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alpheratz06

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    Alpes-Maritimes
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    photographie
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    (jeune) retraité
  • Matériel
    matériel classique ( Nikon et Fuji ) + optiques
    monture Sky adventurer / GM11 Gemini II
    cam ASI294MM / QHY 5III 178 / RàF ZWO
    lunette Takahashi TSA 120
    lunette Takahashi FS-60
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    Observateur du ciel amateur depuis toujours, je me lance dans la photo astro.

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  1. Reverifier le tilt potentiellement induit par la RAF
  2. Bonjour J'ai installé Stellarium, chargé le plugin satellite, configuré pas mal d’options du plugin... et je ne vois pas les satellites. Y aurait-il une astuce qui m'a échappé? J'ai pensé à rechercher: une coche (pas ds le plugin qui activerait leur affichage ... pas trouvé un filtre sur les magnitudes visuelles j'ai mis le max à 20 partout Je sèche...
  3. Est ce l'emplacement a changé entre le moment où la mes fon tionnait et après ( masse magnétique près de la boussole?) Une astuce quand on n'a pas la polaire consiste à prendre des marques au sol pour les pieds, cela garantit qu'on part systematiquement d'une bonne base.
  4. Problème résolu ou pas ?
  5. je fais mes darks au frigo (je travaille en montagne la plupart du temps, donc température nocturne toujours inférieure à 8-10°) . Ça permet au pelletier d'atteindre des températures basses (je vise -15) dans la journée où il peut faire assez chaud. Camera dans un sac , câble de liaison usb plat et cable 12v en scindex. Et je monte la garde devant le frigo...
  6. Pas de quoi se flageller, on a des étoiles bien rondes au centre, un peu de coma sur les bords, et effectivement on peu chiader un peu la MAP. Mais en empilant les résultats doivent être corrects. Difficile de sortir des nébulosités "vite fait" sur un capteur filtré.
  7. Il y a effectivement un filtre UV/IR en standard sur cette cam, donc on peut exclure a priori un effet IR sur la balance des couleurs. Je ne suis pas expert en video astro (mon truc c'est plutot le CP en photo) mais : Le fait que la dominante n'apparaisse pas en AVI suggère que le problème vient de la chaîne firecaptue/SER/siril. Est-ce qu'on peut relire du SER avec un autre logiciel que siril? Ça permettrait de dédouaner ce dernier. Bon ciel!
  8. Je te fais une réponse à la louche : le backfocus d'un newton est lié à la position relative du primaire et du secondaire : plus on les rapproche, plus le back focus augmente (en gros, le secondaire rabattra le cône du faisceau émergent plus tôt et donc le cône "sortira" plus du tube) ==> donc il est peut être possible de jouer sur ce facteur si on peut caler le primaire plus haut dans le tube ( de la distance qui va manquer, soit 8mm) Je sais que c'est possible sur les newtons artisanaux (genre UNTC). C'est sans doute possible avec un correcteur optique, mais sans doute moins évident.
  9. Bonjour >Est-ce que tu pourrais nous en dire un peu plus sur les conditions de prises de vue ? instrument / cam/ sensibilité/ temps de pose / stacking éventuel, etc Ce que je vois, en gros, faute d'en savoir plus sur le mode de PdV : image fortement agrandie (on est pas loin de voir le "carrelage" image un peu déformée (filé je pensé visible sur les petites étoiles) il me semble qu'il y a du chromatisme (donc prise de vue en couleur) il peut y avoir une contribution du bruit de la cam (un dark dans les mêmes conditions de température/sensibilité/ temps de pose permettrait de lever le doute... Pour être encore très général, dans les facteurs de qualité d'une image, il y plusieurs sources de défaut possible a) au niveau de la chaîne optique : alignement/ collimation (alignement de tous les composants sur l'²axe optique, et perpendiculairement à celui-ci) qualité intrinsèque des composants optiques mise au point b) au niveau du capteur performances intrinsèques choix des réglages (nombres de vues/ temps de pose / sensibilité) Le bruit amené par le capteur ( au sens de perturbations aléatoires par rapport à une image parfaite) provient de plusieurs causes: hétérogénéité de la réponses de chaque pixel à un niveau d'illumination donnée : cette dispersion d'un pixel à l'autre peut se compenser par des calibrations : évaluation du courant d'obscurité (dark) qui permet de caler le niveau "zéro" du pixel ( c'est lié au temps de pose, à la température et à la sensibilité) évaluation de la réponse à un niveau uniforme d'illumination : on le fait à travers un "flat" (image sur une source uniforme défocalisée) qui compense la réponse du pixel, mais aussi des défauts optiques (vignettage) et la présence de poussières bruit intrinsèque: le courant d'obscurité de chaque pixel fluctue de façon aléatoire en fonction du temps, autour d'une valeur moyenne que l'on mesure par les darks. Un temps de pose long permettra "d'écraser" ce signal par rapport à celui produit par la scène (rapport signal/bruit) . Comme le temps de pose est limité par plusieurs facteurs (stabilité de pointage, ampglow du capteur, etc) on s'en sort en "empilant" des images en post-traitement.
