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Algenib

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Tout ce qui a été posté par Algenib

  1. Celestron vient de créer le tube ou la collim ne sert presque plus à rien..
  2. J'ai aussi un thinkpad portable et....il devient faiblard par temps froid et lent. Un T61. Sans parler de la rosée qui entre partout. Le carton posé sur le portable, c'est bon au début et c'est jetable et recyclable...après 1h ou 2. A part le microclimat, difficile d'y échapper. Pb de bruit, avec les chinois, à utiliser dans ses plages d'utilisation. Faut pas demander plus pour faire de la mesure photométrique même surfacique. Perso l'intérêt de l'asiair est la liaison wifi avec une tablette, ou PC, ou l'on peut piloter la cam avec ses utilitaires qui ne sont pas de base. Cà fait moins de fourbis à mettre dans le sac à dos. En fixe le matos peut rester dehors et piloter de l'intérieur du home au chaud et au sec, çà conserve les bijoux.
  3. pas pour tout le monde, le pc sous les étoiles ça fonctionne très très bien, on est libre d'utiliser les softs qui nous conviennent le mieux, ça coute pas cher, pas besoin d'asiair qui bride sur le matériel. tout le monde aujourd'hui a un smartphone, avec remote desktop on surveille et commande tout ça depuis où on veut, comme avec l'asiair... chacun son point de vue Oui sous abris. L'avantage que je vois c'est l'usage de l'usb3 pour les planètes prises avec fps très rapide. En plus avec cette tablette outre l'asiair applis, il y a l'unistellar et le seestar, celestron skyportal, sw synscan pro, camera connect canon wifi, mars globe. Pas de fils, une tablette de 900grs, et l'azgti/ c5 pour la randonnée. L'asiair ne bride pas le matériel, juste utiliser les cam zwo qui sont performantes. Les altair par ex. n'ont pas les mêmes drivers. Pour l'acquisition d'images finales, à reprendre après sur PC pour se faire une beauté informatique. Les mesures de toutes façon seront effectuées sur image finale pré traitée.
  4. Pensez à la simplicité, une tablette pour l'acquisition avec l'asiair, empilement et pré-traitement sont possible. En récupérant l'image finale, on la traitera à sa façon sur un PC comme depuis une clé usb. Des PC d'occasion avec win 10, il peut s'en trouver à la tonne pour 150 balles, PC de bureau avec un écran 17" aussi d'occasion. Ca fait des années que le matériel tourne sans problème majeur. L'ipad est un 9" ici, depuis 5 ans, c'est sans histoire avec un graphisme excellent. Les softs se trouvent sur apple store. Le PC sous la belle étoile, c'est révolu depuis bien des années, c'est le sens de l'histoire.
  5. Continuez sur ce chemin, vérifiez tout, notamment ce décalage latéral entre cages. Puis passez au laser comme exprimé avant, en marquant le secondaire. Sixela, au-delà d’expérience, relative, avez vous observe déjà une image de diffraction avec votre dob, avec 500x mini pour vérifier l’expérience? La collimation ne fait pas l’alignement d’un tube. Pour info. Juste un compromis boiteux. On en voit des machins pendant des rassemblements d’amateur…entre autres, c’est passable relativement avec D/3 et moins en grossissement pour le cp. Désolé pour la contradiction d’expérience.
  6. c'est ce je décrivais comme le centre géométrique...optique du fait de l'offset. Une marque aide beaucoup aussi pour passer moins de temps. Pas de cage secondaire décalée latéralement de 1 cm par rapport à la cage primaire? plus ou moins le cm. Il suffit d'observer cette image de diffraction d'une étoile placée au zénth pour le vérifier et s'en convaincre. Même si le seeing est fort pour 10", la concentration de lumière sera concentrique quand c'est fait en alignement-collimation. Quelle différence faite vous entre alignement et collimation? Cela illustre bien le problème de décalage latéral entre cages.
  7. Sur le 10" F5 il doit y avoir un offset du secondaire de 3mm+/- Le secondaire sera décalé d'autant avec les branches de l'araignée. Vérifier le montage du secondaire sur la cage du tube (attention au montage des tubes du treillis liant la cage du secondaire et du primaire, les 2 cages doivent être alignées au mieux possible déjà). Le fait de monter le kit du tube peut introduire des décalages latéraux qui ne sont pas possible de rattraper par une collim des miroirs. Comme on a un tube treillis ouvert on pourra voir la trace du faisceau laser sur les miroirs. A ce propos démonter le secondaire pour y marquer le centre géométrique avec un crayon papier 4B bien gras. En ayant aligné au mieux les éléments du tube, en insérant un collimateur laser style baader colimaté dans le crayford, on amènera la trace du faisceau sur ce centre géométrique du secondaire (en ayant au préalable centré ce secondaire par rapport au crayford tube interne, même approximativement, en obtenant un anneau régulier) , puis de le régler de façon à renvoyer le faisceau sur le centre du primaire (s'il n'y a pas de marque y mettre un oeilleton au centre géométrique du primaire. Puis de régler le primaire pour renvoyer ce faisceau sur le secondaire puis sur la cible du laser. Si le renvoi du faisceau s'effectue bien en dehors de la cible du laser, c'est qu'il faudra bien vérifier à nouveau l'alignement des 2 cages du tube, et aussi le centrage mécanique du secondaire en tenant en compte l'offset. Si on arrive à une bonne opération, le fait de re-démonter les 2 cages et des tubes treillis, fera qu'il faudra tout reprendre pour la prochaine nuit. De ce point de vue le tube plein prends un avantage pour ces affaire d'alignement d'abord puis de collimation. A moins de démonter le primaire d'y mettre le laser sur le barillet et de viser le centre du support secondaire pour aligner les 2 cages mécaniquement. Perso je n'ai presque jamais observé une image de diffraction propre d'une étoile avec ces tubes pendant ces manifestations de nuits des étoiles. Avec le laser ce sera vite fait, bien fait aussi, en retouchant au final sur le ciel, juste un poil. Pour obtenir en extra-intra focale des donuts bien réguliers et une focalisation bien concentrique avec un beau disque d'airy, étoile placée au zénith.
  8. Algenib

