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Discret68

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Tout ce qui a été posté par Discret68

  1. Voici un modèle qui répond à tes critères : https://www.apm-telescopes.net/de/apm-lzos-apo-refraktor-2802800-cnc-lw-ii Et manifestement, disponible assez rapidement. Lances toi 😜
  2. Merci. J'avoue que je suis très satisfait de cette imprimante. Pour les filetages, je descends l'épaisseur des couches à 0,1mm alors que d'ordinaire, je suis à 0,15mm. En fait, je me rends compte que je me suis fourvoyé en écrivant que ma lulu fait 480 de focale. En fait, elle fait 400mm, donc ça devrait passer. C'est une autre de mes lunettes, celle dédiée au CP qui fait 480mm ! Et pour cette lulu sol'ex de 80, j'ai pris un filtre de 82mm pour ne pas perdre en diamètre.
  3. Le filtre Hoya ND16 est vissé dans la bague par son filetage. Le filetage de M82 x 0,75 est directement imprimé avec mon imprimante (une Prusa I3 MK3+). Il est difficile de mettre en évidence le filetage avec une pièce en plastique noir. Mais ur une pièce imprimée en gris, il est plus facile de voir les filets. Ci-dessous, une bague M48, avec un pas également de 0,75 : Et comme dit plus haut, la bague porte-filtre est introduite dans le pare-buée. Un léger serrage permet un bon maintien :
  4. Cela signifie à priori que je n'aurai pas non plus le soleil en totalité ! Flute. Comment fais tu tenir ton filtre ? Pour info, j'ai conçu une bague en impression 3D qui permet d'y visser le filtre. On introduit le tout dans le pare-buée de la lunette. Les multiples découpes qu'on voit au niveau de la bague permette d'obtenir une certaine élasticité, ce qui permet un léger effet ressort nécessaire au maintien dans le pare-buée. Au cas où, si ça t’intéresse :
  5. C’est plutôt un bon résultat pour une première. Quelle est la focale de ta lunette qui fait que tu n’as pas la totalité du disque solaire ? Je suis également en train de monter un sol’ex pour un montage sur une lunette de 80 avec une focale de 480. As tu installé un filtre complémentaire en amont de l’objectif (ND 8 ou 16) ? En parcourant certaines discussions sur le sol’ex, nombreux ont monté ce filtre devant l’objectif. Personnellement, j’ai monté un ND16, on verra si c’est probant.
  6. L'objectif n'était pas de dire que la GM est meilleure que la jtw, mais plutôt de dire qu'avec des équipements similaires, tu pourrais espérer des fonctionnalités qui s'y rapprochent. Merci. C'est effectivement bien pratique de pouvoir usiner ses propres pièces car ça permet de rapidement mettre en œuvre des modifications dont on a envie et qui ne reviennent pas très chères. Et si ce n'est pas bon, on a pas l’impression d'avoir jeté son argent par les fenêtres. OK, je comprends la problématique. Néanmoins, lorsqu'on change de train optique (CP vs planétaire), peu importe la perte de la cible. Ce qui est pratique avec une GM, grâce aux encodeurs (cela signifie qu'à termes, tu pourrais espérer cette fonctionnalité), c'est que tu peux débloquer les freins d'embrayage, tourner le tube dans tous les sens et resserrer les freins, la monture sait toujours où elle vise. Aucun ré-alignement n'est nécessaire et on repart direct en exploitation. Ce que je veux dire, c'est qu'au delà de l'approche purement tarifaire d'une monture, il peut y avoir tout un panel de fonctionnalités qui facilitent grandement la vie .... "astrophotographique". J'espère donc que les encodeurs de la jtw seront bien exploités un jour car se passer d'autoguidage par caméra annexe, c'est quand même appréciable 😎
  7. J'ai un peu galéré avec la dernière version de SIRIL, ou tout au moins depuis qu'il est possible d'avoir plus d'un catalogue perso. Vu que je ne savais pas quel est le nom qu'il faut donner aux catalogues supplémentaires (je n'ai rien trouvé dans la documentation), cela m'a pris un peu de temps. 2ème soucis, l'annotation via un catalogue personnel s'effectue bien, mais vu que j'utilise SIRIL très rarement, je ne vois pas comment enregistrer l'image annotée dans sa taille nominale. Lorsque je fais une copie, si j'ai l'image en totalité, elle est petite et vu le nombre d'annotation, c'est illisible, et si j’agrandis l'image, je n'ai que la partie réduite annotée. Voila ce que donne l'annotation avec le catalogue PGC complet, c'est illisible. En plus, je ne sais pas si la taille des caractères est modifiable : Si vous avez idées.
