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Discret68

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Tout ce qui a été posté par Discret68

  1. Et moi qui me plains de ma HFR à 3 et des poussières ! Tu as toujours des valeurs de cet ordre (environ 5,6) ? Le résultat est plutôt bon et prometteur. Tu as quelle valeur de fond de ciel (en adu) sur tes brutes ?
  2. Je ne pense pas qu'un "acharnement" sur cette galaxie en vaille la peine. En ce moment, il y a plein d'autres galaxies qui méritent le détour.
  3. Ton résultat est tout à fait correct. C'est une galaxie qui ne révèle pas énormément de détails. Je la trouve finalement assez uniforme (je parle de la galaxie). Je l'ai imagé durant un créneau de 2h20' avec le newton de 300 et l'ASI2400MC, et elle ne me laisse pas un souvenir impérissable : http://www.astrosurf.com/topic/166912-ngc4236-une-galaxie-très-discrète/?tab=comments#comment-2378369 JP
  4. C'est vrai, il y en a un "certain nombre" qui présente le même mode de fonctionnement !
  5. Je me demande pourquoi nous essayons d'aider @roza, car après avoir lancé cette discussion et malgré les différentes suggestions que nous lui avons proposé, il n'a aucune réaction ! A croire qu'il n'a que faire de l'aide proposée. J'adore ce genre de comportement 👎👎 JP
  6. Pour la minute nostalgie, mais quand même en relation avec la construction en bois, mon père avait fabriqué vers 1965 un dériveur (un vaurien) en contreplaqué marine et couches de peinture de l'époque en monocomposant. Je vous laisse imaginer la tête de ma mère lorsque mon père a occupé la salle à manger de l'appartement (au rez de chaussé heureusement, plus facile quand même pour sortir de voilier à l'extérieur) pour faire le montage du voilier 😄 On l'a jeté 20 ans après parce que plus personne n'en voulait, les 420 et 470 en fibres de verre étaient devenues les rois du nautisme. La partie bois était encore en bon état. Et pourtant, il était souvent dans l'eau le bougre ! La partie motorisation et automatisation est encore une belle étape à franchir avec quelques choix techniques à opérer. @gerard33 est passé par là il n'y a pas si longtemps. D'ailleurs, nous n'avons plus eu de nouvelles sur cette coupole ! JP Si c'était un vrai médium, il t'aurait prévenu qu'il partirait en choucroute (désolé pour l'image, mais je suis en Alsace) 😉
  7. Beau projet en effet 👍 Comment vas tu garantir la bonne étanchéité à l'eau au niveau des différents panneaux de bois ? Et d'une manière générale, quel type de traitement externe (peinture, fibre de verre, ...), voire interne as tu prévu ? Car le bois a toujours tendance à se déformer en présence d'humidité. J'ose espérer que tu vas motoriser l'ensemble (rotation coupole et O/F cimier). Sinon, ça serait un peu dommage.
  8. Tout dépend effectivement de la partie mécanique du focuser et de la démultiplication réelle entre axe de manœuvre et déplacement du focuser. C'est très différent d'une équipement à l'autre. A titre d'exemple, avec le focuser/rotateur de mon newton (un Integra85), il y a188600 pas moteur pour 10mm de course (résolution de 0.053 micron par pas moteur). Ce qui fait qu'avec NINA, j'ai 1500 pas focuser entre 2 pas de mesure de la HFR et 5 points de mesure. A contrario, sur la lulu de 80 avec un USB Focus V3, j'ai 40 pas entre 2 mesures de HFR. Et sur la FS60 avec le FocusCube, c'est 80 pas. Sur un SCT, où on agit par déplacement du primaire, c'est encore bien plus faible. Sur des C8, j'ai fréquemment vu une valeur de l'ordre de 5 pas entre 2 points de mesure de la HFR. Le déplacement du primaire occasionnant une variation de focus d'environ 10 fois le déplacement du primaire, il faut y aller mollo. C'est pour cette raison qu'en général, je ne précise pas le nombre de pas moteur nécessaires pour faire la courbe, mais je préconise la méthode simple qui consiste à relever la position (à peu près) du moteur là où la HFR est la plus basse et de trouver la position pour une HFR de 3 à 4 fois la valeur mini lorsque c'est une lunette et d'environ 2,5 fois lorsque c'est un télescope à miroir. Avec un télescope (newton, SCT ou autre), la dé-focalisation génère des étoiles en forme de donuts, et ça, NINA n'apprécie guère. Ensuite, il suffit de diviser le delta entre les valeurs mesurées par le nombre de pas de mesure. Et roule ma poule !