    Tube planétaire

    Je parlais des japonais. le fait de le recevoir pour le lecteur peut montrer le même processus considéré pour un tube, beaucoup de subjectivité à la clé. Un tube ce n'est qu'un diamètre, une qualité optique exprimée par un strehl global, une obstruction et un site d'observation en ajoutant la qualité mécanique du design particulier, de sa réponse à la turbulence. Cela restreint l'approche passionnée pour tel ou tel machin, comme pour une auto, choix guidé souvent par une impression générale.
  9. Algenib

    Tube planétaire

    C'est le résultat qui compte et l'usage le plus commun. Va voir sur l'alpo jpn ce qui est en usage commun, ce ne sont pas des manchots qui attendent les belles nuits. Notamment au japon (je connais assez bien le ciel japonais qui est assez peu stable) mais dès que les nuages se dissipent, ils y sont non pas pour la belle image mais pour suivre une situation d'atmosphère sur une longue durée. Perso je ne sais pas ce que sont des images "formidables" données par un tube qu'on ne connait que peu en action. Concernant ces images hst, outre les couleurs, c'est de montrer des détails avec contours coupés au couteau rasoir, est-ce bien réel? Le traitement des images passe aussi par là pour cet effet.
  10. Algenib

    Tube planétaire

    Avec le CC250 gso aussi. Et cela prouve quoi pour 2 ou 3 coups par an? Et avec newtons (sur l'alpo japonaise) des images à la tonne mais toute l'année, sc y compris... Curieusement pratiquement pas de réfracteurs ou presque, melons y compris.
  11. Algenib

    Tube planétaire

    La au moins on commence à toucher au problème question tolérances d’alignement. Le sc est assez tolérant, le edge concède. Mais contrairement à dob250, y a rien de plus aujourd’hui, sauf la qualité d’exécution des tubes et des surfaces optiques sur la mass-production. L’artisanal faisait et fait du très bon avec le prix plus cher. Rien de nouveau avec les moyens de contrôle en rapport. Le Texereau n’est pas obsolète ni passéiste. On parle bien de planètes ici?
  12. Algenib

    Tube planétaire

    Une surface « garantie » à l/20 soit L/10 n’a jamais fait un tube L/10 global sur tube. Comment mesurer le secondaire elliptique? A part effectuer un interfero sur le tube en optimisant ou par soi-même en observant sur un star test. sur un tube qui se monte et se démonte à chaque séance. Quant au seeing qui n’est pas le plus souvent quote on entre à mon avis dans un subjectif ambient. Sur le papier, un newton de diamètre équivalent fera similaire voir mieux selon un D-d pour le contraste image. En relisant le Texereau, le tube planétaire idéal serait le CC avec une lame de fermeture sur l’avant du tube. Expérience à l’appui, c’est une bonne solution. Quant aux sc d’aujourd’hui, ils n’ont strictement rien à voir avec les anciens. Sur CN, certains ont mesures les primaires F2 et la précision L/10 était bien tenue (en contrôle qualité fabriquant aussi).
  13. Algenib

