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Roch

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Tout ce qui a été posté par Roch

  1. Salut Perso j'ai abandonné Firecapture depuis pas mal de temps... Sharpcap est vraiment top et en soi tu n'as pas besoin de la version payante non plus. Le seul truc c'est qu'avec un imx455 ça va te faire un volume de données énorme... Déjà j'ai du mal à gérer ma 2600 et ses 24mp avec des SSD limités à 4To. Mais c'est aussi parce que je suis jusqu'au -boutiste, donc je traite en drizzle ce qui n'arrange pas mon cas. le live Stack pour ça c'est pratique, mais tu n'auras pas la même finesse d'image car tu as beaucoup moins d'options possibles en traitant à la volée. Pour un F/D entre 4 et 5, des poses de 1 ou 2s sont un bon compromis entre sensibilité et vitesse avec ce type de capteur, même sous un ciel noir on est déjà pas mal. Si tu t'attaquer a des objets lumineux, tu peux aller plus vite ( et cropper ) Bon courage
  2. Salut Perso j'ai abandonné Firecaptire depuis pas mal de temps... Sharpcap est vraiment top et en soi tu n'as pas besoin de la version payante non plus. Le seul truc c'est qu'avec un imx455 ça va te faire un volume de données énorme... Déjà j'ai du mal à gérer ma 2600 et ses 24mp avec des SSD limités à 4To. Mais c'est aussi parce que je suis jusqu'au -boutiste, donc je traite en drizzle ce qui n'arrange pas mon cas. le live Stack pour ça c'est pratique, mais tu n'auras pas la même finesse d'image car tu as beaucoup moins d'options possibles en traitant à la volée. Pour un F/D entre 4 et 5, des poses de 1 ou 2s sont un bon compromis entre sensibilité et vitesse avec ce type de capteur, même sous un ciel noir on est déjà pas mal. Si tu t'attaquer a des objets lumineux, tu peux aller plus vite ( et cropper ) Bon courage
  3. Ça dépend de ce que tu veux faire. Mais si tu as l'habitude de l'apn, la 585 s'en rapproche plus c'est sur. En poses de 2s ça devrait être sympa. Après il ne faut pas oublier que tu n'auras pas la même résolution qu'avec une cam mono a cause de la matrice de bayer. Tu peux facilement faire un agrandissement 140% sur une image nb les bons soir, alors que sur une image avec capteur bayer, c'est pas vraiment possible. Tu peux voir ça comme si ta "vraie" résolution de caméra était multipliée par 1.7 environ pour du mono. ( 2mp -> 3.4mp ) Pour des galaxies par exemple, il n'y en a que très peu qui ne rentreront pas dans le champ de la 462 ; m33, m31, m101 mais après ça roule Avec la 200m c'est encore plus large. Pour ce qui est de la durée des poses unitaires, à temps total égal, des poses de 2s avec la 585 donneront une sensibilité équivalente a des poses de 500ms avec la 462m, et des poses de 250ms avec la 200m. Pour 500 balles, perso ce serait qhy200m + roue a filtres. La tu peux vraiment taper dans le lucky imaging et faire de la couleur en lrgb. Une 585c c'est bien mais c'est comme un apn, moins intéressant a mon sens. Mais ce n'est que mon avis
  4. La qhy200M / asi220m est dans le budget sauf erreur. La 462m est un peu au dessus mais ça vaut le coup La 290m est moins bien sur tous les plans importants, a savoir QE et bruit de lecture.
  5. Ah et je rajoute que le gain de sensibilité que tu as avec une 462M ou une 200M est dans l'IR, et c'est appréciable sous ciel pollué car il y a moins de pollution lumineuse dans ce secteur du spectre. La 662M est très bien aussi sûrement, mais moins performante niveau bruit de lecture, qui reste pour moi le critère numéro 1.
