Albuquerque
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Tout ce qui a été posté par Albuquerque
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Après l'imputation d'un micropénis, voici une pluie d'accusations rigolottes et sans effet. Je répète pour la quatrième fois : la théorie Pyrène/Charles est de portée morale. Ne pouvant supporter l'idée qu'une autre civilisation ait fait ou fasse un jour aussi mal que la nôtre, ils veulent que ces autres civilisation n'existent pas. J'ai donc dit que c'était risible et je m'en tiendrai là. Pour Drake, je lisais déjà Rood et Trefil que tu étais à peine né. Vlan, une attaque ad nourrissonem !
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On ne peut pas dire que cela commence très bien quand... on affirme ce dont on ne sait strictement rien. La suite entend démontrer l'exactitude de la première phrase. Or cette suite relève de la foi assaisonnée de science, qui me donne autant envie d'y répondre que lorsque je vois agiter l'ajustement fin des constantes physiques comme démonstration de l'existence d'une divinité.
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C'est faute d'assez d'exemples que je n'ai pas été convaincu.
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Ça sent... le pass carbone individuel. Je parle ici de ce qui est nécessaire pour atteindre l'objectif de +1,5° encore agité ce jour à la COP. C 'en est presque drôle. Complètement déconnectés, les mecs. Bon, Charpy, tu me feras un prix d'ami pour tes tickets de carbone que tu n'utiliseras pas ? En toute transparence, bien entendu, parce que trimbaler de nuit des valises de carbone de la rue Poliveau à la rue Lepic, ce n'est pas commode.
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Seigneur, quelle susceptibilité laïque !
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Cela ne prouve rien. De très nombreux animaux périssent calcinés dans les incendies de forêt.
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Quelqu'un te l'a écrit : ce serait interminable. Pour mon compte j'ai donné mon interprétation : tu veux prouver que l'univers est "propre" avec une seule vilaine verrue, l'humanité terrestre, dont par bonheur il serait très probable qu'il n'y en ait Dieu merci pas d'autres.
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Non, on ne se donne pas tant de mal pour troller.
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Allons, allons. Est-ce que ce n'est pas une démarche scientifique intéressante que de vouloir rendre moraux la nature et l'univers ?
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m'est, mais, mai, met et met. Et que dire de Ô, eau, au, haut, aulx, os (au pluriel), oh, ho ! Au temps des grands vertébrés du Secondaire : grroâârr, groumf, claclaclaclac, hêêêrk : aucun homonyme, aucune confusion. On voit qu'ici l'évolution n'aura été qu'une sophistication, au sens français, pas anglais, c'est-à-dire un faux perfectionnement, une complexification malsaine. Pas de doute, nous sommes inférieurs.
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Le principal est d'avoir presque démontré que la condamnable civilisation technique qui est la nôtre n'est par bonheur et dans l'intérêt de la morale, apparue qu'une seule fois dans l'étendue du cosmos. Les grands vertébrés de l'ère secondaire avec leur céphalisation qui n'avait rien à nous envier (1), avaient déjà des garderies d'enfants, et deux cent cinquante millions d'années après les jeunes parents humains ont du mal à trouver une place. Beau progrès. Parmi les mammifères l'homme est sans doute un des plus mal foutus Si j'étais Estonius je dirais que l'homme peut-être, mais que la femme est le mieux foutu des mammifères. (1) Je crois même avoir lu quand j'étais petit que le stégosaure avait deux cerveaux. J'espère que les deux partageaient les mêmes opinions.
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Pourquoi cet extrémisme antihumaniste ? Etre à la mode ?
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Risible.
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Ah oui c'est affreux.
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Voilà, c'est plus clair.
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Il faut croire que les bouchons ne dissuadent pas de vivre en maison individuelle, dont la majorité sont en ville, même avec jardin. Mais les parkings, je reconnais que c'est terrible. Voilà pourquoi l'automobile constitue un attentat contre la biodiversité à travers l'artificialisation des sols, qu'on ne peut combattre sérieusement qu'en vivant à la verticale. Frères, empilons-nous. La biodiversité la plus sympa, c'est les bestioles et les plantes qui se sont changées en pétrole.