    Tube planétaire

    Reste à voir si le tube peut tenir le strehl global dans toutes les situations déjà (sans parler et engager le seeing du site d'abord). Nous venons de passer subitement de considérations d'obs visuelles à des obs style imagerie... Perso je ne recommande pas le melon pour plein de raison, le strehl sur papier est-il en action? Pour avoir eu ces melons 180 et 210 entre les mains en visuel, embarrassant pour la turbu interne d'un tube qui court après son équilibre. Le newton excusez peut tenir un alignement et une collimation, son strehl global facilement. J'ai eu, mais encombrant. Pour ces SC edge excusez mais les white papers de celestron mentionnent 10% de plus de capacité de résolution et contraste sur l'axe pour les non edge... Pas besoin du edge sauf activité CP. Les CC, compacts donneront les meilleurs résultats sur l'axe. C'est sans comparaison. Il faut maitriser la turbu interne au tube, si tube plein une belle cheminée turbulente. Donc tube serrurier ou fermé avec une lame de fermeture. Ou 100% ouvert. C'est trop réducteur. OK pour le MN intès avec CO<20%% c'est de l'apo sans les inconvénients des réfracteurs même apo, moins chers mais encore affublé de la proximité du sol dès que les 150mm sont dépassés. Cela devient lourd et lent à s'équilibrer thermiquement au delà. Un 400 à vendre chez APM pour.... En restant amateur avec la bourse amateur il reste le newton après, miroir superpoli, le CC classique avec miroir superpoli avec lame de fermeture ou le tube serrurier (on reste sur l'imagerie). Voir chez zen venizia. Le reste c'est de la petite daube en action mais qui peuvent ne pas démériter sur des coups. Le problème c'est la connaissance de la capacité de son tube sur tel ou tel sujet. On y trouve rien ici, notamment sur le contraste ultime accessible versus la taille du détail à acquérir en action. On a vu certains imageurs monter des plumes autour de la calotte polaire martienne avec plein de c14 quand celle-ci n'avait que la taille de 1" d'arc... Ou se situe la résolution de tels tubes en action? La diffraction introduit bien des effets curieux non diagnostiqués sérieusement. Alors un tube planétaire, c'est quoi?
  14. Algenib

    Tube planétaire

    C'est toujours le contraste perceptible vu à la limite qui guide la capabilité sur le site. Le ciel comme le souligne Lyl, transparence et turbulence, et, la capacité oculaire propre à chacun (très limitant). On verra toujours Syrtis Major de Mars dans les 2 tubes mais peu du reste dans ce 250 standard le plus souvent.
  15. Algenib