  8. Il est également possible de le faire avec SIRIL qui est gratuit. J'ai formaté le catalogue PGC afin de pouvoir l'utiliser avec SIRIL. Si un jour tu te décides. tu me fais signe.
  9. Merci pour ces informations. Pour avoir testé la MES avec SharpCap, je suis assez dubitatif sur le résultat annoncé. Vu que je dispose d'une GM2000, il y a des logiciels spécifiques pour effectuer la MES. En clair, on utilise un modèle de pointage sommaire (moins de 10 zones en automatique et qui prend moins de 10mn), ce qui permet à la monture d'indiquer directement l'erreur de MES et l'erreur RMS de pointage. A ce stade, c'est la valeur d'erreur de MES qui est intéressante et via le pointage d'une étoile à choisir dans la liste proposée, on règle mécaniquement la monture. Sur la base de comparaisons, j'aurais tendance à dire que l'erreur de MES indiquée par SharpCap est minorée d'environ 3 à 4 fois la valeur mesurée par le logiciel de la monture. C'est à dire qu'elle est plus importante qu'annoncée. J'ai également testé le module Three Point Polar Alignment de NINA (qui est totalement gratuit) qui fait 3 poses au lieu de 2 pour SharpCap. Le résultat est meilleur que celui obtenu avec SharpCap, mais il reste un écart par rapport aux outils 10Micron. Mes propos ont surtout pour objectif de dire que le résultat SharpCap est à prendre entre pincettes et qu'il est conseillé de réaliser plusieurs itérations afin d'obtenir l'erreur la plus faible possible, mais qui en réalité est probablement plus importante qu'annoncée. C'est dommage que les encodeurs ne soient pas pris en compte dans l'autoguidage de la monture, car c'est leur vocation principale. A quoi bon avoir des encodeurs si ils ne sont pas utilisés. Les encodeurs précis coûtent chers. Donc, soit ils sont précis et dans ce cas, plus besoin d'autoguidage avec caméra, les encodeurs font leur boulot (c'est le cas sur les 10Micron), soit, ils ne sont pas précis et dans ce cas, ils n'ont aucune utilité et peuvent être omis, le prix de la monture se réduisant également. Même pour du pointage en astrophotographie, les encodeurs ne servent pas à grand chose. Aujourd'hui, avec la résolution astrométrique, un logiciel d'acquisition bien "gaulé" (NINA par exemple) se charge de pointer le télescope avec une précision de quelques secondes d'arc et ce en 2 coups de cuillère à pot. La qualité mécanique de la monture (jeux réduits voire absents) va permettre d'obtenir un pointage très précis et rapide. Avec ma GM2000, le newton de 300 avec une ASI2400MC, et un modèle de pointage étoffé (environ 60 zones analysées - 45 mn pour la réalisation), j'obtiens une erreur de pointage RMS de l'ordre de 5 secondes d'arc. Avec la résolution astrométrique de NINA, je descend à 2 secondes d'arc. Et que dire de la lulu (FS60) qui est sur le dos du newton et qui, compte-tenu de la fixation mécanique, présente un décalage de 6 minutes d'arc par rapport au pointage du tube principal ? Avec NINA, la cible est à 2 secondes d'arc du centre image en moins d'une minute. Donc, si encodeurs il y a, il faut qu'il soient dans la boucle. Si tout est bien intégré, plus besoin d'autoguidage caméra. C'est quand même plus simple, plus de PHD2 (ou autre) à mettre en œuvre. C'est ça la réelle plus-value des encodeurs. A mon sens, ça reste possible. A titre de comparaison, pour produire de bons résultats au niveau du pointage et du suivi, une 10Micron doit présenter un écart d'équilibrage (avant/arrière du tube et tube/contrepoids monture) inférieur à 0,4%. Fort heureusement, la monture est équipée d'une assistance informatique pour l'équilibrage. En clair, on lance une séquence de mesure. La monture réalise quelques mouvements de balancement et indique la valeur du déséquilibre ainsi que le coté du "surpoids". En quelques itérations, on arrive à ces 0,4% préconisés On comprends vite que dans cette situation, on pourrait se