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paradise

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Tout ce qui a été posté par paradise

  1. Moi je suis partant 👍, le site est le meilleur du coin, que de souvenirs à cet endroit ! Il faut juste surveiller qu'il n'y a pas de manifestations genre rave-party, motocross ou je ne sais quoi, cela m'était arrivé à l'époque.
  2. Salut ! Oui, je vais retourner sur le sujet du VA, pour y discuter du matos, et j'y trouverai bien aussi des (haut-)savoyards pour des rencontres astro, surtout que les beaux jours vont revenir ! Mes spots principaux à l'époque étaient le Semnoz, Saint-Offenge, et deux dans les Bauges. Avec le VA, j'espère pouvoir aller, au moins une fois sur deux, moins loin d'Annecy, avec mon 400mm cela devenait de plus en plus difficile d'observer loin de la pollution lumineuse... À bientôt !
  3. Hello ! (Re-)bonjour à tous ! Voilà plus d'un an, j'avais envisagé de reprendre l'astro, mais plusieurs circonstances avaient retardé le projet. À présent, ma situation va changer, je me mets en semi-retraite cette année, du coup je vais enfin disposer de plus de temps pour reprendre l'astro avec sérénité, les finances se sont aussi améliorées, ne cachons pas l'investissement financier non plus ! J'ai eu le temps de me documenter entretemps, il me faudrait juste refaire quelques sorties astro d'ici l'achat du matériel, parce que j'ai décidé de ne pas refaire du visuel, mais du visuel assisté, ce qui implique de me préparer pour être sûr du matos qui me conviendra, notamment en me rendant compte sur place du fonctionnement, afin d'être également sûr que les contraintes techniques ne me rebuteront pas ! J'ai budgétisé le tout à hauteur de 3 000/3 500€ : - Monture HEQ5 pro Syncan, pas de EQ6 trop lourde, - Scope SW 150P (150/600, donc un f/4), donc peu encombrant, - Boîtier ASIAIR, je veux du simple à connecter et à régler, pas de PC avec des spaghetti à brancher, - caméra ZWO ASI533MC ou 585. La caméra guide attendra, surtout que je veux faire du VA très rapide dans un premier temps. Il me faudra aussi une batterie d'alim, je crois savoir ce dont j'aurai besoin, mais je vous demanderai avant. De même que pour la caméra, d'après mes renseignements il me faudrait plutôt du petit pixel, puisqu'avec le réducteur/correcteur de coma fourni avec le 150P je me retrouverais avec une focale de 516mm, soit un rapport de 3,44. j'aurai intérêt à bien collimater et à avoir un bon suivi ! Je vais donc à nouveau suivre les sorties autour d'Annecy, notamment celles qui pratiquent le VA ! Depuis quelques années, je constate que pas mal de potes astrams ne pratiquent plus non plus ... mais de nouveaux arrivants sont là ! Au plaisir de vous lire !
  4. OK. Il y a quelques jours, je suis allé voir du matos (une AZEQ6 avec un SW Quattro 200/800), le vendeur vendait le Quattro avec un PO Baader, je comprends pourquoi à présent. Après calcul mon budget explosait avec ce matos, bien que très intéressant comme prix, je ne l'ai pas pris, à regret mais bon ....
  5. Il a mis quoi comme PO, John Mc Burne ?
  6. Ouais... Mais tu es sûr que le tube de ton PO coupe le chemin de l'image ? Le diamètre du tube est plus important que celui du miroir du tube. EDIT : Oui, bon, c'est pour du VA, pas pour de l'astrophoto pure. Il a mis quoi comme PO, l'ami John ?
