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Discret68

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Tout ce qui a été posté par Discret68

  1. En l’absence de précision du type de ton télescope, je suppose que c’est un SC8. À confirmer. Je suppose (là également tu ne le précises pas) que ton focuseur Pegasus est un FocusCube connecté sur la molette de déplacement du primaire. A confirmer. As tu regardé l’image après décalage de 300 pas (onglet image) ? Il se peut que tes étoiles soient énormément dé-focalisée, ce qui fait que Nina n’arrive pas à déterminer la hfr. Et le message d’erreur peut être effectivement être trompeur. Il faut savoir qu’avec un SCT, la focalisation par déplacement du primaire entraîne une variation de focus 25 fois plus importante qu’avec un focuseur placé en sortie de train optique. Dans des cas similaires, toujours sur des SC8, il fallait 5 pas entre 2 points de mesure pour obtenir une belle courbe en V. Le FocusCube et l’EAF ayant la même résolution, le réglage devrait être identique. Avant de chercher d’autres causes, commence par regarder les images avec des décalages de focus de 300 pas et avec des pas différents, moins ou plus pour voir à quoi ressemble les étoiles. Pour pouvoir mesurer l’as hfr, une étoile dé-focalisée doit ressembler à un petit rond plein et pas à un donut avec un trou noir au centre, ce qui traduirait une dé-focalisation beaucoup trop importante. Mets nous les images correspondantes.
  2. L'idéal serait effectivement de trouver un particulier ou un atelier qui pourrait t'aléser proprement le diamètre à 51mm. Il y en a pour moins de 5mn de travail. Si on était proche, je te ferais bien ta pièce, mais avec les frais de port aller/retour ..... ça va faire cher pour la durée du travail. J'étais "tombé" un jour sur un site qui permettait de mettre en relation des usineurs particuliers et des personnes ayant des besoins, mais impossible de retrouver ce site. Tu pourrais peut-être en trouver un dans ton secteur. Tu peux aussi contacter un atelier pro dans ton secteur. Comme je disais, vu la durée nécessaire de l'usinage, je pense que le tarif va être réduit. Virer le filetage à la Dremel n'est pas insurmontable si tu n'as pas 2 bras gauches. Après tout, tu as 1 petit mm au diamètre à éliminer et qui est constitué essentiellement par du filetage, donc 50% de matière en moins. Il suffit de maintenir la bague dans un étau et de polir le diamètre interne.
  3. En ce qui me concerne, avec la 2400MC, la connexion s'effectue bien (la température du capteur s'affiche et il évolue, preuve que la connexion est réelle), la photo s'effectue et le rapatriement de l'image est fonctionnel (une image réelle est bien visualisée). Avec la 2600MC, la connexion s'effectue correctement également (la température du capteur varie), mais le rapatriement de l'image ne s'effectue pas. Un message d'erreur me dit que la connexion USB n'est pas en service. Étrange cette différence entre 2 caméras de la même génération.
  4. Je ne vois pas pourquoi une caméra pourrait « souffrir » en intérieur. Idem pour le refroidisseur, ou alors, je n’ai pas compris le sens profond de la problématique potentielle. Les caméras qui sont dans mon abri astro en permanence sont soumises à des conditions extrêmement évolutives.. L’hygrométrie peut s’approcher des 80%, voire 100% lorsque le toit est ouvert. Côté température, abri fermé en plein soleil en été, elle peut monter à 40°. Et en hiver, la température intérieure est proche de celle à l’extérieur. Comme Tyler et beaucoup d’autres, je reste sous les 80% de puissance au niveau Peltier. A titre de complément, j’ai une allsky à base d’une ASI120MM. La caméra est dans un boîtier étanche et un dôme en acyclique recouvre la caméra. En plein été, la température peut monter à 50° dans le boîtier. Ce qui signifie que le capteur est à une température encore plus élevée. Ça fait 6 ans qu’elle est en service et elle ne semble pas vouloir rendre l’âme. Tout ça pour dire que les caméras astro sont quand même relativement résistantes.
