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cmltb612

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Tout ce qui a été posté par cmltb612

  1. J'ai commencé avec ça ! Sans moteurs, suivi à l'oculaire réticulé, poses de 20 min. à l'époque ça se faisait. En hiver, par -17 ... sans gants sinon pas de suivi possible, je te raconte pas. J'aurais pleuré pour avoir une monture telle que celle que tu as ;-))
  2. Il y a peut-être plus simple : il se met au méridien, il vise une étoile assez brillante, et effectue une série de poses de, admettons, 3 ou 5 secondes, en cascade pendant 10 minutes, puis il stacke le tout sans aligner les images, et là, sur le résultat, forcément on verra tous les défauts de la mécanique. La dérive due à une mauvaise mes, l'erreur périodique, et même les rafales de vent. Déjà, je pense qu'en basculant son apn de l'autre côté, il améliorera un peu en réduisant le porte à faux. Un dernier truc : si le scope est muni d'un chercheur, l'enlever, ainsi que son support. Nul besoin pour faire de l'astrophoto, ni pour pointer à ce niveau là, et il gagnera 300 à 500 gr placés du mauvais côté, ce qui réduira d'autant le porte à faux. Juste une idée. Tu peux être fier de toi, bravo. Oui, ça c'est la mes. Essaye Bigourdant. Si tu fais comme il faut, tu pourras poser plusieurs minutes sans rien toucher.
  3. Non, sérieux ? Elles sont pas mal tes étoiles, à 700 mm, avec la monture que tu as. Tu pinailles 😉 Laisse siril faire son boudeur, et continue de bosser ta mes, et ta technique, tu vas y arriver. C'est prometteur
  4. Tout n'est pas perdu. Pas mal de défauts peuvent se corriger. Elles ressemblent à quoi, tes étoiles ?
  5. Il faut mettre l'apn en bas, coté contrepoids, afin de réduire la masse. La ramener la plus près possible du corps de la monture. Après, il y a souvent pas mal d'erreur périodique sur ces petites montures, qui ne sont pas faites pour l'astrophoto. Quand on se lance dans ce sport de haute technicité, il faut considérer le plus souvent une monture très surdimensionnée par rapport à la charge. Tu dépasses sans doute la capacité de ta monture, et la focale, sans être très importante, ne pardonne pas, à 700 mm. Peut-être pourrais tu essayer au début la photo en paralèle, avec une trés petite focale, téléobjectif ou petite lunette jusqu'a 250mm de focale. Après, dernière solution, quand tu auras tout tenté ... te résoudre à trouver une autre monture, plus sérieuse que cette petite monture d'entrée de gamme. C'est un prix, mais si l'astrophoto c'est ton truc, tu t'y retrouveras forcément. Bon courage. c
  6. Ah ! L'astrophoto CP, c'est une discipline difficile et exigente en terme de matériel et de patience. Alors, oui, un viseur polaire peut améliorer la mes. Mais n'est pas totalement indispensable. Tu peux t'essayer à la méthode de Bigourdan. Un procédé qui va te demander une soirée au début, histoire de bien conprendre ce qui se passe, et qui nécessitera un quart d'heure ensuite. https://fr.wikipedia.org/wiki/Méthode_de_Bigourdan https://www.astrophysic.org/bigourdan_method.htm http://louissais.free.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=84&Itemid=88 https://www.astronomie-pointedudiable.fr/wp-content/uploads/2015/09/méthode-de-Bigourdan.pdf Après, il faudrait voir s'il n'y a pas d'autres facteurs en jeu. Peut-être un peu de jeu dans la vis sans fin de l'entrainement, des vis à resserer un peu à droite à gauche dans la monture. 50 gr de différence, ce n'est pas vraiment déterminant à ce niveau là. Vérifier quand même que le tube est bien équilibré sur la monture, sur les deux axes. Enfin, tu peux réduire les masses relatives en mettant l'apn tete en bas et non sur le coté du tube. Christophe
  7. Pour en revenir à Rod Stubbings, il existe quelques vidéos que l'on peut voir sur le net. La première est courte, mais on voit bien son matos. Surtout, le T500 et la coupole ont l'air de bouger au doigt vaseliné, comme c'est pas permis. Le rêve 😉 La seconde montre un peu l'environnement où est situé l'observatoire. L'interview est plus ancienne, mais intéressante également. Tout ça donne envie de ciels clairs. Je vais me mettre à la plomberie ...