  7. Ouais, voilà, ce n'est pas un hasard ni un caprice... Pff ! Quelle bande d'abrutis, ou plutôt quel manque de sérieux, chez SW ! La marque GSO, en général, bon... Même si elle inclut des produits d'origine différente. J'aurais davantage confiance en un Baader Planetarium ICI
  8. Eh oui, c'est bien possible. Moi j'ai galéré comme pas possible avec mon ES, j'avais une collimation pourrave, jusqu'à ce que je finisse par comprendre que le souci venait du réducteur d'origine... Le gros souci avec le matos grand public est que tout est approximatif : polissage des miroirs, qualités du PO, du réducteur. Le miroir de l'ES n'est pas terrible, je l'ai trouvé en deçà du SW Flextube. Alors avec du matos grand public on peut bien tomber, et ça passera, le résultat sera disons acceptable , ou on tombe mal et alors là c'est imbuvable. Le souci supplémentaire est qu'en cas d'utilisation très pointue, comme en astrophoto ou même en VA si on est tant soi peu exigeant, ou avec un grand diamètre en visuel, le moindre écart minime d'usinage est amplifié et conduit à un piqué au mieux moyen. Souci évité avec la lulu. Ou avec un matos haut de gamme, genre Takahashi, et autres marques réputées, où comme par hasard le petit scope de 150mm coûte le double ou le triple d'un SW, et où le petit Ritchey-Chrétien semble avoir un tarif avec un zéro en trop... Quoi qu'il en soit, il faut faire avec ses moyens, et au niveau de la collimation, je te conseillerais ma formule Howie Glatter, et si tu doutes de ton PO, mieux vaut en changer, Baader en fait des abordables par rapport aux Feather Touch. Je réfléchis aussi à tout ça pour mon futur matos, et le budget ne cesse d'augmenter🙄, en ces temps troublés, les augmentions partout, ça craint...
  9. Oui, j'avais un ES 400, et deux types de filtres : UHC et OIII. L'image restait grisâtre, avec peu de détails. J'aurais dû essayer avec un L Enhance, tu as raison. Je reviens sur ce que tu disais auparavant, où tu sembles douter de ta collimation. Le meilleur système reste pour moi le laser Howie Glatter (et le Cat's Eye) avec la lentille Barlow, on obtient un hologramme à cercles concentriques qui ne laisse rien passer, le tout logé dans un réducteur de la même marque, le Parallizer, afin d'être sûr aussi du logement du laser. Les lasers, quels qu'ils soient, dépendent aussi du réducteur auto-centrant. Un Hotech (à mon avis inutile de payer si cher) ne sera pas meilleur qu'un autre laser basique, ni même qu'un Cheshire, si le serrage décentre le tube du laser. L'avantage de la lunette réside aussi dans le fait qu'on n'a pas le souci de la qualité du polissage des miroirs. Si j'avais les moyens, je partirais sur une apo Triplet de 102mm pour faire du VA.
  10. Elle est jolie, ta M1 ! Ne perdons pas de vue que c'est censé être du VA, autrement dit une façon d'en voir davantage qu'en visuel, et rien qu'avec ta M1 avec un 150mm on en voit cent fois plus qu'en visuel avec le 400mm que j'avais ! Au 400 je voyais à peine quelques ramifications à l'intérieur, tout était blanc/grisâtre, alors que là on détaille plein de choses ! Comme en visuel, on veut toujours en voir plus, aller plus loin, voir plus de détails, et c'est naturel ! J'ai remarqué, notamment chez Cloudy Nights, puisque tu en parles, que le piqué des lulus apos était impressionnant, même avec une petite 80 ! Tu cropes à donf sur les photos, les étoiles restent fines et bien précises, ce qui prouve un excellent piqué (et un bon suivi), et on n'a pas le souci de la collimation. Bon, sans doute que l'expérience joue également sur le résultat. Le jour où je parviendrai à faire aussi bien que toi, je serai très content ! Yapuka vider mon compte en banque et avoir le matos .
  11. Ah oui, une Taka, du bon matos 😉! Je remarque souvent le très bon piqué obtenu avec les lulus apo.
  12. Salut Guillaume ! Une sacrée belle M42, surtout avec un Dob 🙂! Je crois bien que cette fois ça y est, je vais reprendre l'astro, pour faire du VA, avec une équato et un petit Newton, via une config ZWO et ASIAIR 😉 !
