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Tout ce qui a été posté par Albuquerque
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Je trouve cela amusant en Allemagne qui nous donne tant de leçons, mais je n'ai pas la moindre idée de la dose qu'on reçoit. Je ne serais pas surpris qu'on soit à des microsieverts et, qui sait, dans le domaine de la possible hormèse ?
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Radon Revital Spa - Piscine publique (jds.fr) C'est bien en Allemagne.
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C'est prendre la question à l'envers. Au vu de la létalité comparée de l'hydraulique et du nucléaire, il eût été préférable d'inventer le nucléaire d'abord et de se passer d'hydraulique.
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Beaucoup moins que la crème Chantilly avec son protoxyde d'azote.
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Après la pyramide rotative de matière intestinale, il est encore bien d'autres moyens de sauver la planète : « Je ne fais qu’une lessive tous les six mois et ça n’a rien de dégoûtant » (msn.com) "les consommateurs ont une attitude plus écoresponsable"
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pas compris la contrepèterie.
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Logiquement le record ne devrait jamais dépasser 5772 K.
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Il n'y aura pas à remplacer les toilettes sèches à échelle autre qu'anecdotique, parce qu'elle ne seront installées que chez quelques jusqu'auboutistes de l'écologie punitive.
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Ils le sont presque tous. Tu devrais relire. J'ai la flemme de développer.
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Chouette, je vais vivre dans 15 m² en lavant mes chaussettes tous les quinze jours (100 kg/an de lessive pour 4 kg de vêtements). Célibataire, je vais vivre en coloc à quatre ! Selon ce qu'on peut lire, c'est une chambre de 3,16 m x 3,16 m par personne, et quand on est las d'y tourner en rond dans ce qui reste entre le mur et le lit, on va à quatre dans le séjour de 20 m² moins la cuisine et la salle d'eau. Condamné dès la naissance à 80 ans fermes ! (les mycoses entre les orteils ne réduisent pas significativement la longévité) Je n'ai rien vu sur la clim (lu trop vite ?) Quel est l'intérêt d'une existence gérée de cette façon ? Car, horribile dictu : si dans les pays riches on ne s'ennuie pas du matin au soir, c'est parce qu'on dépasse le niveau vital strictement nécessaire, tandis que si dans les pays pauvres on ne s'ennuie pas du matin au soir, c'est parce qu'on se bagarre pour l'atteindre ! En revanche la planète entière soumise à l'égalitarisme universel juste suffisant, c'est la révolte assurée dans le plus fade des mondes possibles. Bref, il ne faut pas s'attendre à son instauration sauf nordcoréanisation de la planète. En tout cas il faudra fermer impitoyablement les centrales nucléaires pour mieux parvenir plus rapidement à cette cité idéale. Une question plus importante qu'il n'y paraît n'est pas abordée : comment dans ce monde équitable arbitrer entre la consommation de papier ou la consommation d'eau, selon le mode ne nettoyage intime retenu ? Sinon, puisque tout le monde aura ce régime, les occupants de nos immondes prisons seront gagnants (mais ne pourront plus cantiner puisque tout le monde sera rationné à 2000 - 2150 calories).
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Il y a 5000 ans ce n'est plus vraiment l'hominisation, à moins de considérer qu'elle dure encore, par exemple tant que le statut de la femme n'est pas jugé suffisant.
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Oui, mais elle ne tardera pas à brûler. Il faut donc couper le bois rapidement et laisser repousser, indéfiniment, en stockant le bois coupé de telle façon qu'il ne pourrisse pas. Et comme dans dix mille ans il pourrira quand même, c'est encore une "bombe à retardement pour les générations futures". On ne sait pas si tu a mis "Gné ?" pour la mise en boîte de Jevons ou pour les eaux de Foucouchima. Ceux qui écrivent Fukushima peuvent-ils expliquer pourquoi ils translittèrent les idéogrammes japonais dans une langue étrangère ? Quand c'est pour translittérer le cyrillique à l'anglaise et ainsi écrire "Putin", là, d'accord, mais pour le japonais ? Je passe au chantage : si personne ne veut de mon Universalis, cela fera cinquante kilos de bois "ultra-transformé", pour employer le vocabulaire à la mode, qui finiront par pourrir dans ma grange qui prend l'eau, en libérant une immense quantité de CO².
