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Pyrene

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Tout ce qui a été posté par Pyrene

  1. @Vakoran C'est certainement un argument, mais ce n'est pas le meilleur. Il est symptomatique que @Kristophe se retranche précisément et uniquement derrière l'argument d'autorité (ses professeurs -de physique semble t-il-...croient). Outre que le vocabulaire relatif à la croyance n'est pas de mise dans le domaine scientifique, ce type d'argument a conduit à vénérer Aristote comme source unique du savoir pendant des siècles... Je m'efforce dans ce fil de fournir des faits étayés sur leurs sources, à savoir des publications scientifiques. Depuis mon premier post (...en 2019 !) j'en ai fourni des centaines. J'attends toujours de la part des quelques contradicteurs le premier fait établi à l'appui de leur conviction. La science, c'est-à-dire les publications dans les revues à comité de lecture, les attend également. Il se trouve que j'ai été professionnellement mêlé au débat sur le réchauffement climatique depuis son émergence dans le domaine public. J'ai longtemps adhéré au scepticisme, et je n'en suis pas bien fier. On pouvait trouver argument jusque vers la fin des années 80'. Mais dès le tout premier des rapports du GIEC, la messe était dite. Les contradicteurs sont maintenant soit payés par les divers lobbies (pétrolier, transports, travaux publics... etc..), soit trop attaché à un confort qu'ils espèrent préserver jusqu'à leur décès ("après moi le déluge"), soit enfin influencés par une frange politico-religieuse rétrograde qui combat la science comme si on était encore au 17ème siècle. La meilleure façon de les combattre reste de les mettre face aux faits.
  2. La nobélite est une maladie malheureusement répandue qui consiste pour un individu connu dans un domaine à exporter ses avis dans ceux dont il ignore les fondements. Il existe des gens qui chantent mieux que moi mais dont les capacités médicales sont réduites, contrairement à leur opinion. On connait la citation d'Hubert Curien (je suppose que ce nom ne t'es pas inconnu vu tes brillantes études) : « Si quelqu'un remporte le prix Nobel, il est immédiatement bousculé par toutes sortes de personnes qui lui posent toutes sortes de questions sur toutes sortes de sujets dont il ne sait rien. Il est très difficile de résister à la tentation de répondre – de donner n'importe quelle vieille réponse sur des sujets dont on ne sait rien. Nous avons vu des collègues qui ont remporté un prix Nobel dire des bêtises sur telle ou telle question politique, sur laquelle ils n'ont vraiment aucune connaissance. » — Hubert Curien, 1992 La science vivante ne se trouve pas dans les bouquins commerciaux ou les périodiques à gros titres mais dans les revues à comité de lecture.AUCUN article niant l'origine du réchauffement n'a été publié dans une revue à comité de lecture depuis plus de trente ans, et Gervais a vu ses niaiseries refusées ("une série de manipulations, de citations détournées, de données fictives et de courbes tronquées »).Le GIEC réunit les meilleurs spécialistes du sujet qui synthétisent la littérature scientifique la plus récente pour la mettre à disposition des décideurs. La science avance, et la Terre n'est pas plate, bien que des François Gervais le prétendent encore et toujours...
