Moot

S'il faut que ça brille, prends 200 ohms. Peu importe pour les LEDs, des 5mm ou des 3mm standard supporteront les 10mA. Résistances couche métallique 1/4W ou 1/8W à 5% de précision (c'est vraiment le standard du tout-venant), ça ne coûte presque rien. Si tu as en stock une valeur supérieure proche comme 220 ou 270 ohms, aucun problème. Même avec 330 ou 470, ça brillerait suffisamment. Je n'ai pas de lien, ça fait longtemps que j'ai des stocks suffisants pour tous mes besoins. Si le fournisseur du relais vend ça, tu prends avec. Tu as raison de mettre une résistance par LED, une seule pour toutes ne serait pas bon car il faut toujours éviter de connecter ce type de composant directement en parallèle. Au fait, l'alimentation, c'est 5V et 0V (et non -5V).

Le nano sort en 3,3V ou en 5V ? Avec 5V, comme la chute de tension est d'environ 3V, il faut 200 ohms pour 10mA, 400 pour 5mA, 1000 pour 2mA, 2000 pour 1mA. Les LEDs brillent déjà fort à 10mA, mais c'est trop pour les sorties d'un microcontrôleur, donc il est préférable de passer par le HC06.

Parce qu'on dispose de cet instrument et qu'on ne se sent pas d'en acquérir un autre pour ce type d'observation.

La valeur indiquée est celle du coulant des oculaires sur lesquels on peut le visser. Le vrai diamètre est bien entendu un peu plus petit, sinon, ça n'entrerait pas dans le porte-oculaire. Quand on a des oculaires des deux coulants, on peut "tricher" en prenant seulement le plus grand format, si le réducteur 2" -> 1,25" dispose à l'avant d'un pas de vis pour les filtres et qu'il est assez long pour que l'avant du coulant d'un oculaire de 1,25" ne tape pas dans le filtre.

Rien d'étonnant : le problème n'est pas d'observer le soleil en général mais l'obligation d'utiliser un filtre qui absorbe presque tout (on laisse passer 0,001% avec un filtre "de densité 5") et qui doit se trouver devant l'objectif de la lunette. Avec un prisme (hélioscope) de Herschel, on laisse passer tout le flux à-travers les lentilles avant d'en écarter les 99,999% superflus (hélioscope + filtre). Non seulement les lentilles arrière peuvent chauffer, vu qu'à leur niveau, le flux qui les traverse est déjà concentré par le groupe de lentilles de l'avant, mais surtout, quand on pointe la lunette et que le soleil n'est pas exactement centré, ce flux concentré pourra éclairer leur barillet, lequel est naturellement noir pour absorber les lumières parasites et donc risque de chauffer, voire de fondre (ou pire, brûler) puisqu'il est en plastique. Ce sont les mêmes raisons qui font déconseiller l'usage de l'hélioscope de Herschel sur les télescopes de type Cassegrain (y-compris les SC et les Maks).

Pas de relais, résistance obligatoire, à calculer selon la tension de chute des LEDs et l'intensité souhaitée. Attention, avec des rouges ou des vertes, aucun problème, si elles ont bleues ou blanches, leur tension de chute peut être trop proche des 3,3V de sortie d'un ESP. Dans ce cas, il faut un montage un peu plus complexe, avec une alimentation de tension plus élevée et un transistor de commutation.

