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Avec le changement de sens du vent depuis lundi soir, 18 juillet, les fumées de l'incendie toujours en cours en Gironde gagnent la Creuse ce mardi après-midi. Le SDIS 23 demande à ne pas encombrer le 18 pour ne pas créer des difficultés opérationnelles. Les fumées ont d'abord touché la Dordogne et sont arrivées en Corrèze depuis le milieu de matinée. Puis en Haute-Vienne. Elles sont arrivés en Creuse ce mardi après-midi, du côté de La Souterraine. Les fumées des incendies de Gironde arrivent sur Guéret. Photo François Delotte En début de soirée, elles avaient avancé à l'est, recouvrant Guéret à partir de 18 heures. Pour Manon, 29 ans, habitante de Colondannes, dans le nord-ouest de la Creuse, “ça a commencé en début d’après-midi. On dirait que l'air est pollué : il y a comme une couche épaisse de fumée dans le ciel". A 18 heures, à Colondannes, le ciel était gris et tout brumeux, et l’air n'était pas très respirable. Les fumées des incendies en Gironde atteignent désormais la Corrèze Le SDIS 23 a déjà reçu plusieurs appels l'alertant. Pour faciliter le travail des pompiers et ne pas créer de difficultés opérationnelles sur le centre d'appel, le SDIS 23 appelle donc à ne pas surcharger les lignes en signalant cette fumée.
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Aujourd'hui dans "Le Soir" (journal belge) Le service météorologique britannique a émis vendredi pour la première fois une alerte rouge « chaleur extrême » pour lundi et mardi en Angleterre en prévision de températures qui pourraient dépasser des records voire même le seuil des 40ºC. « Des températures exceptionnelles, peut-être record, sont probables en début de semaine prochaine », a déclaré dans un communiqué Paul Gundersen, chef météorologiste au Met Office britannique. « Il y a actuellement 50 % de chances que nous voyons les températures atteindre 40ºC et 80 % de chances que des nouvelles températures maximales soient atteintes », a-t-il ajouté. Le record de chaleur jamais enregistré au Royaume-Uni s’élève à 38,7ºC, relevé au jardin botanique de Cambridge (est de l’Angleterre) le 25 juillet 2019. Des nuits « exceptionnellement chaudes » sont également attendues, particulièrement dans les zones urbaines. « Nous espérions ne jamais arriver à cette situation, mais pour la première fois nous avons des prévisions qui dépassent les 40ºC au Royaume-Uni », a déclaré le Dr Nikos Christidis, spécialiste du climat au Met Office, soulignant que le « réchauffement climatique influence déjà la possibilité de températures extrêmes dans le pays » : les risques d’atteindre les 40ºC « pourraient être 10 fois plus probable dans le climat actuel que sous un climat naturel qui ne serait pas affecté par l’influence humaine ». Le Met Office souligne que « la fréquence, la durée et l’intensité de ces événements ces dernières décennies sont clairement liés au réchauffement de la planète et peuvent être attribués à l’activité humaine ».