  3. "Le GIEC est une organisation intergouvernementale autonome7, constituée d'une part de scientifiques apportant leur expertise et d'autre part de représentants des États participants. Cette structure hybride a été voulue par le G7 sous la pression de Ronald Reagan et Margaret Thatcher, leur crainte étant de voir l'expertise climatique relever d'une agence de l’Organisation des Nations unies (ONU) constituée uniquement de scientifiques soupçonnés de militantisme écologique9. La création du GIEC a été validée par un vote de l'Assemblée générale des Nations unies. " (Wikipedia)
  4. Pyrene

    Hominisation

    Deux nouvelles à noter sur ce fil : -L'invention de l'écriture recule d'un bon demi-millénaire, avec la découverte de cylindres d'argile datés de 4400 ans BP dans une tombe syrienne. Remontant au début de l'Age du Bronze, la tombe a aussi livré des bijoux d'or, de vases en argent, un peigne en ivoire et de la poterie, indiquant un haut rang de son occupant. Il est plausible que les cylindres indiquent le nom du défunt. Credit: Glenn Schwartz, Johns Hopkins University Autre découverte sur le site classique du bassin de Turkana (Kenya) : les empreintes conjointes de Homo erectus et de Paranthropus boisei, indiquant que ces deux espèces auraient cohabité il y a un million et demi d'années. Un espoir pour concilier observation directe et visuel assisté ? A gauche, Homo erectus vu par le Museum of Natural History in Washington, D.C. Credit: Reconstruction de John Gurche; photographié par Tim Evanson (via Wikimedia Commons). A droite: Paranthropus boisei – proposition de reconstruction faciale. Credit: Cicero Moraes et 3D scanning du crâne par Dr. Moacir Elias Santos (via Wikimedia Commons). Toute ressemblance avec un quelconque membre du forum ne saurait être attribué qu'au seul hasard.
  5. 1- Le GIEC en tant que tel n'a jamais fait la moindre prédiction : il s'agit d'une commission de l'ONU en charge de la compilation des publications scientifiques sur le sujet. Les rapports du GIEC ne sont donc que le résumé de l'état des connaissances lors de leur publication. 2- TOUTES les conclusions des rapports successifs du GIEC ont été confirmées sans la moindre exception, sauf comme l'indique @ursus à avoir été sous-estimées : en effet, les conclusions des scientifiques sont soumises à la censure des politiques dans le fonctionnement du GIEC, c'est du reste le but de sa création par Reagan et Thatcher en 1988. 3- Quelle est la source du calcul que tu cites sur les proportions des énergies d'origine solaire et anthropiques ? J'espère qu'il ne s'agit pas de "scientifiques" selon la formule ornée de guillemets indiquant à quel point tu méprises cette catégorie de lunatiques. Car si les "scientifiques" sont des hurluberlus, c'est valable pour tous et tout, et on vénère les Saintes Ecritures, la platitude de la Terre et les épicycles ptoléméens. J'espère aussi que tu n'utilise jamais le moindre instrument en rapport avec un "scientifique" largement condamné, ce que font habituellement les hérétiques qui fréquentent ce site. DIEU T'EN GARDE !!!
  6. Encore une fois, personne ne croit à la géo-ingénierie, ni les scientifiques ni ses partisans. Il s'agit uniquement d'un discours visant à faire croire qu'il pourrait y avoir des solutions technologiques, ce qui permet aujourd'hui de continuer comme hier. C'est seulement le dernier avatar du négationnisme climatique : on a d'abord nié le phénomène, jusqu'à ce que ce ne soit plus possible, puis sa cause, jusqu'à ce que ça ne soit plus possible, on prétend maintenant trouver des solutions, contre l'avis unanime de la communauté scientifique. Les microparticules par avions ne sont du reste pas la seule fadaise au programme, la dernière élucubration suggère de polluer l'Antarctique avec un drap géant pour empêcher la fonte totale de l'inlandsis. Peu importe que cette idée baroque ne puisse pas fonctionner, peu importe que l'Antarctique soit un sanctuaire internationalement reconnu comme intouchable, peu importe que la réalisation relève de la foutaise, le message n'est même pas qu'on cherche, c'est qu' ON POURRAIT SUREMENT TROUVER QUELQUE CHOSE QUI PERMETTE DE NE RIEN FAIRE C'est aussi la conclusion de la COP29 : les pays les plus impactés par notre pollution, qui sont à la fois les plus pauvres et les plus menacés, estiment à 1300 milliards de dollars les dons nécessaires à leur survie. On leur a promis 300 milliards, en prêt, sachant pertinemment qu'ils ne peuvent pas même rembourser les intérêts. Du reste personne ne croit les promesses, à commencer par ceux qui prêtent actuellement trois fois moins après avoir déjà promis la lune. Qu'ils attendent le drap magique et la poudre de perlimpinpin stratosphérique. Ce sont eux qui meurent. Pour l'instant.
