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Algenib

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Tout ce qui a été posté par Algenib

  1. John Rodgers, sous réserve de l’orthographe.
  2. Faut rester modeste en tout. Ces découvertes sont surtout le résultat de télescopes automatiques professionnels avec 1m d'ouverture. Tous ces 115mm automatiques peuvent venir en appui sur des propositions de ces exploitants pro. Même s'il y a quelques personnes qui donnent encore leur nom à un objet, c'est assez rare en fait aujourd'hui et de moins en moins. Aussi pour constater la "découverte" préalable par ces scopes auto de ces mêmes objets, il faut du monde derrière pour débusquer tout ce qu'il a photographié. Appelle-t'on cela de la recherche? Et en fait qui fait de la recherche aujourd'hui, le secteur pro bien sur, mais pas tout le monde qui y est. Les chercheurs, c'est la tête pour monter hypothèses et procédures pour tester ce qui est espéré. Les autres, les bras pour manipuler les scopes et mettre en oeuvre ces procédures échafaudées. Au niveau amateur, nous ne pourrions être que des bras pour caricaturer. J'ai connu par le passé un amateur des années 70-80, Walbaum qui a observé jupiter sur plus d'une révolution autour du soleil, soit plus de douze ans. Pour essayer de déterminer les grandes tendances de son atmosphère et de ses mouvements. Par méthodes visuelles. 2 douzaines de gars au début, 5-6 après 6mois, seul au bout de douze. Puis un 500 pour le 2eme révolution, une perte de vue et un projet stoppé. Des milliers de data collectés manuellement (pas d'ordi), un rapport émis, réfuté d'un revers de main, etc... Aujourd'hui, c'est repris par un rodgers, baa, pour refaire la même chose... Sur uranus longtemps considéré comme une boule de billard, surtout après voyager 2, il était impossible rapporter quelque chose de cet objet sans être pris par bien des observateurs comme hors sujet. Nous sommes 4 observateurs de part le monde effectuant un survey de ce corps avec des retours concordants. La démonstration sur le papier d'une possibilité par voie visuelle a été effectuée, des recherches biblio sur le sujet à harvard, au baa, montraient plusieurs choses: - des grands observateurs du passé rapportaient des aspects tout à fait conforme à ce que l'on image aujourd'hui, - voyager 2 a rapporté certains documents montrant quelques disparités de surface (il n'y avait qu'un filtre rouge centré à 631nm en usage). - des études en grand nombre pour l'étude des mouvements atmosphériques, depuis la mise en action du hst. Le système de bandes maintenant bien observé se prolonge dans les interactions entre bandes elle-même, par la présence de tâches claires et sombre qui ne sont pas ces nuages de glace montrés ici et là. Ces tâches claires notamment peuvent être des sites de formation de ces nuages de glace, c'est à dire le résultat d'un processus physique mettant en jeu le coeur de cette planète. Il est formulé que le noyau ne serait pas sphérique pur pour créer ces aspects, les vitesses différentielles entre bandes insuffisantes aussi pour l'effectuer. IL y a aussi une circulation selon la latitude de telle sorte qu'un aspect jupiter avec filaments est du domaine possible, mais dans un aspect diffus. Ces aspects peuvent être entrepris, cela devient de la science recherche amateur. Il y a suffisamment de matériels sensibles aujourd'hui, incluant l'oeil, pour l'entreprendre. Au point que la nasa va envoyer une sonde vers ces planètes en 2023 spécifiquement pour étudier ces dynamiques d'atmosphères gelées. Pour vénus le transfert des atmosphères depuis le sol vers la croûte atmosphérique reste encore un mystère. Un autre programme de recherche... Pour mars, des sujets sont encore mystérieux, comme la couche violette dont l'origine n'est pas fixée, les aurores se produisant dans l'atmosphère dont on suspecte l'origine, mais pas suffisamment établi. Ce n'est pas de la recherche pure mais de la recherche contributive. Ce qui semble perdu c'est une relation pro amateur. Un dolfuss ou un Capen se mettait au niveau de nos petites consciences pour vulgariser et proposer des thèmes. J'ai bien échangé avec Capen pour mars qui prenait de son temps pour répondre...par courrier (pas d'internet à l'époque). Pour ce que cela vaut... ici. Le secteur pro est devenu un mamouth. Ce ne sont pas les thèmes de recherche qui manquent.