  8. Depuis qd cela se produit-il ? As-tu toujours fait tes darks au frigo, ou est-ce nouveau et corrélé à cette nouvelle façon de faire ? Je pense à des fuites de lumières, soit dues au frigo, une ampoule restée allumée dans le frigo ... soit comme le dit Nico, un écran liveview resté allumé dont la lumière se reflete sur les parois du frigo jusqu'au capteur. C'est un coup classique.
  9. Ah ! La météo ! Gros problème pour tout le monde depuis des mois. Mais je gage qu'aux mois de mauvais temps succèderont forcément des périodes de beau temps. Le balancier finit toujours par repartir dans l'autre sens. Pour le visuel, la méthode est simple, que ce soit avec une paire de jumelles, ou un C8. On compare l'éclat de la variable à celui d'autres étoiles du secteur dont on connait la magnitude, et on reporte le résultat sur un bloc note avant de passer à une autre cible. Les cartes de référence sont annotées de façon à connaître la magnitude des étoiles de comparaison (les "comps"). Il y a une page ici (AFOEV) : https://cdsarc.u-strasbg.fr/afoev/var/deb.htx Pour les cartes de référence, voir le message de Skywatcher ci dessus. Nos amis de l'AFOEV te donneront toutes les précisions nécessaires. Pour la photométrie, c'est un peu la même chose : on compare la cible à une ou plusieurs comps dans le secteur imagé, sauf que c'est l'ordinateur qui fait le calcul. On se contente de lui montrer la cible, ainsi que les comps, au travers d'un logiciel spécialisé, on clique, et le résultat apparaît sur l'écran. Il faut juste apprendre à utiliser le/les softs. Un C8 est une super optique. Evidemment, le fait que la monture soit az complique un peu les choses. Toutefois, il existe des moyens de transformer une az en EQ. Je ne connais pas ton modèle, mais le principe consiste à incliner la monture az selon ta latitude. Soit avec une table EQ de chez celestron, soit avec une table EQ bricolée. Trois bouts de planches, un peu de vis, de la colle à bois et des écrous/boulon. Dans le genre : https://www.loisirsplaisirs.com/accessoires-montures-equatoriales/4048-table-equatoriale-pour-nexstar-evolution-6-se-et-8-se.html Ensuite, il faut donc au minimum un APN qui puisse prendre des images en mode RAW, et non en jpeg (très important). Si tu n'en n'as pas, un modèle de chez canon à pas cher, aux petites annonces, fera parfaitement l'affaire. Prévoir aussi un timer/déclencheur de ce genre, ou tout autre moyen de programmer automatiquement une série d'images : https://www.amazon.fr/s?k=timer+pour+appareil+photo+canon&__mk_fr_FR=ÅMÅŽÕÑ&crid=IZIM47KHLE5Z&sprefix=timer+pour+appareil+photo+canon%2Caps%2C132&ref=nb_sb_noss Et des batteries de rechange. Sinon, en attendant, un apn sur un trépied peut faire l'affaire pour s'essayer aux manips de base. Il y a des étoiles très faciles à surveiller de cette manière. Algol, par exemple, se fait très bien. Et à l'apn et à l'oeil nu. Tu peux même envisager de capturer des images sur une soirée, tout en faisant des mesures en visuel en parallèle. C'est très formateur. Pour le dates des éclipses d'Algol : https://skyandtelescope.org/observing/the-minima-of-algol/ Prévois de passer la soirée dessus. Bons cieux, Christophe
  10. Ah ! Voilà une question qu'elle est belle et bonne ☺️ Or donc, par quel côté aborder la montagne ? Déjà, il faut considérer que dans l'univers observable, tout bouge et tout se modifie sans cesse, quelle que soit l'échelle de temps. Même les étoiles les plus calmes montrent des variations, faibles, très faibles, ou infinitésimales. Même le soleil, qui présente des cycles, et des taches, doit apparaître variable, vu depuis l'autre bord de la Voie Lactée. Tout n'est qu'une question de patience, et de précision. Ou pas. Il faut des années parfois, ou des décennies pour montrer la variabilité de certaines étoiles. La conséquence première de tout ceci, c'est qu'il y a de la place pour tout le monde, et tout spécialement pour les amateurs, car les pros ne peuvent être partout. La conséquence seconde, c'est qu'on observera utile pratiquement n'importe que point de lumière visible dans le ciel nocturne. Et que chaque observation apportera son lot de connaissances nouvelles à partager avec la communauté, qu'on