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cmltb612

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Tout ce qui a été posté par cmltb612

  1. Le truc qui m'est apparu cette nuit, entre deux étoiles ... 100000 fps, c'est bien joli... mais faut aussi que ça suive au niveau vitesse de transfert, et capacité de stockage. Sur la MS500, le débit est bridé à 60 fps en 1080, mais ce n'est qu'un début, forcément.
  2. Salut Tous, Une petite vidéo qui explique bien les enjeux au niveau de ce nouveau capteur. A voir à partir de 3:12, particulièrement bluffant. A voir également, cette application particulièrement étonnante, et peut-être même inquiétante par certains côtés : le NLOS (Non-Line-of-Sight) sur cette page (pas mal de doc sur wiki, si on veut approfondir, mais c'est très théorique : https://en.wikipedia.org/wiki/Non-line-of-sight_propagation) https://imasolia.com/cameras-spad-technologie-avancee-pour-la-detection-de-photons/ Côté prix, la caméra Canon MS500 passe de 25000€ pièce, il y a six mois, à environ 20-21000 euros. Encore très cher, mais pour des applis pros, ce n'est pas un souci. Encore deux ans, à ce train là, et elle sera à portée de bourse d'un amateur un peu à l'aise. https://www.bhphotovideo.com/c/product/1784097-REG/canon_9915b001_ms_500_ultra_high_sensitivity_interchangeable_lens_camera.html C
  3. cmltb612

    Changement de pseudo ?

    Merci 👍
  4. Encore un fil qui part en sucette, en mode ancien combattant ? 😁
  5. Malheureusement, c'est la triste réalité de ce sport. Dans l'immense majorité des instruments d'amateur, les galaxies et nébuleuses ne sont que d'infâmes tache floues et grises, le plus souvent très faibles. Parfois, dans de très gros instruments (à plusieurs milliers, voir dizaines de milliers d'euros = grand diamètre), on peut voir des couleurs dans les nébuleuses : un peu de vert ici, un peu de rose. Mais le mieux est d'en prendre son parti : les couleurs et les détails ne se voient que sur les photos. En définitive, si ton but c'est d'en voir autant que sur les images de la nasa, autant t'acheter un bon écran pour PC et zieuter des images nasa gratuitement.
  6. Salut Claude, Tu peux essayer ça, sous Iris. 1) trouver dans ton champ imagé, au milieu de préférence, et en dehors de la queue cométaire, une étoile brillante jaune de type solaire, donc de type spectral G5, ou du moins G, par exemple, avec Aladin, ou tout simplement CdC. 2) cercler au plus serré l'image de cette étoile (petit carré), puis taper la commande WHITE. Généralement, ça aide bien à refaire l'étalonnage des couleurs (mais pas toujours). Il faut parfois aussi utiliser la commande BLACK, sur un carré de fond de ciel bien noir, avant le white. Parfois aussi, après cela un petit ajustement cosmétique final sous un logiciel de traitement d'image quelconque, permet de fignoler. Bon cieux, C
  7. Salut tous, Une question qui pourrait relever de la naïveté pure ... https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/lunettes-astronomiques/lunettes-achromatiques-1/lunette-150-750_detail Pierro stipule qu'il n'existe pas de correcteur pour ce type de lunette. Or, pour le prix auquel c'est vendu, un tube pareil, on se dit parfois qu'on pourrait peut-être bien s'assoir sur le chromatisme, si on ne l'utilise qu'en monochromatique ou avec des filtres à bande étroite. En revanche, la coma, la planéité du champ... des étoiles de 3 cm de long dans les coins et sur les bords... Quelqu'un a déjà essayé d'améliorer ce type d'instrument avec un correcteur ou réducteur/correcteur ? Pour ma part, je possède une 80/400 achro que j'utilise au quotidien en astrophoto. J'ai juste crée trois diaphragmes différents. Quant l'ouverture est réduite à 60mm, il y a de la coma dans les coins et du chromatisme encore, mais c'est pas mal réduit par rapport à l'objectif ouverture complète. A 50 mm, c'est très fréquentable, car l'image s'est bien améliorée. Enfin, à 40 mm, on est presque au niveau d'une ED, très faible chromatisme résiduel et coma presque insensible ; valable quand il y a beaucoup de lumière : pour les éclipses, par exemple. Evidemment, ça ne vaudrait pas le coût d'acheter un tube de 150 pour le diaphragmer de moitié, vu le poids et le prix, autant acheter d'entrée de jeu une 80mm ED. En revanche, en monochromatique full light, ça pourrait se discuter, à condition de réduire la coma. Surtout, comparativement à une apo de même diamètre. Merci pour vos avis, Christophe
  8. De toute façon, tu penses bien ! Si jamais ça marche, les chinois sont en embuscade qui observent tout. Et donc l'Européen se casse lag (peut-être ... on ne le lui souhaite pas) après avoir essuyé les plâtres pendant un temps, du fait qu'il n'a pas pu tout prévoir, qu'il n'a pas tout prévu, et que ça coûte un bras, tout ce qui est produit par ici. Puis le chinois copie et améliore, puis vend à tour de bras, en s'foutant pas mal du r'gard oblique du concepteur initial et des brevets qu'il a pu déposer ici ou là. Les miroirs = l'équivalent de 50 boules en monnaies de là-bas, le reste de la structure ... allez, admettons 50 boules également. Revendu en boutique 840 boules, à 2000 exemplaires la première année, 20000 la deuxième année. Lequel concept est pompé de chez taka.