  3. Ce n'est pas absolument nécessaire, le fait d'y être et de pratiquer fait venir au fur et à mesure des interrogations qui trouvent réponses par soi-même et par l'apport des autres. Cela suscite une curiosité puis une action. Chacun a sa vitesse de changement.
  4. Pas besoin de dépenser 10-20000€ pour un machin qui fera aussi bien en précision photométrique. Par contre avec l'ouverture il reste quelque part la mag 20...sous un bon ciel. Affaire de capabilité respective. Quant aux observations spéciales, impact de corps sur jupiter ou autre un 15-20cm suffira même en visuel, tout comme ces "plumes" sur mars bien visible en visuel avec un C8 en 2015. Faut être présent au bon moment avec un ciel parisien dégagé. Ce n'est plus une affaire de vieux le soir qui se rencontrent une fois par semaine avec un bon coup...au club. Si vous avez consulté le site unistellar il y a de quoi faire sur plusieurs sujets, pas de quoi s'ennuyer pour faire le quintet de stéphan ou autre objet pour l'album. Il y a possibilité de demander les data collectés et les résultats, juste faire la demande, en étant inscrit avec le scope. Avec la densité de tubes ici et là en france qui font la sieste, il serait bien facile de fédérer des groupes sur un sujet et de mobiliser. Jusqu'à présent, les occasions relevées semblent rares... A quoi servent les forums? Le seti c'est comme l'alpo japonaise qui collecte les données et images des planètes pour une couverture 24/24H par les observateurs du monde entier. Faut juste y participer en restant pertinent, et/ou publier une étude sur un point particulier, comme uranus et son système de bandes. Le réseau constitué avait été initié par des astronomes pro US, CF Capen entre autres, puis repris par Dragesco pour la france en son temps. Seti c'est la même idée. Il n'est pas exclu après d'échanger directement avec certains (pour ma part les japonais pour mars, les japonais restent des spécialistes de cette planète). C'est aussi comme la radiocommunication, CB /amateur. Les radioamateurs forment un réseau international, le CBiste s'amuse en local pour la causette. Le RA pour certains encore teste et pratique des moyens de transmission, numérique notamment en impulsionnel, en vu d'améliorer la lisibilité, les transmissions sat, avec leurs sat amateur, etc... Chez nous c'est devenu radiocommunication de loisirs (pour la baguette de pain à aller chercher style CB), cela n'empêche pas d'expérimenter encore avec un statut défini et protégé par la loi, encore. Vous voyez le parallèle avec la perception sur cet unistellar et la pratique du CP... Les petits homme verts ont été aperçu récemment pendant le dernier scrutin, vu les résultats, on doute. Il serait aussi osé de parler de découverte dans cet univers amateur, mais il reste bien des sujets à entreprendre avec des méthodes autre que l'imagerie simple et gratuite, sujets qui peuvent contribuer à les faire avancer. On n'a pas la grosse tête.
  5. Il semble que goofy ait donné quelques raisons pour faire "revivre" le passé. C'est comme tout, il est recherché la belle image ou celle exploitable pour faire de la photométrie, ce n'est pas similaire. Faire du mesurage en butte à un problème fait progresser techniquement et en connaissance du sujet. Comme déjà dit, chacun fait son truc. 1989B n'est que le nom attribué par la communauté internationale, et l'objet reste sujet à suivi d'activité. Chacun peut y participer, avec unistellar ou non.
  6. Et bien Unistellar engage des discussions d’observateur…enfin. du positif.
  7. Pas plus de 40min d'arc. Quant aux SN, celle-là déjà est une proposition unistellar donnée dans la base de données du site chargée sur la tablette à chaque séance d'obs. Il y a possibilité de sursaut...assez souvent, donc à suivre. Pour les info d'acquisition il faut clicker sur le folder et on aura l'heure exacte et plus.