  7. Dans le contexte de ce que j'ai écrit, le "choc terminal" n'est pas lié à la pollution des avions. Il s'agit des avions qui dissémineraient des particules pour faire baisser le rayonnement solaire dans la religion de la géo-ingénierie. Ce procédé impose un ensemencement continu. Si les opérations cessent alors que les émissions de CO2 continuent, l'accumulation de CO2 génèrerait un effet de serre instantané à la mesure de cette accumulation. Or le procédé d'ensementcement est à la merci de tous évènements géopolitiques imaginables, des guerres aux pénuries de matériel, en passant par les accidents ou les catastrophes de toute nature.
  8. Ça vient de sortir ! 20 € seulement !! Des menaces pour l’équilibre climatique – puisque les effets sont mal connus sur les précipitations, par exemple –, mais aussi sanitaires, ou encore une baisse importante des rendements agricoles. En outre, ce type de réponse ne pourrait être que temporaire et pose le risque d’un « choc terminal » si le ballet des milliers d’avions au-dessus de nos têtes venait à cesser, puisque les températures remonteraient d’un coup. Le livre aborde par ailleurs les risques géopolitiques de telles visées : « Par qui et de quelle manière le voile solaire pourrait-il être déployé ? Qui aurait la main sur le thermostat ? »
  9. Si les météorites ne sont sans doute pas à l'origine de la vie terrestre, une au moins aurait eu un impact (!) considérable. Plus grosse de 200 fois que celle qui tua les Dinosaures au Crétacé, celle qui a frappé l'Afrique du Sud il y a 3.26 milliards d'années a frappé une planète essentiellement liquide, avec quelques volcans émergent des océans, et dépourvue d'oxygène comme de vie cellulaire. Le cataclysme a tout vaporisé autour du point d'impact, générant un tsunami géant qui inonda les côtes sur tout le globe, et faisant bouillir les couches superficielles de océans. Mais une fois le nuage de poussière retombé et la température calmée, le flux riche en fer venu des eaux profondes a favorisé une explosion rapide de la vie, en seulement quelques années, au plus quelques dizaines.
  10. Une bonne et une mauvaise nouvelles aujourd'hui. Commençons par la bonne. Une équipe sino-américaine annonce la découverte d'un composé cristallin organique à haute capacité de rétention du CO2. Restons modestes, il s'agit d'extraire 20 kg de CO2 de l'air en un an grâce à 200 g de produit : l'équivalent d'un arbre, avec quelques aléas (fabriquer le produit, générer un flux d'air, recycler le produit....). On n'est pas à l'industrialisation du procédé, mais la piste est la meilleure jamais découverte sur la capture du CO2 dans l'air ambiant. La seconde nouvelle ne l'est pas vraiment, car déjà abordée ici. Il s'agit de l'évolution du système AMOC (Atlantic Meridional Overturning Circulation), dont le Gulf Stream est une composante. Ce mécanisme transporte de la chaleur depuis le Golfe du Mexique vers l'Europe du Nord, et pompe en retour des eaux froides. L'énergie ainsi transportée est de l'ordre de 50 fois notre consommation mondiale, et le système est une composante fondamentale du climat terrestre. De nouvelles études sur des carottages de glace au niveau du Groenland révèlent toute la fragilité de l'AMOC. Au cours du dernier épisode glaciaire, l'AMOC a connu plus de 25 fluctuations très rapides appelées évènements de Dansgaard-Oeschger, indiquant une très forte instabilité indiquant l'existence de points de bascule (tipping points). Ces évènements ont amené les glaces non pas seulement au Nord de l'Islande comme on le croyait, mais jusque vers 40° soit la latitude de New-York ou de Madrid. Or les mesures actuelles indique clairement un affaiblissement de l'AMOC liée à la diminution de la salinité des eaux de surface. S'agit-il pour autant du point de bascule ? Pour l'océanographe Stefan Rahmstorf, du moins, le risque de voir la bascule se produire avant la fin du siècle passe de 10% à 50%...