La moisson a été abondante... Ça ne s'annonce pas bien... Un samedi matin au jardin (d'Eden) : Des pêches ! Belles et fraîches ! Des abricots ! Par ici ! Des pommes ! Si vous en voulez, vous en avez ! Pour les fans de H.P. : Merveilleux, tout simplement merveilleux ! Tout ça pour les remplir d'admiration. Intraduisible. Mais souvenez-vous que Donald Trump un beau jour twitta fièrement qu'il avait rencontré le prince des baleines. Ce n'était qu'un petit tremblement de terre, mais la galerie des télécrans fut détruite. Devinette : qui est-ce ? J'ai fait une étagère en livres pour ma collection de briques : Ci-gît l'inventeur de la dynamite. Et ici. Ici aussi. Ici, il y en a un peu en plus. Et ici. Plus. J'ai déjà eu droit à la planète qui avait une orbite épileptique autour du soleil. Si, si, véridique ! "J'ai l'impression qu'elle est encore plus contente que nous de la fin de l'année scolaire". Enfin libre, enfin libre, grâce à Dieu, je suis enfin libre ! L'aérobic en enfer : "Allez, trois de plus, deux autres, OK... On lève sa jambe 5 millions de fois, la droite d'abord ! Prêt, Allez !" Il devait bien y avoir 10 Mo sur cette galette... Vous commencez par juste mordiller... Mais dès que vous entendez hurler "piranhas !", vous y allez. Sacrilège en Italie : Orion, un colis pour toi. Oh, ma nouvelle ceinture ! Elle n'est pas aussi bonne que je m'y attendais. Trois étoiles. Commanditaire : "un des chevaux sera dessiné de profil et l'autre de face". Artiste médiéval : "De... face ?" Commanditaire : "Tout à fait. Vous savez dessiner des chevaux de face, pas vrai ?" Artiste : "Ooo.. oui, tout à fait". Guide topologique de la nourriture : Géographie alternative :

Je ne connais que... le chercheur. Chez le même marchand, j'avais récupéré à bas prix un tube Mak avec un problème (le baffle du secondaire s'était détaché pendant le transport, mais rien d'abimé sur l'optique), et dans les accessoires, c'était le même chercheur, de bonne qualité à un détail près : le réticule n'était pas focalisé correctement (on le voyait flou dans l'oculaire), ce que j'ai réussi à régler plus tard. Mais par rapport aux chercheurs habituels, il a un réticule plus fin, et cette étrange façon d'être monté, avec la queue d'aronde mâle sur le télescope et la partie femelle dans le support du chercheur lui-même (sur les chercheurs classiques, c'est l'inverse). Je l'utilise sur mon C9.

C'est étrange de comparer cette formule à celle des TV 101 qui comportent des verres ED (voire de la fluorine pour les premières versions) dans la formule optique. Les "Nagler-Petzval" correspondent à un brevet récent (1983) de Al Nagler qui revisitait le vieux Petzval de 1840 pour le rendre apochromatique. La formule Petzval, ce sont deux groupes séparés et le second n'est pas tout à fait un "correcteur de champ" car il est convergent (on pourrait dire qu'il fait en même temps réducteur de focale). C'est la plus ancienne formule optique calculée pour la photographie et on la retrouve dans nombre d'objectifs "à portrait" anciens. Un exemple, datant de 1862 ou 1863 (focale d'environ 400 mm à f/4) : Les premiers astrographes à grand champ et grande ouverture relative étaient de ce type, telle la lunette Bruce employée par Barnard au début du XXè siècle pour produire ses fameux clichés de la Voie Lactée. C'était une 250 mm à f/5.

Si, si, on peut être menuisier et travailler dans le spatial : Il suffit d'être complètement space, c'est tout !

Je me suis posé exactement la même question ! Mais qui ne tente rien n'a rien, et comme j'avais été en manque pendant trop longtemps à cause de la météo, j'ai tenté.

Comme vous l'avez probablement tous vu dans les éphémérides, ces derniers jours, la planète Mars est passée (en apparence) à-travers l'amas de la Crèche, M44 (constellation du Cancer). Elle n'est plus très brillante (magnitude 1,6) mais elle tranche quand même avec les étoiles de l'amas (magnitude 7 au mieux), de plus, elle se trouve assez près du soleil (toujours en apparence ; élongation de 55° environ) à une moment de l'année où les crépuscules sont longs. On ajoutera que la quasi pleine-lune et la pollution lumineuse parisienne n'aident pas... La voici donc le 2 juin, vers 23h15 : Et le 3 juin, même heure, même cadrage : Fuji X-T3 à ISO 160 (valeur de base), Nikkor 300mm ED f/4,5 (non-IF ; c'est un objectif très rare car il a été très vite remplacé par la version IF, moins encombrante mais moins bonne optiquement parlant) diaphragmé à f/8 pour avoir de jolies aigrettes de diffraction sur Mars, 30 secondes de pose à chaque fois (suivi assuré par une monture Fornax LighTrack II), réduction d'un facteur 1,8, retouche pour assombrir le ciel (simple changement de niveaux) et recadrage pour mettre l'amas en valeur.

