Dodgson
Membre-
Compteur de contenus
1144 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Téléchargements
Blogs
Boutique
Calendrier
Noctua
Tout ce qui a été posté par Dodgson
-
Je suppose qu'il s'agit d'un problème dont on parlait du temps très lointain où je travaillais à EDF et parfois au CEA (l'article qui suit doit dater de 1981 , et j'ai quitté EDF en 1970). Elimination des actinides présents dans les déchets par recyclage dans des réacteurs nucléaires par H.A.C. McKay* Après quelques siècles de désintégration radioactive, les actinides de longue période (éléments dont les nombres atomiques sont compris entre 89 et 103) présents dans les déchets nucléaires pourraient constituer le principal danger radiologique pour la santé humaine. En effet, la plupart des produits de fission (à l'exception principalement du technetium 99 et de l'iode 129) se seront alors désintégrés presque entièrement, faisant des actinides les principaux éléments dangereux restant dans les déchets. Le recyclage des actinides dans des réacteurs nucléaires, et donc leur élimination par fission nucléaire, semble donc une idée intéressante en première analyse.
-
Les actinides sont une famille du tableau périodique comprenant les quinze éléments chimiques allant de l'actinium (n°89) au lawrencium (n°103)
-
Ces vérités élémentaires semblent incompréhensibles pour certains (parfois même très hauts placés et n'appartenant pas à webastro).
-
Et devant Kakhovka ?
-
Pas mal. Manquent les effets des guerres sur le problème (un cas est en cours actuellement).
-
Les LED me font mal aux yeux. Suis-je un cas exceptionnel ?
-
Et moi Paris-Stockholm en 4CV Renault dès 1958 !
-
Certes, mais nous ne sommes plus avant 2022. Wait and see.
-
L' Abbaye de Thélème ?
-
Une nouvelle étude parue dans le journal Earth System Dynamics souligne le fait que les méthodes d'évaluation du changement climatique en France doivent être revues pour être plus proches de la réalité. Comme l'explique Aurélien Ribes, climatologue au CNRM (Centre national de recherches météorologiques), « jusqu'au cinquième rapport du Giec (2014), le réchauffement planétaire attendu était estimé à partir de simulations uniquement. Dans le sixième rapport (2021), le calcul combine les simulations et les observations ». Cependant, cette méthode n'était utilisée que pour la moyenne planétaire, et non pas pour la France. Un manque important car les observations permettent de réaliser que la France se réchauffe encore plus vite que prévu : jusqu'à 50 % plus rapidement que ce que l'on pensait ! La hausse des températures en France est aussi plus élevée que la moyenne mondiale : +1,2 °C dans le monde par rapport aux niveaux préindustriels, alors que celle-ci atteint +1,7 °C en France (avec une marge comprise entre +1,4 °C et 1,9 °C). « La France se réchauffe davantage (environ 20 % plus vite) que la moyenne planétaire », précise Aurélien Ribes. (trouvé dans futura-sciences d'aujourd'hui)
-
J'habite en région parisienne et je ne chauffe jamais au dessus de 17 degrés. La nuit je ne chauffe pas. Depuis le 20 septembre j'ai déjà passé quelques nuits à 16 ou 15 degrés. Il suffit d'avoir des couvertures et/ou vêtements de pure laine.