  11. Les puits de carbone naturels : océans, forêts, sols, absorbent habituellement près de la moitié de nos émissions. Une étude préliminaire montre qu'en 2023 ces puits n'ont plus joué le rôle habituel. Les méga-incendies, la déforestation, les sècheresses obèrent les puits naturels terrestres. Dans le domaine marin, la migration quotidienne du zooplancton, qui est le vecteur principal de la séquestration du carbone, est apparemment freiné par les eaux douces issues de la fonte des glaces polaires. Le taux de croissance du CO2 mesuré au Mauna Loa a ainsi augmenté de 86% en 2023 par rapport à 2022, ce qui est inattendu. Si ces effets sont confirmés, ils modifieront les prévisions des modèles actuels qui n'intègrent pas ces phénomènes
  12. Je suppose que le terme de panspermie est familier à nombre d'utilisateurs de ce forum. Pour les autres, il s'agit d'une théorie d'apparition de la vie terrestre à partir d'éléments extraterrestres. La Source de Toute Connaissance vous dira que la théorie est ancienne, pour moi elle est surtout liée au nom de Fred Hoyle, et de son élève au nom improbable (Chandra Wickramasinghe) . Hoyle, aussi connu pour son opposition à la théorie du Big Bang dont il invente le nom pour s'en gausser, mais aussi pour de nombreux travaux fondamentaux, faisait peu dans la discrétion. Outres les célèbres expériences de MIller dans les années 50', les découvertes d'organismes exploitant les zones hydrothermales profondes ont déjà ouvert une autre piste pour l'origine de la vie terrestre. Celle proposée par une équipe allemande se passerait même du contexte hydrothermal. Un simple flux gazeux percolant à travers un étroit chenal d'eau suffirait à provoquer la réplication d'acides nucléiques, précurseurs de l'ADN. Le flux gazeux créée des courants de convection qui précipitent par évaporation des acides nucléiques et des sels à l'interface gaz-eau. Une simulation en laboratoire a montré une accumulation rapide d'ADN (quelques minutes). Des conditions analogues sont courantes en milieu volcanique -et potentiellement sur d'autres planètes. Credit: eLife (2024). DOI: 10.7554/eLife.100152.1 Un résumé simple est proposé par la revue Cosmos.
  13. Les océans absorbent 90% de l'excès de chaleur que nous générons. Selon le dernier rapport de Copernicus, le rythme de leur réchauffement, qui augmente depuis les années 60', a doublé depuis 2005. Évidemment moins visibles que les canicules atmosphériques, les canicules marines n'en sont pas moins dévastatrices, tant pour la faune et flore marine que pour leurs conséquences sur les ouragans et tempêtes. Le gaz carbonique dont un quart de nos émissions est également absorbé par les océans y réside sous forme d'acide carbonique, corrosifs pour tous les squelettes calcaires des coraux, lamellibranches, mais aussi et surtout du plancton calcaire source majeure de nutriment dans les océans.
  14. Le réchauffement climatique dans ses conséquences économiques et financières : pourquoi ne rien faire serait ruineux (pour les survivants).
  15. La quinzaine de morts en Europe centrale correspond à des conditions attendues par les modèles. Dans le Guardian, une scientifique de l'ETH de Zurich indique que les mers Méditerranée et Noire se réchauffent plus vite que le reste du monde. L'air chaud supporte une charge en vapeur d'eau plus importante, et cette évaporation charge les nuages. On estime à 7% l'augmentation des précipitations à chaque degré supplémentaire : on en est donc autour de 8%. La seule surprise est donc l'impréparation des pouvoirs publics, face à des conditions prévues de longue date.