  9. Je pense que tout a été dit par les copains, donc préconisations à mettre en œuvre dans l'ordre (Hocus Focus, temps de pose, réglage du zéro mécanique, inner crop ratio, ...). J'ai également un Focus Cube sur une de mes lulus qui fonctionne sans problème, la MAP auto avec NINA étant réussi à 100% dans tous les cas. Par contre, un point qui peut être important pour les réglages de l'autofocus, tu ne précises pas quel type d'imageur tu utilises (lulu, newton, ...). Selon le type d'instrument, il peut y avoir quelques subtilités concernant les réglages.
  10. Ces tests ne sont pas empiriques mais correspondent bien à une méthode fiable et surtout précise ! Il existe des vidéos sur le net présentant la même procédure de détermination de l'offset caméra, mais effectuée avec SharpCap. Néanmoins, il est plus aisé d'interpréter une liste de (vraies) valeurs mesurées par NINA qu'un histogramme SharpCap.
  11. Effectivement, si tu utilises Pix pour le pré-traitement (de mon coté, je n'utilise Pix que pour le traitement), il faut qu'un autre utilisateur de Pix te conseille sur cette question. Pour l'analyse du capteur via SharpCap, c'est un peu sport dans le sens ou il faut une plage de luminosité qu'un panneau flat ne peut généralement pas apporter. En tout cas, c'était le cas pour moi. J'ai fait les tests en visant le ciel, mais là aussi, il faut se trouver dans une plage de luminosité pour que SharpCap puisse faire les mesures. En fait, j'ai trouvé le bon créneau au coucher du Soleil. Il faut se préparer et lancer le process de temps à autre jusqu'à ce que SharpCap te dise que la plage de luminosité est la bonne. Et les tests peuvent commencer. Je suis mitigé sur le fait de ne pas utiliser de darks. Il y a toujours des pixels chauds qui peuvent apparaitre. Moyennant un bon dithering, ça peut le faire. Un autre point est également de bien régler l'offset caméra, qui n'a rien n'a voir avec l'offset image en terme de valeur, mais les les 2 offsets sont quand même implicitement liées. Avec l'ASI2400MC, l'offset caméra était réglé de base à la valeur de 30. Toute image (bias, dark, brutes, flat) présentait de fait un niveau mini de 960 adu. Avec NINA, j'ai fait les mesures et je suis descendu à un offset caméra de 6 pour avoir un offset image dont les valeurs les plus basses sont proches de zéro (24), mais toujours supérieures à zéro. Avec la 2600MC, la valeur d'offset caméra à 30 est optimale, on est proche de zéro. Réglage offset caméra 2400MC : Avec la 2600MC : la valeur 30 est optimale : JP
  12. Sàlü Bäckser 😄 Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris le fond de ta question dans le sens où tu ne précises pas le logiciel que tu mets en œuvre pour le pré-traitement de tes images ! A titre d'exemple, dans APP, on peut utiliser soit un lot de darks et de bias, soit les masters correspondants qui ont été créés lors de la première utilisation de ces lots de darks et bias à l'occasion d'un pré-traitement de brutes. Cela évite au logiciel d'avoir à recréer les masters lors des pré-traitements suivants. On se crée ainsi une bibliothèque de masters darks et masters bias en fonction des temps de pose mis en œuvre. Tout à fait. Oui, c'est le plugin "Exposure Calculator" que tu dois installer. Un icône qui représente une calculatrice sera présent dans le bandeau supérieur de la fenêtre "Acquisition". Et là, effectivement, tu peux exploiter les données collectées avec les tests du capteur via SharpCap. Par contre, inutile de prendre à la lettre le temps de pose indiqué. Il faut standardiser les temps de pose pour éviter d'être obligé de faire des quantités de darks selon les temps de pose. Lorsque tu arriveras à mettre en œuvre ce plugin, j'aimerais bien connaitre les résultats que tu obtiens afin de comparer nos résultats. En tout cas, j'obtiens à peu près les mêmes résultats en déterminant le temps de pose avec la règle des 3sigma et le calcul de temps optimal avec NINA. JP
