Albuquerque
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42 volts relevés en sortie de mon chargeur de vélo, sans qu'il soit connecté à rien. Pour une batterie de 36 volts c'est à peu près le même rapport qu'entre un chargeur de batteries au plomb et les batteries. Cela ne m'explique donc toujours pas pourquoi la batterie se charge "aussi vite".
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J'apprécie les extinctions nocturnes de l'éclairage municipal, sans quoi je n'habiterais pas par choix dans la noirceur complète de la campagne creusoise (en me déplaçant que quelques kilomètres je bénéficierais de clignotement perpétuel des éoliennes). Voici ce qui se fait dans la ville écologique de Lyon, et on peut admirer le discours de présentation de l'affaire, qui n'est pas écrit par un analphabète : À Lyon, un nouveau plan Lumière empreint de sobriété (lefigaro.fr) Plus de trente ans après avoir initié cette dynamique, il est apparu nécessaire d'intégrer les enjeux contemporains de l'éclairage urbain, portés par de nouvelles attentes sociétales et environnementales. Il s'agit de traduire une vision renouvelée des problématiques de la ville et également de réinventer l'écriture de la lumière, dans le respect de ce qui caractérise la signature lyonnaise en la matière.
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Tu vois, quand tu veux faire de l'humour. Toi aussi tu peux. La courbe de débit de la Vienne a toujours eu cette tête-là en été, au moins en proportion de l'hiver. 13 m3/s c'est bon, c'est le débit préfectoral exigé et s'il n'y a pas, il y a du barrage régulateur en amont. Et si en 2050 il n'y a plus, on aura une énergie nucléaire intermittente. Les écologistes n'ont rien contre l'énergie intermittente. Si on a du pot les éoliennes compenseront au bon moment. Mais comme les écologistes ne sont jamais contents, il y a eu des hivers où ils ont eu peur de l'inondation de la centrale. On ne sait plus quoi leur dire. Voilà ce que je ne savais pas. Je vais essayer de mesurer.
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Bon, j'ai tout lu. C'est une proclamation de foi. Tout y est discutable. Rien que du qualitatif, avec autant de valeur que si je disais : "il faut du nucléaire, parce que vous vous rendez bien compte que si on n'en fait pas..." Pas de chiffres : pas de débat. On dirait un de ces tracts que les militants distribuent en urgence dans les boîtes aux lettres le vendredi à 23 heures quand il y a élections le dimanche. Car il y a urgence : le gouvernement relance le nucléaire ! Il est trop tard pour faire du nucléaire Ah, zut, alors ! en s'y prenant un peu plus tôt, peut-être... mais désolé, là c'est foutu ! Si tu veux je te construis un scénario d' "en même temps" où par un prélèvement fiscal de situation d'urgence on fait tout à la fois pour, après un temps de vaches juste un peu amaigries (car ce sont les riches que je ferai payer et bien sût Total sur ses profits pétroliers), retrouver la prospérité des temps insouciants pour nos enfants (il faut toujours impliquer les enfants) lorsque les 14 EPR seront achevés et qu'on pourra alors débarrasser le paysage des éoliennes. Qui voudrait les garder pour le plaisir de les voir ? Second argument : à peine différent du premier. Le nucléaire accapare l'eau Le niveau de la mer ne va pas baisser et il n'y a plus que 6 réacteurs sur cours d'eau sans tour de refroidissement. Pour mémoire l'évaporation sous la pression atmosphérique d'une tonne d'eau prise à 20°C demande 80 millions de calories pour être portée à 100° plus 2257 MJ pour sa vaporisation. Total par m3 : 93 kWh + 624 kWh = 717 kWh. Ainsi un débit évaporé de 800 litres par seconde (cas des 1450 MW de Civaux pour lesquels j'ai trouvé des chiffres) permet-il d'évacuer : 717 x 0,8 x 3600 = 2 065 MW thermiques sur les 2900 que je prends forfaitairement (2 fois la production électrique). Le reste, c'est l'air et 1,2 m3/seconde d'eau prise et rejetée à la rivière. Bref la France mise à sec.
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Je ne manquerai pas de lire les trois arguments, comme au restaurant chinois, le potage au trois saveurs ou le canard aux trois parfums. Pour l'instant j'ai lu juste les premières pages et vu cet argument : le nucléaire est trop lent à mettre en oeuvre, or il faut agir très vite. Venant de ceux qui depuis des décennies ont fait tout ce qu'ils ont pu pour freiner le nucléaire, cela ne manque pas de sel.