dire logiquement qu'une fois le système réglé, il ne faut plus y toucher. Et par conséquence, on fait du CP ou du planétaire. J'ai finalement trouvé une combine pour associer changement de setup (CP/planétaire) et maintien de l'équilibrage sans devoir relancer la procédure complète à chaque changement. En fait, j'ai placé une première barre de contrepoids sur le flanc du newton. Un contrepoids coulisse sur cette barre. J'ai usiné 2 butées à serrage en aluminium qui me permettent de caler le contrepoids selon les 2 setups. Idem sur la barre de contrepoids de la monture. J'ai réalisé l'équilibrage avec chacun des setups et j'ai placé les butées aux endroits où l'équilibrage était conforme. J'aurais pu faire des marques, mais avec des butées, pas de risque d'erreur. Avec ta monture, tu pourrais également changer de setup en un tournemain 😎
  10. Avec les coordonnées de l'image, on arrive plus facilement à faire l'annotation. Avec Pixinsight et le catalogue PGC complet, il y a quelques 680 galaxies supplémentaires identifiées en plus des NGC/IC : En prenant des catalogues plus récents, je pense qu'on en identifierait encore plus 😱
  11. Il y a effectivement beaucoup de monde sur ton image. Je voulais annoter ton image pour identifier toutes les galaxies présentes mais je n'arrive pas à trouver les coordonnées du centre de l'image. Pourrais tu indiquer cette valeur ainsi que le coefficient de réduction de cette image par rapport à l'original pour permettre la résolution astrométrique ? Merci à toi. JP
  12. J'ai préféré frotter un taraud au pas correspondant sur la partie filetée pour éliminer les fils présents. Tu pourrais développer un peu car là, je ne vois pas à quels paramètres tu fais référence. J'ai repris l'impression en y plaçant un support au niveau de la partie femelle qui se trouve en partie inférieure lors de l'impression : Après retrait du support, le filetage ne présente plus de fils disgracieux : J'essaierai avec de l'ASA pour voir le comportement à l'impression.
  13. Bonjour à tous Venant d'acheter récemment une Prusa i3 MK3S+, j'ai imprimé un grand nombre de pièces et tout se passe globalement sans encombre. A titre d'essais, je me suis lancé dans le test des filetages à pas fin (M48 x 0,75) pour voir si les résultats sont probants ou pas. C'est tout bon pour les filetages mâles. Après une petite correction au niveau des cotes pour trouver le bon ajustement, la bague se visse parfaitement : Par contre, pour les filetages femelles, j'ai de nombreux fils qui se forment durant l'impression. Après nettoyage, le filetage est bon et la bague se visse, mais j'ai vraiment l'impression qu'une araignée est venue tisser sa toile : Que j'imprime en PLA ou en PETG, la problématique est identique. J'ai envoyé le fichier à un copain qui a la même imprimante et qui va imprimer la pièce en ASA pour voir si le problème est également présent. La pièce test est imprimée avec la partie femelle en partie basse comme représentée sur la coupe ci-dessous : Auriez vous une méthode qui permettrait d'éviter ce genre d'inconvénient ? Merci à vous. JP
  14. Les caméras ZWO n'ont jamais eu un backfocus de 55mm ! Si la documentation ZWO parle de backfocus de 55mm, c'est probablement à cause des correcteurs de coma, dont le GPU, qui lui, nécessite un backfocus moyen de 55mm pour corriger correctement. Si tu regardes le détail de chaque caméra ZWO, la distance entre face du capteur et face d'appui du boitier (on va l'appeler BF de la caméra) est de 6,5mm (ASI183, ASI294, ASI533, ...) ou de 17,5mm sur les capteurs plus grands (ASI2400, ASI2600, ASI6200...). C'est une première donnée. Concernant les objectifs à monture NEX, la distance entre face de capteur et face d'appui du boitier APN est de 18mm. Cela signifie que si tu veux monter un objectif à monture NEX sur une caméra ZWO, il faut une bague de montage entre caméra et face d'appui