    Tube planétaire

    Pour une représentation ou avoir une idée des réponses à ces 3 questions, se reporter aux courbes FTM correspondantes puis de les combiner pour plusieurs paramètres. Cela marque une tendance générale néanmoins. Pour mars les contrastes sont possiblement inférieurs comme la région des volcans Tharsis et celle d'Elysium. Syrtis Major est à 40-45% de contraste. A partir de quel diamètre peut-on observer ces volcans non couvert de givre: perso 102mm achro à l'opposition de 13", 76mm couverts de givre blanc. Pour uranus...les contrastes poussent pour le 1% toujours accessible. Pour le comparatif 10"-6", sans passer par les courbes: - 10" avec 25% CO, S 88%: dia équivalent pour tracer sa courbe FTM, 165mm - 6" avec 20% CO, S97%: dia équivalent pour tracer la courbe FTM, 118mm pour un newton - 6" pour lunette S 97%: dia équivalent 147mm Par images fixes dans chaque cas. Si le 6" présente des Images 5/5 dans le 10" il y aurait 3/5 le plus souvent (avec 23% de perte de contraste en moyenne par step de turbu selon Danjon, source le Texereau.) Le contraste de 3% de mars dans la 6" ne sera pas 3% mais selon la taille du détail le contraste correspondant accessible. Proche de la résolution ultime, ce même contraste sera éteint avec notablement moins du 1% de niveau. En gros un détail de 10% proche de la limite d'ouverture ne sera qu'au niveau du % devant l'oeil. Au final recherchez la liste des détails ayant 10% et mieux, cela définira ce qui serait accessible à l'oculaire. Dans le 10", 1,12x plus efficace que le 6" par images fixes, avec images 3/5 il y aurait 59% de contraste résiduel de sorte que le 6" passera devant pour l'extraction des détails ultimes. 10% de contraste sur le disque planétaire deviendra selon la courbe FTM équivalente du 10". En fait de l'ordre du 1% au final. Sur le même détail vu dans le 6", la taille du détail peut devenir 1,12x avec le 10" ce qui est peanuts avec un résultat final similaire. On pourra objecter qu'il y aurait des trous de turbu pour bien voir fugitivement mais cela reste hypothétique sur le résultat final. Il vaut mieux des images accessibles (non fixes) 50% du temps pour rapporter efficacement ce qui est vu. en tenant compte de la turbu et de l'ouverture parfaite considérée, source telescopeoptics.net de W.Sacek. Avant ces développements d'analyse par courbes FTM, certains pro avaient développés ces développement par l'empirisme et tests en vrai grandeur sur des mires observées quantitativement et sur des personnes pour en dégager les tendances. Les tests pour la résolution, sur les personnes pour définir une capacité oculaire selon les conditions d'observations. Pour les tests la formule qui approche bien la réponse en contraste d'un détail trait (il y a aussi pour des points) foncé sur fond clair c (final) = c(départ, sur planète) x (w/(w+(5,6/D)) w la largeur du détail trait en " d'arc D le diamètre d'ouverture considéré parfait optiquement. D ouverture en ". 10% devient 5,1% dans le 6" parfait image 5/5 CO 0% 10% devient 6,4% dans le 10" parfait image 5/5 CO 0% 10% devient 3,8% dans le 10" parfait image 3/5 CO 0% Faire intervenir le strehl après qui minore le contraste par le facteur de strehl, grosso modo, Faire intervenir la valeur du CO qui introduit un "strehl" de construction qui minore aussi le contraste final. 31% d'obstruction introduit en gros un facteur 80%. Avec cette valeur il ne resterait que 2,6% de contraste résiduel moyen. Pour un niveau d'éclairement rétinien convenable correspond à une vision mésopic. Pour des détails de style point foncé sur fond clair, on aurait moins du 1% résiduel. Quand on se bute sur détails du 1% de contraste, on pourra comprendre que l'apport du diamètre n'influe qu'à la marge. C'est surtout le strehl instrumental et l'absence de seeing qui prédominent pour le gain final (exemples uranus et neptune). Et de la capacité oculaire propre de l'observateur. Enfin ce développement est bien vérifié en action globalement. Affaire de compromis et surtout garder un oeil sur la bourse perso pour éviter les déconvenues. Qui a réalisé le bilan de son site d'observation sur le plan turbu, quantitativement? Ici c'est typiquement 6" dans 2/3 des nuits possibles et sur des moments seulement, le 300 ne permet disons qu'une nuit par an et seulement potable. Pour le planétaire. Bon courage et bons ciels surtout. Algenib.
  16. Algenib

    Tube planétaire

    Avec l'huile coude il peut y avoir beaucoup. Un newton 150F8 et son secondaire de 32 ou 35mm, miroirs L/10, ça se trouve outre manche, outre atlantique. le budget est maintenu. Il doit y avoir un kit CC chez zen pour ces montants.
  17. Algenib

    Tube planétaire

    Utiliser un 300 sur planètes tant que l'on ne voit pas le disque d'airy (même par instants fugitifs) d'une étoile placée sur l'écliptique, je ne voit pas d'intérêt sauf à dire que j'ai un 300... Là on entre dans la grande théorie du trou de turbu...en attente. Dans cette situation une ouverture de 150 peut en montrer bien plus. C'est comme passer d'un 3/5 à juste un 5/5, d'un 300 à un 150. Remarquez que 3/5 permet encore d'apercevoir le disque d'airy souvent, 2/5 et en dessous: restez au lit, c'est mieux. Et les strehl optiques respectifs n'ont pas été mis en jeu encore. Dans la question initiale, pour le 200-1000, on ne sait toujours pas ce qu'il vaut en action (autrement que par, quelles belles images!....). Avant de passer au porte monnaie pour un machin nouveau similaire avancé ici et là. Pour info ce CC152 chinois, n'est pas un machin qualité chinois (qui fabriquent du taka et autres), j'en ai eu 3, gardé un qui fonctionne du tonnerre quand il est aligné, à peine inférieur à cette 150ED chinoise, que j'ai aussi. Ce n'est pas du L/4 simple, c'est mieux. La lunette se comporte le mieux en situation de turbulence instrumentale et locale, le CC bien mieux dans la couleur bleue et uv. L'inconvénient de la 150ED c'est la difficulté pour réaligner et nettoyer le verre interne. Le CC c'est la prise rapide de poussières avec un design de pot de fleurs qui favorise la turbu instrumentale, comme un melon. On ne peut pas tout avoir en même temps.
  18. Algenib

