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joker0247

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Tout ce qui a été posté par joker0247

  1. En effet, il est déjà dans ma liste d'anniversaire depuis un moment, avec également le Celestial Sampler de la même autrice 👍. Très bien adapté aux petits instruments.
  2. Très bon choix 😉
  3. Salut @adamckiewicz Encore une fois, beau récit et surtout beaux dessins ! Merci pour ce partage 😉. Tu sembles pouvoir profiter d'un bon ciel en ce moment, je t'envie un peu 🙂 Ici ils ne font pas que passer, ils sont installés depuis bientôt deux semaines 😵
  4. Merci pour ce témoignage, ça m'encourage à retenter l'observation 😉 Je tenterai la comparaison avec une étoile de même magnitude au même grossissement pour voir si effectivement une différence à ce niveau est détectable 👍
  5. Disons que j'ai eu un peu de mal à en saisir les limites et à le distinguer convenablement du champ autour, sa position en fin de liste au moment où la fatigue arrive n'aidant pas. Et puis je dois avouer que j'ai une petite préférence pour les amas plus compacts et partiellement résolus . Peut-être y trouverai-je davantage d'intérêt aux jumelles, c'est à tenter. 👍 Ta description confirme assez bien la sensation que j'ai eu en l'observant
  6. Effectivement le pouvoir séparateur d'une lunette de 60mm se situe de mémoire quelque part entre 2" et 2,5" donc une double de cette catégorie devrait au moins apparaître comme un ovale. Mais je retenterai sur une double plus équilibrée, et Epsilon Lyrae semble en effet une bonne candidate pour ça 😉
  7. 👍. Je me doutais bien que tu poserais la question 😁. Pour le moment je n'ai pas été gêné par un quelconque étirement des étoiles sur les bords, mais j'avoue m'être concentré sur le centre de l'image. Dès la prochaine sortie j'essaie d'y consacrer un peu de temps pour examiner ça attentivement et t'en ferai un retour 😉. Je me souviens maintenant qu'on avait échangé à ce sujet. Maintenant que tu le dis en effet il y a bien quelque chose, mais je dois trop manquer d'imagination pour que ça me saute aux yeux 😄. La vision en est peut être plus ou moins évidente selon le diamètre instrumental ? Pour être honnête la rotule photo se gère bien jusqu'à 50x, puis ça demande un peu plus de pratique jusqu'à 100x (et selon que l'instrument est plus ou moins bien équilibré cela demande de moins serrer le frein voire presque pas, ce qui simplifie le suivi). À 135x je n'arrive pas à équilibrer parfaitement le tube en visant haut à cause du poids de la powermate et je dois serrer le frein de la rotule ce qui complique le suivi. Pour le pointage ce n'est pas un problème. Comme toi je ne déploie pas complètement les pieds du trépied, pour conserver assez de rigidité et je ne suis pas gêné par les vibrations. Mais pour moi la rotule ne s'envisage qu'en l'absence de monture avec mouvements fins, ou pour de l'ultra nomade, en choisissant des cibles pas trop hautes et à faible grossissement. Elle est également parfaite pour du diurne pour regarder les p'tits zoizeaux 🙂 Je l'utilise pour l'instant en attendant l'azGTi qui arrivera sous le sapin et qui sera sans aucun doute plus appropriée pour un usage à fort grossissement et pour dessiner.