  13. Bon rendu de cette galaxie avec une image très propre et une bonne définition. JP
  14. Effectivement. Je viens de lancer une séquence à 22h30 pour cette nuit et le transfert des fichiers s'effectue bien entre les ordis. Par contre, bonjour madame la Lune, le fond de ciel est pas top ! JP
  15. Moi qui me suis "amusé" à développer une petite application qui surveille continuellement un dossier dans lequel se place les images de la séquence pour les transférer immédiatement dans un autre dossier situé sur l'ordi de traitement, ce plugin aurait pu me simplifier d'emblée la vie 😚 Concernant Robocopy, je suppose que le mieux est de placer l'instruction "Robocopy Start" dans les déclencheurs globaux en début de séquence avancée ? Dès que la séquence acquisition est lancée, je lance également CCD Inspector sur l'ordi d'arrivée des images, qui analyse les images lui aussi au fil de l'eau. Et au petit matin, j'ai ma séquence complète sur l'ordi traitement avec le bilan de l'analyse CCD Inspector. Je peux ainsi réaliser une première sélection avant de lancer l'empilement avec APP. C'est justement parce que j'ai un débit limité (wifi) entre mon abri et la maison que je cherchais à simplifier les transferts ! Avec un débit de 2,5Mo par seconde, il faut quasi 20s pour le transfert d'une image. Alors quand la séquence contient de 300 à 600 images, le transfert en bloc prend un temps fou. J'ai plus vite fait d'aller raccorder un SSD externe sur l'ordi acquisition pour faire la copie des fichiers. Avec le transfert au fil de l'eau, même avec 20s de durée de transfert, c'est couvert par le temps de pose des images de la séquence, donc pas d'engorgement sur la partie transfert.
  16. Oui et non, car vu l'évolution des volumes de stockage disponibles et la baisse des coûts de ces supports, on arrive assez facilement à conserver les images. Pour donner un exemple, j'ai un disque dur de 8To dédié uniquement au stockage des images astro (toutes les brutes et les images des différentes phases de traitement). En réalité, un disque annoncé à 8To dispose de 7,3To effectifs. A ce jour, j'ai environ 36000 brutes natives issues de l'ASI2400MC (48Mo unitaire) et 1600 de l'ASI2600MC (52Mo unitaire). Plus un nombre réduit d'images issues du 450D 😄 , de la G2-8300, de la QHY10L et de l'A7S. Vu les temps de pose de l'époque, le nombre d'images et surtout la taille des images, l'occupation disque est faible. Je stocke également un certain nombre de vidéos pour du planétaire. Et plus tout un tas d'autres images en lien avec l'astro. Le nombre de brutes de la 2400MC est important car vu la sensibilité de cette caméra, les temps de pose sont relativement courts par rapport aux pratiques habituelles. Je suis à 60s max par brute, ce qui entraine un nombre important d'images pour un objet donné. Avec la 2600MC sur la lulu de 80, je suis dans les 300s en pose unitaire, donc beaucoup moins d'mages au final par rapport à la 2400MC. Bref, si je prends une moyenne de 50Mo par image, mes 40000 images représentent une occupation de 2 To. De plus, en empilant à chaque fois que possible les images en drizzle 1,5 voire 2, les images d'empilement et de chaque pas de traitement successif passent à 1,2Go chacune. Aujourd'hui, mon disque est occupé à 50%, ce qui me laisse encore de belles années devant moi avant d'être obligé de prendre des mesures. Si j'utilisais uniquement une 2600MC (sur la lulu comme sur le newton), j'aurais encore beaucoup plus de marge. Oui, mais même si les logiciels d'empilement font moins de progrès comparativement à ceux destinés au traitement, je me dis que partout où je peux gratter, c'est du plus pour l'image finale. Mon point de vue n'a rien de dogmatique et je comprends très bien les différentes démarches mises en œuvre par les uns et les autres. JP