  8. La connection de cet appareil permet d'accéder à des évènements dont on attend des data. A chacun d'y participer ou non. Les transmettre sur le serveur unistellar très bien, ces data ont les a toujours pour soi déjà. Il n'est pas exclu de faire projet sur le moment pour faire état d'un résultat. Quant à cumuler 5000h de pose sur un objet.... Les périodes de rotations de comètes/ astéroïdes ne passionnent que peu les observateurs, déjà sur un caillou particulier alors sur des groupes d'objets se situant dans une zone de système solaire encore moins et pourtant c'est assez intéressant de voir cette répartition de ces rotations. C'est de la recherche, périodes s'opérant de quelques heures à ...? L'unistellar est bien intéressant en obtenant des images compilées prête à la mesure. L'occulation d'étoiles par astéroïdes est de fait une affaire de groupe, pour l'avoir pratiqué en visuel, sans internet à l'époque. Pour le reste tout autant proposé par unistellar. Le scope reste encore un collecteur de photons où il n'est pas besoin d'assembler un tube, une monture, un asiair, une interface wifi, plein de logiciels sur pc, le plus souvent en fixe pour éviter une installation-désinstallation qui à termes sera rébarbatif. Même si depuis il y a bien des simplifications, la tablette déjà pour acquérir les images. Et prix similaire au final pour des résultats de data, similaires. A titre d'info, je n'ai utilisé le visuel assisté qu'une fois à l'acquisition. Pas besoin de l'avoir sauf à montrer à un groupe. C'est l'image finale qui m'intéresse, enlever cet oculaire électronique ferait diminuer le prix sensiblement en neuf (acquis d'occasion). Et c'est effectivement l'un des scopes que j'utilise le plus souvent vu la facilité d'emploi. Quelques images plus bas, rien de transcendant à 10m d'un lampadaire à mercure et 30kms de paris.
  9. J'ai sans doute raté des étapes de l'évolution astram commerciale, cependant j'essai de mesurer, quantifier. La très belle photo pour l'album ne m'intéresse pas, c'est la mesure. Chacun son truc. Ceci dit merci pour vos tuto siril, c'est une étape sérieuse. Après avoir observé visuel pour le CP avec mesures et pour planètes (cela continue encore, en visuel, la photo passe encore à côté de bien des choses sur les telluriques).
  10. En tout état de cause, on pourra exposer 1h ou plus sur un objet avec un ciel bien noir, puis traiter avec siril ou autre. il y en a qui le font pour la galerie. les mesures s’effectuent sur images déjà stackees et dark intégré, en photométrie même avec le capteur couleur. on peut même s’attaquer à l’évaluation de la rotation d’astéroïdes ou de noyau de comètes brillantes en exposant à intervalles définis. l’intérêt reste pour utiliser un scope installé en 3 minutes et 20 minutes de mise en température, sans ordi, avec une tablette ayant l’utilitaire d’unistellar resident, offrant les événements de la nuit, sn découvertes, astéroïdes et occultations, comètes visibles, exo planètes. j’ai en // une 102apo avec réducteur. C’est amusant, mais que de temps perdu pour acquérir avec eos ou 178. c’est la mesure qui prime. En cp ce 112 montre mieux ou similaire à un 400mm en visuel. maintenant, ce n’est que 450mm de focale avec f4. Pour faire beaucoup mieux, le acquerman f2 celestron sera top avec un 178 ou mieux. Sur l’heq5 on peut poser ici 2 minutes sans guidage et 0 perte d’image. Avec sharpcap live on fera comme l’unistellar et la monture avec starsense qui fait le plate solve. Facile à installer, inconvénient le pc à mettre en œuvre avec 95% d’humidité… si quelqu’un a une solution tablette, je suis preneur. avec l’unistellar, on pourra le mettre en œuvre partout avec la tablette, le sac et…le pliant. 12kgs avec la thermo.
