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sixela

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Tout ce qui a été posté par sixela

  1. Mais ça ne marchera que si tu as un plan focal au moins 55 mm au-delà du PO rentré. L’avantage d’un MaxField c’est justement qu’on peut le visser sur un oculaire et continuer à rentrer l’oculaire complètement, ce qui fait qu’on n’a pas besoin d’un plan focal assez sorti. Si tu intercales un object qui va éloigner l’oculaire du PO tu perds cet avantage. un exemple (pour OVNI-M sur un TV67 qui a le plan focal très éloigné de l’oculaire vers le télescope): Le Paracorr « triche » pour éviter ce problème en rallongeant la focale (avec un facteur de 'barlow' de 1,15x) ce qui permet de jeter le plan focal plus loin que celui sans Paracorr.
  2. La formule optique est excellente (ça tient bien même sur f/3, avec de bonne tolérances quand à l’inclinaison et la distance, comme pour le Paracorr), mais question qualité de polissage ça reste du Jinghua et pas du TeleVue. Par contre la bonnette sert à régler pour l’oculaire qui doit se rentrer le plus et rien d’autre: le pas de vis est beaucoup trop fin pour passer d’un oculaire à un autre (on ne va pas passer une minute à visser ou dévisser en cours de session). En plus il y a trop de jeu et il faut rajouter du ruban en Téflon et durcir le mouvement. Et pratiquement (pour passer d’un côté de l’autre de la mise au point) il faut un plan focal minimum 33mm au dessus du PO rentré et pas 16mm comme pour le Paracorr.
  3. Le type 1 a une tête coulissante en effet mécaniquement moins bonne, sauf pour le modèle 2010 (qui a une tête meilleure mais pas aussi bonne que celle du Type 2). Évidemment si on utilise des oculaires 70° la position de la tête est moins importante. On se choppe par contre à haut grossissement également un peu d'aberration sphérique avec un mauvais placement. Mais le tableau sert surtout à mettre le PO en bonne position avec le premier oculaire utilise dont on connaît la position pour la tête. Après, plus besoin de regarder. Avec le Type 1 certains oculaires (Ethos 21 et 17 et Nagler 31) ne peuvent se positionner assez près; comme il faut "détuner" la tête j'avais tendance à simplement utiliser un autre oculaire avec placement de la tête connue en début de session et de regarder de combien le PO est sorti. Comme les tolérances sont de +-2mm sur f/4, on remet alors le PO plus ou moins dans cette position.
  4. C'est entièrement faux. Il suffit de laisser le PO dans la même position pour toute la session, en refocalisant grossièrement avec seulement la tête en en n'utilisant le réglage fin du PO que pour la dernière touche. Les oculaires prendront tous "magiquement" la bonne position pour la tête. Parce que son but est justement de garder le Paracorr (et donc la position du PO) fixe même en changeant d'oculaire.
  5. En effet, mais: -il demande assez bien de réserve pour rentrer le PO (un plan focal bien sorti). Trop pour certains de mes télescopes, et j'ai choisi alors de ne garder qu'un seul correcteur en visuel, le Paracorr, qui va sur tous mes télescopes. -La tête vissante est intéressante pour le régler pour l'oculaire pour lequel le PO doit être le plus rentré, mais il faut oublier vouloir l'utiliser pour passer d'un oculaire à un autre, le pas de vis est beaucoup trop fin. Si on change d'oculaire, on laisse l'ES HR CC à sa place et on coulisse le nouvel oculaire jusqu'à ce qu'il soit plus ou moins mis au point, même si l'oculaire est seulement partiellement rentré. Et à terme on met des anneaux de parfocalisation. J'ai acheté deux autres (le Maxfield et un Starizona) pour des autres utilisations, avec un oculaire de vision nocturne (sur deux oculaires, dont le barillet est allongé pour permettre un vissage direct qui donne un placement correct après la mise au point). J'en suis également très content (le Starizona permet d'avoir un champ monstre sur un Ethos 21mm dans un f/4, mais avec du vignettage au bord et une pupille de sortie déjà assez grande pour bien du monde).