  13. Salut ! Ces 2 photos ne sont quand même pas mal 😉! Tes réalisations m'intéressent particulièrement parce que je suis (enfin) sur le point de reprendre l'astro, avec EXACTEMENT le même matos de bout en bout 😄. Avec la lunette-guide que tu utilises, tu devrais en effet obtenir un encore meilleur piqué. Ta monture a-t-elle été vérifiée/optimisée (par ex. par Pierre Astro) ? Peut-être un poil de collimation et de MAP à optimiser ? Collimation et MAP nickels me font un peu peur à obtenir, en astrophoto j'ai l'impression que ce sont aussi des éléments déterminants... Il me semble aussi que les étoiles dans les bords sont un peu oblongues, tu n'as pas de correcteur de coma ? En tout cas je serai déjà trèèès content d'obtenir ces belles photos 🙂, avant cela je pressens que je vais en baver, en débutant complètement dans la photo astro (même rapide) 😮!
  14. Bonjour à tous ! Tout est dans le titre : puisqu'en VA on parvient désormais à produire des images facilement et rapidement dans le visible, existe-t-il des caméras abordables financièrement dans le domaine de l'IR, de l'UV ? Ou alors existe-t-il un traitement/filtrage efficace de l'image pour l'amateur ?
  15. Bonjour à tous, Pour faire écho à un sujet sur CN (Cloudy Nights), je suis curieux de savoir de ce que vous faites de vos anciens oculaires : les vendez-vous, les gardez-vous comme un collectionneur/entasseur ? Personnellement, je revends tout au fur et à mesure, à la fois pour avoir l'argent du successeur, et aussi pour éviter d'encombrer et alourdir mallette et sacs, observant en nomade. Cependant, si j'avais de l'argent à gogo j'aurais peut-être gardé quelques uns d'entre eux, ne serait-ce qu'un moment, pour pouvoir éventuellement les comparer.
  16. Bonjour à tous ! Vu l'intérêt que beaucoup portent sur cet instrument, je vais faire un résumé et un bilan des tests effectués, afin que chacun puisse faire le point sur l'opportunité, ou non, de se lancer dans l'achat de ce modèle. Rappel : Test n°1 :http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=139825 Test n°2 : http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=140153 Trop tôt pour faire un bilan, avec trop peu de sorties ? Oui et non : le bilan sera forcément incomplet mais en même temps je pense qu'après quelques corrections il serait navrant de ne pas avoir d'opinion sur un instrument qui est censé donné rapidement satisfaction. On peut faire tous les tests qu'on veut, il restera toujours une part de subjectivité, et chacun réagira à sa manière. Certains trouveront certainement matière, au vu des tests et commentaires, à argument pour NE PAS acheter cet instrument, c'est leur droit, et tant mieux si cela leur évite de se retrouver avec un instrument qui ne leur convient pas. IMPORTANT : L'ES 16" est équipé pour une utilisation immédiate : miroirs, PO, canne de collimation, viseur point rouge, bague supplémentaire de PO, livret d'utilisation en français. Mais il est livré sans oculaires. A - AVANTAGES ET QUALITÉS : 1) La compacticité. On a affaire à un Serrurier, mais pas seulement, la conception est celle d'une base compacte : la base est très réduite, on est à l'opposé de la conception des Orion XX, GSO, LB, et autres Flextube, à la base énorme, et à la cage du primaire enveloppante. Bien sûr, l'ES n'est qu'un manuel. Cela va sans dire, mais disons-le , charger cet instrument dans une voiture est un régal, il prend une place minimum, c'est TRÈS appréciable pour moult raisons inutiles à énumérer. 