  5. Ben non, tu as vraiment lu en diagonale ou pas, c'est Gerard33 qui a abordé la solution de ventilation naturelle et moi après qui ai enfoncé le clou avec une ventilation forcée ! 😄 Bon, allez, on ne va tout de même pas jouer à celui qui pisse le plus loin
  6. En regardant le lien de danielo, la bague a bien du M54 en sortie mais c'est du 2,56" en 24 filets au pouce en entrée. A moins que le lien ne soit pas le bon ! Il est vrai que 2,56" fait 65,024mm et 24 filets au pouce donne un pas de 1,06mm. Ça peut passer ! Faut tester !!! En plus, la bague n'est pas disponible pour le moment. Et on sait ce que sont les délais annoncés actuellement ! Mais si tu n'as pas effectivement de clicklock pour le moment, avec la bague M65/M68, tu peux monter directement le clicklock M68 : https://www.baader-planetarium.fr/bagues/7720-bague-clicklock-2-cl-m68-aaa40aaazeissaaa41aaa-4047825022493.html
  7. C'est la première solution qui a été apportée dans cette discussion !
  8. Chez APM, il pourrait y avoir une solution : Une première bague M65 femelle / M68 mâle : https://www.apm-telescopes.net/de/ts-optics-m68x1-zeiss-level-adapterring-fur-ts-25-wynne-korrektor-und-tele-vue-korrektoren Une deuxième bague M68 femelle / M48 mâle : https://www.apm-telescopes.net/de/ts-optics-m68-system-adapter-von-m68-auf-m48x075mm Apres, il reste l’usinage sur mesure d’une bague M65/M48 par exemple par Skyméca, mais en ce moment, le délai de réponse n’est pas garanti.
  9. C'est pas faux ! Un module peltier a un rendement exécrable par rapport à une résistance chauffante. Et de plus, produire du froid ne sert à rien dans ce cas de figure. Alors pour déshumidifier un local relativement étanche, je dis oui à ce genre de système (c'est un dérivé de ce que je citais précédemment en tant que groupe frigo). Mais pour protéger un équipement dans un local ventilée, ce n'est pas la panacée. Effectivement, l'objectif étant de passer la température localement au dessus du point de rosée. L'inconvénient que j'y vois, c'est que cela nécessite une alimentation permanente. Au vu des photos, je ne sais pas si Mick02 dispose d'une alimentation à demeure dans son abri. Je ne vois rien, mais peut-être qu'il y a une arrivée 230V cachée par le pilier.
  10. Tu vois, tout finit par arriver, depuis ce temps que tu attendais ce moment 😃
  11. Merci à toi. Non, je n'ai jamais de problème de condensation, sauf comme je l'ai dit plus haut, lorsque je fais des acquisitions durant une nuit complète et que le toit est ouvert. A ce moment, il n'est pas possible de lutter contre le dépôt de rosée ! Mais une fois le repli effectué et le toit fermé, ça sèche relativement vite. En tout cas, je n'essuie jamais rien. Et comme tu pourras le constater ci-dessous, ce ne sont pas les équipements électroniques qui manquent, et qui sont soumis à l'air ambiant. Moi, c'est pareil, mon abri fait 2m x 2,20m et je pilote tout depuis la maison. Les 2 écrans qu'on voit sur la photo (ancien poste de commande) pourraient être retirés. Par contre, attention. Ces dimensions allaient bien avec mon premier tube (un MEADE RCX400 de 10") surtout avec une monture à fourche qui donne un volume compact à l'ensemble. Depuis, j'ai changé de matériel. Forcément, on a toujours tendance à vouloir un peu plus gros. Actuellement, j'ai un newton de 300 en f/d4 qui ne fait que de l'astrophoto (avec une ASI2400MC, une RAF, un correcteur 3" et un focuser/rotateur Integra85 3"). Et sur son dos, il y a une Takahashi FS60 avec une ASI2600MC, le tout monté sur une 10Micron GM2000HPS. Ça passe tout juste le long des murs. Sur le coté droit, il reste 1 cm de jeu entre l'arrière du tube et le mur lorsque le setup est en mouvement. La flèche montre le mini-PC (i7-8750 avec 16Go de RAM un 1To de SSD) qui est directement fixé sur le coté du newton et qui me permet de piloter les 2 configurations en direct. Comme ça, il n'y a plus de HUB USB et moins de soucis. Il y a également 3 autres boitiers le long du newton : Le 1er avec une carte relais qui me permet de piloter tous les accessoires à distance en manuel ou en automatique (alimentation caméras, focusers, ventilateur newton, manœuvre des obturateurs, mettre en route le PC ou forcer l'arrêt en cas de plantage dur). Le 2ème boitier contient un Raspberry Pi avec lequel je gère les résistances de désembuage des 2 setup. Un capteur externe mesure en permanence la température et le taux d'humidité ambiant, ce qui me permet de calculer le point de rosée et moyennant une marge de sécurité, les résistances chauffantes (miroir secondaire et correcteur pour le newton, objectif de la FS60) se mettent en route si nécessaire. Le 3ème est un Hub Ethernet qui me permet de gérer tous les équipements depuis l'ordi de la maison. Tout ce système est automatisé à pratiquement 100%. Le repli complet des systèmes (mise en position du newton pour fermeture de l'obturateur, park monture, fermeture du toit, coupure des alimentations, ...) s'effectue à la fin des acquisitions. Il ne me manque que la connexion entre le CloudWatcher (qui surveille l'état du ciel) et l'ordi de pilotage pour qu'un repli puisse également s'opérer si des nuages venaient à pointer le nez. J'évite simplement les nuits à risque. Conclusion : si tu peux faire un abri un peu plus grand, n'hésites pas. En plus c'est plus facile pour intervenir sur le matériel !