  9. cmltb612

    Changement de pseudo ?

    Merci Kiwi. Je te contacte en MP pour régler les détails.
  10. Salut Destro, Tu poses vraiment des questions basiques - et c'est tant mieux, il vaut mieux se les poser en amont -, mais à ce point basiques, qu'il me semble que tu devrais murir encore un peu ton projet. Cela dit sans vouloir te froisser le moins du monde. Il faudrait sans doute que tu te renseignes encore beaucoup sur le matériel qui est disponible, sur ce que font les autres, ainsi que sur un minimum de théorie de l'imagerie, sur les accessoires, les logiciels etc. Faute de quoi tu risques de faire des choix regrettables car inadaptés, avec à terme la nécessité de dépenses supplémentaires pour "rectifier le tir", ou plus ennuyeux, de déconvenues plus ou moins importantes qui t'amèneront à laisser tomber à plus ou moins court terme. La solution, à ce stade, et sans doute que nombre d'astams seront d'accord, c'est de commencer petit et à pas cher du tout, et de voir, d'upgrader au fur et à mesure, comme tout le monde. Tu n'arriveras à rien, à vouloir faire du FF avec un 6D au foyer d'un T200 mm SW sur une monture telle que celle que tu possèdes. A rien du tout. Désolé d'avoir à te le dire. Relis bien tout ce que les intervenants t'ont déjà dit sur ce fil. Tu as toutes les cartes en main. Enfin, non, pas toutes. Tu as encore beaucoup à apprendre. Mais les conseils donnés ici valent de l'or. Il existe des livres consacrés au sujet, tels que ceux écrit par T Legaut, par exemple. Bon courage, bon ciel, C
  11. Comme d'habitude : tout ça pour ça. Faut pas se leurer. L'objectif final n'était pas d'apporter du nouveau dans le domaine, et moins encore de révolutionner les pratiques. Il s'agit d'un simple coup marketing : on cherche un concept en apparence novateur, et on tâche de faire du fric avec. « Nous espérons 50 ventes cette année. Si on fait entre 60.000 et 65.000 euros de chiffre d'affaires, on sera contents. Je pensais que j'allais devenir millionnaire rapidement, mais ça ne sera pas le cas », plaisante Paul Gheno.