2) Le poids. Certes il y a le poids du miroir, mais on gagne dans l'ensemble dans la transportabilité, la manutention, pas de base énorme à déplacer, il y a juste la boîte à primaire, très réduite, qui est lourde à déplacer, c'est un moindre mal. 3) Les mouvements de la structure. Le chapitre le plus subjectif d'entre tous, chacun ayant ses goûts et surtout habitudes ! Je quitte un GSO très fluide, trop fluide, sensible à la moindre chiquenaude, pour un instrument possédant des mouvements que je trouve au juste milieu : ni trop durs ni trop mous, avec peut-être un peu trop de dureté quand le tube est levé haut. Mais ça ne « colle » pas, moi ça me va, je peux changer d'oculaire sans l'inquiétude de faire pivoter l'instrument, un confort que je découvre. 4) La rigidité. On est à l'opposé aussi de descriptions faites ci et là : c'est un régal de rigidité en observation, et cela a pu être vérifié par nombre d'astrams aux Estivales, appréciable à fort grossissement. 5) Le réglage de collimation. La trouvaille géniale d'ES : une canne (un poil courte mais bon) permet de visser debout, l'œil dans le Cheshire, dans l'œilleton, ou autre, les vis de collimation. 6) Le tarif. Il faut bien en dire un mot ! Pour le prix c'est une bonne affaire, je le dis tout net. Si on additionne le prix des miroirs, du porte-oculaires, on arrive déjà à plus de 1 600€, calculez le reste, vous avez un 400mm qui fonctionne bien, pour un prix imbattable, manuel certes. B - INCONVÉNIENTS ET DÉFAUTS : 1) Le PO du mauvais côté. Ce détail sera peut-être sans importance pour certains, qui pourront donc passer outre ce chapitre. Facilement corrigible, quelques coups de perceuse, quelques vis, et le problème est réglé, je l'explique plus en détails dans l'autre sujet n°2. 2) La collimation rétive. Impérativement, investir dans un autre réducteur, celui d'origine ayant tendance à se loger de travers, source de souci pour aligner laser, Cheshire, etc... Je conseille d'emblée le Parallizer Howie Glatter qui se loge parfaitement dans le coulant 2". Le PO a son coulant 2" à serrage par anneau, curieusement avec trois vis : attention de ne serrer qu'avec la vis se trouvant à l'opposé de l'endroit où l'anneau se resserre : il est facile de faire tourner au doigt l'anneau pour le placer en face (de l'autre côté) de la vis de son choix, les deux autres vis restant à visser juste en appoint. IMPORTANTES INFOS CONCERNANT LA COLLIMATION DE L'ES ICI : http://www.webastro.net/forum/showth...=1#post2381760 3) La collimation qui bouge après les transports. Un défaut marqué qu'on retrouve dans la plupart des Serrurier de série. Sur les ES, le secondaire est difficilement réglable, les vis n'offrent pas un réglage précis et pérenne, il faut modifier le système, je n'ai pas encore la solution idéale au moment où j'écris ces lignes (26 Avril 2017). 4) Le viseur point rouge inutilisable. Tout est dit, c'est de la camelote, prévoir un autre viseur de marque efficace, point rouge ou un Telrad, un Quickfinder, selon ses préférences. 5) Les traces rapides d'usure au niveau peintures. La peinture noire et jaune a très facilement tendance à s'écailler au bout de quelques montages/remontages. Nous n'avons pas affaire à un Sud-Dobson, un Dobson Factory, à un Skyvision, c'est sûr ! Très important : suis-je content de cet instrument ? OUI. Cela signifie qu'une bonne partie des futurs acquéreurs le seront aussi ! ** Mais je ne conseillerais pas cet instrument à un débutant, à cause de la collimation délicate notamment, et à cause de la structure Serrurier qui demande prudence et habitude, les miroirs étant à l'air libre, et qui demande attention également quant aux divers serrages. ** Il est toujours possible de récupérer un beau jour miroirs et PO pour acheter une structure artisan, ce qui serait le top, mais en attendant on peut parfaitement profiter ce qu'on a, sans budget pour mieux. Voilà, en espérant que ces indications aient pu aider certains, comme je le disais pour décider d'acquérir cet ES ou au contraire pour l'éviter.