  11. Pour un tube avec 112mm d'ouverture, il y a bien du résultat (jusqu'à m18, 16 avec 10min d'expositions cumulées en ville). La résolution est limitée par chipset 224C à 1,7". Ce n'est que pour le CP, SN, comètes, astéroîdes, occultations, exoplanètes avec un scope automatique, plate solve et la cible au centre garantie. L'objet que l'on ne voit pas apparait au bout de quelques minutes... C'est un outil d'étude qui fera ou invitera à faire autre chose que m31, 13 ou autre.
  12. Bah de notre côté ça ne nous empêchait pas de fumer et de rouler au diesel! Et d’apprendre ces quelques notions basiques pour éviter de se faire avoir sur le 2ème achat…
  13. https://www.teleskop-express.de/shop/product_info.php/info/p4778_Skywatcher-Explorer-130-f6-9-Optical-Tube---130-900-mm-Newtonian.html la version f5 tout autant. Cave astrola était vendu par médas à l'époque, le newton 200 10000F et le cassegrain 250 16000F. Les c8 aussi mais je ne vous dit pas ce qui fût dit pour la comparaison...optique et qualité. Unitron, perl, etc.... par devaux chevet. On avait à cette époque des vendeurs opticiens qui en parlaient. Aujourd'hui il y en a aussi. Autrement, il restait des mosser, astam, d'autres du même style pour des newtons voir quelques cassegrains purs, mosser. Des brits. Avec des diamètres de 400 avec des barillets 6-9 points, leviers astatiques. Pour les tubes le métal était plutôt exclu en raison de la turbu induite. Pour régler et tester des tubes achetés ou construits, on trouvait à l'affût des étoiles, le godillon, lunettes et télescopes de danjon et le texereau. Pas besoin de notice commerciale. Une lame de rasoir placée sur le foyer montrait bien des choses comme cette double concavité du 115 à 1700F, l'examen de la figure de diffraction pour avoir une idée générale et une grille de ronchi fabriquée avec un film photo pouvait compléter cette panoplie. L'examen des volutes de chaleur dans le tube sur un extra ou intra focal pour cette turbulence interne propre aux tubes. On pouvait faire bien des choses déjà dans ces années 70 et même avant avec la même biblio en se penchant sur la question qualité et turbu. Quant à collimater un c8 de 70 la notice commerciale l'exprimait, juste de la curiosité à avoir. Celle de l'astrola l'exprimait clairement. Encore une fois le mag l'astronomie des années 80 donnait un article de dragesco sur ces SC celestron avec foucaultgramme: c8 avec ménisque strié nettement et images plates. Ce n'était pas favorable, quant au diffraction limited il fallait être tolérant sur les qualificatifs usités.
  14. Bah non à l'époque après ce glorieux 115 qui ne servait plutôt à rien, je suis allé sur la 3" unitron, 1750F le tube et la monture 2750F. Par rapport à ce C8 ce fût le jour et la nuit. 200 de c8 avec des images floutées même en cp. Le 130 newton est parabolique chez sw avec des images excellentes. C'est surtout la transportabilité qui a fait la différence, le 200 astrola en comparaison lui damait le pion sans problème. Il était installé en fixe bien sur. Ces optiques c8 n'étaient pas leur fort. Aujourd'hui, on peut avoir un C8 L/6 qui n'a strictement rien à voir avec ceux des années 70. Celui d'aujourd'hui tient bien la toute même vis à vis d'une 150ED. Il y eut un test optique publié dans l'astronomie en 80 sur ce C8 par dragesco et ce n'était pas flatteur. L'avantage de cette 63 zeiss c'est que vous aurez la précision du contour sur le détail style tâche rouge de jupiter avec le sillon pour la séparer de la bande. J'ai bien observé Mars à la dernière opp. avec une simple 60-700 celestron à 42E, les images étaient bonnes. Quant au c14 de l'époque aussi c'est l'image comparative du c8, on reste encore assez loin qu'une ouverture de 355mm doit donner. Pour les poursuivre encore faut-il obtenir le fameux diffraction limited. En 70 il y avait beaucoup de culs de bouteille... Mon 115 est passé dans le broyeur à métaux, pour ce que çà valait, assez cher pour 1700F de l'époque, la 3" unitron est toujours là, utilisé de temps à autre, comme pour Mars et vénus (pas besoin de 250), maintenant la 150ED, le C9 récent (le meilleur) et un CC203 pour le nomade, 11kgs max pour le transport à la monture en fixe. Avec des oculaires "trous de serrure", les meilleurs.