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Un rêve réalisé par plus d'un ménage tout à fait français sur deux, et pour beaucoup dans des maisons anciennes, qu'on a malencontreusement bâties bien avant que ce rêve devienne inadmissible. A qui devraient être réservées les maisons individuelles ? Aux citoyens conscients ? Non, puisque les citoyens conscients vivent écologiquement en immeuble urbain pour économiser sur le chauffage et les transports, et fréquenter les petits commerçants. Ou alors, aux citoyens conscients mais seulement si ce sont les chefs. Voilà, çà, c'est logique. Mais il y a bien trop de maisons individuelles pour loger seulement les chefs. Alors ? C'est marrant, cette exécration par les écolos du mode de vie le plus normal qui soit. Enfin non, ce n'est pas marrant, c'est insupportable.
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PEV77 : je crois qu'on ne se comprend pas du tout !
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A quoi bon répondre à côté ? Les candidats-dictateurs, ce sont les malthusiens de l'économie. Oui, la chaleur équivaut pour un avion à voler à plus grande altitude. Le décollage par canicule devient laborieux parce que la dilatation de l'air entraîne un accroissement de la vitesse minimale pour voler et donc un allongement de la longueur de piste requise pour décoller, tandis que cette même dilatation cause également une perte de puissance du moteur. L'avion accélère au sol mollement et grimpe mal. Et inversement s'il fait plus froid. Voilà pourquoi le même avion est un lion par temps de gel et un veau par temps chaud.
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Voilà pourquoi je vole principalement en demi-saison, et tôt le matin en été.
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Sauf qu'en supprimant les voitures la chute de niveau de vie sera en moyenne supérieure à l'économie faite individuellement (il peut y avoir aujourd'hui gain de niveau de vie en se passant de voiture dans la société globalement motorisée : principe du passager clandestin). L'idée folklorique de prendre n'importe quel travail pourvu qu'il soit à portée de marche à pied, et les prélèvements destinés à financer des transports en commun considérablement accrus, donnent une première idée du mécanisme.
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Ma liberté de mouvement et mon rejet de l'existence urbaine concentrationnaire, et au profit des investisseurs immobiliers, m'importent plus que six mois de vie en plus ou en moins. La déraison des normes est sans limite tout comme le cynisme social "progressiste". Les petits commerçants, j'y allais jadis, ma mimine tenue par ma maman. Puis dès mon premier salaire il y a presque cinquante ans, je disposais dans ma ville moyenne de deux grandes surfaces, un Carrefour et un Leclerc. Or d'après une pyramide des âges 78% des Français sont plus jeunes que moi. La mode rétro les emballe peut-être. Bien sûr il ne s'agit pas de mode mais d'une volonté antidémocratique et fanatisée d'organiser la société en fourmilière en privant les individus de leur autonomie matérielle (pour la privation d'autonomie intellectuelle, voire les avancées incessantes du code pénal). On appelle cela de l'écologie.
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Oui, je comprends, mais je dois me contenter d'une seule voiture et je n'ai pas les moyens de m'offrir ce véhicule en plus de mon diesel.
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1) Les voitures électriques les moins chères sont celles qui ont le moins d'autonomie. 2) Les voitures qui ont le moins d'autonomie sont celles qui chargent le plus souvent hors du domicile. === > Les voitures électriques les moins chères sont celles qui paient le kWh moyen le plus cher
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Et le libéralisme pur continue ! Il est évident que face à un risque existentiel ce sont les états qui doivent se saisir de la question. Qu'une énergie décarbonée susceptible d'être massive soit écartée pour des motifs de taux d'intérêt, on pense rêver. La lotèquisation pour garantir l'emploi à portée de vélo, c'est ce que je disais : retour à 1900. C'est cependant en plein accord avec ta vision de l'existence ; c'est donc cohérent. Le vélo électrique c'est déjà de la médiumtèquisation, mais avec un accumulateur au plomb c'est jouable pour un aller-retour à 5 ou 6 kilomètres ; on le réservera aux salariés âgés ou fragiles. Il me revient un souvenir. Lorsque je suis allé à Tchernobyl en 2005 (la route était barrée 40 km avant), sur la route de Korosten à Ovroutch au petit matin j'ai été frappé par l'abondance des représentants des masses populaires qui se rendaient au travail à la ville à vélo sur des distances vraiment importantes, avec parfois le petit dernier installé derrière, et des vélos pas électriques. Comme quoi quand la nécessité commande...