  17. Quel dommage de supprimer toutes les brutes, mais bon, c'est un choix. Je me rends compte que j'ai bien fait de conserver mes anciennes brutes, les logiciels d'empilement et de traitement ayant bien évolué, il y a de quoi obtenir un résultat sensiblement meilleur avec les brutes d'hier ! Si on avait 300 nuits exploitables par année, je dis pas, mais avec le peu de nuits dont on dispose, on est parfois content de ressortir les anciennes images.
  18. Salut Guillaume. Beau projet que d'aller faire du remote en Espagne ! C'est effectivement plaisant, mais pas dénué de surprises. Si tu n'as jamais fait de remote, tu as intérêt à bien déverminer le système en local car il peu y avoir. Quand le matériel est à proximité, ça va bien, mais à longue distance c'est moins facile. Moi qui ai mon abri en remote dans le jardin depuis plus de 6 ans, j'en ai eu des surprises auxquelles je ne m'attendais pas. D'un autre coté, ce ne sont pas les mêmes cibles que tu vas viser. Avec la lulu, ce sera plutôt les nébuleuses, à part évidemment quelques galaxies de grandes dimensions (M31, ...). Mais il est vrai qu'avec une lulu, il y a beaucoup moins de tracas qu'avec un télescope. J'ai quelques petites questions : le setup tel que tu le présentes n'est peut-être pas encore complet pour son départ. Quid de la résistance chauffante pour l'objectif ? As-tu prévu un obturateur motorisé, avec éventuellement un panneau EL pour les flats ? Vu qu'en Espagne, il fait très sec, avec le vent, le matériel est vite sous la poussière. J'étais passé un jour par Nerpio et j'ai vu l'état du matériel, c'était bien poussiéreux et ça faisait un peu peine à voir. Je suis un peu mitigé avec l'ARCO car pour l'avoir eu en main pour faire des essais, j'ai constaté qu'il ne peut être utilisé qu'avec un focuser PrimaluceLab. Sinon, ça à l'air d'être de la belle mécanique. A voir à l'usage. Est-ce que l'ARCO et le focuser associé disposent d'un driver ASCOM afin de pouvoir les utiliser avec n'importe quel logiciel d'acquisition ? Ou ils ne fonctionnent qu'avec PLAY ? Jean-Pierre
  19. Tout à fait 😉
  20. Passer à un capteur FF n'est pas aussi évident qu'il y parait. J'ai une 2400MC dont je suis super ravi compte-tenu de la sensibilité qu'elle offre vu la taille de ses pixels. Les temps de pose deviennent très courts ! Par contre, il faut passer tout le train optique à minima en 3" (correcteur notamment) et il faut que le champ corrigé couvre la diagonale du capteur. Sur mon newton 300 en f/d4 (avec un correcteur TS Wynne 3"), la taille des pixels me donnent un échantillonnage de 1", ce qui est un bon compromis. Concernant les filtres, les 2" montés génèrent un vignettage mécanique que les flats n'arrivent pas à corriger. Il faut cropper l'image en fonction de ce qu'on considère comme acceptable dans les angles. J'ai usiné le carrousel de ma roue à filtre (Starlight Xpress 5x2") pour monter des filtres IDAS. Ce sont des filtres de M52 qui ne sont pas montables directement dans ma RAF. Je les ai démonté pour récupérer uniquement le filtre en verre qui fait 49mm de diamètre. Les