  6. Salut la 462M est comme la 290M en mieux, donc je te conseille celle là le monochrome est un vrai plus pour le lucky imaging. Si tu essayes la couleur, ce sera beaucoup moins sensible. Après rien n'empêche d'acheter une cam couleur par la suite pour compléter et faire du lrgb. Il y a aussi la qhy200M ( ou asi220M ) que j'aime beaucoup et que j'utilise actuellement. Plus de champ et pixels plus gros, mais pas forcément un avantage sur un 150/750 ou tu es moins limité par la turbu et le champ qu'avec mon setup actuel. Bon courage Romain
  7. Le guidage en altaz ça marche, mais c'est compliqué. Perso je fais du rattrapage, pour ça phd2 fonctionne bien. Mais plus la cible est haut et plus les vitesses des moteurs changent par rapport au moment de la calibration et donc moins ce sera précis. De plus pour éviter trop de pertes de champ, il faut guider sur une étoile au centre du champ. Car l'image tourne autour de l'étoile guide. ( En tout cas tant qu'on guide sans dérotateur ) Mais pour juste "rattraper", cette méthode suffit sur la nuit, tant que la cible ne passe pas a 85° ou plus Romain
  8. La dispersion atmo est quasiment négligeable dans l'IR. Extrèmement importante dans le bleu par contre. il y a autant de décalage entre 400 et 500nm que entre 500 et 1000nm. Voir là : http://www.astrosurf.com/prostjp/Dispersion.html Pas mal oui
  9. Ça reste le meilleur capteur monochrome par unité de surface à notre disposition je comprends que le champ te gêne, mais si tu fais un petit objet il n'y a pas mieux. Pour une petite neb, tu peux faire des poses unitaires 2 fois plus courtes qu'avec un imx290 et avoir le même résultat a la fin. ( Pour le même temps total ) Pour une galaxie, tu peux probablement poser 3 fois plus court si tu récupères le signal IR ( par rapport à l'imx290 toujours ) En plus le capteur de la 462 a bcp moins d'amp Glow que celui de la la 290. Et un bruit thermique plus faible. J'ai les deux, j'ai comparé. ( Même si c'est sur le modèle couleur de la 462, pas de raison que ça change ) J'ai fait un an avec mon 560 et uniquement la qhy290, je sais de quoi je parle Pour moi c'est la plus grosse évolution depuis 5 ans. Les capteurs plus grands, c'est bien, c'est confortable, mais ça ne les rend pas plus performants pour autant. Là c'est la première vraie évolution de performance depuis l'imx290 sur un monochrome. Romain
  10. Pas d'accord La 462M remplace la 290M La 533M remplace la 178M ou la 174M. Pas la même taille de capteur, pas les mêmes usages ni les mêmes tarifs. Mon Altaïr 26M me donne pleinement satisfaction, mais pour faire un objet comme ngc6543, le champ je m'en fiche pas mal. Et ce jour là, ce sera 462M tous les jours plus sensible, et poses plus courtes ; que demander de plus ! La sensibilité en Ha devrait également être beaucoup plus intéressante que chez tous ces autres capteurs. Bon évidemment une 585M et là on a le meilleur des deux mondes... Romain
  11. Jai laissé passer cette info !! Quatre ans que j'attends un remplaçant à ma 290... enfin !! Deux raisons pour lesquelles c'est extrèmement intéressant : - Premier capteur monochrome avec un bruit de lecture aussi bas - Premier capteur monochrome avec une vraie haute sensibilité IR. Ce qui fait qu'on peut attendre un gain substantiel en sensibilité en faisant du large spectre si on peut se permettre d'aller dans l'IR, suivant les optiques que l'on utilise. Bon du coup maintenant, un 585 serait encore plus intéressant évidemment. Mais quand même. Quatreans que je l'attends celui là. Vivement que QHY/ZWO s'en mèle. Romain
