Moot

Le problème, c'est le f/D "autorisé". Il faudrait dans mon cas que ça fonctionne à f/2. Bah non, ce n'est pas possible, ça n'entre pas dans du M42-T2 (la sortie de l'adaptateur).

Ce que je regrette le plus, c'est qu'il n'y ait pas de NBZ ou apparenté en 1,25". En plein Paris, ma caméra (ASI 533) a un capteur suffisamment petit pour que cette taille suffise, et mon adaptateur Canon-EF (Astromechanics, acheté avant l'embargo) n'accepte que cette taille.

Retour à l'école :

Ça dépend du contrôleur que l'on met derrière. Il en existe qui sont pilotables par un ordinateur, pour sûr.

J'ai sur mes deux SC (C9 et C14) installé le système Pierro-Astro. On remplace la molette par le moteur et ses pignons, et le tout est dans un carter en métal dont sort seulement la prise de connexion. Il y a à mon avis deux gros inconvénients, le premier étant que la mise au point manuelle devient impossible (pas de débrayage, ni de molette à l'extérieur) et que le démultiplication est tellement importante qu'un changement radical de mise au point (par exemple pour passer du visuel à la photo, où le tirage est nettement différent) prend du temps (plusieurs minutes). Cela dit, mon dispositif de commande est peut-être lui aussi trop lent et pourrait assurer plus de pas par seconde.

Donc en fait, il est concentré sur trois choses à la fois ?

Disons que, pour celle qui fait polémique, il y a deux caractéristiques que je tâche d'éviter : 1° la blague n'a pas besoin de l'image, tout est dans le texte ; 2° c'est une blague de cul.

En rapport avec l'actualité d'abord : Spéciale dédicace à @T350 : Sérieusement ? Désolé, monsieur, mais Dostoïevski n'est pas considéré comme une lecture d'été. Je me vois obligé de vous demander de me suivre.

Moi, je dirais bien effectivement un C9, puisque c'est ce que j'ai. La monture du mien est azimutale, mais automatisée (CPC avec StarSense). Un Cassegrain "simple" de 200 mm convient très bien, je m'y oriente d'ailleurs pour la photo.

Eh oui, pourquoi est-on donc porté à imaginer automatiquement des grands nombres, des nombres "astronomiques" ?

Elle n'a pas l'air propre, l'eau de ta piscine.

Plus on ririt fifi loulou. Onc' Maksou ?

Pour la journée du chat (avant-hier, 8 août) : Toute ressemblance avec une situation réelle serait purement fortuite : Spéciale dédicace à @Modération : Je n'y suis pour rien : Comprend qui peut :

Il faut l'ôter pour la nuit (dès que le soleil se couche) et la remettre dessus le matin.

HSS ? WC-Co ?

Si c'est vraiment une formule Petzval (ou dérivée), le groupe arrière (improprement appelé "correcteur") est fixe par rapport au groupe avant, et n'est pas solidaire du dispositif de mise au point. Par conséquent, respecter le "backfocus" équivaut à faire la mise au point (à l'infini, bien entendu). Les histoires de "backfocus" viennent du fait que l'on ajoute un correcteur à un instrument existant et qu'il est alors solidaire du dispositif de mise au point. Dans ce cas, il faut respecter une distance entre ce correcteur et le capteur de la caméra, pour que la mise au point corresponde à la distance prévue entre tous les éléments optiques prévue lors de la conception du correcteur. Et si ce "backfocus" est fréquemment de 55mm, c'est pour être conforme au vieux standard T2, lequel au départ était prévu pour adapter des objectifs photo à n'importe quelle marque de boîtier, à une époque où aucune information n'était transmise entre les deux. On l'a adopté en astro parce que les bagues d'adaptation aux divers boîtiers étaient faciles à trouver.

C'est vrai qu'après examen de ta dernière (le Croissant), on ne voit pas grand chose comme aberrations. Je ne pensais pas qu'un correcteur pouvait être aussi tolérant sur la distance avec le capteur.

S&T a numérisé l'intégralité de ses numéros, y-compris ceux d'avant l'unification des deux magazines ("The Sky" et "The Telescope"), l'ensemble ayant été commercialisé sous forme de DVD à l'occasion de je ne sais plus quel anniversaire du premier numéro. Mais cela fait longtemps que cette "somme" est épuisée et j'ai été à l'époque trop radin pour en faire l'acquisition (c'était de l'ordre de $200 tout de même). Espérons qu'ils rééditeront (et complèteront) ça à l'occasion d'un autre anniversaire sur un compte rond.

Et pas de problème de coma sur ou sous-corrigée ? Tiens, tu as changé de pseudo !

Deux avec la monture de Byers, mais bien plus de tubes (sans doute pas des centaines non plus...). Le bloc PE est-il complètement à l'intérieur ? On dirait qu'il y a des reflets devant lui, ce qui suggèrerait deux éléments frontaux au minimum (un devant lui et un autre, percé, qui supporte le bloc). Il existe des formules où une lame de type Schmidt est placée devant des éléments sphériques.

A priori, il faut ajouter les vecteurs moments cinétiques de tous les corps du système solaire et le pôle nord sera dans la direction où ce vecteur pointe. J'ignore absolument si cela a déjà été fait.

Merci, ça y est, j'ai vu. Et la mesure de la focale est bien conforme, cette fois ?

Je n'ai pas ça sous les yeux, mais dans Texereau à moins que ce soient Danjon et Couder, l'un ou l'autre dans un ouvrage devenu mythique, on déconseillait fortement les montures en "nœud de compas", tout en déplorant que des constructeurs de l'époque en fabriquent.

Dans l'ordre de passage de la lumière : Edge HD : 1 lame de Schmidt + 2 miroirs + 2 lentilles correctrices ; Newton + Wynne : 2 miroirs + 3 lentilles correctrices. Soit exactement le même nombre de surfaces, qu'elles soient réflectives ou réfractives. Les raisons sont à chercher ailleurs, mais en fait, ça n'a pas d'importance, seul le résultat compte.

Je sais, ça devient usé, mais quand même : Celle-ci est authentique (c'est à dire que ce n'est pas un détournement) : Spéciale dédicace à Momo :