trous de passage dans la RAF sont à un peu moins de 48mm et il y a encore du vignettage. Cet AM, je viens d'usiner à nouveau une cavité dans le carrousel de la RAF pour monter un filtre non monté de 50mm de diamètre, avec un diamètre de passage de 49mm. D'après les essais fait avec le logiciel "Vignettage", cela devrait passer tout juste. Si on veut vraiment éviter le vignettage, il faut à mon sens passer en filtres carrés de 50, avec la RAF qui va avec, et les tarifs qui s'envolent ! Comme on faisait avec une caméra CCD en FF. Sauf erreur de ma part, tu n'as pas précisé si tu voulais une caméra couleur ou NB. En tout cas, pour la 2400MC, la question ne se pose pas. Mais pour la 6200, vu qu'elle existe dans les 2 configurations, je me dis qu'en version NB, elle doit pouvoir fonctionner en bin2, ce qui permet d'avoir des pixels encore plus gros que la 2400MC et donc une sensibilité accrue, avec un échantillonnage intéressant pour les longues focales. C'est ce qu'on faisait avec les caméras CCD. J'ai demandé à un astram qui a une 6200MM de me faire quelques images en bin2 (il n'en a jamais fait jusqu'à présent) pour faire des mesures. J'attends encore, et l'espoir diminue chaque jour qui passe. JP
  21. Salut Francis Un abri, ça facilite grandement l'exercice de l'astronomie. Avec un setup prêt à l'emploi, un petit créneau où le ciel est dégagé, ça permet de lancer rapidement les acquisitions. Cela fait 8 ans que j'exploite le mien avec une montée en puissance qui s'est faite dans le temps, mais c'est quand même super pratique. Par contre, je suis à 100% d'automatisation et tout le repli des équipements s'effectue automatiquement. Le principal ennemi de l'abri astro, c'est l'humidité. Peu importe la température, mais pour éviter le risque de condensation, même avec une hygrométrie ambiante de 100%, il faut ventiler en permanence. La circulation d'air doit pouvoir se faire en permanence. Dans mon abri, il y a un jeu d'environ 15mm entre le haut de la partie fixe et le toit, avec bien évidemment, des débords qui évitent la pénétration de la pluie. En partie basse de chaque mur, il y a une grille de ventilation diam 100mm. De cette manière, quelle que soit la direction du vent, l'air circule. Et je n'ai jamais eu en 8 ans de traces de condensation lorsque le toit est fermé. J'avais installé un ventilateur de VMC, mais je ne voyais aucune variation de température ou d'hygrométrie après mise en service. J'ai différentes sondes de température et d'hygrométrie avec enregistrement dans l'abri, et rien n'évoluait à la baisse ! Dans le domaine de l'humidité, une isolation thermique ne servira à rien. Une isolation ne peut qu'éviter une trop forte montée en température à l'intérieur en plein été. Mais ça n'apporte rien en cas de froid. Il faut ventiler naturellement en permanence. Concernant tes glissières, j'ai quelques doutes sur leur tenue dans le temps. Ce système me parait trop sensible lorsqu'il est placé en conditions externes. Quand je vois la forme des profilés, je me dis que la pluie et la saleté qui va se déposer au niveau des glissières vont apporter leur lot de problèmes. Les billes vont s'en donner à cœur joie. J'ai mis de simples rails omega, ceux qu'on utilise pour les portails, avec des roues à gorge et je n'ai même pas eu à les nettoyer en 8 ans de service. Et ils sont toujours comme neufs. Ce qui est dommage, c'est que tu es "obligé" d'aller manipuler ton toit à la main, mais c'est ton choix pour le moment. Tu verras à l'exploitation, mais je pense qu'à termes, tu vas te poser la question de la motorisation. Moi aussi au début, j'allais