  12. Alors là, je ne partage absolument pas ta vision du phénomène. Il te suffit de chercher "condensation" sur le net et tu constatera que notre ami a réuni toutes les conditions pour que de la condensation se forme : humidité (sol à nu avec une terre qui est naturellement gorgée d'eau.La rosée du matin est une bonne source d'alimentation), aération insuffisante (bas très ouvert mais haut très peu ouvert), parois froides tôles acier (bonne conductivité thermique, ... Nous sommes presque dans le cas d'une piscine dite couverte. J'exagère à peine ! Isoler l'intérieur ne servira à rien, bien au contraire. Tout ce qui condense sur les parois permet d'assécher l'air (c'est relatif), mais pas suffisamment pour éviter la condensation sur le matériel. Et il ne suffit pas d'éliminer un seul des critères pour que le phénomène disparaisse, ou alors, dans des proportions importantes qui ne sont pas tenables sur le long terme. Il suffit de regarder le diagramme de Mollier relatif à l’humidité dans l'air : Exemple : à l'instant t, on mesure la température qui est de 14° et un taux d'humidité de 70% (flèche bleue verticale). Au cours de la soirée, la température diminue, le taux d'humidité augmente. Si la température descend vers les 8°, le taux d'humidité de l'air monte à 100%. L'air n'est plus en capacité d’absorber de l'eau. Si la température continue à diminuer, l'humidité va se condenser et se déposer sur toute les surfaces présentant cette température. Certains système de déshydratation de l'air s'appuie justement sur la baisse de température (groupe frigo) pour condenser l'humidité. Il suffit de voir le sol sous une voiture dont la climatisation a fonctionné pour s'en rendre compte. Isoler les murs ne sert à rien puisque l'abri est ouvert et la température de surface de l'isolant est au contact de l'air saturé. Ça condensera sur l'isolant. Un isolant thermique n'a d'intérêt que si l'intérieur du local est totalement isolé de l'air extérieur, et dans lequel on maitrise le taux d'humidité, ce qui ne peut pas être le cas dans un abri astro. Assécher l'air dans l'abri pourrait être un bon levier, mais pas évident et très couteux à mettre en application. Chauffer l'air intérieur est une ineptie puisqu'il faut que tous les équipements soient à la température ambiante pour éviter les turbulences. La seule chose contre laquelle on peut espérer faire quelque chose, c'est "gérer tant bien que mal" le taux d'humidité. Et là, seule une bonne ventilation (naturelle ou forcée) peut permettre de réduire, je ne dis même pas supprimer, le phénomène de condensation. Associée à une structure dont la conductivité thermique est plutôt mauvaise (exemple : bois avec ou sans isolant) et une étanchéité au niveau du sol pour éviter les remontées du sol, il n'y a aucun risque de condensation lorsque l'abri est fermé. Seul cas où de la condensation peut apparaitre, c'est bien évidemment lorsque le toit est ouvert et que la température baisse et que le taux d'humidité est élevé. Cela fait 8 ans que j'ai un abri astro construit selon ces principes et je n'ai jamais eu la moindre trace de condensation lorsque le toit est fermé. J'ai un capteur de température et d'hygrométrie qui mesure en permanence les conditions à l'intérieur; Lorsque mon abri est ouvert une nuit entière, il y a effectivement de la condensation sur la monture et le newton. Mais assez rapidement après avoir refermé le toit, le séchage s'effectue naturellement. Juste pour ceux que ça peut intéresser, voici la présentation de la construction de mon petit abri : http://astrowick.fr/index.php/observatoire/construction