    Tube planétaire

    Je viens mettre mon grain de sel ou...de sable. Quand on lit ce que vous avez déjà, il y aurait de quoi y faire. Un 200-1000 sky watcher ou orion est bien suffisant pour capturer bien des détails planétaires. Cet engin doit supporter le minimum de précision optique cad un L/4 mini suffisant, voir mieux. Avec 25% d'obstruction, il fera aussi bien qu'un tube compact plus précis optiquement de même diamètre. L'avez-vous collimaté finement? On doit voir l'image typique de diffraction d'une étoile m:3,0 avec 300x déjà, étoile au centre du champs. Quand j'acquière un tube d'occasion, c'est la première manip que j'effectue pour vérifier ce minimum. Si on n'arrive pas à collimater un newton F5 autant se refuser le CC152mm, qui sera en occasion un machin à reprendre en alignement et décollimation. 80% des tubes d'occase sont à reprendre... Donc savoir le faire. Et puis, quoter la turbulence du moment, encore voir une image de diffraction avec 1,5D mini de grossissement. Autrement, on y parle de tout et de rien. Si on ne veut aucun problème, se diriger vers un questar 7" complet à 10000, aucun soucis. C'est un machin qu'on emporte en expédition pour un évènnement scientifique, collimaté aligné au départ, tout autant à l'arrivée après 1000k de nids de poules... Il est conçu pour ça avec son L/10 global. Pas besoin de pousser le bouchon aussi loin, le 200-1000 à 400 balles doit le faire, tube aligné, ciel 3-4-5/5 selon Danjon. Reste la bouse acquise, bien rare aujourd'hui, que l'on peut diagnostiquer très facilement, sur le ciel (sans se précipiter immédiatement sur une planète, il y a tant d'étoiles au zénith).
  19. La 80 est plutôt pour le cp longue pose.
  20. Avec une porta 2, c'est très bien.
  21. Poussez sur un 150mm C6, cela fera 100x mieux en prestation, compacité, poids, facilité d'usage et prix. Visuel ou photo.
  22. Je me rappelle d'une star-party des années 80 à Nice, il y avait un collègue astroamateur qui avait déployé sa 127-2000 unitron sur le green. Le soir il y avait un queue de 20m pour aller y jeter un oeil pendant 30s au plus sur saturne. Pendant plusieurs heures, même les 300-400 étaient boudés. Il y avait des images fixes dans les 200-250mm. Il y a sans doute plus une affaire sentimentale qu'un but d'observation régulière d'un mars ou autre. Pourrait-on effectuer sur mars par exemple un suivi régulier avec ces 100-110mm à titre d'information et de comparaison? Il faudrait dessiner. Bon sujet de forum! Sans à priori. Bons ciels.
  23. Pour la pile y mettre une sérieuse, pas une pile carrefour. Cela doit résoudre le pb gps. le motoréducteur n'est pas qu'un moteur et un pignon, il y a un codeur et des microswitch, et des connecteurs fragiles. Sur le 200GPS il y avait un pb de connecteur/connexion irréparable et l'ensemble avait été changé. C'est trouvable encore aux us chez meade. Vous pouvez toujours les questionner via email, ils répondent. Ils m'avait proposé le kit complet des câbles de la fourche pour....50usd. Mais consultez le site mapug aussi.
  24. Et la pile du bios interne a été changée (une cr2032 de mémoire). Après changement l'initialisation prend 3-4s tout au plus (à faire tous les 5-6ans). Elle se situe sur la carte mère et accessible en démontant le cache sous l'embase de la fourche. Puis mettre le firmware à jour. Puis vérifier la connectique interne (les prises molex fragiles), les soudures sur les cartes imprimées. Puis changer éventuellement le motoréducteur DEC avec le codeur intégré en dernière extrémité. Bon courage. Voir aussi le site mapug qui répertorie les pannes et solutions pour ces scopes meade.
  25. Jolie peinture…aura-t’on une image extra focale pour montrer ces volutes thermiques internes?
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