  17. PLANÉTARIUMS POUR ANDROID AVANT-PROPOS *** Dernière Mise à Jour : 21/05/2020 *** LISTE MISE À JOUR au fur et à mesure de vos remarques et suggestions, de la sortie de nouvelles applis, de MàJ importantes. Ces applications ont été notées dans le cadre d'une utilisation sur le terrain. Testés sur : smartphone Samsung Galaxy Core 4G (écran 4,5", 1 Go de RAM, Android 4.2) : modèle de 2014, smartphone Samsung S9 et Android 8. INTRODUCTION Comme on peut s'y attendre, les planétariums présentés offrent des options différentes, et une utilisation différente, selon leur conception, et sont plus ou moins riches en objets et en bases de données. Certains mettront plus ou moins l'accent sur la documentation, la pédagogie, l'apprentissage de l'astronomie, quand d'autres se contenteront de l'aspect planétarium en direct purement pratique, un autre sera plus proche d'une carte du Ciel. On peut aussi trouver un mélange de ces caractères, chacun y trouvera donc son compte selon son niveau, ses préférences, et bien entendu les performances de son instrument. LISTE Google Sky Map 4,8 Mo. Très sommaire mais sans prétention non plus, application Open Source pouvant juste servir à se repérer vite fait, base de données faible, pas de données sur les étoiles ni sur les Messier, pas de NGC, mais fonction Pushto pour les Messier et les étoiles principales. POUR : gratuit, simple, très léger. CONTRE : aucune étoile répertoriée. NOTE : 6/10 Carte du Ciel Pour la recherche d'objets, renvoie directement sur l'objet, mais le catalogue est peu fourni, hélas pas de NGC. Les 52 Mo de l'appli sont occupés par les photos des Messier et la base de données des étoiles, avec tous ces Mo une partie aurait pu être investie dans des objets NGC, dommage. Les étoiles sont répertoriées HIP et en touchant l'écran on a les données de l'objet, ça c'est bien. Peut convenir à un débutant, beau et agréable design, bonne fluidité, Pushto. POUR : gratuit, assez complet, fluide, agréable. CONTRE : pas de NGC. NOTE : 7/10 SkEye Version de base gratuite. Version Pro payante Ce planétarium basique manque de fluidité, ça tremble avec les mains. Il n'y a pas de fonction tactile directe sur les objets, c'est un Telrad qui « accroche » en temps réel les étoiles principales, les objets Messier et NGC, mais toutes les étoiles de la vue du ciel ne sont pas répertoriées, on n'a aucun renseignement sur elles. Fonction Pushto. Fonction d'alignement : il est donc possible de le fixer dans n'importe quelle position sur un téléscopes puis, après alignement sur au moins 2 étoiles, de l'utiliser comme push to.(Merci à Yves Piette). Peut convenir à un débutant. La version Pro est enrichie d'un catalogue NGC et IC, d'étoiles jusque la magnitude 10, de comètes, non encore testée (Consulter dans cette rubrique le post #41 de ouki). POUR : gratuit en version de base. CONTRE : peu fourni en données, fluidité perfectible. NOTE : 6/10 Planetarium C'est un gadget rigolo, combinant Google Maps, la position des planètes, du Soleil, affiche automatiquement la position au GPS, mais est inutilisable sur le terrain à cause de la Carte du Ciel sommaire. NOTE : 4/10 Stellarium mobile 37 Mo. La version mobile du célèbre planétarium Open Source pour PC, mais loin en terme de base de données et de menus. Complet pour l'essentiel, excellente fluidité, réactif, simple d'utilisation. NGC jusqu'à la magnitude 14, logos bien visibles pour repérer les objets, chaque étoile est répertoriée et décrite en touchant l'écran. Design réussi, logiciel en français. Étoiles sous le catalogue HIP, celles de magnitude supérieure simplement « sans nom ». Un défaut au passage quand on est en mode direct : la recherche d'objet qui oblige à balayer tout le ciel, et surtout à le réduire au maximum, afin de repérer le carré bleu clignotant signalant l'emplacement de l'objet, heureusement bien visible. Une flèche façon PushTo eût été la bienvenue. En mode fixe, par contre, l'objet recherché est automatiquement affiché au centre de l'écran. Les menus ne sont pas pléthoriques, on va dire juste suffisants pour l'essentiel, la fluidité compense l'ensemble en rendant cette appli agréable et efficace sur le terrain, justifiant sa bonne note. Convient jusqu'à un scope de 250 mm, voire 300mm