter la situation actuelle globale de SpaceX, inédite dans l'histoire de l'astronautique. Non seulement cet opérateur est privé, mais il ne se contente pas d'être confiné dans le domaine des lanceurs. Mes présentations peuvent vous déplaire, mais elles sont du style que je réalisais en son temps pour Arianespace (et le CNES) en interne ou pour d'autres destination. A mon âge (80 balais), je n'ai pas la technologie, ni le temps pour faire autrement. "les doigts dans le nez" > c'est un peu comme si je ne pouvais pas parler d'Ariane 6 alors que plusieurs articles annoncent son PV de cette manière (ou presque) !
  11. A l'issue de WW2, le moteur "atomique" dédié aux fusées-porteuses (comme on surnommait les lanceurs à l'époque) semblaient être la panacée pour obtenir la vitesse d'éjection nécessaire à l'accomplissement de missions cosmiques des plus audacieuses. Parmi les projets, celui de l'Institution de référence BIS représenté ci-dessous.
  12. L'intervention d'Albuquerque me donne l'occasion de rajouter un petit flash-back historique sur l'impensable parcours de Robet H. GODDARD (1882-1945), alliant la théorie à la pratique. En 1930, Goddard, sa femme et ses assistants s'installaient à proximité de Roswell (Nouveau Mexique), endroit médiatisé par la suite sur d'éventuelles visites d'extra-terrestes (OVNI) ! Dans ce lieu, Goddard allait définir et mettre au point les éléments fondamentaux d'un lanceur spatial : _ Première fusée liquide à franchir le mur du son _ Stabilisation gyroscopique _ Pilotage aérodynamique _ Volets déflecteurs de guidage sortie tuyère _ Pompes d'alimentation _ Refroissement moteur par circulation d'un fluide _ Systèmes de lancement automatiqueset séquentiel _ Dispositifs d'enregistrement et de localisation _ Etc. Toute sa vie, ce génial inventeur travailla d'une manière solitaire et dans l'incompréhension, ne connaissant la gloire qu'à titre posthume.
  13. En effet, mais les travaux de Pedro Paulet n'ont pas été authentifiés avec certitude pour réellement lui accorder la paternité attribuée depuis des lustres à Goddard. Un peu comme Clément Ader avec son avion où l'ombre d'un doute perdure !
  14. Petit rappel historique de deux précurceurs ayant joué un grand rôle dans cette technologie propulsive. Dès 1906, le théoricien russe K. Tsiolkovsky établissait l'ébauche d'une fusée cosmique propulsée par le mélange de deux ergols liquides, de surcroît cryotechniques (oxygène associé à de l'hydrogène). Le second, le physicien américain R. Goddard, fut le premier à démontrer en 1913 qu'une fusée pouvait fonctionner dans un milieu dépourvu d'air. Il sera également le premier en 1926 à réaliser le lancement d'une fusée alimentée par du propergol liquide (essence + LOX).
  15. Bonjour, Comme on l'a compris, et malgré que les ingénieurs s'échinent à trouver des solutions (plus ou moins exotiques), il semble que la propulsion chimique ait encore de beaux jours pour arracher la masse d'une fusée spatiale de la surface terrestre afin d'atteindre la vitesse désirée.
  16. Force est de constater que c'est toujours la propulsion chimique (style V2) qui prévaut, à savoir un moteur brûlant une grande quantité d'ergols (carburant + comburant) permettant à un lanceur d'atteindre la vitesse nécessaire à l'injection d'une CU dans l'espace (7,8 km/sec pour une orbite basse, 11,3 pour une mission libératoire). Sur ce chapitre, l'avancée n'a progressé au fil du temps qu'au travers d'un meilleur rendement énergétique des ergols !
  17. Bonjour polirider, Désolé mais je n'ai pas (ou plus) d'informations sur le sujet. J'avais un Intéravia du début des années 60 qui en parlait avec un petit croquis à la clef, mais je n'arrive pas à remettre la main dessus (vide grenier peut-être ?) De toute toute manière, ce projet passait par la mise en oeuvre du Blue Streak comme étage de base, à l'instar du Black Prince (ci-joint)
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.