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Implications d'un univers infini
Dodgson a répondu à un sujet de Jocastronomix dans Astronomie & Astrophysique
Juste pour intervenir sans me fatiguer, voici un article de la revue "Forbes", 16 mai 2020 : Cosmologies : Le Big Bang, Une Théorie Indétrônable ? En cosmologie, la théorie du Big Bang domine. Au fil du temps, les preuves se sont accumulées et les astronomes sont convaincus que c’est ce que nous avons de mieux. Alors pourquoi beaucoup de personnes détestent-elles cette idée ? Frustrés qu’on leur dise comment faire leur travail, deux astronomes ont écrit le Cosmic Revolutionary’s Handbook (ou : Comment Battre le Big Bang), qui expose exactement ce que toute théorie sur le Big Bang doit expliquer avant qu’une nouvelle théorie ne puisse même commencer à s’imposer. « En tant que cosmologistes, notre travail consiste à expliquer l’Univers dans son ensemble, sa structure, ses constituants et son évolution », a déclaré le Dr Luke A. Barnes, chercheur postdoctoral à l’université de Western Sydney. « Des personnes nous envoient des mails avec leurs idées sur le fonctionnement de l’Univers, et bien que nous aimions leur enthousiasme, nous nous sommes retrouvés à envoyer le même genre de réponse encore et encore. » Dans le livre, Barnes et son collègue, le professeur Geraint F. Lewis, professeur d’astrophysique à l’Institut d’astronomie de Sydney, qui fait partie de l’École de physique de l’Université de Sydney, expliquent que si la science n’est pas parfaite, elle n’est pas non plus arbitraire. Le livre montre qu’il faut un plan pour renverser la théorie du Big Bang. Il détaille exactement ce que tout opposant doit expliquer avant de proposer une autre théorie. « L’intérêt de ce livre est de montrer que la théorie du Big Bang a fait ses preuves en matière d’explication de faits bien établis sur l’Univers », a déclaré Barnes. « Si vous voulez contester la théorie du Big Bang, il vaut mieux être capable d’expliquer les bases avant d’avoir une chance d’expliquer des mystères comme la matière noire. » Les deux astronomes soulignent également que puisque les astronomes mesurent l’Univers, toute nouvelle théorie a intérêt à contenir des calculs. Qu’est-ce que la théorie du Big Bang ? Le livre tente d’expliquer comment les astronomes en sont venus à adhérer à la théorie du Big Bang. « Le véritable noyau de la théorie du Big Bang est le suivant : dans le passé, l’Univers était plus chaud, plus lisse et plus dense », a déclaré Lewis. « C’est ce qui génère des explications scientifiques précises sur l’Univers que nous voyons autour de nous. Beaucoup de personnes pensent que la théorie dit que notre Univers a commencé par exploser dans l’espace vide, alors que la théorie du Big Bang décrit l’expansion de tout l’espace, et le début est au mieux une implication plausible de la théorie. » Pourquoi la science n’est pas une affaire « d’experts » autoproclamés Les auteurs font de leur mieux pour souligner que la science n’est pas parfaite et que le voyage de la théorie du Big Bang, de l’idée folle à la science acceptée, a été long et désordonné, et n’est pas encore terminé. Aucune idée scientifique n’est jamais prouvée sans un seul doute. C’est en grande partie parce que certaines personnes font une énorme erreur sur la provenance de la science. « Nous constatons que la science est soit idéalisée pour devenir une parfaite machine génératrice de connaissances dirigée par des robots, soit dénigrée comme une prise de pouvoir avide par des « experts » autoproclamés dont le travail consiste à nous confondre avec des grands mots et les mathématiques », explique Lewis. « L’erreur que commettent les soi-disant révolutionnaires cosmiques est de supposer que, parce qu’une idée scientifique est populaire, elle doit le rester pour des raisons psychologiques, sociologiques ou politiques. » En bref, les idées scientifiques ne règnent pas par hasard. Elles doivent expliquer quelque chose pour avoir un quelconque intérêt pour les scientifiques. « Nous voulions montrer le processus réel de la science et exposer les