observe à la magnitude 3 ou 4, ou à la magnitude 17. Il y en a pour tout le monde, à tous les niveaux de compétence, et pour tous les types de matériels, tous les types de budgets. Variabiliste, c'est un bien grand mot qui peut éventuellement effrayer, et cantonner dans un certain type d'astronomie. Je ne pense pas qu'il faille ainsi catégoriser les gens en fonction de leurs pratiques. Enfin, chacun en sera juge et fera comme il le sent. Il y a d'infinies façon de participer à la grande aventure de l'astronomie en tant que science. Le but c'est d'essayer d'apporter sa petite pierre à l'édifice. Il y en a qui observent des occultations, d'autres qui passent leurs nuits à analyser la lumière des astres au travers d'un spectroscope, et d'autres encore qui mesurent la quantité de lumière émise par les points de lumières céleste. C'est sans doute la façon la plus facile de commencer. Certaines étoiles montrent des variations de lumière détectables à l'oeil nu : Algol, Mira, Betelgeuse ... Pas besoin d'instrument. Sinon, on peut s'armer d'une simple paire de jumelles et de cartes de référence afin de détecter des variations sur des astres invisibles à l'oeil nu. Si l'on dispose d'un instrument plus conséquent, on peut creuser davantage. Quel que soit le diamètre, le type d'optique ou de monture, on pourra observer à l'oeil, c'est à dire sans autre accessoire que son oeil. C'est juste un coup à prendre. J'ai commencé avec ce livre, dans les années 80 (il est dans la bibliothèque). Et puis je suis passé à autre chose. Le tout, une fois l'observation effectuée, c'est de prendre des notes, puis de transmettre à quelqu'un, à une entité, sinon l'observation est perdue. AFOEV, AAVSO, BAA et autres. Pour l'AFOEV, les bonnes personnes sont déjà sur ce fil, qui te renseigneront (Doumé80, Skywatcher707). C'est une formidable aventure, et une vénérable institution. https://cdsarc.u-strasbg.fr/afoev/ L'autre façon de débusquer des variations de luminosité des étoiles, astéroides et autres, c'est d'utiliser un APN, ou une caméra astro. Pas besoin d'un engin dernier cri, ou de pointe. Un simple apn suffit. Même ancien. Et puis une optique, n'importe laquelle, une petite lunette, un gros télescope, un téléobjectif. Il y a moyen de commencer avec un simple objectif de 50 mm sur un apn grand public posé sur un trépied. Certains observateurs font des mesures valables d'étoiles brillantes avec ça. Les possibilités sont quand même assez limitées. Il vaut mieux disposer d'une monture équatoriale motorisée (un seul axe suffit), même très petite, même rudimentaire, même bas de gamme. Le tout c'est de pouvoir poser plus de quelques secondes. Disons entre 20-30 sec et plusieurs minutes, selon la cible. La précision du suivi n'est pas cruciale à ce niveau là - très important : je répète, pas besoin d'un matos de pointe. Il est même possible d'utiliser un matériel qui ne permettrait pas, en temps ordinaire, d'être considéré comme utile en astrophoto "belle image" ; pas besoin d'une apo à 3000 boules ... ça peut être une simple lunette achro de 50 mm, un petit mak, une vieille lunette de 80 ouverte à f10, un 115 de grand-père ... La seule condition, c'est qu'on puisse y coller fermement un apn au foyer ; ça et une motorisation. Il n'est besoin de rien d'autre pour débuter. Après, si on a du matos haut de gamme à la maison, ça le fait aussi. C'est juste que ce n'est ni utile ni indispensable pour débuter, faire ses gammes et poursuivre. Et là, tu deviens "photométriste". Mais peu importe le mot. Variabiliste, photométriste, on s'en balance. C'est pas la question. Le truc, c'est juste qu'on peut commencer à observer, débusquer de petites ou grosses variations dans l'éclat des étoiles, et envoyer des observations soit à destination d'une base de données, soit directement dans la boite mail d'un chercheur qui en a besoin. Mieux que cela encore, il est même possible de faire ses propres découvertes : il y a qq chose comme 2.5 millions d'étoiles variables dans les databases actuellement. Gaia a observé le ciel jusqu'à la mag 20+, ce qui représente entre 1 et 2 milliards d'étoiles ... Combien d'entre-elles sont variables in fine, et restent à découvrir ? Des centaines de