  16. Deux nouvelles dont l'addition est particulièrement instructive : -La calotte antarctique est à un minimum inégalé pour cette période de l'année. Déjà 2023 sortait largement du lot pour l'anomalie hivernale, et ce nouveau minimum peut signifier une sortie du système habituel dans la mesure où il y a inversion de la fluctuation entre les surfaces d'été et d'hiver, phénomène déjà observable en 2023. -Pour l'Arctique, la situation est différente mais peut-être plus inquiétante encore. Les pertes de biodiversité et les perturbations des chaines trophiques sont une source majeure de zoonoses. Cette situation est précisément celle qui se produit dans l'Arctique, avec la circonstance aggravante de pollution chimique, notamment au mercure et aux composés fluorés et chlorés. Les risques liés à la libération de germes du permafrost sont aussi pointés depuis des années. Les perturbations -touristiques, industrielles, ou liées aux transports ou à la pêche- sont des vecteurs privilégiés pour nous apporter ces risques. Ajoutons que la zone est une des plus mal connues pour être historiquement restée isolée. Les découvertes risquent d'être cuisantes.
  17. Pyrene

    Hominisation

    Une découverte majeure dans la grotte Mandrin est enfin publiée par Simak. Il identifie deux lignées distinctes de Néandertaliens, et attribue leur disparition à leur faible mobilité, génératrice de consanguinité. Par opposition, sapiens est un migrant, ce qui fait sa force et garantit sa survie....
  18. Les échantillons chinois de Chang’e-5 indiquent que le volcanisme lunaire était actif il y a seulement 120 MA. L'étude publiée la semaine dernière distingue les verres volcaniques des verres d'impact par leur composition et leurs ratios isotopiques ; un volcanisme aussi récent n'est pas conforme aux modèles thermiques actuels.
  19. OK je comprends ton point de vue. Mais quid alors des recherches sur le réchauffement climatique ? On connaît les émissions des datacenters, or la réalisation de modèles exige de gigantesques quantités de données, et de temps de calcul. Est-ce qu'on arrête les recherches sur ce qui est vital ? A quel moment on se tire une balle dans le pied ?
  20. A ce que je comprends, c'est une estimation largement dominée par l'impact des missions spatiales. Reste à savoir ce qu'on y met (les Starlink, par exemple ?... ou la recherche militaire ?), l'article disponible de Nature est elliptique. A voir aussi si les bilans par domaine sont la bonne approche. Quel bilan pour la guerre en Ukraine, pour quel bénéfice en comparaison du JWST ?
  21. Un article du Monde bien illustré (et plus raisonnable que le Figaro...).
  22. Yaka demander : https://www.geoptik.com/prodotto/telo-di-protezione-16/
  23. Les records de température de juillet 2024 seraient inconnus depuis 120 000 ans, estimation basée sur une compilation/confrontation de données dendrochronologiques (cernes de croissance des arbres) et glaciaires (carottages polaires). L'emballement est largement au-delà des prévisions des modèles.
  24. Le premier semestre 2024 a déjà vu tomber 15 records nationaux de température, parmi lesquels le Mexique avec 52°C le 20 juin à Tepache, les iles australiennes des Cocos (32.8°C), l'Egypte avec 50.9°C, le Tchad (48°C), le Ghana (44.6°C), le Laos (43.7°C), le Togo (44°C), le Mali (48.5).... Cent trente records mensuels ont été battus, et des dizaines de milliers par des stations météo locales. C'est sans précédent, d'autant que El Nino qui aggravait la situation de 2023 reflue depuis février. Au niveau mondial, juin a été le 13ème record mensuel d'affilée, et il semble que le 22 juillet dernier a été le jour le plus chaud jamais enregistré. Plus de dix pays ont atteint des températures supérieures à 50°C. Et toujours pas de géoingénierie... Qu'attend @Albuquerque qui dispose d'une avionnette ?...
  25. ....50 annonces depuis son inscription en 2022... on a un stakhanoviste, là...
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