raisons qui poussent les cosmologistes à s’accrocher au Big Bang, tout en reconnaissant ses limites », a déclaré Barnes. Qu’est-ce qui ne va pas avec la théorie du Big Bang ? La théorie du Big Bang pose quelques problèmes, que les auteurs abordent dans le dernier chapitre. « Il n’y a pas d’explication claire du fait que les galaxies sont disposées comme elles le sont, et on ne prédit pas tout à fait la bonne proportion cosmique des éléments », a déclaré Lewis. « Il y a un grand point d’interrogation au début de l’Univers aussi, cela ressemble à un début, mais nos théories deviennent un peu floues. » La théorie du Big Bang exige également l’existence d’une matière mystérieuse appelée matière noire et énergie noire. La théorie du Big Bang est-elle donc incomplète ? Oui, et c’est la méthode scientifique qui est en cause. Alors, quelqu’un va-t-il renverser un jour la théorie du Big Bang ? « Il est plus probable que l’histoire du Big Bang s’inscrive dans une histoire plus importante », a déclaré Barnes. Après tout, le modèle d’un Univers centré sur le Soleil de Nicolas Copernic n’a jamais été renversé en soi. Johannes Kepler a simplement affiné les orbites des planètes, Isaac Newton a expliqué les forces, et l’astronomie moderne a placé notre système solaire dans notre galaxie et notre espace en expansion. « Nous ne pouvons utiliser que les observations et la théorie pour examiner un passé aussi lointain », a déclaré Barnes. « Ainsi, pour le Big Bang, il y a amplement de place pour une suite, qui explique ce qui s’est passé dans la première fraction de seconde de la vie de l’Univers. » « De même, nous ne pouvons pas voir plus loin dans l’espace que notre horizon cosmique », a déclaré Barnes. « L’Univers à l’horizon pourrait avoir les mêmes propriétés que le nôtre, ou nous pourrions faire partie d’un vaste et varié multivers. Mais, comme par le passé, si vous voulez lancer une révolution cosmique, vous devez le faire correctement. » Le pouvoir des nouvelles idées Les détracteurs de la théorie du Big Bang aspirent tous à être des révolutionnaires cosmiques, et c’est précisément ce que tous les scientifiques veulent être aussi. « Parfois, une nouvelle idée bouleverse complètement notre façon de voir le cosmos », a déclaré Lewis, citant la façon dont Copernic, Galilée, Kepler et Newton nous ont montré que nous faisions partie d’un cosmos unifié. « Einstein, Lemaitre, Friedmann, Hubble et d’autres ont montré que notre Univers n’est pas statique mais en expansion », a déclaré Lewis. « Tout au long du 20ème siècle, les astronomes ont cartographié notre position parmi les étoiles de notre galaxie, et la place de notre galaxie dans le cosmos. » « Peut-être que nous avons une image à peu près correcte, ou peut-être que nous attendons juste le prochain Newton ou Einstein pour nous montrer une image encore plus grande de l’Univers physique. » Article traduit de Forbes US – Auteur : Jamie Carter < -
Vers une herméneutique transformatrice de la gravité quantique
Dodgson a répondu à un sujet de Albuquerque dans Science
L'article, intitulé « Transgresser les frontières : vers une herméneutique transformative de la gravitation quantique »trad 2, est publié au milieu de 1996 dans le numéro intitulé « Science Wars » de Social Text sans avoir subi préalablement un processus d'examen par les pairs de l'auteur ou avoir été soumis à une quelconque critique externe. Le jour de sa publication, Sokal annonce dans le magazine Lingua Franca que l'article est un canular1. Estimant que l'absurdité de son article était évidente, Sokal en conclut que la revue méconnaît les règles de la rigueur intellectuelle puisqu'elle « s'est permis de publier un article sur la physique quantique sans prendre la précaution de consulter un spécialiste du domaine »1. -
"et ne fantasmez pas inutilement sur une hypothèse antinuc ad hoc négligeant le fait qu'attaquer une centrale nucléaire ne se conçoit que dans le cadre d'une guerre nucléaire déjà décidée comme telle" et le terrorisme ?
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J'ai trouvé cet article sur l'univers sur Futura et ...