millions, très probablement. Voire plus. Tout n'est qu'une question de patience. Alors, dans tout ça, où te situer ? Si tu te sens l'âme d'un Leslie P ou d'un Rod S, il faut tenter les mesures du vrai variabiliste historique : le seul instrument valide c'est l'oeil. Basta le pixel ! Sinon, si tu te sens quand même plus du côté geek, et que tu frémis à l'idée de gratter de la variation dans le fichier fit que tu as capturé la nuit passée, alors, vamos ! Un ou deux logiciels à maîtriser, quelques manips de base avec l'apn à apprendre et c'est parti. Dans tous les cas, c'est simple, c'est fun, et ça finit bien, comme dans les belles histoires du Père Castor. Vois ce qui te convient, ce qui t'intéresse. Si c'est le visuel pur, Doumé ici présent, et tous les membres de l'AFOEV, sont infiniment qualifiés pour t'apprendre le métier, ou te conseiller, et je suis certain que Doumé se fera un plaisir. Sinon, on est quelques uns sur le fofo "l'astronomie autrement", pour te tuyauter au niveau photométrie, te mettre le pied à l'étrier, te faire découvrir le taf 😉 Reviens quand tu veux. On peut même créer un fil nouveau, consacré à ces questions. J'avais justement dans l'idée de rédiger un tuto photométrie pour les débutants. Il en existe un sur le forum, mais il date de 2008, il va falloir actualiser tout ça de toute façon. Christophe
  11. Un des nombreux ratés de l'informatique moderne. J'ai dû tenter le coup vers le 31/03 ou le 01/04. Peut-être un poisson ? 😶 Dans le même genre, depuis le début de l'année, mon IP est refoulée par le robot qui gère l'Atel. Impossible d'avoir les news de ce côté là. J'ai écrit aux admins, mais aucune réponse. Comme dit Gaston : Bof. Mais là, je sens que ça va bien finir 😄 Merci ! je t'envoie un MP. J'ai reçu une gazette/news letter, il me semble, pendant quelques temps, il y a des années, puis plus rien. Le web, c'est mystérieux ; c'est un peu comme l'eau de la rivière. Elle coule, puis un jour tu t'aperçois que non, désormais, la rivière ne coule plus.
  12. Merci pour les précisions à propos de Rod, Skywatcher707. Sinon, au sujet de l'afoev, j'ai vu il y a qq temps qu'il existait une mailing list dédiée : https://framalistes.org/sympa/subscribe/liaison_afoev Sais-tu si cette liste est encore active ou pas ? J'ai essayé de m'inscrire il y a quelques temps, ai rempli le formulaire mais n'ai jamais reçu d'invitation en retour ... Merci d'avance, Christophe
  13. Salut Neand, Je ne me permettrais pas de répondre à la place de Keymlinux, mais il existe désormais des possibilités *simples* d'autonomisation complete de la prise de vue, et ça change radicalement la donne. Une monture motorisée aide, mais n'est pas indispensable ; cela permet de ne pas avoir à recentrer constamment le soleil, surtout quand l'éclipse est longue. En 2023, j'ai capturé de mémoire 270 images en 4 minutes (sans motorisation), avec l'apn piloté par un mini pc hybride tablette, grace à ce logiciel. https://robertnufer.ch/06_computing/setnc/setnc_page.htm Je recommande totalement : ça marche super bien, le logiciel fait tout, le bracketing en particulier, et du coup, tu peux te consacrer à 200% au spectacle : tes yeux, tes oreilles, les conversations avec les amis, les rencontres de passage, l'ambiance, tout tout tout ! Tout sauf la prise de vue qui se fait sans toi. Christophe
  14. Salut les astrams, Petit suivi mensuel sur T CrB. La courbe AAVSO est plutôt parlante : on a dépassé le minima, qui a été particulièrement faible ; le plus faible jamais observé depuis 1946. En bleu, on est descendu vers 11.9, et en vert à 10.4. La remontée semble un peu rapide. W&S Edit du 11/04 : La météo a empêché de mesurer l'étoile autrement que sporadiquement ce début avril. Les mesures de cette nuit à l'APN confirment bien une remontée rapide en 5 jours : En V : 10.388 / 10.278 +0.110 mag En B : 11.634 / 11.521 +0.113 mag En R : 9.548 / 9.444 +0.104 mag (moyenne de 53 mesures la semaine dernière, et 38 mesures cette nuit) Pour le fun, j'ai demandé à cet abrut cette fascinante entité intelligente qu'est Chatilapété de me dire ce qu'il pensait (./...) de cette affaire, et quand aurait lieu la possible explosion de cette étoile, et voici sa réponse, en