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ça sent la géo-ingéniérie. Je dis ça comme j'aurais dit il y a dix ans : ça sent la relance du nucléaire. Mais je n'aurais pas pris le risque de la promettre. On apprend de ses erreurs. Je dis "ça sent la géo-ingéniérie" comme devant un arbre abattu par la tempête en travers de la route, je dirais "ça sent l'arrivée prochaine de la DDE ou des services municipaux avec une tronçonneuse", ou devant la jauge qui descend : "ça sent la station-service". Dans l'UE, ça sent le glyphosate. Et d'une façon générale, ça sent le principe de précaution et la philosophie aussi longtemps qu'il n'y a pas de gros souci en vue.
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Justement une balle qui a reçu une impulsion rebondit facilement plus haut qu'elle n'est partie. Attention à tes exemples. Quant au paradoxe de Jevons c'est un tout petit paradoxe puisqu'il faut peu d'effort pour cesser de s'en étonner. Un paradoxe est grand lorsqu'il faut beaucoup d'efforts et d'astuce pour le résoudre. C'est sûr que s'il faut beaucoup de charbon pour produire peu de fer, on en produit peu et ceci même s'il reste beaucoup de charbon inutilisé : si le fer est trop cher pour trop peu de production on se débrouille autrement, avec du plastique par exemple . Si en revanche le fer n'est pas cher grâce à une faible consommation de charbon, alors la supériorité du fer sur le plastique fait qu'on oublie ce dernier pour produire plus de fer. Tout petit paradoxe. Je lis que Jevons s'inquiétait de la consommation accrue de charbon à cause du meilleur rendement des machines. Comme il est très douteux qu'il pensât réchauffement planétaire, on peut supposer que la croissance au XIXe siècle l'angoissait. Un écolo, bravo. .................................. La culture scientifique populaire et des hommes politiques se déchaîne : Fukushima : le PD met en doute la crédibilité de l'AIEA après son rapport (msn.com) Rien à voir avec un quelconque ressentiment historique ; idem pour la Chine.
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Corrige l'article Wikipedia ! Effet rebond (économie) — Wikipédia (wikipedia.org)
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C'est absurde. Un rebond remonte toujours moins haut que d'où on a lâché ce qui rebondit. Sûrement une expression bancale pseudo-physique inventée par un... bref.
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Mais si, c'est bien ça. L'ampoule LED consomme des nèfles, et j'en profite pour éclairer plus qu'avant, parce que les ampoules à incandescence courantes ne dépassaient pas 100 W. Ce n'est certes qu'un petit rebond, qui n'atteint pas la consommation d'avant, mais il faut y ajouter le fait qu'en raison de la consommation dérisoire je ne prends plus la peine d'éteindre en sortant. Tu n'es pas bavard sur la bêtise en Corée.
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Je n'ai plus que trois ampoules de 100 W à incandescence (encore une quinzaine en stock) ; les deux autres sont des 17 W modernes. Je suis conscient des besoins de sobriété. Malheureusement il y à l'effet rebond : une 17 W LED éclaire comme une 120 W à incandescence. Une bonne nouvelle contre le nucléaire : la remontée des taux d'intérêt qui fera réfléchir avant d'engager des chantiers qui durent longtemps. Comme quoi la finance et la cupidité peuvent nous aider contre ce blasphème qu'est le nucléaire. Nous félicitons les Coréens du Sud dont le comportement ne manque pas de sel après cinquante ans de décérébration antinuc. Ou alors c'est qu'ils sont voynesiens et ne veulent pas plébisciter des kWh dont le tiers est mangé par la centrale et la moitié du reste perdue en ligne.