  12. Salut ici Player one dévoile deux nouvelles caméras, avec de nouveaux capteurs absents de chez la concurrence, et c'est bien dommage. https://player-one-astronomy.com/uranus-c-and-mars-c-ii/ La "Mars - II" a un imx662, présenté comme le successeur de l'imx462, mais pour des avantages encore peu évidents puisqu'on n'a pas de chiffres. Il est simplement fait état d'un "full well 3x higher", ce qui est certes intéressant mais ne justifie pas un changement pour ma part La "Uranus-C" possède un imx585, ce qui m'intéresse déjà beaucoup plus ; ce capteur succède à l'imx485 et a une sensibilité infrarouge accrue, du même tonneau que l'imx462 ou l'imx464. ( un chouia moins décalé vers l'IR visiblement ? ) Ces deux capteurs ont également un amp-glow absent d'après player-one, ce qui serait un autre progrès notable. Le bruit de lecture est annoncé à 0.7e- au minimum pour les deux modèles, pas de progrès de ce côté donc. Et un chiffre tout à fait cohérent. Mais bon comme d'hab, c'est de la couleur. Le jour ou un de ces machins sort en mono, c'est une vraie révolution niveau sensibilité ( on pourrait attendre un gain de sensibilité dans les +50% face à un capteur classique pour de la luminance ) Avec un superbe rendement H-alpha, ce serait vraiment super intéressant aussi pour de la bande étroite : Romain
  13. Salut Il existe déjà depuis longtemps des capteurs intéressants avec pixels plus petits, comme par exemple l'imx334 et ses pixels de 2 microns, qui est même dispo en monochrome. Cependant les constructeurs de caméras astro ne s'intéressent que très peu à ces capteurs car généralement c'est optiquement que ça ne suivra pas à cette échelle. Donc peu d'intérêt... même si j'aimerais bien tester quand-même parfois Romain
  14. Bonsoir à tous C'est à la fois un projet mûri depuis plusieurs années qui se concrétise, et un rêve de gosse qui se réalise ; je vous présente mon tout nouveau LUcky-imaging DObson, alias LUDO Donc laissez moi tout d'abord vous présenter ce magnifique instrument et le concept qui se cache derrière Je suis mordu d'astro depuis très très longtemps, mais parmi toutes les possibilités de ce loisir formidable, jamais un domaine ne m'a autant fasciné que le "lucky imaging" en ciel profond. J'entrevois par cette technique d'imagerie à la fois un potentiel encore sous-exploité d'obtenir des images fantastiques, mais également un moyen pratique de s'affranchir de certaines contraintes. J'ai commencé dans ce domaine avec un T150/750 qui m'a donné entière satisfaction et plus encore, mais rapidement j'ai eu envie de pousser plus loin, beaucoup plus loin. La question se pose alors : Quel est l'instrument le plus adapté à cette pratique ? Petit rappel, le lucky imaging consiste à réaliser des photos en pose courte ( de quelques secondes au plus long, à beaucoup moins si possible ) afin de s'affranchir en partie de la turbulence atmosphérique en sélectionnant les meilleures images avant de les empiler. Pour du lucky imaging, il faut poser court. Pour poser court, il faut beaucoup de lumière. Pour de la lumière il faut du diamètre. Le plus possible. Pour du lucky imaging, nul besoin d'une monture équatoriale de compétition ; il suffit d'un suivi correct en alt-az puisque cela la rotation de champ ne pose pas de problème avec des temps d'exposition rapides et un alignement des images correct. Pour du lucky imaging, il est appréciable d'avoir un instrument transportable afin de profiter d'emplacements ou la turbulence atmosphérique est plus clémente. Pour du lucky imaging, il faut un instrument à l'optique et la mécanique de grande qualité afin de pouvoir obtenir le plus fin détail possible. J'ai un temps lorgné sur des diamètres intermédiaires... 250mm ? 300mm ? Mais finalement pourquoi ne pas viser plus haut ? Le concept est solide, et je me connais assez pour savoir que cette passion ne s'évanouira pas du jour au lendemain. Donc changement de plan et de catégorie : ce sera l'instrument d'une vie. Rapidement je me tourne vers Frédéric Géa ( Stellarzac Instruments ) pour la structure et conception générale, et vers Térence Pelletier ( Bigowlbinoscope ) pour les optiques. Après de longues heures passées au téléphone avec Fred pour réinventer le télescope parfait les caractéristiques finales de l'instrument sont établies : - Diamètre 560mm - Focale 2240mm - F/D=4 - Miroir primaire en quartz, épaisseur 38mm en ménisque sur barillet astatique 18 points - Miroir