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ursus

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Tout ce qui a été posté par ursus

  1. c'est juste de l'énergie et des produits chimiques dépensés pour rien. C'est aussi perturber le cycle naturel de l'eau. L'homme prélève tellement d'eau dans la nature pour ses besoins qui vont de l'eau potable (utilisé à la fois pour le coté potable que pour les chiottes) aux besoins industrielles et agricoles que l'on parle de petits et de grand cycle de l'eau. Un des grands exemple est le Colorado et lac Mead qui n'est plus rempli qu'à 28% ou encore la mer d'Aral qui sont en voie de disparaitre du faite des prélèvements. Les fuites dans les réseaux font partis des prélèvements... Quand à l'eau rejetée par l'homme elle est rarement de bonne qualité. Même des Pays comme la France (nous et les industries) rejette dans polluants comme des médicaments ou autres produits (pesticides, solvants, ...) dont il est très difficile de se débarrasser. Ces produits ont un forte incidence sur la vie aquatique. Bref, mieux utiliser l'eau, avec parcimonie, est essentiel.
  2. Supporter la température ? En rouge, zone mortelle: température chaude et de l'humidité dans l'air. Il y a de la marge à 36°C mais de moins en moins quand la température augmente. 30% d'humidité et plus à 44°C... https://bonpote.com/mourir-de-chaud-a-quel-degre-la-temperature-devient-elle-mortelle/
  3. The Unprecedented Pacific Northwest Heatwave of June 2021 Étude de l'impact d'une vague de chaleur à 50°C sur les hommes, la vie aquatique, les recoltes: 70% des moules et des bernacles mortes, baisse de 30% des recoltes... Je passe sur les hommes et le reste... Je vais devenir religieux : Prions que cela n'arrive pas chez nous... tout en connaissant les prévisions climatiques qui prevoient des 50°C à 2050 si rien est fait et que les records arrivent plus vite prévu. traduction googlesque du résumé. L'article est en cours de review. "De la fin juin au début juillet 2021, une vague de chaleur d'une ampleur sans précédent a touché la région du nord-ouest du Pacifique, des terres nommées colonialement Colombie-Britannique (BC) et Alberta (AB) au Canada, et Washington (WA) et Oregon (OR) aux États-Unis. De nombreux endroits ont battu des records de température quotidienne maximale de plus de 5°C. Le record national canadien permanent de température a été battu pendant trois jours consécutifs, à plusieurs endroits, avec la température la plus élevée de 49,6 °C enregistrée, soit 4,6 °C de plus que le précédent record canadien. Les prévisions météorologiques ont fourni un préavis de la gravité de l'événement, tandis que les prévisions sous-saisonnières ont montré une probabilité considérablement accrue de blocage atmosphérique et de températures élevées avec des délais de 10 jours, et une certaine compétence jusqu'à 18 jours. Les impacts de cet événement ont été catastrophiques. Les estimations indiquent qu'au moins 900 décès attribuables sont survenus en Colombie-Britannique, en WA et en OR, probablement l'événement météorologique le plus meurtrier de l'histoire du Canada1. La chaleur a contribué à la mortalité massive de la vie marine, à la réduction des rendements des cultures et des fruits, aux inondations des rivières dues à la fonte rapide des neiges et des glaciers et à une augmentation rapide des incendies de forêt, ces derniers contribuant à des glissements de terrain dévastateurs dans les mois qui ont suivi."
  4. The Unprecedented Pacific Northwest Heatwave of June 2021 Étude de l'impact d'une vague de chaleur à 50°C sur les hommes, la vie aquatique, les recoltes: 70% des moules et des bernacles mortes, baisse de 30% des recoltes... Je passe sur les hommes et le reste... Je vais devenir religieux : Prions que cela n'arrive pas chez nous... tout en connaissant les prévisions climatiques qui prevoient des 50°C à 2050 si rien est fait et que les records arrivent plus vite prévu. traduction googlesque du résumé. L'article est en cours de review. "De la fin juin au début juillet 2021, une vague de chaleur d'une ampleur sans précédent a touché la région du nord-ouest du Pacifique, des terres nommées colonialement Colombie-Britannique (BC) et Alberta (AB) au Canada, et Washington (WA) et Oregon (OR) aux États-Unis. De nombreux endroits ont battu des records de température quotidienne maximale de plus de 5°C. Le record national canadien permanent de température a été battu pendant trois jours consécutifs, à plusieurs endroits, avec la température la plus élevée de 49,6 °C enregistrée, soit 4,6 °C de plus que le précédent record canadien. Les prévisions météorologiques ont fourni un préavis de la gravité de l'événement, tandis que les prévisions sous-saisonnières ont montré une probabilité considérablement accrue de blocage atmosphérique et de températures élevées avec des délais de 10 jours, et une certaine compétence jusqu'à 18 jours. Les impacts de cet événement ont été catastrophiques. Les estimations indiquent qu'au moins 900 décès attribuables sont survenus en Colombie-Britannique, en WA et en OR, probablement l'événement météorologique le plus meurtrier de l'histoire du Canada1. La chaleur a contribué à la mortalité massive de la vie marine, à la réduction des rendements des cultures et des fruits, aux inondations des rivières dues à la fonte rapide des neiges et des glaciers et à une augmentation rapide des incendies de forêt, ces derniers contribuant à des glissements de terrain dévastateurs dans les mois qui ont suivi.