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Il y a cent ans : extrait de l'Illustration du 27 octobre 1923. A l'heure actuelle les voitures électriques ont presque complètement disparu en France. On rencontre encore dans notre pays des voitures pétroléo-électriques, comme les camions Crochat dont il a été fait, au cours de la guerre, un emploi assez étendu ; mais les véhicules de ce genre comportent un moteur à explosion et l'électricité n'y joue d'autre rôle que celui d'agent de transmission. La voiture électrique proprement dite, la voiture organisée comme les camions qui faisaient à Paris, avant la guerre, la collecte des ordures ménagères, n'existe pour ainsi dire plus. Elle eut cependant son heure de prospérité au début de la locomotion automobile, et l'année 1898 a vu se dérouler, dans les environs de Paris, un concours de voitures électriques qui donna les meilleurs résultats. A la suite de ce concours la voiture électrique devint pendant quelque temps fort à la mode. On la considéra non sans raison comme une voiture chic, une voiture de luxe. Elle était en effet aussi silencieuse, confortable et propre que les premières voitures à explosion se montraient bruyantes, inconfortables, malpropres et malodorantes. Mais lorsque la voiture à essence devint rigoureusement silencieuse et exempte de trépidations, que sa vitesse s'accrût (1) au-delà de toute prévision, la voiture électrique perdit la faveur momentanée dont elle avait été l'objet. Alors que la voiture automobile munie d'un moteur à explosion pouvait passer partout où il était possible de trouver un bidon d'essence, ce qui lui permettait d'effectuer des déplacements pratiquement illimités, la voiture électrique ne pouvait parcourir plus d'une centaine de kilomètres sans se ravitailler à une station de charge, et les stations de charge n'existaient pas ; les grandes randonnées lui étaient donc interdites. D'autre part, l'énergie électrique revenait à un prix notablement plus élevé que l'énergie empruntée à l'essence de pétrole. La voiture électrique disparut donc assez rapidement de la circulation, tout au moins dans notre pays. Aujourd'hui les conditions sont complètement changées : le prix de l'essence s'est élevé considérablement et il ne peut manquer de s'élever encore en raison de la consommation sans cesse croissante dans les pays producteurs. Par contre, le nombres des usines productrices d'électricité n'a cessé d'augmenter dans notre pays et, comme la France dispose d'une puissance hydraulique presque illimitée, il faut s'attendre à voir l'énergie électrique suivre une marche inverse de celle de l'énergie empruntée à l'essence, en supposant même que cette dernière ne vienne pas nous faire complètement défaut. Dès maintenant l'énergie électrique revient à meilleur marché, ce qui tient à ses conditions particulières d'utilisation. Aux heures de pointe, en effet, les usines électriques arrivent difficilement à satisfaire aux besoins de leur clientèle, tandis que pendant la plus grande partie de la journée et notamment aux heures creuses, elles ne savent que faire de leur excès de production, et peuvent vendre celui-ci à un prix minime pour charger des accumulateurs. Il y a plus de vingt ans que l'on peut observer ce fait dans les pays gros producteurs d'électricité, et notamment dans l'Amérique du Nord, si bien que les Etats-Unis emploient à l'heure actuelle 200.000 véhicules électriques environ, soit plus de 5% de l'effectif de leurs voitures automobiles. Il en est de même en Allemagne et en Angleterre. Cet exemple de l'étranger a paru bon à suivre dans notre pays, et dès l'année dernière l'Union des Syndicats de l'électricité s'est entretenue avec l'Automobile-Club de France pour organiser des essais de voitures électriques, et tâcher de renouveler, dans des conditions devenues particulièrement favorables, le mouvement ébauché il y a vingt-cinq ans. Entre temps une société nouvelle constituée pour le développement des voitures électriques, et l'Office national des recherches et