  13. Certes, mais prévois d’emblée de t’isoler du sol (dalle ou autre), sinon c’est peine perdue.
  14. Tout ce que tu feras ne servira à pas grand chose tant que tu resteras sur de l'herbe ! L’eau contenu dans la terre ne cessera de s’évaporer et condensera sur tes équipements à chaque fois que la température diminuera, c’est à dire tous les jours ! L’abri en tôle est également un choix inopportun. Tu seras toujours embêté avec le ruissellement le long des parois. Un autre astram savait eu la même démarche que toi et n’avait pas voulu prendre en compte les recommandations qui lui étaient faites par plusieurs intervenants ( ne pas installer un abri en tôle). Il en avait quand même installé un. Au final, il ne pouvait que constater que ça ruisselait de partout. En plus, avec la piètre qualité du traitement des tôles, ça finit par rouiller de partout. Il est également illusoire de croire qu’il est possible d’obtenir une protection étanche avec un sac en plastique ou une bâche. Cela ne permet que de protéger les équipements des ruissèlements du toit, mais la condensation s’effectuera quand même sur le matériel. On ne peut lutter contre l’humidité qu’avec un conteneur (sac ou autre) 100% étanche. Quand je vois avec un boîtier d’allsky toute la difficulté pour éviter que le taux d’humidité se dégrade dans le temps, ce n’est pas un sac qui va permettre de lutter. Comme dit dans ma présente réaction, rester sur de l’herbe, c’est comme s’être installé sur une flaque d’eau.
  15. Sans dalle au sol, l’humidité de la terre remonte en permanence. Dans ce cas de figure, il faut une super ventilation (motorisée) pour renouveler l’air intérieur. L’idéal étant d’arriver à isoler le sol. En ce qui me concerne, mon abri est sur une dalle en béton et je n’ai jamais eu de problème de ce genre. J’ai de petites grilles de ventilation placées au bas des murs qui permettent une circulation naturelle de l’air avec le jeu présent entre les murs et le toit roulant.
  16. Tu devrais jeter un coup d’oeil Chez Payer One : https://player-one-astronomy.com/ Il y a notamment la Neptune-C II. De part son capteur, elle offre un champ plus grand que ce que permet la 224. Pas tellement utile pour les planètes, mais surtout pour faire du lunaire. De plus, la taille de ses photosites (2,9 microns) est plus adaptée à ton setup par rapport à l’ASI224 qui a des photosites de 3,75 microns. J’ai justement commandé une Neptune-C II qui est arrivée en 5 jours et sans frais supplémentaires. A ce titre, je t’invite à te rendre sur de site de Christophe Pellier qui présente de nombreux articles sur la pratique du planétaire : https://www.planetary-astronomy-and-imaging.com/ En t’inscrivant sur cette page https://www.planetary-astronomy-and-imaging.com/reussir-images-planetaires/ , tu pourras télécharger le guide « Réussir ses images planétaires » . Il y a notamment un paragraphe concernant le choix de l’échantillonnage et de la caméra en fonction du setup utilisé.
  17. Salut Arnaud. Tu veux faire plein de choses pas forcément possible facilement et en plus pour pas cher ! 😚 Pour faire du visuel assisté, tu peux aussi regarder les cameras planétaires chez Player-One : https://player-one-astronomy.com/planetary-camera/ On dit planétaire car l’absence de système de refroidissement les destine préférentiellement au planétaire, mais ces caméras sont utilisables en ciel profond en courtes poses. Il y a notamment la Neptune- C II qui est intéressante par rapport à ton budget. Elle offre un capteur de taille plus importante que l’ASI224, pas forcément intéressant pour du planétaire, mais plus pour la Lune et le ciel profond. Le champ est plus important. De plus, cette caméra est plus rapide que la 224. Tu peux la piloter avec SharpCap (par exemple) qui permet de faire de l’empilement en direct. Pour info, j’ai commandé une caméra directement sur le site Player-One. Elle a été livrée en 5 jours, et pas de frais supplémentaire au tarif annoncé. JP
  18. Juste pour info, dans Windows 10, il est possible de changer de symbole décimal par défaut ; passer du point à la virgule et vice-versa. Il faut ouvrir le panneau configuration puis aller dans "Région". En cliquant sur le bouton "Paramètres supplémentaires" situé en bas à droite, un 2ème dialogue s'ouvre et il est possible de choisir le "Symbole décimal". Attention néanmoins car la conversion est active sur tous les documents contenant des chiffres décimaux. Mais il est facile de modifier à nouveau le critère si ça pose plus de problème que ça n'en résout.
