Aller au contenu

alpheratz06

Membre
  • Compteur de contenus

    193
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par alpheratz06

  1. Il y a aussi les maxFR astronomik . Probablement au-dessus de Baader en terme de qualité. Je ne sais pas les situer par rapport aux filtres Antlia.
  2. Un des problèmes du wifi , c'est des déconnexions intempestives qui peuvent se produire par brouillage, baisse de puissance, déplacement d'un des abonnés, etc etc .... Le problème, c'est qu'à la reconnexion, le transceiver se reconnecte sur le premier réseau connu présent ou sur le plus costaud : si ce n'est pas celui qui est le bon, c'est fichu... Personnellement, je n'utilise le wifi de ma monture que pour changer de cible avec une tablette. Pour tout ce qui est imagerie, c'est liaison filaire pure et dure. Et ça marche tout le temps. La stabilité est liée à l'environnement radio : s'il n'y a pas trop d'autres sources wifi, ça peut être parfaitement stable. S'il y a de la concurrence, cela peut devenir aléatoire.
  3. Avec toujours un grand luxe de précaution en terme de sécurité si pour une raison ou pour un autre il faut mettre un oeil dedans à un certain moment de la manip. Donc je dirais astrosolar 5 , et jamais de coup d'oeil quand le filtre n'est pas en place, totalité ou pas.
  4. Un petit grain de sel : la masse n'est pas le seul facteur à prendre en compte. L'inertie (en rotation) de l'instrument jour aussi un rôle important dans la réponse de la monture. Et le moment d'inertie, à masse égale, peut changer fortement suivant qu'on utilise un instrument compact (SC, RC) qui replie le faisceau optique ou à l'inverse une grosse lulu avec un gros objectif devant et un ensemble PO/allonges/roue/caméra à l'autre bout. Comme cela a été dit plus haut, l'équilibrage est absolument indispensable , il doit être fait minutieusement et neutre autour de l'axe de déclinaison, et on peut laisser un très léger déséquilibre en AD qui va permettre de rattraper les jeux. Un défaut de centrage, si la monture est proche de ses limites, va solliciter davantage la mécanique et peut entraîner un certaine usure. Les montures harmoniques, dont les axes ne sont en général pas débrayables, sont sensibles à l'inertie en rotation de la charge utile, si équilibrage n'est pas fait, pour plusieurs raisons : - l'excentrement de CdG provoque des couples importants qui vont fléchir la structure de la monture (moins "raide" parce que plus légère) - je soupçonne même que le défaut de centrage provoque du couplage dynamique entre les axes AD et DEC, ce qui amplifie les erreurs de suivi Par expérience personnelle ,je pense que les capacités d'emport des montures harmoniques sont un peu "survendues" , et qu'il faut faire des équilibrages méticuleux sur table ou avec une monture auxilliaire : - pour l'axe DEC on recherche sur table la position d'équilibre avant-arrière du train optique , et on fait une marque qui sera placé au milieu de la queue d'aronde de la monture - pour l'axe AD je le fais par pesée des composants et par calcul avec le théorème des moments, la variable étant la position du contrepoids sur la barre.
  5. Pour faire en mode simple on ne dit rien ! Les trois logiciels sont en effet à peu près indépendants si on ne rentre pas dans des réglages un peu complexes (drizzle, vérification que le guidage est actif, etc). Les trois peuvent commander la monture. LA séquence est la suivante : on fait la mise en station et l'alignement sur la polaire avec NINA on fait un goto (avec le logiciel de son choix) vers l'objet souhaité, par exemple avec stellarium on affine le pointage avec un plate solve (depuis nina) ++> la monture se recale après le plate solve (toujours depuis NINA), on refait un plate solve pour vérification : là , on pointe dans la bonne direction on sélectionne une étoile guide avec phd2 on fait une calibration du guidage avec phd2 on active le guidage sous phd2 on vérifie que le guidage se passe bien et on lance les acquisition depuis NINA.
  6. Personnellement, comme j'ai plusieurs set-up, j'utilise des tronçons de cordons élastiques rond (on en trouve en mercerie) que j'utilise pour saucissonner les câbles le long des instruments. C'est pas très esthétique mais c'est très efficace. Les élastoc's restent à poste sur les instruments, et je peux glisser les câbles rapidement dessous au montage. Comme dit plus haut, il faut faire descendre les câbles au plus près des centres de rotations avec une "boucle d'aisance" pour éviter deux choses: les grands mouvements des câbles éloignés du centre de rotation, qui engendrent des couples importants en cas de tension (plus on est loin du CR, plus le bras de levier est important) le risque d'accrocher un obstacle au passage. J'ai deux dispositifs : (liés au confort de l'astronome) en hiver , j'ai un barebone mele ligoté (toujours les élastiques!) sur le pied ou la monture , suivant config qui sert directement de hub USB. Laptop et astronome au chaud , accès au mele avec le en saison tempérée, j'ai un hub USB en place du mele relié directement à un vieux laptop à proximité de la monture Je me dis que ma solution est très moche, mais ça marche pas trop mal et ça me va comme ça.