inventions, étaient venus apporter leur concours, et c'est ainsi que purent être organisés les essais contrôlés de voitures à accumulateurs qui ont eu lieu récemment à Bellevue. Trois camions de 5 tonnes, sept camionnettes et deux voitures de tourisme ont pris part à ces essais. Pendant dix jours (27 septembre - 9 octobre), ces véhicules ont parcouru assez régulièrement des itinéraires accidentés qui présentaient des longueurs respectives de 50, 60, 72 et 88 kilomètres, selon le poids transporté. Tous ont achevé la parcours qui leur était imposé et tous sont revenus au point de départ sns qu'il se soit produit d'incident de quelque importance. La preuve est donc faite à nouveau que les véhicules électriques sont d'un emploi réellement pratique et qu'ils peuvent passer partout où passent habituellement les voitures à essence. C'est ainsi que ces véhicules gravissaient quotidiennement la rampe de Saint-Germain celle de Bellevue et même la rue Norvins à Montmartre. Et cela avec des consommations ne dépassant que rarement 60 à 65 watts-heure par tonne kilométrique totale. Les épreuves ont montré une fois de plus que les véhicules électriques présentaient, en même temps qu'une grande régularité, une douceur de marche particulière, de nature à ménager à la fois le mécanisme, les bandages, les marchandises et les voyageurs transportés. Au reste, la municipalité de Lyon se propose en ce moment de compléter son excellent réseau de tramways au moyen d'un assez grand nombre d'autobus électriques et, de son côté, la T.C.R.P. à Paris étudie le moyen d'utiliser des voitures analogues sur certaines lignes qui s'y prêtent particulièrement bien. Une transformation de ce genre serait certainement fort appréciée par les Parisiens qui supportent malaisément les relents de pétrole et d'huile de graissage, sans compter que les arbres de nos boulevards retrouveraient peut-être à ce régime plus sain une vigueur nouvelle. Lieutenant-colonel Sauveroche (1) J'ai respecté l'énorme fôte que j'ai été bien surpris de rencontrer dans cette revue célèbre pour sa tenue.
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Pourquoi les Sud-Coréens se ruent en masse sur le sel (msn.com) pour mémoire : Quel est l'impact réel du milliard de litres d'eau radioactive de Fukushima rejetés en mer ? ☢️🤔 - Bing video Cite un commentaire où je me serais réjoui de la dérive du climat. Se moquer des outrances vertes ne répond pas à la définition.
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Quelques images rigolotes ou étranges... bis !
Albuquerque a répondu à un sujet de RIGEL33 dans On fait une pause
Tu devrais mettre des images drôles écologistes. Je suis sûr qu'on se tordrait. -
Schadenfreude ?
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Les femmes chassaient ou ne chassaient pas. Chassant, elles étaient plus efficaces que les hommes ou ne l'étaient pas. Ce qui est certain, c'est qu'affirmer que les femmes ne chassaient pas et si elles chassaient étaient moins efficaces que les hommes... serait inacceptable. La préhistoire nous montre la marche à suivre pour la déconstruction des stéréotypes de genre et pour l'édification du monde de demain.
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Je ne vous ai pas raconté comment dans ma campagne on m'a prié un jour de covoiturer, quand j'allais travailler au chef-lieu distant de vingt kilomètres. (le turbin à 20 km, ici Charpy respire déjà des sels) J'ai beaucoup remercié pour les économies qu'on me proposait ainsi de faire, mais il y avait un petit hic. Les autres covoitureurs étaient des pères de famille pressés le soir de rentrer dans leur famille. J'ai fait observer que vivant seul je ne rentrerais aussi tôt que les autres que pour voir mes quatre murs, raison pour laquelle ma vie hors du travail se déroulait surtout au chef-lieu lui-même et dans ses parages, l'aérodrome par exemple, mais aussi d'autres activités dont bien sûr l'astronomie. Une belle occasion de sobriété manquée par un égoïsme de célibataire ! Il seront la risée générale.