si on n'est pas exigeant en infos et qu'on ne va pas trop loin dans le ciel profond. Sur cette base logicielle on aimerait une version Plus ou Pro, avec plus d'options, de menus, et une base de données plus riche se rapprochant de la version PC, et la fonction « Pushto » en mode Compass pour centrer facilement l'objet recherché, l'ensemble est tellement bien fait à la base qu'on se sent un peu frustré. Il s'agit donc davantage d'un outil de repérage pratique que d'une base de données. POUR : bon marché, très fluide et mouvement souple du ciel en vision directe, facile d'utilisation, beau. CONTRE : absence de « Pushto », très peu d'infos sur les objets, très peu de menus. NOTE : 8/10 The Night Sky 22 Mo. Au diable l'avarice, la version Lite gratuite a été négligée au profit de la version payante à 1€. Pour le prix, on dispose de pas grand chose, on se demande où sont passés les 22Mo de l'appli. Et là on comprend : l'appli se divise en deux parties : une partie planétarium classique et une partie représentant le globe terrestre en 3D avec votre position quand le GPS est activé, ainsi que celle de satellites artificiels avec leurs petits noms. La partie planétarium est succincte, avec aucune option : les noms des constellations, très peu d'étoiles, aucun Messier, seul le nom de l'étoile principale de chaque constellation, des satellites artificiels heureusement désactivables, et c'est tout : pas de fonction de recherche, pas de Pushto, pas de Telrad. Ah oui, on a la musique, une « musique de l'espace » non désactivable ! Ajoutons le pompeux « Sky Information Pack » pour voir, à 2,20€. Ce pack ajoute l'information de l'étoile principale de chaque constellation, une pléthore d'informations, pas mal vu, et une petite carte (non agrandissable hélas) représentant la constellation et les Messier, une idée intéressante, mais pas de NGC, et pas de Telrad. Une appli davantage gadget qu'autre chose, et en plus il faut payer . Note attribuée gentille, en fait la frustration et la prétention de cette appli donnent sur le coup presque envie de donner 0. POUR : cartes dispos, infos. CONTRE : pas de NGC, très peu d'étoiles répertoriées, musique (!), cruelles absences de fonctions dont la recherche d'objets, manque de données... NOTE : 4/10 Mobile Observatory 40 Mo. Voilà une bonne application, complète, travaillée, bien conçue, avec des menus utiles, des sous-menus, des configurations personnalisables, la photo de beaucoup d'objets en prime, etc... Logiciel en français. Très différent de Stellarium sur le plan des menus et infos : en plus du Pushto, on trouve le Telrad réglable, le réglage des magnitudes visibles, la description approfondie des objets, un régal. Logiciel également axé sur la pédagogie, avec ses thèmes et rubriques. On peut même trouver qu'il y a trop de rubriques, de menus en incrustation partout, le tout peut paraître un peu fouillis. La fluidité est moindre qu'avec Stellarium, dommage, le design un poil moins travaillé, l'appli est un peu lente en fonction recherche et en réactivité avec un smartphone de moyenne gamme , mais tout est là. Chaque étoile est répertoriée, les objets apparaissent sous des symboles se rapprochant du PSA. Énormément d'infos disponibles : présentation, éphémérides, diagrammes en couleurs, calendriers, et même un accès direct à Wikipédia tout en restant dans le logiciel ! Excellent ! S'adresse à ceux qui découvrent l'astronomie, davantage que pour une utilisation purement planétarium. Convient à un instrument jusque 250mm d'ouverture environ, 300mm maxi si on n'est pas trop exigeant. (Merci à Magellan6606 pour les compléments) POUR : très riche en infos, nombreux menus, appli soignée, beau, axé sur la pédagogie. CONTRE : un peu fouillis, pas très riche en étoiles. NOTE : 8,5/10 Skysafari 5 Version de base (114 Mo) Version Plus (417 Mo) Version Pro (1,6 Go) Skysafari 6 => Pour Android 4.4 minimum Version de base Version Plus Version Pro Pour Android 4.0 ou version ultérieure. Sans doute le must. Logiciel en français depuis Avril 2020. Très riche en objets dès la version Plus, version suffisante jusqu'à un télescope de 300mm et à conseiller d'emblée. La version de base est moins fournie en objets, notamment en NGC, que Stellarium, ce dernier est à préférer