Moot

Il est possible de se fabriquer une raquette : dedans, il y a seulement des poussoirs. Voir ici : https://www.cloudynights.com/topic/603267-celestar-8-hand-controller-schematic/

Pas en bon état, le tuyau, et la monture est toute rouillée... Le tube en carton a donné une mauvaise réputation à ces télescopes, les premiers grands diamètres bon marché apparus sur notre marché (les Ricains avaient déjà les "Odyssey" de Coulter ), notamment parce qu'il est à peu près impossible de les bricoler proprement. Les mêmes Ricains sont assez précis sur les termes, je cite : J'ai omis le "bill of materials" (liste des fournitures) qui donne le miroir de 10" (254 mm) à f/5,6 pour $110 et le tube de 12" (305 mm) de diamètre pour $10 ! Source : Bob Kestner & Richard Berry, how to build a dobsonian telescope, part 1, Astronomy vol. 8 n°6 (juin 1980), pp 54 - 56. En ces temps reculés, le 10" f/6 "Super Meade" (avec un tube en fibre de verre fretté à chaque bout et monté sur anneaux rotatifs, sur sa monture équatoriale) coûtait $1285 et le fin du fin des oculaires, les Erfle "research grade", étaient à $39,95.

Le sonotube™, c'est autre chose : c'était le matériau de choix de John Dobson, à savoir les tubes en carton utilisés comme coffrage pour couler des piliers cylindriques en béton. https://www.sonotube.eu/coffrage-carton-sonotube-p13.html Le carton ou le coton bakélisé, c'est autrement plus luxueux. Mon premier "gros" télescope avait un tube comme ça, acheté chez ASTAM sous le nom de "fibercell". J'ai ici à la maison une lunette montée par le même fabricant (aux dires de celui qui me l'a revendue, la récupérer avait été épique), avec tube et pare-buée faits dans le même matériau. Au fait, Neumann vend toujours des tubes sur mesure ?

Ou mieux, rempli de trucs lourds et sans valeur (comme des cailloux). J'en ai, de bonnes idées pour aider les escrocs ! Qu'ils me suivent pour d'autres astuces encore plus astucieuses.

Diffusion Rayleigh : les particules doivent avoir une taille très petite par rapport à la longueur d'onde (a << λ). Et l'intensité de la lumière diffusée est inversement proportionnelle à la longueur d'onde puissance 4 : I = kλ-4. De plus, la lumière diffusée est polarisée, ce que l'on peut vérifier sur le ciel bleu (largement exploité par les photographes).

Et le bandeau n'a même plus besoin de pouvoir être enlevé, depuis que les menus s'affichent par dessus et non plus en-dessous.

Sharpcap : pas si terrible que ça. https://www.sharpcap.co.uk/sharpcap/features/polar-alignment Voilà ce qu'ils disent : What do I need? An equatorial mount! A camera supported by SharpCap combined with a telescope/finderscope on the mount A field of view in the camera of between 1 degree and about 2.5 degrees Able to see about 15 stars in the field of view To already be aligned within 5 degrees of the pole To be able to see the pole and the sky immediately around it from your observing location Traduction : Que me faut-il ? Une monture équatoriale ! Une caméra compatible avec SharpCap (qui l'eût cru ?) en combinaison avec un télescope ou un chercheur sur la monture Un champ de caméra compris entre 1° et 2,5° Avoir environ 15 étoiles dans ce champ Être déjà aligné à moins de 5° du pôle Voir le pôle et le ciel voisin depuis votre lieu d'observation Me voilà déjà disqualifié sur mon balcon. Quant à l'AsiAir, c'est un matériel à acheter, et il faut une caméra de la marque. Reste NiNa qui, je l'ai lu quelque part, permet tout ça. Un inconvénient, à mon goût : il semble que le programme doive obligatoirement contrôler la monture.

On remarque par ailleurs que le connecteur principal (celui qui est sur la centrale) reprend deux fois le brochage des connecteurs pour les codeurs. C'est en fait d'une simplicité enfantine.

C'est une parodie de toutes les tendances à la mode pour paraître "éco-féministe responsable", dont la fameuse écriture "inclusive". Et il faut connaître Aurélien Barrau (astrophysicien et sympathique au demeurant) et ses nombreuses interventions médiatiques.

Voilà qui pourrait servir (c'est le câblage côté contrôleur) : C'est pour le contrôleur Gemini de Losmandy, mais il est bien indiqué qu'il est compatible avec le câble des NGC Max. On retrouve le même câblage sur les ArgoNavis et Sky Commander. Il se peut que de l'autre côté, ce soit identique aussi. Cela donnerait : 1 : B ; 2 : +5V ; 3 : A ; 4 : 0V .