  7. Reverifier le tilt potentiellement induit par la RAF
  8. Bonjour J'ai installé Stellarium, chargé le plugin satellite, configuré pas mal d’options du plugin... et je ne vois pas les satellites. Y aurait-il une astuce qui m'a échappé? J'ai pensé à rechercher: une coche (pas ds le plugin qui activerait leur affichage ... pas trouvé un filtre sur les magnitudes visuelles j'ai mis le max à 20 partout Je sèche...
  9. Est ce l'emplacement a changé entre le moment où la mes fon tionnait et après ( masse magnétique près de la boussole?) Une astuce quand on n'a pas la polaire consiste à prendre des marques au sol pour les pieds, cela garantit qu'on part systematiquement d'une bonne base.
  10. Problème résolu ou pas ?
  11. je fais mes darks au frigo (je travaille en montagne la plupart du temps, donc température nocturne toujours inférieure à 8-10°) . Ça permet au pelletier d'atteindre des températures basses (je vise -15) dans la journée où il peut faire assez chaud. Camera dans un sac , câble de liaison usb plat et cable 12v en scindex. Et je monte la garde devant le frigo...
  12. Pas de quoi se flageller, on a des étoiles bien rondes au centre, un peu de coma sur les bords, et effectivement on peu chiader un peu la MAP. Mais en empilant les résultats doivent être corrects. Difficile de sortir des nébulosités "vite fait" sur un capteur filtré.
  13. Il y a effectivement un filtre UV/IR en standard sur cette cam, donc on peut exclure a priori un effet IR sur la balance des couleurs. Je ne suis pas expert en video astro (mon truc c'est plutot le CP en photo) mais : Le fait que la dominante n'apparaisse pas en AVI suggère que le problème vient de la chaîne firecaptue/SER/siril. Est-ce qu'on peut relire du SER avec un autre logiciel que siril? Ça permettrait de dédouaner ce dernier. Bon ciel!
  14. Je te fais une réponse à la louche : le backfocus d'un newton est lié à la position relative du primaire et du secondaire : plus on les rapproche, plus le back focus augmente (en gros, le secondaire rabattra le cône du faisceau émergent plus tôt et donc le cône "sortira" plus du tube) ==> donc il est peut être possible de jouer sur ce facteur si on peut caler le primaire plus haut dans le tube ( de la distance qui va manquer, soit 8mm) Je sais que c'est possible sur les newtons artisanaux (genre UNTC). C'est sans doute possible avec un correcteur optique, mais sans doute moins évident.
  15. Bonjour >Est-ce que tu pourrais nous en dire un peu plus sur les conditions de prises de vue ? instrument / cam/ sensibilité/ temps de pose / stacking éventuel, etc Ce que je vois, en gros, faute d'en savoir plus sur le mode de PdV : image fortement agrandie (on est pas loin de voir le "carrelage" image un peu déformée (filé je pensé visible sur les petites étoiles) il me semble qu'il y a du chromatisme (donc prise de vue en couleur) il peut y avoir une contribution du bruit de la cam (un dark dans les mêmes conditions de température/sensibilité/ temps de pose permettrait de lever le doute... Pour être encore très général, dans les facteurs de qualité d'une image, il y plusieurs sources de défaut possible a) au niveau de la chaîne optique : alignement/ collimation (alignement de tous les composants sur l'²axe optique, et perpendiculairement à celui-ci) qualité intrinsèque des composants optiques mise au point b) au niveau du capteur performances intrinsèques choix des réglages (nombres de vues/ temps de pose / sensibilité) Le bruit amené par le capteur ( au sens de perturbations aléatoires par rapport à une image parfaite) provient de plusieurs causes: hétérogénéité de la réponses de chaque pixel à un niveau d'illumination donnée : cette dispersion d'un pixel à l'autre peut se compenser par des calibrations : évaluation du courant d'obscurité (dark) qui permet de caler le niveau "zéro" du pixel ( c'est lié au temps de pose, à la température et à la sensibilité) évaluation de la réponse à un niveau uniforme d'illumination : on le fait à travers un "flat" (image sur une source uniforme défocalisée) qui compense la réponse du pixel, mais aussi des défauts optiques (vignettage) et la présence de poussières bruit intrinsèque: le courant d'obscurité de chaque pixel fluctue de façon aléatoire en fonction du temps, autour d'une valeur moyenne que l'on mesure par les darks. Un temps de pose long permettra "d'écraser" ce signal par rapport à celui produit par la scène (rapport signal/bruit) . Comme le temps de pose est limité par plusieurs facteurs (stabilité de pointage, ampglow du capteur, etc) on s'en sort en "empilant" des images en post-traitement.
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.