Quand je vous disais que c'est sans fin... On rentre chez nous (oh zut, y'avait pas de jus à cette époque) : Un mouton, deux moutons, trois moutons... J'ai défragmenté mon zèbre : Si vous m'aviez demandé une définition de la sottise humaine en une seule image : Ceux qui ont joué avec un programme de mise en page comprendront : Le captcha de la mort : "sélectionner toutes les images où, si vous deviez ajouter un decrescendo, cela ajouterait de la musicalité au morceau sans que ce soit imputable à une métaphore tirée par les cheveux, compte-tenu du contexte thématique" Derek, s'il te plaît, ne te sers pas du jeu de 32 pieds, ça fait tomber le plâtre du plafond, merci. (un jeu de 32 pieds à l'orgue, ça produit des notes très graves) Pour tous ceux qui ont dû accompagner une sortie de classe : Dubai :

Il y a une semaine tout juste, passant dans un vide-grenier près de chez moi, j'avise une table où il y avait quelques cristaux de quartz. Je demande les prix à la dame, elle me les donne (trop élevé pour ce que c'est) avec le commentaire "c'est ancien, c'est rare", etc. J'ai vite compris qu'il était inutile de lui expliquer que sans l'origine du caillou, avec des faces ternes et parfois des ébréchures, ça ne valait presque rien. Quand je pense qu'un jour j'ai payé 350 francs un diamant brut de 2,30 carats... Le vendeur savait que c'en était un. Et en plus, un octaèdre à faces nettes, ce qui est très rare. On l'avait sans doute épargné à cause des inclusions qui ne le rendaient pas très intéressant pour la taille.

Hier soir, juste avant d'aller prendre le repos nécessaire après une longue journée passée en partie à courir d'un lieu à l'autre, quelle ne fut pas ma surprise en voyant que le ciel s'était dégagé pour montrer notre lune et Vénus en majesté, juste sous les Gémeaux Castor et Pollux. Le temps de sortir appareil, téléobjectif et trépied, et c'était dans la boîte. Fujifilm X-T3 1600 ISO - 100-400 mm à 100 mm f/4,5 - 1/6 s de pose. Un peu de RawTherapee pour traiter le RAW et obtenir mieux que le JPG du boîtier. C'est étonnant ce que l'on voit comme étoiles alors que, vous vous en doutez, c'est pris en plein Paris !

Je l'ai déjà dit ailleurs, M33 dans mon T600 sous le ciel du plateau ardéchois. Tout le champ rempli, les bras, toussa... Bon, mais c'est parce qu'il était trop tard dans l'année pour avoir M51 assez haut dans le ciel en pleine nuit : je ne l'ai vue que sur fond gris. Plus tard, la comète Neowise et le reste, même type d'endroit (à quelques kilomètres, horizon dégagé), NGC6231 (Scorpion, très au sud) visible au ras des pâquerettes. Enfin, évidemment, le centre de notre bonne vieille Voie Lactée, depuis des latitudes australes (parc Kruger). Bien plus brillant que la partie visible dans notre hémisphère.

Un peu de géographie (tous à la même échelle) : Mais encore : (Comment trouver le Kentucky sur la carte toque de chef tête chemise pantalon bottes plat ici, le poulet frit du Kentucky !) Chercher l'erreur : Après des années de bonheur conjugal, des tensions font leur apparition dans le ménage Kent : Kirk et Spock remontent le temps jusqu'en 2014 "Haha ! Où avez-vous dégoté ces vieux téléphones ?! On peut faire autre chose avec que passer des appels ?" Salut mon gars, tu vas bien ? Regarde-le, Dan. Le pauvre, ça fait des jours qu'il flotte à la dérive mais il est toujours aussi gras et heureux. Où t'en vas-tu, Gary ? Des scientifiques m'ont collé ce bidule traceur, donc je nage jusqu'en Belgique juste pour les coller dans l'embarras. Haha, sacré Gary ! Instructions de montage : Le vol du bourdon : Dur à déchiffrer :