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Voui... J'ai dit que si Greenpeace veut laisser entendre qu'il vaut mieux mettre des sous dans l'isolation que dans les EPR, ben on va faire les deux. Pour moi ça s'arrête là. Pour le coefficient je ne me répète pas. C'est une ficelle pour multiplier par 2,3 la consommation annuelle au m² retenue pour le classement A à G de ceux qui ont l'audace de se chauffer à l'électricité, donc au nucléaire. Je n'ai jamais eu confiance dans ces dérailleurs contemporains au guidon, pratiques mais qui me donnent toujours l'impression d'être prêts à casser ou à se gripper. Or je me suis aperçu qu'on pouvait rester presque toujours en sixième vitesse puisque sauf en forte montée, on peut même démarrer en sixième moyennant un seul coup de pédale un peu appuyé au démarrage ; cela suffit à lancer le moteur. Je trouve rigolo que le moteur ne s'arrête que si le pédalage s'arrête, mais reste en marche même si le pédalage tourne à l'évidence trop lentement pour agir sur le vélo. Autrement dit c'est du 100% propulsion électrique pourvu qu'on fasse le guignol à tourner les pédales même sans qu'elles fournissent de la puissance au vélo.
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Et toujours (page 29) ce coefficient absurde de 2,3 entre kWh électrique et kWh thermique issu d'énergies fossiles, comme si on pouvait avoir sa petite centrale nucléaire à domicile pour se chauffer avec son énergie thermique. C'est le même raisonnement que celui qui condamne le nucléaire parce qu'il n'a pas 100% de rendement. Oui mais voilà, la question traitée n'est pas la bonne puisqu'on va "en même temps" faire de l'EPR et des saloperies à paysage dites EnR pour alimenter PAC et voitures électriques. Ainsi ne va-t-on pas choisir entre 85 milliards de subventions pour la rénovation du bâti et 52 milliards pour les EPR, mais dépenser les deux. Sans parler d'autant d'argent de rénovation laissé dans cette étude à charge des ménages (50/50) auxquels en revanche on ne demandera pas de vider leur compte pour construire les EPR. Un petit détail !
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A cette heure-ci sois moins sibyllin. Je n'y comprends rien... Pourquoi cinquante ans d'affabulations en physique et de désinformation populaire massive sur le nucléaire par l'écologie alors qu'il suffisait de commencer par un raisonnement rigoureux ?
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Tout espoir n'est pas perdu pour les partisans de l'arrachage manuel des mauvaises herbes dans les champs : La France nucléaire ignorerait trop ses voisins, alerte un comité de l’Onu (msn.com)
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Mauvaise nouvelle pour la planète : hier j'ai acheté un vélo électrique. C'est tellement amusant que j'ai fait hier 35 kilomètres sans motif sérieux et 60 aujourd'hui encore inutiles : c'est ce qu'on appelle l'effet rebond. C'est désastreux. Hier, c'était pour tester la batterie de 345 Wh. Tout le temps au 5e et plus haut niveau d'assistance, 35 kilomètres avant que la jauge se mette à clignoter. C'est peu, mais ce sont les petites départementales de la Creuse en dénivelé partout. Alors si vous voulez agacer les écologistes grâce à l'effet rebond, et si vous n'avez pas encore fait de vélo électrique, je peux dire que c'est surprenant. Sans aucun entraînement (no sport, never ! disait Churchill) et à 70 ans, je suis vraiment surpris par le résultat. Bon, si hier soir je ne sentais pas de fatigue, ce soir je suis vanné. Vous observerez que lorsqu'un astram même sans diplômes rédige des commentaires qui ne sont pas bourrés de fautes d'orthographe, c'est précisément qu'il a dans les 70 ans ou plus. Je vais en véhicule thermique à Guéret à 21 km de chez moi environ trois fois par semaine, et souvent je renonce parce que même dans cette modeste cité c'est déjà merdique pour stationner mon Kangoo au centre. Je pouvais jadis le garer à un kilomètre du centre sur le parking de Carrefour et finir à pied, mais avec ma gonarthrose c'est fichu. En revanche, rien de plus facile que d'enfourner le vélo électrique dans cette camionnette, de m'arrêter à Carrefour et de finir à deux roues. Ainsi puis-je aller à Guéret tous les jours. Camionnette seule : "mobilité" semi-écologique puisque le centre-ville est dissuasif et qu'on reste chez soi un jour sur deux ; camionnette plus vélo électrique : la cata écolo urbaine ! . Je ne comprends pas une chose : sur la batterie il est écrit : 345 Wh, 36 V, courant de charge maxi 1,8 A. Si je compte bien cela fait 65 W de puissance de charge et donc 5,5 heures de recharge complète ; or elle prend à peine trois heures. Do you pige ?