  19. Ultérieure ou antérieure ? Dans tous les cas, quand tu es sur la page d'accueil, tu sélectionnes la page "Prévisions quotidienne des passage des satellites les plus brillants" : Tu choisis le mois et le jour (la date en fait) et tu cliques sur le bouton "Actualiser" pour que la liste des satellites se mette à jour. D'autres critères peuvent être modifiés (magnitude mini, exclusion des Starlink, ..). Après modification, il faut à nouveau cliquer sur le bouton "Actualiser". Une fois que la liste est à jour, tu peux cliquer sur l'heure de culmination de n'importe quel passage pour avoir une visualisation de la trajectoire dans le ciel. Ne pas oublier de mettre à jour ta localisation pour que le tableau soit représentatif de ton secteur. Il suffit de cliquer sur "unmamed" ou sur les coordonnées dans le cartouche en haut à droite pour accéder à une page de localisation où tu peux chercher tes coordonnées soit sur la carte ou en mettant le nom de ta ville.
  20. C’est sûr qu’avec un chercheur de ce type, tu ne vas pas faire des miracles. Déjà, on voit bien quand même que c’est M31. En plus de ce que tu supposes être un potentiel défaut optique, n’y aurait-il pas également un problème de mise au point ? Comment as tu procédé pour la mise au point ?
  21. Le résultat est prometteur. Je parlais justement de la capture en poses courtes sur ciel profond à un astram qui veut faire du planétaire et possiblement, du CP. Tes images tombent à pic. Question : qu’est-ce qui fait que la moitié des poses n’ont pas été retenues ?
  22. Sur le site HEAVENS ABOVE, tu peux revenir sur les jours passés. Tous les satellites ne sont pas disponibles, mais il y a les plus lumineux. J’ai fait un test en mettant la date au 30 septembre et le tableau s’est mis à jour : https://www.heavens-above.com/AllSats.aspx?lat=48.0811&lng=7.3604&loc=Unnamed&alt=0&tz=CET Il faudra que tu mettes à jour les coordonnées de ta localisation et la date recherchée.
  23. Salut @laurent5213 Je partage tout à fait les propos de Ney. Juste quelques compléments par rapport à tes dernières questions. Sur le site de Christophe Pellier, tu t'inscris sur cette page https://www.planetary-astronomy-and-imaging.com/reussir-images-planetaires/ et tu pourras charger un ouvrage qui apporte des éléments concrets sur le planétaire. Notamment par rapport à la question que tu poses sur la taille des photosites de la caméra. Tu découvriras dans ce document qu'il y a une relation entre taille des pixels de la caméra. En pratique, il faut viser un rapport f/d global de 5 fois la taille des photosites. Pour une caméra qui a des pixels de 2,9 microns, la rapport f/d global doit être de 2,9 x 5 soit 14,5. Pour en avoir discuté avec Christophe Pellier, lorsqu'on arrive pas exactement au bon rapport f/d, il est plutôt préférable de retenir un rapport f/d supérieur. Mais bon, ce n'est pas ça qui va faire basculer d'une manière drastique la qualité des images. Du moment qu'on se situe dans la zone, c'est tout bon ! Dans ton cas, il est préférable de faire du planétaire avec le newton, plus l'ouverture est grande, meilleure sera la résolution de l'image. Il est possible également d'en faire avec ta lunette. Sur une monture équatoriale, c'est plus facile pour faire du suivi qu'avec le dobson ! Et avec ta barlow actuelle de 2x, ça ira très bien avec une caméra ayant des photosites de 2,9 microns. Avant d'investir dans une barlow 3x, tu peux très bien faire des essais avec ton newton et ta barlow 2x. Tu verras si tu arrives à suivre la cible avec le dobson. Ton newton a un rapport f/d de 1200/254 soit 4,7. Avec ta barlow de 3x, tu arrives à rapport f/d global de 4,7 x 3 = 14,1. En appliquant la recommandation de Christophe Pellier, la taille préconisé pour les photosites serait de 14,1/5 soit 2,82 microns. La taille approchante est 2,9 