Moot

En effet, le quartz a pour propriété étrange de ne pas cristalliser si on le fond puis le refroidit. Le nom minéralogique de la silice amorphe issue d'une fusion, c'est la lechateliérite, et ça se trouve presque exclusivement dans les fulgurites (la fusion d'un sable siliceux ayant été provoquée par la foudre) et certaines impactites (là, c'est le choc d'une météorite, exemple connu : le "verre libyque"). Pour revenir au sujet : la silice pure est peu sensible à autre chose que l'acide fluorhydrique. En chimie, la verrerie (coûteuse) réalisée dans ce matériau est donnée comme la plus inerte et celle qui contamine le moins les solutions.

Bah, néophyte, c'est tout à fait adapté, et pas spécialement péjoratif. Il y a même un érudit moine orthodoxe bulgare qui avait choisi cela comme prénom.

C'est bizarre, parce que tout à l'heure, j'ai vu sur le bandeau une croix rouge de fermeture que j'ai utilisée, et depuis, plus de bandeau ! Je viens d'ouvrir le site sur un autre ordinateur, et là, j'ai le bandeau, mais sans croix pour fermer.

Il est possible de le fermer (petite croix à droite).

Elles sont toujours là ! Le vrai : Ceci est votre professeur quand vous écoutez et êtes attentif Ceci est votre professeur quand vous ne l'êtes pas Des questions ? Continue de mentir, l'hiver va être long. Désolé pour vous, M. Funucci, mais nous confions le projet pour le plafond à Michel-Ange Vous aussi, vous allez à la soirée Halloween ? Hum... En fait, aucun de nous deux n'y va. 11 août 1959 : au cœur de la jungle bolivienne, les archéologues tombent sur un antique autel des sacrifices jusque là inconnu. Comment enquiquiner un musicien (le reste, je ne traduis pas) : WTF ? Ne faites pas ça, j'ai une famille ! Côté pour le chat ; mon côté. Voilà commet j'ai réussi à changer les draps en moins d'un quart d'heure : Untel : vous ne pouvez pas vous attendre à ce que les gens reconnaissent le film à-partir de deux images prises au hasard. Moi : (ci-dessous : cette photo est réelle)

Non, sauf si la qualité optique du "train périscopique" laisse à désirer. Non, et c'est évident : notre œil gauche ne voit pas la partie gauche de notre champ de vision et notre œil droit la partie droite. Les deux yeux voient obligatoirement la même chose, sinon, ça n'a aucune chance de fusionner. Voilà comment ça fonctionne réellement : un œil reçoit la lumière provenant d'une moitié de la pupille d'entrée (le miroir pour un télescope, la lentille de devant pour une lunette), l'autre celle qui provient de la seconde moitié. La pupille d'entrée pour chaque œil n'étant plus un disque mais un demi-disque, la tache de diffraction n'a pas la symétrie circulaire habituelle. Voilà ce que ça donne pour une lunette : Et pour un télescope obstrué à 30% :

Cela me rappelle que, dans ma jeunesse (autour de mes vingt ans), je l'avais découvert par hasard en farfouillant dans le ciel avec des jumelles 10x40. Je l'avais ensuite pointé avec mon 250 mm de l'époque pour découvrir qu'il s'agissait d'un amas d'étoiles.

Et les mini-jupes ? Plus sérieusement, je ne savais pas que le Graal était une jupe. Je pensais jusque là que c'était un bocal à anchois.

Pour une fois, la nuit était claire, même pas brumeuse, et la lune absente jusqu'à une heure avancée. Bref, vendredi soir, je me suis laissé aller à saisir M13 au vol. J'avais deux heures devant moi, j'ai fait 680 poses de 10 s à la ASI533. Le malheur, c'est que le suivi du CPC ne permet pas d'avoir des poses plus longues sans déformations supplémentaires (et encore, là, tout n'est pas parfait). J'ai poussé le gain à 303 (la valeur n'est pas ronde à cause du curseur dans SharpCap, j'ai la flemme d'entrer la valeur au clavier), avec 10 de décalage. Traitement Siril 1.20 à la va-vite, recadré, réduit et niveaux rééquilibrés sous GIMP. On voit même IC4617 (mais pas l'autre galaxie proche ; rappelons que même avec le réducteur, le champ reste à peine plus grand qu'une pleine lune) !

Si on en est à recenser les fautes de frappe dans les titres, dans le club "l'astronomie vintage", la dernière rubrique a pour nom "intruments anciens, catalogues et documentations diverses".

Les fameux "brouteurs" : des Africains (souvent d'Abidjan) qui tentent d'extorquer des sous à des internautes naïfs, en se faisant passer, par écrans interposés, pour des filles faciles.