Les capteurs sont par construction trop sensibles au rouge et à l'infrarouge par rapport à la vision humaine, c'est pourquoi les constructeurs d'appareils photo installent un filtre "anti-IR" juste devant. Le problème en astrophotographie est que les nébuleuses émettent la plus grande partie de leur lumière dans un rouge (longueur d'onde H-alpha, soit 656,3 nm) qui est à la limite de ce qui est arrêté par ces filtres. Typiquement, 90% de leur lumière rouge est arrêtée. On peut donc enlever le filtre (appareil défiltré "total"), ou le remplacer par un autre filtre qui coupe bien l'IR mais pas le rouge H-alpha (appareil déflitré-refiltré). Dans les deux cas, la photo "classique" est perturbée, car en laissant passer plus de lumière rouge, les images prennent une dominante de cette couleur. Il devient difficile d'utiliser un appareil modifié pour de la photo non-astronomique. De plus, un appareil "défiltré total" a perdu une épaisseur de verre devant le capteur, et cela perturbe la mise au point automatique. Autres inconvénients, la sensibilité à l'infrarouge (invisible pour nos yeux) peut rendre complètement impossible une balance des couleurs crédible, parce que la végétation est en fait très brillante dans ce domaine de rayonnement (en photo IR, elle est "blanche"), et les objectifs n'étant pas conçus pour cela, ils peuvent perdre leur piqué : une image floue (et rouge) se superpose à l'image normale. Bref : la modification est utile pour bien faire ressortir les nébuleuses, mais l'appareil devient spécialisé pour l'astronomie, c'est pourquoi on ne modifie pas son appareil "de tous les jours". Soit on le fait parce qu'on change d'appareil "principal", soit on le fait sur un appareil acheté exprès pour cela. Quant à photographier le ciel avec un appareil non-modifié, ça donne de bons résultats malgré tout, les étoiles (seules ou en amas) et les galaxies n'ayant aucun besoin de défiltrage. Cette opération n'a d'intérêt que pour les nébuleuses gazeuses "par émission".

Si c'est de la sérigraphie, le côté "pointilliste" de l'impression n'a rien d'étonnant : le procédé consiste à encrer le substrat à-travers un masque réalisé sur une toile (à l'origine en soie, d'où le nom).

En raccommodant les morceaux, vous avez trouvé : lampe au néon morue acétylène.

Mon premier est un moyen d'éclairage. Mon deuxième est un poisson. Mon troisième est un moyen d'éclairage. Mon tout est un fait historique.

Pour les fans de Kaamelott Selon la légende, cette clé peut seulement être retirée du bloc de béton par un mécano au cœur pur, qui ne siphonne pas de l'essence du réservoir, ne gonfle pas la facture ni remplace des pièces encore en bon état. Les jouets que je pense que mes chats aimeront (griffoir, plumeau, souris, griffoir en carton, baballes) Les jouets qu'ils aiment en fait (boîte de céréales vide, vieux lacet de chaussure, sac en papier, rouleau de papier-toilette, ticket de caisse, capsule de bouteille) Compréhensible seulement en anglais : Cet accord. Pas de souci

C'est bien pour cela que les guides de voyage mentionnent toujours ce qu'il ne faut pas faire dans un pays étranger, quel que soit notre étonnement (par exemple, en Inde, il faut réveiller un gars qui dormirait en travers du passage, au lieu de l'enjamber).

L'académie française ne fait que constater l'usage littéraire, qu'elle consigne dans son fameux dictionnaire. Ce dernier est en perpétuelle évolution, certes lente mais c'est surtout à cause de l'ampleur de la tâche et de l'exigence croissante. Aucun conservatisme là-dedans, tout au plus une volonté de suivre l'usage sans précipitation, afin d'échapper aux effets de mode. Il y a ainsi peu de chance que "quoicoubeh" apparaisse dans leur dictionnaire. La* Culture est et ne peut qu'être "discriminante". Ce qui est détestable, c'est de se croire supérieur parce que l'on en a un peu plus que son prochain, parce que tout le monde est ignare quelque part. * : à ne pas prendre dans son sens ethnologique. On parle ici d'un "bien commun" à toute l'humanité, et on se cultive surtout en restant ouvert aux autres cultures.

Très rarement, en effet, mais un f/D "long" est souvent présenté comme un obstacle à l'astrophotographie du ciel profond.