  15. Qu'est-ce que çà apporte ce contexte? Si ce débutant veut une claque à l'oeil qu'il aille déjà à la 63mm zeiss, il laissera le vieux c8 de côté comme je le fit avec le 3" unitron à l'époque. On en voyait même plus et plus précis. Au moins vous avez le bon numéro de c8, ceux que j'ai eu et vu n'était que des clous, je pense que c'était la grande proportion, peu de bons et beaucoup de moyens, voir mauvais pour quelques uns. Je me rappelle d'un rassemblement à Nice en 80, beaucoup de C8 mais peu avec une image correcte de jupiter...les images étaient fixes. Quant à la 150ED elle écrasera ce vieux c8 sans problème mais pas les récents c8, je l'ai en ce moment. J'ai eu le 115-900 qui révolutionnait l'astronomie, avec un foucaultgramme montrant 2 parties concaves nettes, toutes les étoiles étaient...doubles et astigmates. 1700F à l'époque, du gâchis et pas de claque à l'oeil du débutant.
  16. Faut pas se faire un monde de ce que l'on a eu au tout début style 115-900 ou 60mm qui montrait un peu la TR de jupiter...quand c'était propre sans plus. La claque des images je l'ai obtenue avec une 3" unitron (comparée avec un c8 des années 70...) puis astrola 200mm newton et CC254 astrola, du L/10. Ce ne sont pas les tubes "légende" qui donnent le virus, c'est la qualité des images obtenues. Sur la marque de cette 60 je me serais orienté sur un méniscas 150 déjà mais quel prix, le 200 astrola était bien moins cher, meilleure qualité optique globale, L/10, obstruction 19%. Que du bon, avec une monture améliorable facilement. Ces tubes vintage m'ont permis de réaliser mes premières études sur venus et mars facilement. La passion mûrit avec les outils adéquats et les quelques résultats obtenus. C'est limé aujourd'hui avec la qualité des ciels qui se dégradent sensiblement pour être limité aujourd'hui avec 150mm seulement et encore dans de nombreux cas.
  17. Sévère, je ne crois pas. En comparant directement déjà avec le c8 récent qui tient très bien la route sur beaucoup d'aspects. Jusqu'à 2000-2010, c'était un machin plus ou moins selon les tubes. J'en ai eu 6. Après cette période il y a un net, très net progrès en qualité optique et stabilité mécanique. Parler des télescopes des années 70, on pourra citer, au hasard, unitron polarex, astrola en newton et cassegrain pur, des british aussi disparus depuis. Il y eu aussi des articles sur ces tubes c8 dans l'astronomie par dragesco dans les années 70 avec interféro qui montrait bien des soucis, ménisque strié, macro mamelonages, sans parler d'aberration sphérique pour certains, bref un machin pour étudier les aberrations de première grandeur. Le seul intérêt fût la compacité du tube qualifié de nomade, pour le reste... Ce fût néanmoins une étape pour ce que l'on a aujourd'hui du C5 au C14, belles optiques comme le c9 le meilleur. Du classic, fastar, edge, rowan akerman qui n'ont strictement rien à voir avec ces tubes du début. C'est un engin aujourd'hui style c8 qui peut faire du planétaire F10, CP avec correcteur 0.63x et 0.4x, fastar ou rowan F2 au bout du compte. Un tube avec toutes les possibilités. Qui fait autant? pour le moins cher et avec performance.