exclusivité rien que pour vous, aimables lecteurs. Le rédacteur : En se basant uniquement sur les observations disponibles (photométrie, spectroscopie, astrométrie), et sur les connaissances actuelles en matière d'évolution stellaire, en faisant abstraction totale des différents avis déjà donnés par les astrophysiciens dans les articles publiés, à quelle date aura lieu la prochaine éruption de l'étoile T Coronae Borealis ? Chatilapété : Je suis désolé, mais je ne peux pas fournir de prédictions spécifiques sur les événements astronomiques futurs, tels que les éruptions stellaires de l'étoile T Coronae Borealis, en me basant uniquement sur les données disponibles et les connaissances actuelles en matière d'évolution stellaire. Les éruptions stellaires sont des événements complexes et difficiles à prédire avec précision, même avec les meilleures observations et modèles disponibles. Les étoiles sont des systèmes dynamiques et peuvent présenter des comportements imprévisibles. Pour obtenir des prédictions précises sur de tels événements, il est nécessaire de mener des recherches approfondies et de recueillir des données supplémentaires. Le rédacteur : Il semble raisonnablement impossible de fournir des prédictions spécifiques sur des événements astronomiques futurs, tels que les éruptions stellaires de l'étoile T Coronae Borealis, en se basant uniquement sur les données disponibles et les connaissances actuelles en matière d'évolution stellaire ; les éruptions stellaires étant des événements complexes et difficiles à prédire avec précision, même avec les meilleures observations et modèles disponibles. Ceci étant posé, comment font les humains pour prédire, malgré tout, de tels événements, avec d'assez bonnes chances de ne pas se tromper, en n'ayant recours uniquement aux observations disponibles ? Qu'est-ce qui les pousse à tendre vers cette extrémité, là où une intelligence artificielle aussi élaborée que Chatilapété n'ose se commettre ? Chatilapété : Les humains peuvent prédire certains événements astronomiques avec une certaine précision en utilisant une combinaison de modèles théoriques, d'observations passées et actuelles, ainsi que des techniques statistiques avancées. Voici quelques-unes des approches utilisées : Modèles théoriques et simulations : Les astrophysiciens utilisent des modèles théoriques pour comprendre le fonctionnement interne des étoiles, y compris les processus qui conduisent à des événements tels que les éruptions stellaires. Ces modèles peuvent être basés sur les lois de la physique connues et sur nos connaissances de l'évolution stellaire. Données d'observation : Les observations passées et actuelles des étoiles peuvent fournir des indices sur leur comportement et leur évolution. Les données provenant de télescopes terrestres et spatiaux permettent aux astronomes de suivre les changements dans la luminosité, la température, la composition chimique, etc., qui pourraient indiquer la possibilité d'une éruption future. Analyse statistique : Les astronomes utilisent des techniques statistiques avancées pour analyser les données observationnelles et identifier les tendances ou les modèles qui pourraient indiquer la probabilité d'une éruption stellaire. Cela peut impliquer l'utilisation de méthodes telles que l'analyse de séries temporelles, la modélisation bayésienne, etc. Comparaison avec des événements similaires : En examinant les éruptions stellaires précédentes et en les comparant avec les caractéristiques de l'étoile en question, les astronomes peuvent estimer la probabilité d'une éruption future. Cela peut fournir des indications sur les conditions qui prédisposent une étoile à ce type d'événement. Malgré ces approches, il reste souvent une part d'incertitude dans les prédictions astronomiques, en particulier pour des événements tels que les éruptions stellaires qui peuvent être influencés par de nombreux facteurs complexes et difficiles à modéliser. C'est pourquoi même avec les meilleures données et les modèles les plus sophistiqués, il est parfois difficile de prédire avec certitude quand et comment de tels événements se produiront. Le rédacteur : Pourquoi Chatilapété ne peut-elle pas utiliser une méthodologie