-
Dans "Le Monde" d'aujourd'hui : Les centrales nucléaires, nouvel enjeu de guerre L’utilisation par Vladimir Poutine des centrales ukrainiennes comme moyen d’intimidation des Occidentaux met en lumière la faiblesse des conventions internationales qui protègent ces installations civiles. Par Jean-Michel Bezat Publié hier à 05h30, mis à jour hier à 15h00 Te Ajouter aux fav Article réservé aux abonnés Analyse. Vladimir Poutine a un art consommé pour jouer de l’effroi qu’inspire le nucléaire, civil et militaire. Le président russe a réitéré ses menaces d’emploi de l’arme atomique, mercredi 21 septembre, trois jours après une frappe de missiles à proximité des réacteurs de la centrale de Pivdennoukraïnsk (Sud). Il avait déjà fait de celle de Zaporijia, la plus puissante d’Europe (6 000 mégawatts), occupée dès le début de la guerre par son armée, un outil d’intimidation des Occidentaux. Pour la première fois depuis le développement à grande échelle des applications civiles de l’atome, dans les années 1950, des sites se retrouvent au cœur d’un conflit armé. Lire aussi : Guerre en Ukraine, en direct : pour Volodymyr Zelensky la région de Donetsk est la priorité absolue de l’Ukraine, car c’est la priorité absolue de la Russie Un nouveau Tchernobyl est improbable, la cuve où se produit la réaction atomique étant mieux protégée ; mais la fonte du cœur est possible en cas de coupure prolongée de l’alimentation électrique et d’un arrêt des circuits de refroidissement. A Zaporijia, la situation a été qualifiée d’« intenable » par le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), le 6 septembre. Rafael Grossi réclame une « zone de protection » autour du site, jugeant que « quelque chose de vraiment, vraiment catastrophique pourrait se produire ». Sans succès jusqu’à présent. Qui peut décider une telle sanctuarisation, sinon le maître du Kremlin ? Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Guerre en Ukraine : l’Agence internationale de l’énergie atomique réclame une « zone de protection » autour de la centrale de Zaporijia Si les industriels, les opérateurs de centrales et les autorités de sûreté nucléaires coopèrent à travers le monde, il n’existe pas de gouvernance mondiale digne de ce nom. L’AIEA contrôle et fait des recommandations sans moyens de les imposer. Elle en réfère au Conseil de sécurité des Nations unies qui n’en a pas plus, puisque la Russie en est un des cinq membres permanents et y a droit de veto. « La sûreté nucléaire a fait énormément de progrès depuis les accidents de Tchernobyl et de Fukushima, a constaté M. Grossi, dans un entretien au Monde, en août. Mais, au milieu d’une guerre, elle n’est jamais absolue. » Personne ne s’était préparé à ce qu’une centrale « se retrouve au milieu d’une grande confrontation de type conventionnel ». etc... etc...
-
On peut avoir une contamination à la Three Mile Island "réussie" (celle Three Mile Island, 28 mars 1979 et jours suivant, a fort heureusement échouée). Il y a pas mal de littérature là dessus. Noter qu'on écrit Three Mile, et pas Three Miles).
-
On pourrait aussi munir chaque site de centrales nucléaires d'un lanceur de fusées munies de bombes atomiques ; le chef de site pourrait défendre ses centrales par des tirs de fusées sur des cibles définies à l'avance.
-
Un taux de CO2 sans précédent Le principal gaz à effet de serre que nous émettons, le dioxyde de carbone (CO2), responsable du réchauffement climatique en cours, a été mesuré à 414,7 ppm (parties par million) en 2021, ce qui représente 2,3 ppm de plus qu'en 2020. « Les données présentées dans ce rapport sont claires -- nous continuons à voir des preuves scientifiques convaincantes que le changement climatique a des impacts mondiaux et ne montre aucun signe de ralentissement », souligne Rick Spinrad, administrateur de la NOAA. Ce taux est le plus élevé dans l'atmosphère depuis « au moins le dernier million d'années, sur la base des enregistrements paléoclimatiques », écrit l'institution américaine. Les bulles d'air piégées dans les glaces les plus anciennes permettent en effet aux climatologuesd'inférer le taux de CO2 dans l'atmosphère sur plusieurs périodes de l'histoire récente de la Terre. En comparaison, le taux de CO2 avant l’ère industrielle et ses émissions massives de gaz à effet de serre était autour de 280 ppm pendant plus de 6.000 ans. En l'espace de deux siècles, l'humanité a injecté quelque 1,5 milliard de tonnes de CO2 dans l'atmosphère, rappelle la NOAA. Ces particules invisibles ne sont pas prêtes de disparaître, car leur durée de vie est de plusieurs centaines d'années. La dernière fois qu'il y a eu une telle concentration de CO2 dans l'atmosphère, c'était il y a plus de 4 millions d’années, lors d'une période que les scientifiques nomment l'Optimum climatique du Pliocène. En ce temps-là, « le niveau de la mer était entre 5 et 25 mètres plus haut qu'aujourd'hui », explique la NOAA. Comme les émissions de gaz à effet de serre continuent d'augmenter dans le monde, sa concentration dans l'atmosphère va donc de facto poursuivre son ascension rapide, et sceller le réchauffement climatique sur la Terre pour les prochaines années et décennies. NOAA = National Oceanic and Atmospheric Administration. Je suppose que cette "institution" est un organisme officiel américain, mais je n'ai pas vérifié.