  12. Ouhla ! Elle est vraiment superbe, cette image. Bravo. Elle en a sous le capot, cette petite askar.
  13. Salut les admins, Est-il possible de modifier l'intitulé de son pseudo (pour raisons de sécurité) ? Merci Christophe
  14. Le 6D est un apn plutôt haut de gamme, avec pas mal de possibilités. Il a pour lui, surtout, d'avoir un capteur plein format, ou FF, ou encore dit "24x36". C'est très très bon pour l'imagerie. MAIS attention, il a le défaut de ses qualités. A savoir : pour l'exploiter pleinement, il faut une optique qui ait un champ corrigé de 43mm de diamètre ; autrement dit, on n'a pas ce champ là sur les lunettes/telescope de bas de gamme ou à destination des débutants. Le 43mm corrigé, c'est généralement des instruments ou moyenne gamme en apo, ou astrographes haut de gamme. Sur les instruments peu onéreux, on a un champ optimisé pour de l'APSC, ou 29 mm au maximum. Il est cependant possible de placer un 6D derrière une optique bas de gamme, mais dans ce cas, les bords de l'image partent souvent en vrille, et il y a au minimum un fort vignettage dans les coins. Pour commencer, je préconiserais volontiers, malgré tout, un canon d'entrée de gamme aux petites annonces : ce n'est pas cher et c'est généralement fourni avec tous les accessoires qui vont bien au débutant. Fausse batterie, bagues etc. Puis, on revend le canon pas cher un peu plus tard au prix où on l'a acheté d'occase, et on passe à de meilleurs optiques/caméras si la sauce astro a pris. Sinon, ça ne nous a pas coûté très cher. c Une optique de courte focale : 200 à 300mm au maximum, ou moins. Plus on augmente la focale, plus les problemes sont démultipliés. Tu peux considérer l'échelle suivante point de vue focale difficulté : Difficulté = (focale en cm)² Exemple : focale 300 mm = difficulté 30x30= 900 Focale 1000mm = difficulté 10000 Focale 50mm = difficulté 25
  15. Destro, Pas de panique ! La photo astro c'est facile, tu vas voir. Oui, c'est facile. On arrive a prendre quelques images en une première soirée, de quoi se faire plaisir et montrer aux amis, à la famille. Ce qui est difficile, en revanche, c'est de faire de la très belle et très excellente image, telle que la plupart de celles que l'on peut voir sur ce forum, ou sur Astrobin. Cela, ça demande du savoir faire et du matériel souvent couteux. Ce qui est nécessaire, c'est de la stabilité ; une stabilité à toute épreuve du matériel. Ce qui ne pardonne pas : une monture instable, sous dimensionnée, inapproprié, un tube trop gros sur une monture trop petite, par exemple. Un tube avec un crayford insuffisant. Ce genre de chose. D'où la mise en garde de @Tyler. A vue de nez, ton matériel paraît plus valide pour du visuel, mais cela ne veut pas dire que tu ne puisses pas commencer à imager. La lune, par exemple. Ou alors des nébuleuses, des comètes, du ciel profond, avec une petite optique en parallèle sur ton 200. Il y a un pas de vis kodak sur l'un des anneaux de ton tube. Essaye, et tu verras, ça va aller. Bon ciel, et n'hésite pas à venir montrer tes images par ici. C Autre solution : Pour tes premières images ciel profond, dépose ton tube de 200 et pose directement ton apn muni d'un petit télé, ou d'une mini lunette achetée en occasion, sur la queue d'aronde vixen qui est au sommet de ta monture. 200 à 300 mm de focale max, ou mieux, 50, 80 ou 135mm, dans ce genre là. Avec un simple objectif de 50 mm, par exemple, tu peux dès ce soir tenter le coup sur la comète du moment. Et tu obtiendras vite de bons résultats, ainsi que des photos qui seront ta fierté, tes débuts triomphants, sur une comète de luxe, pour le restant de ta carrière d'astronome amateur.
  16. Salut Destro, Deux points de détail qui te donneront du grain à moudre ... 1) il existe des APN qui ONT, et d'autres qui N'ONT PAS d'écran orientable. Sur le terrain, un écran orientable est un véritable must ; ça change la vie. 2) On trouve facilement sur le marché des PA des APN défiltrés, partiellement ou totalement. Si tu veux shooter des nébuleuses prioritairement, avec un APN 100% astro, c'est ce qu'il te faut. Si, au contraire, tu veux pouvoir continuer de prendre des photos au mariage de la Tante Kévinette, un APN non modifié est certainement à privilégier, encore qu'il y ait des APN défitrés qui soient encore capable du double usage, mais c'est à voir au cas par cas. Les canon de la série 600-650-700 etc sont très bien. Costauds, efficaces, et assez peu onéreux. On en trouve aux environ de 300 euros neuf. C