Il y a eu un test dans Sky&Telescope récemment (numéro de septembre, mais ça veut dire, paru en... juillet !). Ils ont l'air plutôt satisfaits de la qualité optique, mais elle n'est pas absolument parfaite pour toutes les combinaisons, seules deux atteignent la perfection jusque dans les coins. Il faut ajouter que leurs essais ont été faits avec un EOS R (plein format, 30 Mpix), ce qui est assez exigeant. Ça doit être encore mieux en APS-C. Ils sont aussi contents de voir que ça tient la route mécaniquement parlant, c'est de la construction tout en métal. Et ils se posent des questions quant à la stratégie commerciale du fabricant, lequel avec ce produit coupe l'herbe sous le pied de ses autres modèles.

Je fais moi-même de l'astronomie sur balcon, et à mon avis, le plus dur, c'est d'avoir un suivi correct quand on ne peut pas viser la Polaire. En dehors de cela, il y a de quoi s'amuser, j'en rends compte sur un fil de discussion que j'ai ouvert pour partager mes expériences (trop rares en raison des obligations profesionnelles et de la météo).

Une notion toute théorique là-bas, mais après tout, on croit bien aux trous noirs .

Pas de contradiction, une partie des Ardennes se trouve en Belgique.

On va mettre tout le monde d'accord : Tu sais, ce n'est pas vraiment un calendrier de l'Avent...

Non seulement c'est très beau, mais il y a de la science là-dedans. Bravo, @Malik !

Voilà tout l'intérêt de ce genre de joujou : faire de l'imagerie à bruit instrumental nul, ce que les professionnels ont déjà pratiqué avec le "comptage de photons" (exemple : la caméra FOC qui équipait Hubble, avant d'être remplacée par l'ACS en 2002). Il est en effet possible de distinguer entre un point lumineux dû au bruit de l'intensificateur et un qui est dû à la détection d'un photon. En revanche, je ne sais pas où l'on en est pour le rendement quantique des photocathodes, mais je crois bien que c'est ce qui a fait mettre cette méthode de côté.

De Gennes. Mais rien d'étonnant, moi, je n'ai appris son existence que lorsqu'il a obtenu le prix Nobel, et pourtant, le lieu où il officiait était juste de l'autre côté de la rue . Quant à Bach, "la toccata", autant dire que Vierne, Duruflé ou Reger, ce sont des martiens. Pas beaucoup plus, mais qu'en restera-t-il dans cinquante ou cent ans ?

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La marque, c'est Ihagee : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ihagee (prononcer "i-a-gé", c'est de l'allemand, en fait, IHG). Document intéressant ici http://www.ihagee.org/cat/IHGcat1935F.pdf Voir tout particulièrement page 18 en bas (le viseur) et page 19, les "trousses" (c'est le petit coffret).

C'est l'annonce-étalon qui sert à tester si le site LBC est toujours fonctionnel.

Padawan, en galactique standard.

Je pensais à Neofit Rilski*, qui a vécu au XIXè siècle. Voilà ce que c'est qu'avoir visité la Bulgarie, un petit pays sympathique et intéressant. Il faut cependant aimer les monastères orthodoxes, ce sont presque les seuls monuments historiques, mais les sites naturels sont somptueux et originaux. Et le musée national archéologique surprenant. * : ce n'est pas son nom de naissance, il s'est lui-même prénommé par humilité et il a vécu au monastère de Rila, d'où son "nom de famille". Fin de la digression.

En effet, le quartz a pour propriété étrange de ne pas cristalliser si on le fond puis le refroidit. Le nom minéralogique de la silice amorphe issue d'une fusion, c'est la lechateliérite, et ça se trouve presque exclusivement dans les fulgurites (la fusion d'un sable siliceux ayant été provoquée par la foudre) et certaines impactites (là, c'est le choc d'une météorite, exemple connu : le "verre libyque"). Pour revenir au sujet : la silice pure est peu sensible à autre chose que l'acide fluorhydrique. En chimie, la verrerie (coûteuse) réalisée dans ce matériau est donnée comme la plus inerte et celle qui contamine le moins les solutions.

Bah, néophyte, c'est tout à fait adapté, et pas spécialement péjoratif. Il y a même un érudit moine orthodoxe bulgare qui avait choisi cela comme prénom.