Dodgson a répondu à un sujet de willix71 dans Astronomie & Astrophysique
Il y a quelques années (disons 5) c'était encore bien. La dégradation a été vraiment bien organisée (pas de vagues). Cependant on peut encore y retrouver de la véritable information. -
Trouvé sur Futura-Sciences ce soir : Dans le monde entier, des chercheurs guettent les évolutions du climat. Ils compilent toutes sortes de phénomènes physiques, chimiques et biologiques pour tenter de prévoir au plus juste les changements à venir dans le contexte du réchauffement climatique anthropique. Et aujourd'hui, surprise, des chercheurs de l’Institut Weizmann des Sciences(Israël) révèlent que dans l'hémisphère sud, les tempêtes hivernales se sont intensifiées. VOIR AUSSILe pôle Sud se réchauffe trois fois plus vite que le reste de la Planète Surprise ? Oui, parce que les modèles climatiques le prévoyaient. Mais plutôt d'ici la fin de ce siècle. Or les résultats publiés par les chercheurs montrent que l'intensification des tempêtes -- dans l'hémisphère sud, mais pas encore dans l'hémisphère nord -- au cours des dernières décennies a d'ores et déjà atteint le niveau que les scientifiques envisageaient qu'elle atteindrait... en 2080 ! « Une tempête hivernale est un phénomène météorologique qui ne dure que quelques jours. Individuellement, chaque tempête n'a pas beaucoup de poids climatique », rappelle Rei Chemke, chercheur, dans un communiqué de l’Institut Weizmann des Sciences. Mais l'effet cumulatif de ces tempêtes, en revanche, est significatif. Elles affectent en effet le transfert de chaleur, d'humidité et de quantité de mouvement dans l'atmosphère. De quoi toucher les différentes zones climatiques de la Terre. Sans les tempêtes hivernales qui transportent de la chaleur des tropiques vers les pôles, les températures du côté de l’Arctique seraient inférieures d'environ 30 °C à ce qu'elles sont, par exemple. Une intensification des tempêtes hivernales dans l’hémisphère sud constitue une menace directe pour les populations qui y vivent. © Maksim Shebeko, Adobe Stock Des modèles climatiques à corriger Les travaux des chercheurs de l'Institut Weizmann des Sciences confirment que -- exactement comme le réchauffement climatique global -- ce phénomène d'intensification rapide des tempêtes hivernales dans l'hémisphère sud au cours de ces 20 dernières années ne peut pas être expliqué par des fluctuations internes du système climatique de la Terre. L'activité humaine en est la principale responsable. Earth’s #climate is changing faster than we thought. A new study led by the Weizmann Institute reveals that Southern Hemisphere #storms have already reached intensity levels previously predicted to occur only in the year 2080 https://t.co/q81aEznmGr@EPS_Weizmannpic.twitter.com/istMJzv1o5 — Weizmann Institute (@WeizmannScience) May 26, 2022 Pourquoi les modèles climatiques n'ont-ils rien vu venir ? « Les changements de température, de précipitations, de glace de mer et de tempêtes estivales, par exemple, sont tous simulés par les modèles avec précision, explique Rei Chemke. Mais nous avons découvert là, un paramètre pour lequel la sensibilité des modèles doit être ajustée ».Parce que cette intensification des tempêtes est le résultat de changements dans les courants-jets atmosphériques. Et que les modèles climatiques actuels ne sont pas capables de prévoir le détail de ces changements. Un biais qui devrait désormais toutefois pouvoir être corrigé. Pour donner des projections plus précises à l'avenir. En attendant, ces travaux alertent directement sur le fait que les activités humaines pourraient avoir un impact plus important que ne le pensaient les chercheurs sur l'hémisphère sud en particulier. Ils donnent une image plus claire des dommages que le changement climatique devrait causer sur la région. Et appellent à mettre en œuvre des actions immédiates et rapides, à la fois de lutte contre le réchauffement climatique et d'adaptation.
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Effondrement de l'onde quantique par l'observation