secondaire de 140mm - Obstruction 25% - Champ de pleine lumière 30mm - Motorisation azimutale, Stellarcat + Nexus-DSC - Porte oculaire motorisé TCF-LEO Tout ceci en fait un instrument extrêmement adaptable à mes besoins actuels et futurs. Il est évidemment compatible avec mon matériel d'acquisition actuel, à savoir les correcteurs de champ GPU x1, ASA x0.73, et la barlow correctrice APM x2.7, ainsi que les caméras QHY290M et QHY462C J'ai ainsi un échantillonnage de 0.36"/pixel avec le réducteur ASA, 0.27"/pixel avec le correcteur GPU, et 0.10"/pixel à la barlow. Avec mes caméras, le champ est assez étroit ; cependant, mon but avoué étant la haute résolution, j'avoue que ça ne me préoccupe pas plus que ça, même si cela amène quelques contraintes supplémentaires. Mais la sortie du foyer est confortable, et le tube est conçu pour pouvoir supporter un âne mort à l'oculaire donc j'ai de quoi voir venir si je veux faire évoluer le setup. Caméra plus large, dérotateur de champ, et plein d'autres joyeusetés qui me trottent évidemment dans la tête, mais pour l'heure, on va déjà essayer de pousser la bête avec ce que j'ai Question encombrement et déplacement, le tube rentre sans problème dans une voiture à coffre haut ( type scénic ) ; le principal souci pour le moment étant que je n'ai pas de voiture :D Donc ce tube restera un certain temps utilisé sur ma terrasse de petite ville, à moins de 100m d'altitude, avec une pollution lumineuse certaine mais au seeing parfois bon. Question orientation, ma terrasse me donne accès à toutes les cibles au nord jusqu'à une déclinaison de +20° environ. ça peu paraître "dommage" de ne pas avoir tout le ciel, mais j'estime avoir de quoi faire dans cette zone du ciel sans m'ennuyer pour quelques années au moins de toutes façons. Qui plus est, dans l'esprit de "lutte contre la turbu", on aime bien avoir les objets le plus proche possible du zénith ; donc les objets situés plus bas ne montent jamais très haut dans tous les cas. Et pour le planétaire, ce ne sera pas non plus pour tout de suite. Mais ce n'est pas mon domaine de prédilection de toute manière. Le télescope est arrivé chez moi il y a quelques jours, et murphy a été plus que clément puisque j'ai pu entamer un marathon avec neuf nuits complètes d'affillée ! C'est un vrai bonnheur à utiliser ! Le télescope est toujours hyper stable et respire le solide, soit tout le contraire des instruments que j'ai pu avoir auparavant Avec un peu de pratique niveau montage, si à 20h le tube est au chaud à l'intérieur et que je décide de sortir imager, à 21h je peux lancer les poses avec un tube collimaté et une motorisation opérationnelle ; et quand c'est fini, tout est plié en 15 minutes. Un régal Evidemment, un tube comme ça ne s'apprivoise pas non plus du jour au lendemain ; la période de pleine lune a été propice aux différents tests, réglages, et erreurs de débutant inévitables... avec en prime quelques tuiles, du genre une soudure qui lâche dans le boîtier du Nexus qu'il a fallu réparer, ou le viseur point rouge acheté pour l'occasion qui décide de ne plus fonctionner du tout après deux utilisations. Le pointage "à l'oeil" au T560, c'est une epérience enrichissante je ne dis pas... mais là il va vraiment falloir que je me retrouve un chercheur Mais malgré tout, les images que je tirais durant cette première semaine n'étaient pas à la hauteur de ce que j'attendais vraiment. Des images certes "pas mal", un signal monstrueux comparativement au temps passé par cible , surtout en considérant la pleine lune ;) mais question résolution, c'était entre mauvais et moyen. Pourtant, ni l'instrument ni la turbulence n'étaient en cause : en ajoutant la barlow, j'ai obtenu une résolution impressionnante sur le centre de m13 entre autres. Alors quoi ? que reste-t-il dans la chaine optique ? Le correcteur de champ évidemment ! Je ferai certainement un post dédié pour expliquer la chose en détail, mais après un peu de recherche, ( je découvre que la distance correcteur/capteur