  6. Si, c'est un vrai test (un test que celui qui fait le miroir utilise pour savoir quoi corriger en estimant les pentes des différentes zones, donc pendant la fabrication). C'est donc un test utile et nécessaire mais il ne permet pas de se faire une idée quantitative de la qualité du miroir, donc il n'est pas suffisant. Sauf si on pousse le travail comme un malade jusqu'à ce que le résultat soit parfait (ce qui donne un "bon" miroir, et alors on se fiche pas mal de savoir si le rapport de Strehl est de 0,96 ou 0,998); mais alors selon qu'on est maniaque ou pas on s'arrète quand on a un |LF/RO| de 1 à 0.3 maximum, et avec un profil où les zones extérieures sont les meilleures et sans changement de signe sur le LF/RO. Or ici on s'est arrêté bien avant d'avoir ce résultat "assez parfait". Et en plus, il faut avoir confiance dans sa méthode pour avoir un miroir qui soit une surface de révolution (ce qui n'est pas toujours évident, comme je l'ai vu dans trois de mes propres miroirs achetés et bien d'autres qui ne m'appartiennent pas). Personnellement (et surtout avec des résultats en 'dent de scie' à l'extérieur) pour un miroir avec ce rapport f/D et cette taille un masque avec 8 zones me semble difficile à lire correctement (comme il restera un gradient de gris assez fort sur le masque utilisé) ; on peut répéter les mesures et prendre la moyenne pour améliorer la qualité (aucun détail du protocole utilisé ici, si on l'a fait) mais on n'est pas à l'abri de fautes systématiques. f/3 c'est déjà très très vache à faire avec un test Foucault/Couder et avoir trop peu de zones n'arrange pas les choses. Et il est utile de valider en utilisant finalement un masque avec un nombre de zones différentes (plus de zones!) pour voir si le profil reste plus ou moins le même. Si la courbe interpolée n'a pas la même gueule, alors on sait qu'on ne sait pas ;-). Et ce test est incomplet quand on fabrique un miroir pour savoir si le miroir est en effet doté d'une symétrie de rotation, donc il faut absolument se faire une idée sur le profil sur plusieurs diamètres, de façon qualitative (certaines personnes ont acquis un excellent pifomètre, mais bien d'autres ne voient pas quand ils font un miroir astigmatique) ou avec d'autres tests. Personnellement? Un test sur une étoile avec en plus un oculaire Ronchi m'en dira plus sur le miroir que ce papier.
  7. Le MaxField de TS permet aussi de dévisser la bague M48 à la fin: https://www.teleskop-express.de/shop/product_info.php/info/p3822_TS-Optics-NEWTON-Koma-Korrektor-0-95x-Maxfield-3-Element---2--Anschluss.html Je l'utilise pour mes configurations afocales. Il n'y a qu'une position pour tous les oculaires, et c'est avec le début du pas de vis M48 à 55mm du plan focal. Donc il faut absolument parfocaliser les oculaires si le correcteur bouge avec le tube du PO. S'il est solidaire de la partie fixe (fixé à l'arrière, avec le tube du PO qui c oulisse le long du cylindre du correcteur qui reste fixe) on ne doit rien ajuster si le plan focal reste placé toujours à la même distance. On peut aussi équipper tous les barillets des oculaires 2" de rallonges 2" qui permet de visser le correcteur au bout du barrilet rallongé pour un placement correct. Dans ce cas il faut juste parfocaliser les oculaires 1.25". C'est ce que je fais personnellement. On pourrait faire cela pour un Kepler, mais je ne conseille pas ce correcteur pour un télescope à rapport f/D de 4. Autre alternative excellente: l'Explore Scientific HR CC: https://www.teleskop-express.de/shop/product_info.php/language/en/info/p8688_ES-2--HR-Coma-Corrector-for-photography-and-observing-with-newtonians.html Par contre comme on ne peut entièrement le rentrer dans le PO il faut un plan focal 31-35mm au dessus du PO rentré (en tout cas si on le glisse dans le PO).