  5. Oui, je ne suis pas étonné. Depuis que je travaille sur la capture du CO2 (on sait faire depuis longtemps dans la pétrochimie, c'est un cas d'ecole de genie chimique), le devenir du CO2 est une grosse impasse économique (ça coute cher de le capter) et c'est une molécule inerte dont on ne sait que faire. Il y a très peu d'utilisation possible et le transformer en autre chose (carburant par exemple) nécessite beaucoup beaucoup d'énergie. C'est une évidence scientifique (thermodynamique plus exactement). Bref, c'est économiquement inintéressant et finalement le jour où ce sera intéressant à cause d'une crise quelconque, les entreprises n'auront pas les moyens de faire les efforts nécessaires. C'est ce qu'il s'est passé avec le marché carbone. Je vois le CO2 comme un déchet ultime (comme d'autres) des activités humaines; déchet qu'il ne vaut mieux ne pas produire.
  6. 9a vient de sortir dans Nature https://www.nature.com/articles/s41586-022-04959-9 Emerging signals of declining forest resilience under climate change Nouveaux signaux de déclin de la résilience des forêts face au changement climatique traduction goolesque: "Les écosystèmes forestiers dépendent de leur capacité à résister aux perturbations naturelles et anthropiques (c'est-à-dire leur résilience) et à s'en remettre. Les preuves expérimentales d'augmentations soudaines de la mortalité des arbres soulèvent des inquiétudes quant à la variation de la résilience des forêts, mais on sait peu de choses sur la façon dont elle évolue en réponse au changement climatique. Ici, nous intégrons des indices de végétation par satellite à l'apprentissage automatique pour montrer comment la résilience des forêts, quantifiée en termes d'indicateurs critiques de ralentissement, a changé au cours de la période 2000-2020. Nous montrons que les forêts tropicales, arides et tempérées connaissent une baisse significative de leur résilience, probablement liée à l'augmentation des limitations en eau et à la variabilité climatique. En revanche, les forêts boréales présentent des modèles locaux divergents avec une tendance moyenne à la hausse de la résilience, bénéficiant probablement du réchauffement et de la fertilisation par le CO2, ce qui peut compenser les effets néfastes du changement climatique. Ces modèles apparaissent de manière constante dans les forêts gérées et intactes, corroborant l'existence de facteurs climatiques communs à grande échelle. Les réductions de la résilience sont statistiquement liées à des déclins abrupts de la productivité primaire des forêts, qui se produisent en réponse à une dérive lente vers un seuil de résilience critique. Environ 23 % des forêts intactes non perturbées, correspondant à 3,32 Pg C de productivité primaire brute, ont déjà atteint un seuil critique et connaissent une nouvelle dégradation de leur résilience. Ensemble, ces signaux révèlent un déclin généralisé de la capacité des forêts à résister aux perturbations qui devraient être prises en compte dans la conception des plans d'atténuation et d'adaptation basés sur les terres." Bref, les forêts se portent de moins en moins bien avec le réchauffement climatique. Dans le même ordre d'idée, l'impact des canicules sur nos cultures ou élevages avec Serge Zaka: https://labs.itk.fr/2022/07/11/canicule-de-juillet-2022-quels-impacts-sur-nos-cultures-ou-elevages/
  7. il te faut discuter avec des sociologues et des philosophe. Avoir plus, c'est de l'extractivisme. écouter Klein qui parle de la notion de progrès dans différentes vidéos.
  8. sisi, c'est pris en compte dans ces études et simulations. A lire en détail.
  9. Bilan carbone voiture électrique / thermique Une appli en ligne pour faire mumuse :https://climobil.connecting-project.lu/?batteryLifetime=160000&batteryCapacity=30&greenhouseGas=65&electricCarRange=250&carbonElectricityMix=105&greenhouseBattery=30&greenhouseWTT=25&greenhouseTTW=150&batteryPenalty=0.9&annualMileage=20000&ICECurb=1551&ECurb=1977&NEDCpenalty=0.39&decarbonization=0 208/e208 : moins de 20000 km pour que l’électrique émette moins de CO2 que la thermique. 30% du CO2 thermique sur 160000 km (durée garantie de la batterie); 20% du thermique sur 300000 km (reference Tesla, -10% de capacité pour 200000 miles). D'autres études ici et là de 2021 et 2022.
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