  18. Concernant ces c8 des débuts, le problème principal c'est la qualité optique très moyenne. Ce ne serait qu'une acquisition, comme pour une zeiss telemator de 63mm qui montre limité en raison du diamètre, pour du vintage collectionneur. Un c8 2020 montrera mille fois plus. 200-300€ en espérant un moteur synchrone qui tourne correct encore.
  19. La lame est relativement moins influente, c'est une tolérance sur le secondaire et son décentrement.
  20. OK reçu mais je placerait quelque chose de semi-mou (du liège) sur le barillet pour l'appui du ménisque. Les points durs même légers peuvent contraindre le verre. Le barillet sera plus froid et se dilatera assez fort. La contre calle en plastique aussi n'est pas serrée mais juste au contact. Sur le mien il y a une mousse semi souple et cela suffit. Placer 3 calles d'égale épaisseur sur l'extérieur en laissant 1-2/10mm avec du pvc souple, le centrage du secondaire sera suffisant, il l'était avant. C'est relativement tolérant en position (5/10 sur le C8). A 5/10 on commence à voir une image de diffraction d'une étoile qui dérive.
  21. OK. Mais alors comment le ménisque peut rester collé-gommé sur ces 3 secteurs d'appui en liège? Tel que la photo montre avec ces calles bleues, le ménisque doit venir sans effort... Un coup de feutre ou mieux de crayon papier sur la tranche suffirait pour garder l'orientation en remontant. L'adhésif sur la surface c'est pas terrible, corrosion sur le verre à terme possible.
  22. Et les calles bleues autour, qu'est-ce que c'est? Cela ressemble à une réparation mal conduite. Les 3 calles bleues sont adhérentes sur le ménisque. Et les 3 secteurs que l'on voit par transparence dessous le ménisque doivent être probablement en liège. Le ménisque s'appui dessus et le risque de gommage-collage est inexistant. Vous êtes le 1er acquéreur?
  23. La peinture dans le barillet oui c'est sur, mais ce n'est pas important elle peut se remplacer par des noires mates insolubles dans l'eau et à ces solvants. Gert neujman... Pas en la tirant mais en utilisant le petit jeu diamétral avec une main face interne l'autre face externe, mains dans des gants chirurgicaux trouvable en grandes surfaces. En tournant au début avec le secondaire on risque tout simplement de le tourner sur lui même.
  24. Normalement il n'y a aucun collage, ce n'est qu'un montage mécanique, ménisque sur 3 cales à 120° large avec des cales diamétrales sur le diamètre externe pour limiter le jeu et laisser la dilatation libre. Observé sur bien des C8 et C11 dont ultima. Le collage induirait des tensions dans le ménisque avec les variations de température, collage fut-il silicone. C'est ok pour un secondaire de newton pour un ménisque en verre à eau c'est une autre histoire avec 200-360mm. 1-2/10 de jeu diamétral c'est normal. Sur mon dernier C8 il y a aussi une mousse qui met une légère pression sur le pourtour en installant le contre anneau vissé. Si le centrage n'est pas bon le disque d'airy montrerait une forme en oeuf voir plus.
  25. Les investigations que j'avais réalisé montrait qu'il n'y avait pas de problème. Pour une affaire de nettoyage de surface. Bien sur en évitant une action très longue. Le problème reste que ces liquides alcool 90°, 99°, acétone sont très pénétrant, dans n'importe quel interstice, micropores de surface et il peut être assez long pour le voir s'évaporer selon la rugosité. En s'évaporant comme il a dissous des graisses de surface, le liquide laisse des résidus dans les micropores. Je n'avais pas observé de dissolution des coatings après un nettoyage normal. La lame de fermeture "gommée" sur ses cales d'appui je pense peut être débloquée par les solvants. Il y a en gros 1mm de jeu de montage au diamètre externe du ménisque, on doit arriver à la faire glisser transversalement sans forcer comme une brute. 3-4mm d'épaisseur du ménisque, il peut éclater en forçant exagérément.
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