microns, comme l'ASI224MC que cite Ney. je te laisse faire le calcul pour ta lunette. Coté choix, il n'y a pas que ASI, il y a d'autres constructeurs. Si tu regardes par exemple chez Player-One https://player-one-astronomy.com/planetary-camera/ , il y a le modèle Neptune C-II qui est certes un peu plus chère que l'ASI224MC, avec des photosites de 2,9 microns, mais qui offre de meilleures performances. Un capteur plus grand et surtout, une vitesse d'acquisition accrue. La taille de ce capteur est intéressante pour faire de l'imagerie lunaire. La surface captée est plus importante qu'avec l'ASI224MC. Pour du planétaire, il est possible de réduire la taille de l'image (du ROI comme on dit : Region Of Interset). On peut par exemple passer la taille des acquisitions de la taille du capteur (2712×1538) à une taille très réduite (640x480 par exemple), ce qui permet d'augmenter d'une manière très importante la vitesse de capture des images. Il faut aussi l'ordinateur qui permette de suivre la cadence. De toute façon, en planétaire, vu les instruments qu'on utilise, on n'a guère besoin d'un capteur de grande taille. Néanmoins, pour faire du CP, c'est mieux d'avoir un capteur plus grand afin de disposer d'un champ plus important. Je viens justement de commander une Neptune C-II directement chez Player-One. Elle est à 329$ et elle est arrivée en 5 jours, et sans frais annexes (douane, ...). Sinon, il y a également le modèle Mars C-II qui est à 299$ et qui est l'équivalent coté capteur de l'ASI662MC avec une même taille de photosites (2,9 microns) et un capteur un peu plus petit (1920 x 1080 au lieu de 2712 x 1538 pour la Neptune C-II, ce qui fait une surface double de la Mars C-II, intéressant en ciel profond). L'intérêt que je vois avec une caméra de ce type (non refroidie et d'un tarif "raisonnable") est de pouvoir faire un peu de ciel profond en utilisant la technique dite de Lucky Imaging (capture ciel profond en poses courtes). Je te laisse le soin de faire quelques recherches sur le sujet si cela t'intéresse. Ah ça, tu vois, je n'y crois pas beaucoup 😃. Je pense au contraire que tu viens d'ouvrir la boite de Pandore. Les questions vont fuser !😉 JP
  24. Pour tout ce qui est satellites (y compris l’ISS), tu as ce site riche en information temps réel et à venir : https://www.heavens-above.com
  25. Effectivement, j'ai fait l'amalgame entre tes propos de la page 1 de la discussion sur les filtres et les 2 scripts de Siril « Couleur_Extraction_Ha » et « Couleur_Extraction_HaOIII » qui comme leur nom l'indique permettent d'extraire le Ha et le OIII pour faire principalement du HOO. D'où la 1ère question que je m'étais posé vis-à-vis du NB3 et de l'extraction du SII. Avec quoi l'extraire ? C'est en regardant la longueur d'onde du SII que je me suis rendu compte qu'elle est très proche du Ha. La 2ème question que je m'étais posé, c'est comment fonctionne le script « Couleur_Extraction_Ha », et est-il compatible avec l'extraction du SII ? Je me disais bien que ce script ne pouvait que séparer les 3 couleurs de base RVB. Je ne connais pas de process informatique qui permettent d'extraire une longueur d'onde au choix. Donc, en décortiquant les 2 scripts Siril avec la documentation à disposition, j'ai vu qu'une des commandes utilisées avait bien pour objectif d'extraire les couches R et VB. Ma conclusion première était finalement de dire que le script Ha permet également l'extraction du SII ! Mais je souhaitais en avoir la confirmation. Je ne sais pas ce que tu en penses, mais il serait peut-être intéressant que dans ta conclusion de la page 1, tu mettes une petite phrase concernant le mode d'extraction des différentes couleurs pour faire du HOO et du SHO. En quelque sorte, une rapide synthèse de ce que tu as écrit en début de page 9 👍
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