Dodgson a répondu à un sujet de AstronomieLorraine dans Science
à propos de l'intervention de sofra, mardi à 18h20, youtube "La Dualité Onde-Corpuscule" : Dans ce youtube, il est question de l'expérience de V. Jacques, E Wu, F. Grosshans, F. Treussart, P. Grangier, A. Aspect, "Expérimental Realisation of Wheeler's Delayed Choice Gedanken Expriment", Science, 315, Issue 5814, p. 916, 2007. Il se trouve que je connais (un peu) Alain Aspect. Il se trouve aussi que je connais (assez bien) Jean-Louis Basdevant, qui a enseigné la physique quantique à l'Ecole Polytechnique pendant plusieurs décennies (jusqu'au début du XXIe siècle). En 2019, Basdevant a écrit un livre "15 leçons de mécanique quantique", De Boer Sup., 2019. Dans son chapitre 9 "Le Photon", il démolit l'article "Expérimental Realisation of Wheeler's Delayed Choice Gedanken Expriment". Basdevant a demandé à quelques personnes, dont moi, de vérifier cette conclusion. A mon grand regret (j'étais un grand admirateur de Wheeler) il me semble bien que Basdevant a raison. Mais je reste perplexe, car je n'ai pas encore vu d'article "officiel" sur ce sujet. -
Géothermie : quelques nouvelles d'Alsace (DNA, aujourd'hui) Séismes à Strasbourg Au sommaire du dossier EnvironnementLe rapport qui accable Fonroche Géothermie Les conclusions du comité d’experts constitué par la préfecture du Bas-Rhin pour comprendre l’origine des séismes qui ont secoué le nord de Strasbourg entre 2019 et 2021 sont accablantes pour Fonroche géothermie. L’exploitant, concluent-ils, a manqué de prudence dans la conduite des opérations et sous-évalué le risque sismique. Par O.W. - 05 mai 2022 à 21:09 | mis à jour hier à 23:00 - Temps de lecture : 3 min | | Vu 4058 fois Les experts préconisent de continuer à surveiller le site de Vendenheim pendant les années qui viennent. Photo archives DNA /JEAN CHRISTOPHE DORN Les premiers travaux réalisés par les experts missionnés par la préfecture ne laissaient guère planer le doute. Le rapport présenté jeudi aux membres du comité de suivi le confirme : c’est bien la boucle géothermique mise en œuvre par Fonroche Géothermie dans sa centrale de Vendenheim qui est à l’origine des séismes qui se sont déclenchés entre 2019 et 2021 dans le nord de Strasbourg. L’étude, résultat d’un an d’analyses de données, montre que ce n’est pas la technologie qui est en cause. Les scientifiques pointent clairement la responsabilité de l’exploitant. Celui-ci, concluent-ils, aurait à la fois fait preuve de légèreté en amont et manqué de précaution dans la conduite des opérations. Connaissances insuffisantes sur le sous-sol Fonroche...
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Je me suis baigné à Dog's bay en 1983, c'est dans le Connemara, jolie plage mais pas très grande. Je n'ai pas remarqué les microfossiles.
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Serait-ce une allusion à l'anthrax ?
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Problèmes de géothermie (tremblements de terre). Selon les DNA (Dernières Nouvelles d'Alsace) d'aujourd'hui : Surprise, questions et doutes. Après le rejet du principe d’un arrêt définitif de géothermie profonde à Vendenheim par le tribunal administratif , élus locaux et associations restent mobilisés et vigilants sur les suites du dossier. « On est interpellé par ces décisions de justice qui vont à l’encontre de ce qu’espère la population », a réagi Georges Schuler, maire de Reichstett, qui rappelle à juste titre que les arrêtés contestés par le tribunal administratif (T.A.) le sont sur la « forme et non sur le fond ». En clair, sur le terrain, rien n’a changé, dans la mesure où les travaux de GéoRhin (anciennement Fonroche) sont aujourd’hui suspendus, les mesures de mise en sécurité du site en cours. Depuis l’événement de magnitude 3,59 du 4 décembre 2020 , l’industriel a arrêté progressivement la circulation d’eau dans le doublet, en raison d’un dysfonctionnement observé sur le puits numéro 2.