  10. Je relis un peu plus tard , les flats empilés, moyennés... etc sont appliqués tel quel, à savoir qu'on divise l'intensité d'un pixel de l'image à traiter par l'intensité du pixel correspondant dans le flat (normalisation) : en gros, plus un pixel du flat est lumineux, moins on "gonfle" l'info du pixel de l'image traitée . L'essentiel est de ne pas aller "chatouiller" la saturation du pixel dans le flat. L'étalement de l'histogramme du flat, s'il est important, doit éveiller la méfiance : soit il y a un fort vignettage, soit la source n'est pas assez uniforme. Il faut se méfier des écrans LCD. Et il faut se mettre le plus près possible de la source pour la dé-focaliser (l'optique restant réglée sur l'infini!) On pourrait "réduire" le dosage du flat en agissant sur le contraste de l'image flat, mais je ne vois pas l'intérêt. Si le flat n'a pas été "grillé" (pixels saturés), il n'y a pas de raison de modifier le flat. On peut vérifier le bon fonctionnement sur une image de jour sur une surface uniforme (et aussi lointaine que possible) , on peut vérifier qu'après correction par un flat les poussières et le vignetage ne sont plus perceptibles.
  11. Bonjour On a déjà un tube qui fait 12kg, deux kilos d'accessoires au bas mot (camera+.....) Pour la photo, je pense qu'il vaut mieux ne pas trop charger la bête, et , sauf si vous tenez absolument à faire aussi de la photo avec la lunette, la 80ED n'aura pas de valeur ajoutée en guidage. Personnellement je me contenterai de la lunette guide qui "fera le job" correctement. Bon ciel
  12. Bonjour J'enfonce le clou : les flats ne servent qu'à corriger l'uniformité de l'éclairement dû au vignettage, à des variation de densité des filtres , ou à des poussières présentes sur les surfaces de la chaîne optiques proches du capteur (souvent les filtres). Il faut par contre, surtout pour gérer correctement les poussières, les faire si possible sans déplacer l'optique entre les flats et les lights. (pour éviter de corriger des poussières là où elle ne sont plus!) La sensibilité et le temps de pose n'ont pas d'importance, pourvu que : la source soit bien uniforme sur le temps de pose (pas trop de scintillement) pas de phénomène de défilement d'obturateur sur les capteurs (APN) qui en ont un l'histogramme soit correctement rempli de façon à ne pas saturer le capteur (j'essaie sur ma caméra de mettre le pic d'histogramme à 50-70% de la plage utile) on garde la mise au point à l'infini ! Personnellement j'utilise un écran électroluminescent , et je me suis fait un tableau avec les sensibilités / temps de pose à utiliser en fonction des filtres mis en œuvre dans la chaîne optique Bon ciel
  13. quelques humbles remarques en complément de celles des experts de l'astrophoto : - bien affiner la mise en station, puisqu'il n'y a pas de guidage... mitigé par le fait que les poses seront plutôt courtes - empiler plus de photos - vérifier à quelle sensibilité le rendement du capteur du canon est le meilleurs - faire des darks (au moins une fois et les garder en bibliothèque) et des flats (toujours un peu de vignettage sur les objectifs photo à pleine ouverture, plutôt moins sur les télés que sur les G-A) Pour les traitements , j'utilise (honte à moi) un "siril payant" (APP) avec lequel je fais tous les traitements astro (empilement, corrections DOF, etc) et je booste les couleurs de l'image finale (qui est en principe peu saturée) avec un logiciel photo style GIMP, en ne jouant que sur l'histogramme de chaque canal. Pour passer à la vitesse supérieure, il faudra sans doute trouver une optique plus pointue, en évitant les zooms.
  14. Là, il faut un spécialiste du schmidt-cassegrain. Il doit y avoir des martingales de collimation où on commence par aligner le primaire par rapport à l'axe du tube (en regardant par exemple la symétrie des images de l'araignée et / ou des baffles. Je pense qu'on doit pouvoir trouver de la doc la dessus sur le net. Il y a tant de poussière que ça à l’intérieur ?
  15. Bonjour, je met mon grain de sel pour avoir fait beaucoup de photo terrestre et un peu d'astro photo. J'ai commencé avec une bonne monture, des apn (Nikon et Fuji) et toute une gamme d'objectifs. Pour faire du champ très large, pas de problème, tout se passe très bien. Avec les longues focales, cela se complique un peu : les problèmes que j'évoque ci dessous ont été vu avec des gros télé (500mm F4) et des zooms (genre 200-500mm) - la mise au point automatique ne marche pas facilement (voire pas du tout) en fonction du champ observé : les résultats sont parfois décevant ( flou au moment du déclenchement) - la bague de MAP manuelle est peu sensible à l'infini, dès qu'il y a un peu de jeu les réglages fins deviennent frustrants, parce qu'on essaie de travailler à pleine ouverture ... on finit par "bouffer" un ou deux diaphs pour ne plus être embêté. - si on veut mettre une caméra astro derrière un objectif, on peut tomber sur d'autres galères (limitation du back focus...) et toujours la mise au point ! - avec un peu de pratique on peut faire des photos très correctes, mais il faut être très rigoureux sur la mise au point, et penser à vérifier entre deux images, ça peut bouger. Pour un usage occasionnel ou expérimental, pas de problème. J'avoue ne pas avoir eu le courage de persévérer avec mon 500mm et je me suis orienté vers une lunette. La qualité finale penche en faveur de la lunette ... y'a pas photo ! De la même façon, on peut mettre en œuvre une lunette en guise de télé en photo terrestre, avec moins d'agilité qu'un télé équipé d'un autofocus. Mais en affût avec des sujets pas trop mobiles, on peut faire des photos sympas. Mais je ne me voit pas crapahuter avec ma TSA 120 sur l'épaule en billebaude.
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