de la baïonnette de l'objectif qui fait une épaisseur de 18 - BF de la caméra. Avec une caméra de 6,5mm de BF, la bague doit faire 11,5mm d'épaisseur. Avec une caméra dont le BF est de 17,5mm, il faudrait une bague de 0,5mm d'épaisseur, dur dur ! Si la bague est plus épaisse que ce qu'il faut, tu ne pourras effectivement pas faire la MAP à l'infini. Je ne sais pas quelle est l'épaisseur de ta bague, et tu ne dis pas non plus quel est le modèle de ta caméra. C'est beaucoup plus facile d'utiliser un objectif CANON sur une caméra ZWO car les boitiers CANON ont un BF nettement plus important (44mm si ma mémoire ne me trahit pas), l'arrière de l'objectif est forcément plus court. De quoi monter aisément un ensemble de bagues de montage. Est-ce que le montage est forcément impossible avec un objectif à monture NEX. Eh bien non. Le montage peut être réalisé, mais sous certaines conditions, que malheureusement tout le monde ne peut pas mettre en œuvre. A titre d'exemple, j'ai un SAMYANG 135 en monture NEX. Cet objectif peut être trouvé également en monture CANON. Sur cet objectif, il y a en fait une bague d'adaptation en fonction de la monture et 98% de l'objectif est commun. Cette bague est démontable et permet de gagner considérablement de la distance pour mettre une bague plus épaisse. J'avais usiné moi-même les bagues de montage et je pouvais faire la MAP sans problème pour l'astro. Je pouvais même décaler la plage de MAP pour obtenir un réglage "infini" bien avant la butée mécanique de l'objectif. L'avantage était de pouvoir motoriser l'objectif et de pouvoir faire de la MAP auto (courbe en V) qui nécessite d'aller au delà du point de focalisation optimal, ce qui n'est pas possible avec un montage standard. JP
  15. Utiliser un collimateur laser non collimaté est un non sens puisqu'il ne contribue en fait qu'à dé-collimater un télescope qui l'est (collimaté) ! La vérification de la collimation d'un collimateur laser (où plutôt de l'alignement du faisceau par rapport au corps), est un préalable incontournable. Comme tout instrument de mesure, il nécessite un contrôle périodique et un étalonnage (collimation) si nécessaire. Je me demande si ta langue n'a pas fourché ! Le laser à lui seul ne remplace pas l'OCAL. L'OCAL permet des réglages que le laser ne permet pas. Donc, si on a un OCAL, inutile d'utiliser un laser derrière, ce n'est pas l'inverse. Dit autrement, on utilise pas une règle (moins précise) après avoir utilisé un pied à coulisse pour mesurer une cote. Ce n'est pas tant la structure du télescope qui fait qu'il faille collimater le télescope à chaque utilisation, c'est le fait que le télescope garde ou non sa collimation durant un transport. Avec des systèmes bien rigides, il n'est pas forcément nécessaire de reprendre la collimation. Si par contre, tu sous-entends par le terme "serrurier", le fait qu'on démonte le télescope (ce qui peut se produire avec d'autres structures non serrurier), alors là oui, il faut nécessairement vérifier la collimation après assemblage. Dans ce cas, et pour les astrams qui ne font que du visuel (l'OCAL nécessite forcément un ordi), il existe le système CatsEye qui est un équivalent de l'OCAL, mais en pur visuel. Sur la base d'un ensemble de 2 ou 3 accessoires (le 3ème permettant de centrer le secondaire vis-à-vis du PO, donc utilisé rarement), il permet de collimater indépendamment le primaire et le secondaire du télescope, ce que ne permet pas le laser. Et comme pour l'OCAL, plusieurs itérations de collimation du primaire et du secondaire sont à effectuer, de manière à obtenir une collimation parfaite. Ne surtout pas s'arrêter au premier contrôle en pensant que c'est bon ! Avec un OCAL ou un CatsEye, la collimation est bien meilleur qu'avec un laser.
  16. Je vais remplacer mes obturateurs actuels (disque plein) par un boitier en impression 3D qui contiendra le panneau EL.