  8. C'est une seule mesure sur un seul diamètre, ce qui ne dit pas grand chose (il est par exemple complètement impossible d'évaluer l'astigmatisme et toutes les aberrations qui ne sont pas concentriques). Pas de deuxième graphique sur un autre diamêtre pour valider la symétrie rotationelle. Aucune idée du nombre de mesures différentes non plus, ce qui donnerait une idée de l'intervalle de confidence des différentes mesures. Les unités utilisées ne permettent pas d'estimer facilement l'erreur RMS et donc le facteur de Strehl non plus (il y a moyen de le faire, mais laisser ça au lecteur, c'est vraiment de la paresse). Je ne vais pas m'y atteler, ce n'est pas à moi de faire le boulot de quelqu'un d'autre non plus, qui devrait être responsable d'un rapport correct et a fait vraiment le minimum d'effort pour produire un papier. Le LF/ro maximum n'est pas terrible, et les zones 6 et 7 ont les plus grands LF/ro et un signe inverse. Souvent c'est le signe d'une sacrée zone dans les parages, mais comme tu n'as aucune image Foucault ou un test avec plus de zones c'est impossible de le voir (8 zones pour un f/D de 2.96 c'est assez peu...) La courbe interpolée est un peu "n'importe quoi" à cause des mesures, c'est une interpolation lisse des mesures, mais le miroir ne ressemble pas à ça (même sur un seul diamètre, et on ne sait rien quand à la symétrie rotationnelle). Si on veut savoir ce qu'est le chinois sur la feuille, lire: http://etienne.deforas.free.fr/foucault/doc/foucen.htm C'est assez vétuste comma approche, sortant vraiment de Texereau (c'est à dire du temps ou les gens n'avaient même pas de calculatrice scientifique). Bon, on utilsait des heuristiques simples à la louche mais on était alors sévère: Entre 0.3 et 2.207 il y a un monde... Depuis on en sait quand même un peu plus sur la manière de calculer les erreurs RMS d'un profil interpolé qui correspond au mesures (oui, la calculatrice de poche est apparue dans les années 1970) et le PC est apparu (au 20ième siècle, et le 21ième a quand même déjà un certain age). Même FigureXP aurait été plus informatif quand au seul diamètre montré (avec les mêmes mesures comme données en entrée!) -- on aurait au moins eu une estimation de l'erreur RMS et du facteur Strehl si le miroir avait ce profil sur chaque diamètre--, et ne mesurer que sur un seul diamètre c'est vraiment se berner (surtout sur un f/2.96). La note écrite quand à la rugosité est prometteuse, mais par contre rien sur la méthode utilisée pour l'estimer (pifomètre en regardant le testeur Foucault sur une transition pas trop étroite? Test avec lame de contraste de phase Lyot? Images pour étayer ceci?) Ce n'est pas nécessairement un mauvais miroir, mais c'est un papier qui dit le moins possible, et il semble aussi montrer que celui qui fait le miroir utilise des méthodes de travail qui sont anciennes et semblent assez dangereuses (sans validation par d'autres méthodes) pour un miroir avec ce rapport f/D. Note qu'il est possible de qualitativement voir pas mal de choses sur un testeur Foucault, mais rien ne va se trouver sur papier, et comme on n'a aucune idée de la méthode de travail... La première chose à suggérer à l'auteur, c'est d'essayer Figure XP ;-). Au moins on aurait une estimation de l'erreur RMS sur front d'onde (si le miroir avait en effet un diamètre lisse et que le miroir avait partout ce profil) et un diagramme Millies-Lacroix!
  9. À part ma réponse, je suis d'accord avec Fred: un oculaire de collimation (Cheshire+viseur) est poins cher et plus précis que la plupart des collimateurs laser, sauf pour régler l'inclinaison du secondaire qui est moins importante en observation visuelle. Le collimateur laser reste toutefois plus pratique surtout dans l'obscurité.