  17. Histoire du type qui voulait décrocher une comète Pas si facile de décrocher une comète, par les temps qui courent. Un mois que cela dure. Des nuages, de la pluie, de la pluie, des nuages. Matin, soir, midi, après-midi, nuit. Rien à faire, ou quasi. Comme depuis des mois. Ou alors à la sauvette, à la va-comme-j'te-pousse, entre deux masses grises informes. Un jeté de jumelles dans les nuées, et la boule floue a déjà disparu, impossible de la retrouver. Ou à travers les stratus, même, quand il n'y a plus que ça à faire. A travers le gris épais. Carrément. Alors quand une pause dans la déveine survient, quand une vraie pause s'annonce, avec des heures et des heures de bleu éhonté, suivies d'une nuit claire en perspective, sous un ciel transparent comme ça, on fonce à 200 à l'heure. Pas si facile de décrocher une comète. L'humidité, les basses couches atmosphériques, avec la crasse, le crépuscule, la nécessité d'un horizon bien dégagé. La montagne s'impose, histoire de ne laisser aucune miette au hasard. Mais pas n'importe laquelle. Pas n'importe où. La montagne, c'est sauvage, et il y a de la nature partout, qu'il faut prendre en considération, avec des arbres à perte de vue. Même que tu ne t'installes pas là où tu veux pour observer. Il y a du relief, des ravins, des sommets qui obstruent la vue, qui t'empêchent de viser la nébulosité que tu convoites, et aucun parking là où tu le souhaiterais. Les fonds de vallée sont terribles pour ça. Reste un col, hypothétique. Mais pas n'importe quel col, encore. Parce qu'un col, par définition, c'est entouré de montagnes, entouré de plein de montagnes, dans toutes les directions, qui bouchent la vue, inévitablement. Sans parler du vent, qui s'y concentre. Or là, ce qu'il te faut, c'est un azimut sans concessions, totalement dégagé, disons entre 230 et 280 degrés, très exactement, sans sommité en face pour te dégrader le panorama. Un à-pic de plus ou moins mille mètres ; un méplat résolument dégagé, du sol au plafond, juste devant tes optiques. Autrement dit, rien entre toi et la comète. Ni terres, ni eaux, ni air. Ni hommes, ni dieux. On est loin du col estival de base, avec sa boutique à touristes et sa part de tarte à la myrtille décongelée à 6.30€, dégoulinante de jus mauve, dont tu aimes à te lécher les doigts, en short et en tongs, en plein mois d'août. Une gageure. Sans blague : essaye de trouver un col qui soit un véritable balcon, accueillant par surcroît, avec une vue pile dans la direction que tu espères et, accessoirement, une belle et grande montagne dans ton dos. Essaye seulement, et tu m'en diras des nouvelles. Alors le col du Gourdon, dans le Diois, un peu à l'est de Bourdeaux. Va pour celui-ci, après deux heures de recherches dans tes papiers de grimpeur, ton énorme tas de Top25, tu parviens à t'en convaincre. Ou alors, juste en-dessous, pour faire bonne mesure. Moins de vent, panorama exactement dans l'azimut, avec un énorme kilomètre de roches dans tes arrières, qui fera barrière à la lumière gênante de la Lune, quand elle se lèvera. 860 mètres d'altitude : cela devrait aller pour ce qui est de s'affranchir des basses couches de l'atmosphère. Température frisquette, doudoune obligatoire. Soleil couchant d'anthologie. Les pieds dans le thym et la garrigue pagnolesque, que ça te nous conserve encore comme des relents de vacances un peu tardives. L'air qui embaume. Les parfums qui montent d'une après-midi chaude de fin d'automne. En altitude, l'hiver arrive vite. Déjà la fin de la belle saison, avec ses dernières brebis bêlantes qui, en contre-bas, ne sont pas encore descendues, ou qui ont été oubliées. Un dernier rayon ardant, puis c'est un éventail immense dans l'atmosphère enfin détendue, comme un soupir avant la nuit. 19h40, la chevelue est là, déjà visible aux jumelles, sur un fond de ciel encore bien bleu. Une sorte de petit V blanc jaunâtre, un peu incurvé, magnitude 4, peut-être, bientôt visible à l'oeil nu. Tu avais douté de sa visibilité même, à l'oeil non aidé, parce que si la comète avec été vue une semaine auparavant vers la magnitude 2, étincellante et inoubliable, dans la lumière horizontale à peine assombrie par la chute du jour, comme une Ingrid Bergman dans la splendeur de ses vingt ans, le temps avait fait oeuvre depuis - déjà, et l'astre s'étant éloigné du Soleil, il avait rapidement diminué en brillance. Six fois moins éclatant, à l'estime. Mais non. Elle est bien là, cela ne fait aucun doute. 