  17. De quel boitier parles-tu ? Le petit boitier qui contient l'électronique ou le boitier qui va contenir le panneau EL ? Concernant le petit boitier qui contient l'électronique, je pense que que vais l'ouvrir pour en récupérer l'électronique et supprimer le petit interrupteur. J'ai un boitier sur chaque lunette qui contient déjà des petits équipements (relais, module step-down, ..), je vais donc pouvoir incorporer cette petite électronique du panneau EL dans ces différents boitiers. Il y a un avantage certain que je viens de constater avec ce type de panneau. Contrairement aux panneaux led qui sont alimentés en 230V et sur lesquels on ne peut pas directement modifier l'intensité lumineuse par une variation de tension en entrée (il faut créer une alimentation directe du panneau pour que ça fonctionne), les panneaux EL alimentés en 12V peuvent voir leur intensité lumineuse réduite par une réduction de la tension d'alimentation. Je viens juste de faire l'essai et je constate qu'en faisant varier la tension en entrée, on fait effectivement varier directement la luminosité et ce d'une manière très régulière et sans effet secondaire (clignotement ou zones de luminosité hétérogène). Il devient aisé d'ajuster le niveau de luminosité de manière à caler le temps de pose des flats d'une manière optimale. Pour abaisser la tension en entrée, 2 possibilités existent. Mais auparavant, j'ai mesuré l'intensité de l'alimentation en fonction de la tension d'entrée. A la tension nominale de 12V, l'intensité est de 150mA. A 5V (le panneau est presque éteint), l'intensité est de 40mA. Les mesures aux tensions intermédiaires montrent une bonne linéarité de la variation d'intensité. On obtient une pente de variation d'intensité de 15mA par volt La première des possibilités est d'intercaler un module step-down, qui va permettre de régler finement la tension en fonction du temps de pose désiré. La deuxième possibilité est de mettre une résistance en série sur l'alimentation 12V du système. Il suffit d'appliquer la loi d'Ohm : Pour obtenir 5V, il faut intercaler une résistance de 12V-5V/0,04A = 175 ohms. La puissance dissipée est de 7V x 0,04A = 0,28W Pour une tension intermédiaire de 9V, il faut une résistance de 12V-9V/0,105A = 28 ohms. La puissance dissipée est de 3V x 0,105A = 0,315W Dans les différents cas, prendre une résistance de 1W pour avoir une marge sur la puissance à dissiper. L'avantage de la résistance est qu'elle est plus petite et plus facile à caser qu'un module step-down. Par contre, si on veut modifier la luminosité, il faut changer la résistance, alors qu'avec le module step-down, il suffit de tourner le potentiomètre. Pour ce qui est du diffuseur, il y a peut-être intérêt à en placer un quand même pour diffuser la lumière du panneau. A tester 😎
  18. C'est bien, tu viens de constater les avantages d'un pied fixe par rapport à un trépied.
  19. 0,4 quoi ? minute je suppose ! De toute façon, avec l'astrométrie, il y a peu de raison de ne pas avoir une bonne précision de pointage. Ce n'est pas le pieds de la monture qui fait le bon pointage, sauf si le pied est en caoutchouc. Après, si la monture présente peu, voire pas de jeu au niveau de la motorisation, ou si l’équilibrage de l'instrument est fait de telle manière que la motorisation est "contrainte" (ex : dans le cas d'une réduction vis sans fin/roue présentant un jeu, on décale les contrepoids pour être sûr que la vis sans fin est en permanence en contact avec la roue), le pointage par astrométrie peut être parfait. Le plus intéressant est de voir quel est le décalage de pointage lorsque la commande de pointage est transmise à la monture, et ce, avant la résolution astrométrique, ce qui traduit dans ce cas la précision de pointage de la monture et implicitement la qualité de mise en station. J'aurais tendance à dire qu'avec NINA et la correction par astrométrie, la précision de pointage de la monture devient presque secondaire Même si la monture pointe à 1° de ta cible, l'astrométrie va caler l'objet au centre du capteur. Il faudra peut-être un peu plus de temps, mais ça ira pile au centre. A ce stade, je ne remet pas en cause la qualité de la MES qui doit être la meilleure possible pour assurer un bon suivi de la cible. A titre d'exemple, avec mon newton sur ma GM2000 et une ASI2400MC, j'ai un écart moyen de pointage de 5 secondes sur toutes les zones du ciel, directement au pointage initial, sans astrométrie. NINA fait juste une petite correction pour centrer l'objet. Mais 5 secondes, avec ma caméra, c'est 5 pixels d'écart sur l'image, autant dire négligeable. Par contre, avec la FS60 et l'ASI2600MC qui est clampée sur le dos du newton, j'ai environ 360 secondes (700 pixels caméra) d'écart de pointage initial. C'est normal car la visserie de fixation présente un jeu qui est à l'origine de ce décalage mécanique. Lorsque NINA lance l'astrométrie, le pointage est généralement bon après 2 itérations, avec moins de 5 secondes de tolérance.