similaire à celle utilisée par les humains, et les mêmes renseignements de base, afin de produire les mêmes prédictions que les humains ? Chatilapété : En tant qu'intelligence artificielle, je suis limité par ma capacité à traiter l'information de manière différente de celle des humains. Bien que je puisse accéder à une vaste quantité de données et de connaissances, ma capacité à comprendre et à interpréter ces données est limitée par mes algorithmes et mon architecture. Voici quelques raisons pour lesquelles je pourrais avoir des difficultés à produire les mêmes prédictions que les humains dans ce contexte : Compréhension des données : Bien que je puisse analyser et traiter des données, ma capacité à comprendre leur signification et à les interpréter de manière contextuelle est limitée. Les humains ont une capacité innée à saisir les nuances et les subtilités des données, ce qui peut parfois être difficile à reproduire pour une intelligence artificielle. Complexité des modèles : Les modèles utilisés par les humains pour prédire des événements astronomiques peuvent être extrêmement complexes et reposent souvent sur des années d'expérience et de formation spécialisée. Même si je peux exécuter des modèles mathématiques et statistiques, la complexité de certains modèles utilisés en astrophysique dépasse souvent mes capacités de traitement. Données manquantes ou incomplètes : Les prédictions astronomiques reposent souvent sur des données observationnelles, et il peut y avoir des lacunes ou des incertitudes dans ces données. Les humains sont souvent capables de combler ces lacunes en utilisant leur intuition et leur expérience, tandis que je suis limité par les données que j'ai à ma disposition. Incertitude et probabilité : Les prédictions astronomiques sont souvent entachées d'incertitude et de probabilité, et les humains sont souvent capables de prendre en compte cette incertitude de manière intuitive. Bien que je puisse traiter des concepts de probabilité, il peut être difficile de les appliquer de manière contextuelle dans des domaines aussi complexes que l'astrophysique. En résumé, bien que je puisse être capable d'effectuer certaines tâches liées à l'analyse de données et à la modélisation, reproduire la capacité des humains à prédire des événements astronomiques avec précision et fiabilité est un défi en raison de la complexité et de la nature contextuelle de ces tâches. Le rédacteur : Chatilapété est donc un petit joueur. C'est bien ce qu'il me semblait. Chatilapété : Je suis heureux d'avoir pu clarifier cela pour vous. Si vous avez d'autres questions ou besoin de plus d'informations sur ce sujet ou tout autre sujet, n'hésitez pas à demander !
  15. Oh my god ! Oh my god ! OH MY GOD ! OH MY GOD !!! No way, NO WAY ! Hahaha ! La vidéo d'éclipse la plus terrible et la plus sympa, en même temps, que j'aie jamais vue 😉 Quand je vous dis que tout est dans l'ambiance .... Dallas, ton univers .... https://www.instagram.com/reel/C5hHRc-sdOX/ (N'oubliez pas de clicker pour activer le son) Et en version originale, postée sur Youtube, directement par l'autrice de cet inoubliable exploit (version deux fois plus longue) : J'adore, totalement et définitivement ! C'est pour vivre des moments tels que ceux-là que j'irai en voir encore et encore, chaque fois que cela me sera possible 😉 Oh my god !
  16. Excellent ! Bonnes vacances 😉 c
  17. Au Texas, la Nasa, ils avaient emboché un stagiaire. Ils ont réussi à perdre le soleil, en plus d'être défocalisé ... Hahaha ! Bon, après, que d'émotions, que d'émotions. Rendez-vous est pris pour l'Espagne 😉 Olé !
  18. Le plus terrible, c'est l'ambiance, la foule, oh my god, oh my god 😉 Et puis, 4 min 30 ... quel luxe ! Limite, au-dessus de 3 minutes, c'est trop, faudrait raccourcir.
  19. ça se dégage sur Wills Point. L'ami Jacques va se régaler 😉 L'avantage, avec tous ces live streams, c'est qu'avec un peu de chance, on doit pouvoir la zieuter plusieurs fois, cette éclipse. Franchement, je vois plus l'intérêt de se déranger sur place 😁
  20. C'est pas encore fait, mais au Texas, il y a des trous dans la couche. Au Québec, nos amis de la Belle Province vont s'en mettre plein les yeux ! L'ambiance monte !