Le thème de la rentrée : Humour noir : Et le reste : Issue de "memes décentralisés" :

Dans un ancien Ciel & Espace (deuxième moitié des années 1980), une série d'articles expliquait comment se construire un variateur de fréquence. En fait, il faut un générateur sinusoïdal à fréquence variable, un amplificateur et un transformateur. La sinusoïde était obtenue à-partir d'une tension carrée à l'aide d'un "conformateur à diodes", et il fallait soi-même "rouler" son transformateur. Un schéma plus sophistiqué est proposé à titre d'exemple dans "The art of electronics" (je le trouve dans la traduction française de la deuxième édition, "Traité de l'électronique analogique et numérique", volume 2, éditions Publitronic/Elektor 1996), en mariant les technologies analogiques et numériques. La différence avec les "classiques", c'est que la fréquence est choisie par roues codeuses et la génération de la sinusoïde se fait en filtrant l'onde de sortie. Le schéma avait été conçu pour le télescope de 61 pouces de l'observatoire de Harvard. Insérer un filtre ou le fameux "conformateur à diodes" entre le générateur de fréquence et l'amplificateur qui attaque le transformateur de sortie permettrait de sortir une tension sinusoïdale. Maintenant, la question est : cette modification est-elle faisable ? Sinon, un microcontrôleur et un CNA (un vrai qui sort destensions, pas des PWM) peut donner le même type de résultat, un amplificateur conçu pour l'audio est utilisable pour la partie puissance, avec comme transfo de sortie un modèle standard inversé.

C'est marrant, cette NGC 7264 qui ressemble à une mini-NGC 4565.

"Le prix est à débattre", sauf qu'il est marqué à 1 €. On propose 50 centimes ? Horreur, je dis bien que j'ai horreur de ces façons de faire.

Mais qu'est que c'est que ce bin's ?

Ce qui n'apparaît pas au premier coup d'œil, c'est que ce dessin est paru dans la presse algérienne.

'Tention les oeils ! Comment créer une épopée 1. Choisir un personnage masculin jeune 2. Faire disparaître ses parents, le faire vivre chez son oncle ou sa tante 3. Ajouter un vieux sage barbu qui sera son mentor 4. Plus une aide surnaturelle 5. Et un super-méchant diabolique qui veut régner sur tout ce qui existe 6. Enfin, un personnage qui lutte pour sa rédemption L'automne : "Tu es mignon". "Toi aussi". La vie dans une boule à neige : "Et bing, c'est la quarante-septième tempête de neige aujourd'hui !!" "Moi, la neige, ça ne me dérange pas... Ce sont ces tremblements de terre énervants dont je pourrais me passer". Comparaison film/série : Sors de cette grotte et rencontre ta destinée, misérable dragon ! Tu ne peux pas rester éternellement caché là-dedans, espèce de caméléon enflé ! "Conduisez-nous à votre chef". "Seulement si vous promettez de l'embarquer en repartant". École Midvale pour les surdoués. (sur la porte) Tirer Traduction littérale : "Une voiture mue par des poulets élevés en plein air et conçue par une équipe de pommes de terres ramassées manuellement. Faites l'expérience de la conduite sous l'emprise des champignons et de la cocaïne".

Quels sont les coulants et les pas de vis ? Ce genre d'adaptateur est habituellement pourvu d'un pas T2 côté appareil photo, et reçoit un oculaire pour la photo planétaire (ou lunaire) par projection à l'aide d'un oculaire, une technique devenue quasiment désuète à cause des caméras à petits pixels (une barlow est presque toujours suffisante pour atteindre la résolution maximale de l'instrument et le champ résultant est moins courbé qu'avec un oculaire).

J'ai retrouvé le sujet :

Dans tous les cas, pour la lame, il suffit de dévisser les vis de l'anneau qui la retient, et surtout, il faut repérer sa position "en azimut" pour la remonter dans la même orientation et garder les cales de centrage. Il arrive parfois que la lame soit littéralement collée, on parle de ça (et des façons de s'en tirer) quelque part dans ce forum si ma mémoire est bonne. De toute façon, le fait est que l'on ne peut pas démonter le support du secondaire sans avoir au préalable démonté la lame si ce n'est pas un Fastar car c'est le seul moyen d'accéder à l'intérieur du tube : les vis qui retiennent les barillets avant comme arrière sont "folles" et à l'intérieur, il y a des écrous donc il ne sert à rien de tenter de les dévisser si on n'a pas moyen de retenir lesdits écrous, or pour cela, il faut évidemment accéder à l'intérieur. C'est le serpent qui se mord la queue ! Inutile de dire que ça se fait en "basse altitude", c'est à dire le tube proche d'une surface molle prête à recevoir la lame (le pieu, c'est le mieux ), et l'extrémité "ciel" légèrement surélevée pour éviter toute chute et ses conséquences (je connais un gars à qui c'est arrivé...). Normalement, entre le support du secondaire et la lame, il y a un anneau qui adoucit le contact et qui colle pour empêcher la rotation de l'un par rapport à l'autre. Je ne sais pas où il est possible de se le procurer (pour ma part, quand j'ai "fastarisé" mon C14, l'anneau était inclus dans le kit). De plus, il faut remonter le support du secondaire avec le bon azimut, mais la bonne façon de faire est normalement bien décrite dans les liens qui t'ont été donnés.

Je suis partant aussi (on va lancer un achat groupé...).

Je m'aperçois d'une part que la région brillante que j'ai vue n'est déjà plus visible, et que c'était près d'un autre groupe de taches (AR 3443, pas loin du bord, en haut légèrement à droite sur tes photos).

Je viens de jeter un oeil avec ma lunette H-alpha (80 mm ED + Quark chromosphère), il est en effet assez frappant, c'est la première fois que je voyais ça.

C'est parce que tu n'as jamais eu le désagrément de sucer nonchalamment une chupa Chups et de la faire tomber par terre puis rouler sous un meuble, là où la poussière n'a pas été aspirée. Ce que tu vois sur la photo, c'est ce que tu ramasses. Accessoirement, c'est la bobine de notre inénarrable "Christ co(s)mique".