recommandée par les fabricants pourrait être trop faible pour mon usage. ) EDIT du 08/05 : La distance préconisée était finalement la bonne, mais le calcul de la distance sur mon montage était faux. Du coup mon correcteur était bien trop près du capteur quand même. Le ciel se dégage après plusieurs jours de temps couvert, et je peux vérifier mon hypothèse le soir même. Le résultat est immédiat, l'amélioration crève les yeux Bien que j'aie passé quasiment toute la nuit à déterminer les positions optimales pour mes différents correcteurs, j'ai tout de même gardé un peu de temps pour une véritable "première lumière" en fin de nuit. La lune se levait, et j'ai un peu galéré au traitement car je manque d'étoiles dans le champ pour aligner ; tout ceci est encore très perfectible sur beaucoup de points. Mais ça reste néanmoins un bon aperçu des possibilités de ce scope, et la première d'une longue série j'espère Voici donc le héron, couple formé par les galaxies NGC5394 et NGC5395, sur fond de pétouilles T560 à F2.9, QHY290M, 4214x500ms soit 35 mn retenues sur 1h30 de prise de vue totale. Image à 120% de la taille d'acquisition. La FWHM avoisine 1.3" au centre de l'image après empilement. Vive l'astro, et a très bientôt Romain
  15. Bonjour à tous Voilà la suite de mon petit feuilleton... Pour rappel sur le matériel utilisé, c'est ici : http://www.webastro.net/forum/showthread.php?p=2530059 Le troisième jour, je décide donc de profiter de la latitude faible du lieu d'observation pour pointer le casque de Thor, qui culminait vers les 45°. Cette fois ci, avec mon filtre H-Alpha, et l'objectif fermé à F2.4, afin de ne pas répéter les erreurs passées. Malheureusement, la cible est petite, et étant complètement épuisé après une journée bien remplie, je me suis tout simplement endormi pendant les poses... Du coup j'ai conservé le maximum d'images, mais la dérive était importante et au final l'objet est tout simplement sorti du champ. De plus, les poses de 15s étant trop longues à cette focale, ceci conjugué à une MES laissant à désirer, le piqué n'est pas du tout au rendez vous Voici donc tout ce que j'ai pu en tirer, en 250x15s environ : Le lendemain, quatrième et dernier jour, j'étais bien décidé à profiter un maximum de la nuit pour me rattraper de la veille ; le ciel couvert en début de nuit m'a fait très peur et ce n'est qu'à partir de 23h qu'il s'est finalement dégagé, alors que la rosette déclinait déjà. Afin de monter au maximum en piqué, j'ai voulu sacrifier un peu de signal en descendant les poses unitaires à 8s ; cependant un problème de suivi est apparu ( qui était absent les premiers jours sur des poses similaires, il va falloir que j'enquète... ) ce qui m'a valu des étoiles très étirées horizontalement sur la majorité des poses. En dévissant la caméra en fin de soirée, j'ai remarqué que le pas T2 fixé à celle-ci présentait un jeu assez important car il s'était dévissé... peut être est-ce lié ? Bref, Malheureusement la mini ioptron semble très limite pour ce genre de chose. Peut être passerai-je à quelque chose de plus solide, mais pour les voyages, c'est dommage, il n'y a rien de moins encombrant ! Mis à part ce petit souci, ainsi qu'un cadrage encore très approximatif ( cadrer à la rotule photo à cette focale et avec une MES dans les choux, je ne vous raconte pas la partie de plaisir... ) je suis complètement satisfait du résultat. La FWHM commence à être très intéressante ( peut être même que l'image mériterait un Drizzle ) , et la sensibilité est au rendez vous. Avec l'objo ouvert autour de F2.4, je perds environ un facteur 1.2 ( mesuré ) en sensibilité par rapport à la pleine ouverture, mais les vilains halos visibles sur les étoiles de ma M42 du premier jour ont complètement disparu. 700x8s, soit un peu plus d'1h30 au total : En résumé, tout ces petits tests sont très concluants pour moi ; je crois que je vais rapidement investir dans un OIII pour mes prochains voyages... Romain
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