  20. A quel moment obtiens tu ces valeurs ? Avant ou après une résolution astrométrique ?
  21. Très bon résultat. Les détails sont bien mis en évidence au niveau des 2 galaxies. Dommage effectivement que tes 18h d’acquisition en Ha ne se voient pratiquement pas car il y a pas mal de zones Ha sur ces 2 objets. Mais, tu vas bien arriver à produire une V2 d’ici samedi qui les met bien en évidence 😄
  22. Je viens de recevoir mes 2 panneaux EL de 90 et 110 commandés sur Ali, pour une FS60 et une lulu de 80. Je constate que la luminosité surfacique est effectivement moindre que dans le cas d'un panneau led du marché, ce qui doit être plus facile à réduire pour avoir un temps de pose "optimal".
  23. Si c’est la partie driver uniquement que tu cherches, tu peux faire des recherches sur Github et sur Sourceforge en mettant « ascom driver wheel » en critère de recherche. Il y a notamment https://sourceforge.net/projects/myfilterwheel-ascom-diy/ qui a l'air assez complet, mais il faut faire le tour sur les 2 sites.
  24. Vu que tu as une monture Gemini, la façon dont je procède ne te servira pas. D'où ma question sur la monture que tu utilises. Pour information, avec une monture 10Micron, il est possible de lancer en automatique un modèle de pointage, certes destiné à améliorer le pointage et le suivi quelle que soit la portion de ciel visé. Mais, durant la séquence du modèle de pointage, la monture en "profite" pour quantifier l'erreur de MES. Il est ainsi possible d'obtenir la valeur d'écart rapidement et avec une grande précision. Il faut moins de 5 minutes pour réaliser un modèle de pointage à moins de 10 étoiles. Ensuite, on choisit une option "Réglage MES". En clair, on vise une des étoiles proposée par le système et on centre l'étoile à l'aide des réglages azimut et déclinaison de la monture. On peut faire 2 à 3 itérations pour peaufiner le réglage. En général, je m'arrête à 5 secondes d'écart. A cette valeur, les poses de 1200s donnent des étoiles parfaitement rondes. Pour finir, on lance un modèle de pointage entre 50 et 100 étoiles en automatique, qui dure environ 45 mn, mais on laisse faire le système, il n'y a rien à faire. Une fois terminé, on retrouve bien sûr l'erreur de mise en station qui est logiquement du même ordre que celle mesurée initialement et on obtient également la valeur moyenne de l'écart de pointage quelle que soit la portion de ciel visée. En général, je suis également à environ 5 secondes d'arc, ce qui donne environ 5 pixels d'écart de pointage avec mon échantillonnage de 1"/pixel. Au besoin, l'astrométrie se charge de recaler si nécessaire. Bref, dans ton cas, essaies de faire 2 à 3 itérations de MES pour voir si l'écart de MES se réduit. Et puis, si tu es tenté, essaies également avec NINA, mais c'est un autre monde que celui de SharpCap.
  25. C'est sûr que 5 minutes d'arc d'écart en poste fixe, c'est très important. As-tu essayé de faire 2 ou 3 itérations successives pour voir si le résultat s'améliore ? Pour avoir testé la MES à l'aide de SharpCap, j'avoue avoir été un peu déçu du résultat. Il y a également NINA (gratuit) avec son module "Three Point Polar Alignment" qui permet de faire de la mise en station. La séquence nécessitant 3 photos, il est probable qu'avec plusieurs itérations, tu arrive à plus précis qu'avec SharpCap. A titre de (mauvaise) comparaison, avec une 10Micron en fixe et NINA et en utilisant un modèle de pointage avec 9 étoiles, j'arrive en 2 ou 3 itérations à un écart de mise en station de 5 secondes d'arc. Quelle est ta monture ?
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