à moins d'avoir un petit instrument. La version Pro dispose d'un catalogue d'objets encore plus important en NGC, PGC et UGC, que la version Plus, justifiant les 1,6Go d'installation et un tarif plus élevé, mais attention aux appareils disposant de peu de RAM interne ! L'interface est agréable, belle, très riche en menus et sous-menus, en photos de description de tous les objets Messier et des principaux NGC, la fluidité est très bonne. Les étoiles sont colorées, aidant à se repérer au chercheur ou à faible grossissement. Nombreux paramètres de personnalisation. Fonction Pushto, Telrad, synchronisation Goto par Bluetooth ou Wifi, rien ne manque. Simulateur de télescope/oculaires. Impressionnante animation « Orbit » en 3D des objets à l'intérieur de notre galaxie. Fonction « Galaxy » dans « Object Info » montrant la position des objets dans notre galaxie. Traçabilité de l'ISS. Possibilité de se constituer ses propres listes d'observation en un clic. Skysafari 5 : en cliquant rapidement sur deux objets, on obtient la distance apparente les séparant en degrés, minutes, secondes. Skysafari 6 : par le biais d'un sous-menu Measure From, on obtient la distance apparente entre deux objets en degrés, minutes, secondes. Possibilité d'inverser l'image par raccourci sur l'écran. En laissant appuyer le doigt sur un objet, on a accès directement à un menu, sans forcément passer par la barre de menus en bas. Description parlée (en anglais) des principaux objets. Magnitudes des étoiles d'un côté, et des objets du CP de l'autre, réglables indépendamment, mode Nuit. Possibilité d'avoir les photos des objets par le DSS (Deep Sky Tracker), en noir et blanc, rendant compte de ce qu'on voit en visuel à G moyen. La version Pro est certes chère, mais par rapport à son efficacité, à sa base de données, à son ergonomie, on peut estimer qu'on en a simplement pour son argent, et les promos sont fréquentes. La version 6 Pro ajoute de nouvelles fonctions et de nouveaux accès vers des sous-menus, un nouveau catalogue d'étoiles, etc... Un excellent planétarium très bien conçu qu'on ne peut qu'adopter immédiatement, dès la version Plus. (Merci à tous les contributeurs) Attention, version d'Android 4.4 minimum pour Skysafari 6. POUR : très riche en objets et en infos, nombreux menus et paramètres, fluide, esthétique. CONTRE : NOTE version de base : 8/10 NOTE versions Plus et Pro : 10/10 Night Sky Tools 23 Mo. Un planétarium moins connu, à ne pas confondre avec The Night Sky décrit plus haut ! Dans l'ensemble il est suffisamment fonctionnel et complet pour qui n'est pas trop exigeant. Le ciel (mode Sky Map) n'est tactile que pour se déplacer en mode fixe, en mode GPS c'est le centre de l'écran avec une croix rouge qui, en passant sur un objet, le décrit, à la façon de SkEye. Dommage qu'on ne sache pas de quel type d'objet il s'agit, avec HIP on comprend, mais si c'est un Messier on ignore s'il s'agit d'un amas, d'une galaxie, d'une NP. Chaque étoile du ciel du logiciel est répertoriée, bien, les menus sont nombreux. Tous les Messiers sont répertoriés avec une photo, très bien, beaucoup de NGC et IC sont répertoriés/listés, tous les Caldwell sont répertoriés avec les photos également. En recherche sur mode Sky Map, le mode Pushto ne fonctionne que pour les Messier, pas les NGC. Fonction Telescope intéressante pour les calculs de grossissements, de champ selon les oculaires, etc... Planisphère, boussole. (Merci à Captainboeing pour sa contribution) POUR : gratuit, très complet, photos des objets, nombreux menus, Pushto. CONTRE : Fluidité moyenne, pas de NGC en mode Sky Map en temps réel. NOTE : 7/10 DSO Planner Version Free gratuite Version Basic payante Version Plus payante Version Pro payante En anglais, option en allemand depuis V 3.3.0 (01/2017). La version Free est déjà très complète, avec de nombreux menus et sous-menus. Comme son nom l'indique, ce planétarium est principalement axé sur les objets du Ciel Profond, mais toutes les planètes du système solaire sont désormais présentes depuis la version 3.2.1 de 2016. Pas de planètes pour la version Free, mais Lune présente. Chaque étoile est répertoriée, de très nombreuses photos en N&B pour les principaux objets dont pour tous les Messier et NGC, gros