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. I
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Ah, bon. Je suis un petit peu libéral mais davantage étatiste. C'est pourquoi j'avais été passablement surpris de lire un jour sur ce fil qu'on ne pouvait plus construire de nucléaire parce que cela n'intéressait pas le privé de le financer. Ce n'est évidemment pas moi qui aurais eu l'idée d'écrire une telle énormité libéralissime.
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1992 : je déménage de région parisienne vers Guéret. Au centre commercial Machintruc proche de chez moi en région parisienne, les sachets de plastique alors donnés par poignées aux caisses, jonchaient partout le parking et les feuillages des arbres des jardins voisins. Au centre de même enseigne à Guéret, pas un sachet jeté nulle part. Le bipède est ce que le fait son cadre de vie, selon qu'il est dégueulasse et entassé, ou vivable.
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N'es-tu pas choqué par ce dispositif antilibéral ? Avec tout le béton et tout l'acier qu'il y a dans un EPR, il deviendra trop cher de les importer de Chine.
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Les événements thermiques se précipitent : La Terre sera inhabitable beaucoup plus tôt que prévu (msn.com)
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C'est ce que tentait de me faire comprendre hier un pronucléaire auquel je récitais mes arguments écologistes.
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Pourtant j'ai encore entendu hier une politique expliquer qu'il fallait faire plus d'efforts pour respecter le +1,5°C de l'accord trucmuche. Ce sont des gens renseignés, tout de même.
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L'éclairage nocturne qui illumine continuellement l'hémisphère opposé au soleil pose un autre problème. Sa pression de radiation est dirigée sous forme d'une force centripète vers le centre de l'orbite terrestre. Il finira par en résulter une réduction de son rayon et donc un accroissement de la chaleur solaire reçue, qui viendra s'ajouter à l'effet de serre.
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Voici mon prix Nobel alternatif préféré : Mycle Schneider — Wikipédia (wikipedia.org) J'essaierai de retrouver son projet fictif de chauffage urbain hybride avec ensemble gaz et nucléaire (un truc destiné à démontrer que le nuc est un gros émetteur de CO²).
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Cette phrase était à propos d'un démarrage de la géo-ingéniérie. Donc il faut se réjouir que rien ne se passe.
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Tu fais erreur : si le CO² réchauffe, le SO² refroidit. Il suffit de brûler des gigatonnes de soufre. On replantera en essences de bois qui résistent le mieux aux pluies acides. Pas de modèle économique, ça, c'est plus gênant : - Il faut agir ou on crève. - Ah, désolé, il n'y a pas de modèle économique. C'est ennuyeux. Le climat restera brûlant au-dessus de ces pays tandis que ceux qui auront agi auront plus frais. Si on ne peut pas faire payer les pauvres, comment fera-t-on. Je me demande si tu relis tes raisonnements.
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Vu qu'il n'existe pas de rapport entre ma boutade et les questions d'énergie, elle ne peut avoir de rapport non plus avec une argumentation là-dessus. Prétendre le contraire est arriver bien bas et sent la fin des arguments Je disais donc qu'on fera de la géo-ingéniérie. Aucun gouvernement n'ose encore le dire ni donc dire comment, mais entre ce sacrilège contre Gaïa et la mort prématurée de quelques milliards d'individus un peu par la chaleur et beaucoup par la misère, l'écologie politique pourra toujours protester.
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Charron, ça tourne autour de Plutton ?
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Ça sent la géo-ingéniérie. Et bien sûr cesser de déverser dans l'océan du tritium car chacun sait que la désintégration radioactive dégage de l'énergie. Et surtout renoncer à l'électronucléaire qui chauffe les cours d'eau, et voilà la source de ce réchauffement de l'océan où les fleuves se déversent.
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Je me suis toujours demandé si en retrouvant un morceau de molette ou une vis de fixation d'araignée, nos lointains descendants sauraient reconstituer tout le télescope.