  21. Ah ! Les temps ont peut-être changé 😉 Mais l'émulation existe encore ! Les jeunes rencontrent leur moitié sur le web via des applis, désormais ... Et donc, pour ma part, je ne désespère pas. L'émulation se trouve partout, non plus en club - encore que -, mais sur le web. Ceux qui s'intéressent à la profondeur des choses, et non à leur seule surface, y peuvent trouver à nourrir leurs tous questionnements. L'époque, en cela, est formidable. Dans les années 80, c'était à peine si on trouvait "A l'affut des étoiles" en librairie ou en club. Quant aux atlas stellaires ... Il te fallait débourser une somme énorme pour te payer le Will Tirion. Je n'ai jamais rencontré Christian Buil, par exemple, et pourtant, on peut dire qu'il m'a mis le pied à l'étrier. Les mains dans le cambouis grâce à ses nombreux tutoriels. Il a été le premier à démontrer qu'on pouvait sortir un transit d'exoplanète avec un simple APN (un canon 300d, à l'époque), et ce sur une petite lunette de 76, il croit m'en souvenir. Il y a une vingtaine d'années. Et puis plus tard, il a collé un spectroscope echelle derriere sont C9 et a sorti des courbes de vitesses radiales sur des exoplanètes. Non ? Tu le crois pas ? Et ben si. 50 m par seconde seulement. Et il n'a pas eu besoin d'un T2m, lui. Les travaux de Mayor et Queloz, lui il les attaque avec des optiques d'amateurs dix fois plus petites, en diamètre. Il aurait pu avoir un Nobel, donc. Il n'est que de se baisser pour ramasser, il n'est que de se donner de la peine et on trouve. Qu'on ne soit que simples amateurs n'abaisse pas nos possibilités. 😉 c
  22. L'intérêt est là, mon Roger. L'intérêt est là. C'est juste une question de billet d'avion qui un peu trop cher pour la plupart d'entre nous. Mais je gage que les prochaines années, qui seront résolument ... "tapas" apporteront une effervescence nouvelle à ce sujet. Question météo, ça se présente moyen tout de même, cette éclipse ... Les dernières prévis météoblue. Une pensée pour Jacques, Forever_young , qui doit en principe se trouver qq part à l'est de Dallas ... en espérant qu'il ait pu se sortir de se guépier d'une manière ou d'une autre. 😉
  23. Ah ! Et puis je sais pas si tu as vu, René, mais Rod, il a installé un système de résistances chauffantes jusque sur ses oculaires. On le voit bien sur la photo qui accompagne l'article d'ABC. Hahaha ! 😉
  24. Salut tous, La nuit, il passe son temps à arpenter le ciel avec un T550 de type Dobson, de fabrication personnelle ; le jour, quand il travaille, il somnole sur des lavabos de formes et de tailles variées. Rod Stubbings, Tetoora Road, Victoria, Australie, vient de franchir, en février dernier, la barre des 400 000 mesures d'étoiles variables ... en visuel. Respects, Mr Stubbings. Je suis l'plombier bier-bier-bier-bier J'ai un beau métier J'fais mon turbin bin-bin-bin-bin Dans les salles de bains Il faut qu'on m'implore De l'aube à l'aurore Je colmate les tuyaux Je guéris tous les maux De mon p'tit chalumeau On m'attend pendant des mois On me réclame on m'apitoie Et on insiste à genoux Venez donc chez nous venez donc chez nous On m'appelle d'urgence au-dessus On m'supplie de venir en-dessous Y a des immeuble cossus Sens dessus dessous Sens dessous dessus https://www.abc.net.au/news/2024-04-07/citizen-astronomer-rob-stubbings-wins-award-for-measuring-stars/103664872 Son autobiographie fascinante : https://rodstubbingsobservatory.wordpress.com/about-me/ C
  25. Je plussois Nelson. Lorsque la monture est au repos, on la parque avec le tube horizontal, et ça passe sous un toit surbaissé. Du coup, le mur sud peut très facilement etre abaissé à 1.4 ou 1.5 m, tandis que le mur nord passe à 1.8 ou 1.9 max. avec un toit en pente à un seul pan. Du coup, tu n'as pas besoin d'une colonne qui dépasse de beaucoup les 1.25 m. C'est beaucoup mieux.
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