2 à 3 degrés de queue, immédiatement, puis 4. Une vérification aux jumelles : l'astre en montre un peu plus : 8 degrés, que tu t'empresses de détecter également sans aucune aide optique. Puis le ciel s'épaissit, et tu en vois davantage encore. 12 degrés à l'oeil nu maintenant, en vision décalée, comme aux jumelles, avec lesquelles tu balayes lentement le ciel, de gauche à droite, pour en voir plus. Et peut-être même 15 degrés à l'oeil nu ; mais là, on entre dans le domaine de la subjectivité. Savoir si cette comète est plus spectaculaire que Neowise en 2020, ou pas … autre conjecture. Elle entre cependant aisément dans le groupe de tête, celui des comètes qui laissent une trace vibrante dans ton esprit, et que tu aimerais à pouvoir décrocher plus souvent. Halley, Hale-Bopp, Neowise, Et maintenant Tsushin. Hyakutake ? Non, pas Hyakutake. Trop terne dans ton souvenir. Le silence de la nuit n'est troublé que par le hululement du grand duc, là-bas, quelque part dans les buissons, et le pétillement discret des APN qui enregistrent la scène, à quelques mètres de là. Lunette, téléobjectifs, petites et grandes focales, microscope, radar, smartphone. Oeil et âme poétiques, profonds et mystérieux. La tête dans les lavandes et les herbes folles, le nez dans les étoiles, on croit pouvoir toucher une comète du bout du doigt. A peine si le froid de la nuit, le lever d'une Lune presque pleine, la rosée qui dégoutte et le brouillard ont prise sur tes rêves. C
  18. Elle est encore bien visible à l'oeil nu ce soir, facile même, avec une queue de 3 deg (Bortle 4).
  19. Ben voilà 😉 Et il est nettement moins cher que le réducteur sur C11 edge, en plus. Allez, taÏau, sus à la comète !
  20. Je vois bien ce que tu veux dire, mais regarde : remettons les choses en perspective. Notre astram se dit uniquement intéressé par la HR planétaire. Il n'a donc besoin, pour les planètes que d'un champ de 10'. 0.4deg, c'est mieux, mais ça ne lui fera surement pas beaucoup d'usage en plus, sauf s'il se décide à passer au grand champ CP. La différence entre les modèles classique coma free et edge est vraimement minime, sur un champ de 10 mm total, 5mm off axis. En regardant les spot diagrams sur le white paper, on voit même que le centre de l'image est encore meilleur sur le sc classique. Après, on peut sans doute adjoindre un correcteur dédié. (note : on n'a pas le spot diag du C11, mais on peut extrapoler avec ceux du C8 et du C14) Les pionniers de la HR planétaire, dès le début des années 2000 n'ont jamais eu besoin de la version edge pour travailler et sortir des images d'enfer. Christophe Go, pas exemple. Chez nous, notre ami Bernard Bayle. Et comme dit Algenib, faut d'abord maîtriser l'instrument, et être capable d'ordonner au ciel de se calmer. Après, encore une fois, si le dit astram peut se permettre de claquer 2000 euros de plus pour la version edge, même si ça n'était pas dans le cahier des charges initial, chacun voit midi à sa fenêtre. Là dessus, je lâche l'écran. Le ciel se dégage vers le sud, je vais tâcher d'aller en montagne pour imager A3, et il y a un peu de route. 😉 Bons cieux à tous, C PS : je vois qu'on n'a pas le même spot dia. Bon, c'est pas trop grave. De toute façon, je fais pas de planétaire 😉
  21. Sure ! But ... Si tu fais de la HR planétaire, tu n'as pas besoin d'une champ corrigé de 1 degré. Les 10' de champ coma free au centre de l'image peuvent suffire, même en lunaire ou solaire, surtout s'il ça se traduit sous la forme de 2000 euros d'écart. De toute façon, avant d'être limité par la coma, en HR, faut d'abord maîtriser la mise en température, le train optique, et le ciel. M'est d'avis.
  22. Au temps pour moi ; tu as raison. Je pensais que la différence en terme de masse était bien moindre. En ce cas, si on peut se le permettre, un grand champ corrigé est bien entendu plus intéressant.
  23. Je me demande ... Pourquoi un edge, si c'est uniquement pour faire du planétaire ? Un C11 classique eu sans doute été aussi efficace, tout en étant beaucoup moins lourd. Et moins onéreux. Et par ailleurs, il m'avait semblé que les lames d'ouverture, ce n'était pas trop son truc. Bon, après, on a le droit de changer d'avis. Mais les SC et les maks, surtout les mak, question mise en température, c'est quelque chose. c
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