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Le PDG d'OHB fait du lobbying en sous-main pour faire lancer des satellites GALILEO par Space X
Dodgson a répondu à un sujet de montmein69_2 dans Astronautique
Je ne sais pas où mettre ça, mais comme on parle ici de Space X, voici ce que je viens de trouver dans "Le Point" (poisson d'avril un peu prématuré ?) Crew Dragon : SpaceX stoppe sa production de capsules habitées Selon Reuters, la société SpaceX d’Elon Musk ne fabriquera pas de nouvelle capsule Crew Dragon et se contentera donc des quatre appareils en sa possession. -
Je viens de traduire un article récent (hier) et à mon avis intéressant de BBC News : http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/8574037.stm 18 mars 2010 Histoire plus lointaine de l'ile du «Hobbit» Par Jonathan Amos Correspondant scientifique, BBC News Bien avant qu'une espèce humaine 'hobbit' vive sur l'île indonésienne de Flores, d'autres créatures semblables à l'homme ont colonisé la région. Cela au moins était clair. Mais des scientifiques ont pu maintenant dater leur présence jusqu'à au moins un million d'années – quelques 120.000 ans plus tôt que ce qui était reconnu avant. L'équipe rend compte de la découverte de ces outils humains dans le journal Nature. L'auteur principal, Adam Brumm, a dit à BBC News que l'emplacement et les circonstances de la préservation des outils signifiaient que l'occupation humaine de l'île pouvait s'étendre loin dans le passé. «Ce qui est vraiment excitant à ce propos, c'est qu'en fait nous n'avons pas idée de la durée de l'occupation de Flores par des hominidés», dit l'Université de Wollongong, en Australie. Les restes du hobbit, connus par la science sous le nom d'Homo floresiensis, ont été découverts il y a cinq ans à la caverne de Liang Bua. L'exhumation de la toute petite créature a fait sensation, parce qu'elle indiquait qu'une espèce humaine distincte vivait à nos côtés il y a seulement 18.000 ans. Depuis, Flores a été témoin d'une intense investigation paléontologique. La célèbre caverne de H. floresiensis est située dans l'ouest de l'île. Les nouvelles découvertes viennent du bassin de Soa, une zone au centre-ouest de Flores. Un site de fouilles à cet endroit, connu sous le nom de Mata Menge, avait déjà permis de découvrir des outils datés d'il y a 880.000 ans. Maintenant, à seulement 500 m mais beaucoup plus profond dans les sédiments, une équipe internationale a identifié des artefacts encore plus vieux. Le site, mentionné sous le nom de Wolo Sege, a fourni plus de 40 éclats de pierre. C'étaient des outils manuels, problablement utilisés pour dépecer la viande entre autres tâches. Beaucoup présentent des signes d'avoir été entraînés par un cours d'eau avant d'être déposés. De façon critique, cependant, leur ensevelissement est recouvert par une couche de cendre volcanique qui a pu être datée de juste un peu plus d'un million d'années. Les scientifiques ne peuvent rien dire de ceux qui utilisèrent ces outils. Le nombre à ce stade est insuffisant pour spécifier quelle culture les a produit. Mais leur seule découverte soulève quelques questions intéressantes. Par exemple, les découvertes de Mata Menge sont associées à la disparition dans le dépôt d'un certain nombre d'espèces animales, comme un éléphant nain et une tortue géante. La conclusion en avait été tirée que les chasseurs humains arrvant sur l'île les avaient chassés jusqu'à l'extermination. Mais les trouvailles de Wolo Sege donnent une nouvelle perspective à cette histoire, car elles montrent que les humains doivent avoir vécu côte à côte avec les animaux pendant au moins 120.000 ans. Brumm et ses collègues ont dit à Nature qu'il pourrait être difficile de trouver des artefacts dans le bassin de Soa qui soient plus vieux que les éclats de Wolo Sege. La raison en est que les outils reposaient juste sur le haut de ce qui est la base rocheuse dans la zone (le flanc d'un volcan). «Pour tout ce qui est à l'intérieur de cette roche de fond, ou de couches que nous identifions dans cette roche de fond, si cela contient des outils de pierre ils doivent être vieux d'au moins 1.860.000 ans», dit le Dr. Brumm. «Ainsi, une priorité pour une recherche supplémentaire cette année est de faire une inspection partout dans le bassin et de suivre ces affleurements de la roche de fond.» La notion que Flores peut avoir une très lointaine histoire d'occupation va alimenter le débat sur les origines de H. floresiensis. Beaucoup de scientifiques croient que la créature a évolué depuis une espèce au corps beaucoup plus grand, Homo erectus, qui se retrouva isolée et rétrécit avec le temps. D'autres font remarquer des caractéristiques dans le corps du hobbit – telles que la longueur de ses pieds ou la forme de sa ceinture scapulaire (? shoulder girdle ?) - qui sont très primitives et ne sont pas ce qu'on attendrait dans un H. erectus nanifié. Ces chercheurs ont avancé l'idée que H. floresiensis pourrait avoir évolué depuis des créatures plus archaïques, qui auraient quitté l'Afrique pour coloniser l'Asie avant même erectus. «Notre découverte à Wolo Sege va certainement ouvrir la porte à cette théorie concurrente», dit Dr. Brumm.