Albuquerque
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Il paraît qu'avec les cirrus artificiels que donnent les traînées de condensation qui s'étalent, il faut doubler l'effet de serre lié au seul CO² des avions. Je n'ai pas les compétences pour en juger. Dans une activité donnée, un % minime du CO² total produit se signifie rien en soi s'il n'est rapporté au service rendu et à combien de personnes. Décidément, ça sent la géoingéniérie et le nucléaire qui le rendra possible. Encore quelques fournaises estivales sous les tropiques et les effarouchements antinucléaires hérités des seventies ne pèseront plus rien. Certains penseront : "encore un commentaire qui commence bien et finit mal"
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Qu'est-ce que vous écoutez comme zic ?
Albuquerque a répondu à un sujet de Beloube dans On fait une pause
Antony est ta commune natale ? Moi aussi, ou presque... puisque c'est là que j'ai passé, brillamment bien sûr, l'oral de mon concours aux PTT... en 1988. -
Quelques images rigolotes ou étranges... bis !
Albuquerque a répondu à un sujet de RIGEL33 dans On fait une pause
Il s'est enfui, c'est norman... heu, normal. -
Les jeux de société de l'espace
Albuquerque a répondu à un sujet de MKPanpan dans Quizz, Jeux, détente
Terraformer ailleurs ? Mais je croyais défendu de géo-ingéniérer ici-bas ? -
Allons allons, tu te trumpes.
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Je reste confondu par ces ratiocinages autour de risques dérisoires en regard de celui de damnation, qui n'a rien de mince puisque la majorité de l'humanité est prête à témoigner de sa gravité.
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Quelques images rigolotes ou étranges... bis !
Albuquerque a répondu à un sujet de RIGEL33 dans On fait une pause
Il y a des lunettes montées sur pied de plus d'un seul élément coulissant ? -
Négocier avec la pataphysique verte n'est guère plus simple. De toute façon il faudra faire les deux : réduire ET capter du C / CO².
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Nous disions donc en peu le lignes que la principe d'un agrocarburant est de n'émettre que la quantité de CO² que réabsorbera l'année suivante la repousse des cultures qui permettront de refabriquer la même quantité de biocarburant, et ainsi de suite chaque année. Nous ne manquions pas de préciser que le bénéfice en CO² par rapport à un carburant fossile n'est complet que si l'énergie nécessaire à la production / acheminement de l'agrocarburant est elle-même neutre en CO². Sinon le bénéfice n'est que partiel. Non, il n'y a rien de préférentiel dans l'absorption du CO² issu d'un agrocarburant, et la seule invocation d'une telle idée n'a pas de sens, et quand bien même elle en aurait que cela serait sans conséquence sur le bilan final.
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Oui, en effet. Le principe de neutralité en CO² d'un agrocarburant n'est pas compris. Par ailleurs l'idée en effet saugrenue de ségrégation entre les diverses sources de CO² n'y rien à voir. Evidemment la neutralité en CO² d'un agrocarburant suppose que sa production et sa distribution soient elles-mêmes neutres en CO², ce qui est une question sérieuse. Si cette neutralité est totale ou partielle, il y a gain de dégagement de CO² par rapport au carburant fossile.
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Rappelons que depuis pas mal d'années les vrais écologistes s'insurgent contre le mot de biocarburant et exigent qu'on parle d'agrocarburants, parce qu'ils refusent le préfixe flatteur "bio" à des produits qu'on produit en affamant les peuples par accaparation des terres.
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Ta bonne nouvelle est au contraire la pire des deux. Ce système va permettre d'anéantir tous les efforts des écologistes pour nous mettre au pain sec, et laisser aux générations futures une bombe à retardement, car si après une guerre nucléaire l'humanité retombe à la préhistoire, qui aura gardé la mémoire de la nature de ces stocks étranges de Cosmogol-999 ? Si les femmes et les hommes préhistoriques de l'avenir se mettaient à les chauffer sans savoir ce qu'ils recèlent ? Sans compter que la guerre thermonucléaire pourrait produire directement ce résultat ? Y a-t-on pensé ?
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En effet, c'est du dacron. On sait quelle catastrophe donne ce tissu lorsqu'on veut le repasser. Ici, on exploite sa thermorétractabilité pour le tendre sur les vides de la structure de bois, et en passant très délicatement le rebord d'un fer chaud, on obtient ce creusement de la toile. On achève la tension avec un enduit dit précisément de tension. En vol, on peut voir sur le dessus de l'aile la toile se gonfler très légèrement entre les nervures, puisque la portance est due majoritairement à une dépression sur le dessus.
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Quelle chance nous avons de vivre une époque où les astres se multiplient !