-
Ce qui semble expliquer la différence entre le Japon et l'Allemagne. Pour cette dernière : 2010 population (en milliers) 81 752 dont (en milliers) 7 199 étrangers 2018 population (en milliers) 83 792 dont (en milliers) 10 404 étrangers Pour le Japon : 2010 population (en milliers) 128 057 2018 population (en milliers) 126 330 C'est donc surtout grâce à cette immigration massive que la population allemande augmente, à la différence de la population japonaise. Il est sans doute erroné d'expliquer l'essentiel de cette différence par des considérations sur les naissances et les décès.
-
Merci, c'est assez clair. Cette explication mériterait quand même une vérification approfondie, en particulier il faudrait voir si elle est la seule, mais je n'ai ni les données ni la compétence pour faire ce travail.
-
Comment font-ils au Japon ? La baisse de la population japonaise en chiffre23 Année 2010 Population 128 057 352 Année 2018 Population 126 330 302 Variation -1 727 050
-
Surtout type surgénérateur, qui sont des véritables usines à fabrication de Pu239 (Albuquerque a fait remarquer qu'ils fabriquent aussi Pu240, Pu241, Pu242 et Pu244, mais en quantité beaucoup plus faibles).
-
Je n'ai pas oublié l'Inde, c'est pourquoi je ne l'ai pas mise avec le Japon, la Russie et la Chine: les deux premiers ont déjà "rendu négatif" l'accroissement de la population, la Chine s'apprête à le faire. L'Inde en est très très loin. D'après la projection démographique, c'est l'Asie qui fera le plus gros effort d'ici 2100. Je me demande si on peut accélérer cette future (et quand même un peu hypothétique) décroissance. Les modifications climatiques semblent l'imposer.
-
Certes, mais je reviens aux petites constatations que l'on peut faire actuellement (si je ne me suis pas trompé) : Japon en 2020 126 millions d'habitants - 0,2 % par an Russie en 2020 144 millions d'habitants - 0,2 % par an Chine en 2020 1402 millions d'habitants +0,3 % par an monde en 2020 7753 millions d'habitants on peut donc dire en gros qu'un groupe de plus de 20% de la population mondiale a résolu le problème, et que cela ne ressemble pas à une variation saisonnière. Ne pourrait-on pas tenir compte de leur expérience ?
-
J'aurais dû regarder les colosses : Chine (+0,3 % en 2020) et Russie (-0,2 % en 2020). L'ensemble Japon + Russie est passé dans la zone de décroissance, et peut-être que la Chine s'en approche. Tout n'est pas perdu. À mon avis, on ne peut pas prétendre que le Japon et la Russie sont de simples cas particuliers.
-
Pour le moment je n'ai rien trouvé. Même le Vatican échoue : Dynamique (2014) Population 921 hab. Accroissement naturel 0,01 %
-
Contre-exemple : Japon. Je vais essayer d'en trouver d'autres. Statistiques associées Taux de croissance de la population -0,3% de variation annuelle (2020)
-
J'ai remarqué ce paragraphe dans la référence extrêmement intéressante d'Albuquerque : Le GNL américain a l’empreinte carbone amont la plus élevée de l’échantillon étudié, en raison notamment de processus extractifs énergivores, d’un mix électrique carboné, d’une longue distance de transport. D’après les informations dont nous disposons, cette valeur ne prend pas en compte les recherches les plus récentes sur les émissions de méthane en phase de production du gaz de schiste ; il s’agirait donc d’un minorant[22]. J'ai cru comprendre qu'il fallait éviter le GNL américain. Me suis-je trompé ?