  10. Il s'agit plus precisément d'un oeilleton de collimation avec anneau retro-reflecteur calibré (à la taille de l'oeillet livré à mettre sur le primaire), mais c'est nettement plus proche d'un vrai Cheshire (mais illuminé autrement) que d'un "bouchon percé" (qu'on appelle plutôt 'oeilleton de collimation'). Quand au "prix d'or": le prix du laser sans le 'Cheshire Farpoint' est supérieur. Le prix de ce 'Cheshire' est donc négatif. Si c'est là le prix de l'or, où puis-je me procurer de l'or en me faisant payer? 😁 "Un Cheshire" n'est d'ailleurs pas strictement juste non plus, pour continuer à enculer des mouches. Le terme anglais est "Cheshire eyepiece", ou 'oculaire Cheshire', Cheshire étant l'inventeur (Prof. F. J. Cheshire, avec un seul C). Référence dans la litérature: https://iopscience.iop.org/article/10.1088/1475-4878/22/5/303 [Oui, ça date de 1921! Pas de viseur réticulé, et on l'utilisait surtout pour collimater les différents éléments de lunettes...] Hélas un lien payant. L'anneau argenté éclairable combiné d'un trou de visée ("bouchon percé") est bien un Cheshire, mais ceci n'est pas "un vrai Cheshire", mais un oculaire de collimation, qui est une combinaison d'un oculaire Cheshire et d'un viseur réticulé. Si tu veux couper les mouches en quatre, il ne fait pas s'arrêter après les avoir coupé en deux.
  11. C'est une petit Chinois de base comme tous les autres. Si on veut mieux, il faut débourser beaucoup plus (et bien choisir, comme le Baader et le HoTech sont plus chers mais pas toujours plus précis). Exemple: https://www.astroshop.de/fr/collimateurs-lasers/collimateurs-lasers-farpoint-650nm-cheshire-1-25-/p,61482 [Le kit avec oeillet calibré, outils de placement de l'oeillet et Cheshire est moins élevé que pour la laser seul. Logique, hein?] On peut commander directement aux US, mais le coût de transport (auquel s'ajoute la TVA) n'est pas mince.
  12. J'en suis bien conscient, mais le télescope n'est pas in unconnu, un 200mm avec rapport f/D de 5. Si le ciel ne lui permet jamais ça, ou s'il y a pas mal de soirées où 200x est déjà beaucoup? Sinon, tu me payes une nouvelle maison, comme apparemment je dois déménager? Je ne dis pas qu'un 5mm n'est pas utile. Personnellement, par contre, je trouve le pas de 10 à 5 très grand, et en dessous du 6 à terme je verrais facilement un 4mm pour Jupiter en en 3,2mm pour la Lune, Mars et Saturne.
  13. Je ne prendrais plus de Hyperion, en tout cas. Comme Bruno, je prendrais un 5-6 mm d'abord pour les planètes et la Lune, et j'utiliserais les oculaires existants. Le 10mm se remplacera plus tard et après je rajouterais d'abord un 15-18mm (par exemple un APM UFF; les 15-24 mm sont meilleurs que le 10 mm, qui reste meilleur que l'oculaire de base livré). Je prendrais plutôt d'abord un 6mm qu'un 5mm -- un 6mm est plus souvent utilisable; pour un 5mm il faut déjà très peu de turubulence atmopshérique. Un bon 6mm: https://www.telescopes-et-accessoires.fr/oculaire-sky-watcher-wa-super-plossl-6mm-58-3175-c2x30248713 [Je ne suis comparé à d'autres pas très "Artesky"; trop de variations en qualité, probablement dues à de tolérances de distances entre les lentilles trop lâches, à cause de l'opto-mécanique un peu sommaire. Les Skywatcher et les TS HR sont des valeurs plus sûres pour ces dessins.] Également de bonne qualité: les déstockages des Meade Kunming United Optics (désormais invendables comme Orion a repris Meade): https://fr.aliexpress.com/item/33040183414.html Hélas seulement via la Chine (pour des raisons commercialo-légales). Le 18 mm a un peu plus d'aberrations au bord qu'un APM UFF.
  14. Le petit rond est l'oeillet et sert à utiliser avec l'oeilleton et le viseur réticulé. Il est au centre de l'image du primaire, donc si cette image du primaire est centrée il l'est aussi. Mais ce qui n'est pas centré c'est la silhouette du secondaire dans le primaire, et je sens que tu penses que çela doit également être centré. Non, et cette croyance est le poison qui rend fou! Bon, ici peu de choses à dire: on voit que la cmaéra du télephone n'est pas centrée, ce qui fausse aboslutement tout. De quels outils de collimation disposes-tu?