catalogue NGC, nombreux objets PGC, UGC, etc... Infos très complètes pour chaque objet, avec la possibilité très pratique d'ajouter des notes personnelles. Option Telrad, mais pas de mode Pushto/Search pour viser l'objet avec l'appareil, l'objet recherché sera centré. Mode Rotate en un clic pour inverser l'image, pratique. Réglage des magnitudes. Option de synchronisation en Bluetooth avec un instrument GoTo en version Plus et Pro. La fluidité est médiocre, et les étoiles ne sont pas colorées, l'ensemble n'est guère sexy. En fait, ce planétarium nous semble plus pratique pour remplacer des cartes du ciel papier qu'en utilisation en temps réel en pointant le ciel, ce qui n'est pas forcément rédhibitoire, surtout pour un astram averti. Un planétarium pour astram pur et dur, en quelque sorte ! Version Plus : occupe 560Mo de RAM. Très riche en objets, les galaxies vont jusqu'à la magnitude 16,7 ! 153 000 galaxies PGC, 14 400 objets du CP, 2,5 millions d'étoiles ! Fonction repère/angle entre deux objets qui peut plaire. Chaque Messier et NGC dispose d'une photo noir et blanc, fournies par le DSS (Deep Sky Tracker), rendant compte en visuel de son aspect. Options de Compass, Telrad... Mode nuit, réglages des magnitudes. Appli sérieuse qui, à notre avis, mérite sa bonne note malgré son austérité. Attention : la version Pro occupera plus de 2Go de mémoire ! Ceci nous a empêché de tester cette version, qui, nous pouvons l'imaginer, doit être très, très riche en base de données/objets ! POUR : très riche en objets dès la version Free, et base énorme dans les versions supérieures, infos, photos, options. CONTRE : peu fluide, peu confortable en utilisation directe, austère. NOTE : 8/10 Star Walk 2 Contenu supplémentaire « lot tout-en-un » Un planétarium intéressant, très esthétique, tout en français, mais malheureusement incomplet, malgré l'option « tout en un ». Premier souci, le temps très long mis pour que l'application s'ouvre, sans doute plus rapide sur une tablette puissante, mais sur le terrain on peut avoir à utiliser un smartphone ou une tablette basique. L'explication doit venir de la surcouche graphique qui pompe les ressources, tout est mis en œuvre dans ce planétarium pour rendre le ciel et le décor (la mer est très jolie !), vivants et esthétiques. Pourquoi pas, mais il aurait mieux valu mettre l'accent sur le nombre d'objets en mémoire, tout d'abord, le fond nous semblant plus important que la forme ! Ne cherchez pas, par exemple, la NP NGC 6210, la Nébuleuse de la Tortue, elle n'y est pas. On se retrouve donc avec une liste limitée d'objets, dommage. Boussole et horloge intégrées. Un planétarium qui peut convenir malgré tout à un débutant ayant un petit instrument, une petite lulu ou un Newton de 8". Si on ne veut que la fonction simple d'un planétarium sur le terrain, mieux vaut, et de beaucoup, le simple Stellarium. POUR : Belle interface graphique, bonne fluidité. CONTRE : Mise en route très lente, trop peu d'objets en mémoire. NOTE : 6/10 ADDENDUM En complément des planétariums pour Android, une petite appli sympa gratuite pour avoir les phases de la Lune et ses éphémérides : Phases de la Lune Aussi bien pour éviter la Lune que pour la rencontrer ! On a soit la vision de la Lune à l'instant T, présent ou futur, soit toutes les phases du mois sur une seule page. On peut aussi faire évoluer directement la Lune dans le temps en glissant le doigt sur l'image, bien vu. CONCLUSION Un trio gagnant se dégage : Skysafari Mobile Observatory Stellarium chacun parfaitement exploitable sur le terrain avec bonheur. Pour les astrams avertis, il ne reste plus guère que Skysafari Plus/Pro et DSO Planner Plus/Pro. Dommage que Carte du Ciel n'ait pas répertorié de NGC, il aurait pu rejoindre le trio de tête, ainsi que Night Sky Tools auquel il manque de la fluidité et de la praticité en temps réel. Conseils selon diamètre Newton ou SC : Jusque 200mm ; Stellarium, Mobile Observatory, Star Walk 2, Skysafari de base. Jusque 300mm : Stellarium et Mobile Observatory peuvent éventuellement suffire, mais on peut préférer Skysafari Plus, plus riche en données et objets et en options. Avec un 400mm et + : Skysafari Pro ou DSO Planner Plus ou Pro.
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