ouvrir et fermer le toit à la main, mais ça limite les possibilités, et en pleine nuit ou en plein hiver, même si l'abri est à proximité, au bout d'un moment, on pense indéniablement à la motorisation. Une motorisation et son système de commande, ce n'est pas si compliqué que ça. Par contre cela demande quelques précautions. Il faut bien évidemment que le tube soit en position horizontale pour éviter les interactions entre toit et télescope. J'ai installé un capteur à réflecteur qui est connecté dans la chaine de pilotage du toit. Le capteur est fixé contre un des murs et le réflecteur est fixé sur le télescope, ce qui garantit une position unique. Si le télescope n'est pas en bonne position (position park chez moi à l'horizontale comme chez toi), le toit ne peut pas manœuvrer, que se soit en commande manuelle ou en commande pilotée (depuis l'ordi ou en séquence automatique). Je crois comprendre que tu as une difficulté pour définir une position park horizontale avec ton système, mais cela me parait un peu étonnant. L'avantage du toit motorisé est également de pouvoir commander la fermeture automatiquement en fin de séquence acquisition ou lorsque les conditions météorologiques se dégradent. Dans ce dernier cas, il faut y adjoindre un système qui permet de surveiller l'état du ciel, un "CloudWatcher") comme on dit couramment. J'ai comme beaucoup un modèle de chez Lunatico en service depuis plus de 6 ans sans broncher, mais il est possible de s'en fabriquer un soi-même si on est bricoleur. En ce moment, il arrive très fréquemment que le ciel soit potable en début de soirée et que les nuages arrivent ... au bout d'un certain temps. Pour l'anecdote, il m'est arrivé un soir de lancer une séquence vers 20h00 et de me rendre compte qu'à 23h, la pluie tombait, avec bien sûr tous les équipements sous la pluie. Entre temps, je me suis développé un petit programme qui me permet de replier les équipements en cas de dégradation de la météo, et ce, indépendamment de ce que la séquence peut lancer en fin d'acquisition. Je peux dire aujourd'hui que je dors sur mes 2 oreilles. Depuis que j'ai ce genre de système, je lance une séquence le soir, et le lendemain matin, tout est replié que ce soit par fin de séquence ou dégradation de la météo. La séquence a pu durer toute la nuit comme elle a pu durer 1h en cas de survenue de nuages, mais tout est en ordre au petit matin. Voila, il y aurait encore plein de choses à dire, mais pour le moment, profites bien de ton abri. Jean-Pierre
  22. Superbe image avec une très bonne définition. Y'a pas à dire, la durée totale de pose est payante. JP
  23. Il ne te reste pas grand chose à faire pour avoir un abri fixe 😚 Même un petit abri sur roulettes qui se déplace à la main, ça serait plus pratique que la bâche. Là, je n'ai pas tout compris. La molette du C8, c'est bien ce qui déplace le primaire ? Donc, variation de la focale ! Le focuser externe permettant lui de ne pas modifier la focale. Pour la double acquisition, tu lances bien 2 sessions de NINA ? Avec chacune son setup.
  24. Un premier petit retour peut-être suite à la pose du feutre dans le tube ?
  25. Salut Seb j’en déduis que dans ce cas, tu ne fais pas de dithering ? Ou alors, dithering et perte d’une image toutes les X, fonction de la fréquence du dithering sur le setup « pilote » ? Je me suis posé la question de faire tourner mes 2 setup simultanément (newton 300/ASI2400MC et lulu 80/ASI2600MC clampée sur le newton). A moins qu,il y ai une possibilité de synchroniser 2 setup avec dithering sous NINA ? JP
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