  15. Le point de gravité doit être au dessus de la table, mais rien ne l'oblige d'être en deça du plan d'un secteur Nord cylindrique au niveau de l'axe de la table. Il doit être (bien) à droite de ce plan au niveau des secteurs. Bien au contraire: pour des raisons de stabilité il est mieux de mettre les secteurs Nord sous deux des pastilles en teflon de l'axe Az (souvent on se débarrasse de la base en mettant des pastilles en teflon sur le dessus de la table) dont le rayon est décidé par la monture Dobson existante. Même chose pour le secteur Sud: tu peux très bien bouger ce plan vers la droite pour avoir un secteur Sud plus petit, et en dessous de la troisième pastille en teflon.
  16. Non, tes photos ne montrent pas un 150/750. Ça c'est un 150/750 (sur une vraie EQ3 Skywatcher): Ça c'est le 150/750 sur une "EQ-3" Omegon (qui correspond plus à une EQ2 Skywatcher, et est franchement inutilisable pour une tube de cette taille): Ta photo: T'as vu la différence entre les rapports longueur/largeur des tubes?
  17. Ca dépend de l'importance du rangement compact. Pour emmener en vacances en voiture ou à vélo dans une remorque, le Skywatcher est plus compact. Sinon, le Bresser est un peu plus solide et il faut moins bricoler pour avoir un bafflage correct.
  18. En tout cas pas un 114/900 sur EQ1. Le tube est utilisable, mais pas sur cette monture. Je rejoins @astronome04.
  19. Dont acte. Tant mieux pour ce tube! J’ai enlevé mon paragraphe erroné. Si je parles de la question originale, je parle à l’auteur du sujet, qui a posté des photos dans le sujet.
  20. Pour ce qui est de la question originale: tu parles d’un Skywatcher 130/900 et un Omegon 150/750 puis tu montres des photos d’un Omegon 130/900…un peu dur à suivre, tout ça.
  21. C’est comme lacer les chaussures: il faut que quelqu’un te montre, c’est impossible à apprendre par internet, mais ce n’est pas une raison pour vivre sa vie en mocassins.
  22. sixela

    ORION OPTICS

    De quelques miroirs belges et hollandais: ça ne s’est pas arrangé depuis. Ils font de miroirs qui souvent ne sont pas dégueulasses (mais assez rugueux) mais ça reste de la roulette anglaise. Voir par exemple: https://www.astroforum.nl/threads/0-30-m-f-4-newtonian-reflector.1473025/post-1538073
  23. Cela dépend du rapport longueur/largeur du viseur rétivulé/Chesire. IIls sont souvent trop longs pour des f5:6-f/6, et alors ou bien on voit le primaire en entier mais plus le bord du secondaire, ou bien on voit le secondaire en entier mais plus tout le primaire. Il y a des modèles plus courts, mais en version 1,25" ils ne permettent pas d'utiliser le réticule comme il est trop près de l'oeil (et donc difficile à focaliser). La solution? À la fin de la collimation axiale utiliser un oeilleton (ou Chesire 'plat' style Farpoint ou CatsEye) et sortir le PO jusqu'à ce que l'image du primaire ne rentre que juste dans le secondaire, ce qui permet d'évaluer le placement relatif des deux. Ou utiliser deux outils de type Cheshire/viseur, dont un court dont on se débarrasse du réticule et un autre long pour le réticule. https://fr.aliexpress.com/item/1005002579375359.html Il y a un long (idéal pour utiliser le réticule) et un court (idéal pour placer le secondaire).
  24. f/10 et pas f/15. Plus large plage de mise au point, donc plus de facilité à mettre un train optique assez long. Réducteur 0,63x disponible.
  25. Le C5 a une focale de 1250 mm. Avec une tête bino et deux Panoptic 24 on a un champ de 1,1°. il y a même moyen d’utiliser encore un réducteur x0,63 pour 1,65° de champ, mais c’est du bricolage et il y a un peu de vignettage. Ici le montage de quelqu’un sur CloudyNights: Question collimation, typique d’un SCT. Moins stable qu’un Mak mais pas si compliqué et nécessaire surtout pour les hauts grossissements.
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