  8. En effet, lunette et jumelles obligent parfois à des choix de constellations un peu "hors-saison" pour une question de confort. J'avais dans l'idée de m'attaquer prochainement aux objets de Cephée, Cassiopée, Andromède et Persée mais je crois que le télescope sera plus approprié pour le moment, les petits instruments attendront qu'elles soient un peu moins hautes.🙂
  9. Voilà un moment que je réfléchissais à un post pour regrouper mes ballades célestes aux jumelles 10x42 et à la lunette de 60mm. Je me décide enfin à l’ouvrir, en espérant que les quelques CROA que j’y déposerai au fil de l’eau permettent de faire honneur aux petits instruments et donnent envie à chacun de sortir sans complexe les siens et d’exploiter le potentiel parfois mal connu (ou méprisé) de ces modestes optiques. Aux quatre coins du Cygne, à la lunette de 60mm Le coup d’envoi est donné par la toute nouvelle venue chez moi, la petite TS Photoline 60/360. Depuis son acquisition récente la pauvre n’a eu que trop peu l’occasion de sortir pour des séances approfondies, la priorité ayant été donnée lors des rares nuits claires d’Octobre aux jumelles et au baptême du strock-250. Après une interminable semaine de brouillard, une nuit exploitable et presque inespérée s’est présentée Dimanche. Fini donc les tests planétaires et solaires rapides entre deux nuages, il est temps de passer aux choses sérieuses et de voir ce que cette petite merveille a dans le tube, sur des cibles un peu plus délicates. Installé à 21h15 sur la terrasse fraichement rénovée pendant les vacances, je constate avec appétit que le ciel est entièrement dégagé, sans aucun vent. Les quelques 8°C sont largement soutenables ainsi, bien que l’humidité taquine les 95% : la buée sera probablement de la partie et j’assure le coup en installant une résistance chauffante alimentée par une petite batterie externe. Ca ne tiendra probablement pas la séance complète mais retardera tout de même assez longtemps le vilain voile sur la lentille. L’éclairage public n’est pas encore éteint mais dans l’ombre de la maison je profite tout de même d’une belle voie lactée parfaitement visible du Cocher jusqu’à l’Aigle, faisant le pont entre la nostalgie des douces nuits d’Été et l’attente impatiente des fraîches soirées d’Hiver. La parcourant d’un bout à l’autre je m’arrête finalement sur la constellation du Cygne, dont le corps tout étendu plonge désormais inlassablement vers l’Ouest. Il est pourtant encore temps début Novembre de profiter de ses trésors avant qu’ils ne soient engloutis jusqu’à l’année prochaine. Le temps que la lumière artificielle quitte la scène et que les yeux s’habituent à l’obscurité, je braque mes projecteurs en guise d’échauffement sur quelques étoiles doubles bien choisies. La plus célèbre (bien que seulement optique) de cette zone est bien sûr la belle Albireo/β Cygni (3,1-5,1 ; 34"). Déjà facilement séparée au 24mm, elle domine un champ bien fourni de près de 4,5° piqueté d’étoiles faibles. La différence d’éclat est évidente tandis que les couleurs restent subtiles à 15x. À 50x les teintes jaune et bleue deviennent bien prononcées, et le disque d’Airy déjà visible à ce grossissement suggère une mise au point parfaite qui permet de profiter au mieux de cette magnifique vision : tandis que les étoiles aux alentours demeurent bien blanches et faibles, le couple coloré y règne majestueusement. Un essai à 135x permet d’apprécier le spectacle d’un peu plus près, avec une séparation accrue et des couleurs qui demeurent assez saturées, bien que dans l’ensemble l’image s’assombrisse et le champ se fasse bien plus pauvre avec seulement une dizaine d’étoiles restantes. La plus belle vue restera celle à 50x, bien équilibrée entre champ, séparation et couleurs. L’entrée suivante est une paire (réellement double cette fois) plus faible mais un chouia moins serrée, 16 Cygni (6,0-6,1 ; 39"). Dans un premier temps, petit passage sur M27 toute proche, bien évidente même en VD dans son trapèze d’étoiles. Même à 15x sa forme est aisément reconnaissable. Puis je vise l’étoile et tout de suite quelque chose ne vas pas. L’étoile en question n’a qu’une seule composante visible. Celle juste en dessous de magnitude similaire est bien trop éloignée pour que ça corresponde… Petit moment de trouble, puis après réflexion je constate sur le PSA que je vise la mauvaise 16 ! Il s’agit de 16 Vulpeculae, dans la constellation voisine du Petit Renard ! C’est également une étoile double, mais sa résolution est complètement hors de portée de cette pauvre petite lunette… Passé ce moment de solitude, direction l’aile Nord du Cygne pour trouver cette fois la véritable 16 Cyg. Elle se présentera comme une jolie paire serrée et équilibrée, très légèrement jaunâtre. À 50x en revanche la subtile coloration semble avoir disparu. Le grand intérêt du choix de cette double réside surtout dans son voisinage tout proche, en la personne de NGC 6826 alias la « Nébuleuse du clignotant ». Pas facile à distinguer des étoiles du champ, je la repère uniquement à x15 par le fait qu’elle forme presque un rectangle avec la double et deux étoiles de mag 7. À x50 elle est encore quasi ponctuelle, comme une étoile de mag 8-9, mais son aspect flou la met plus en avant. À x100 la nébuleuse planétaire s’élargit enfin en VI, arborant une forme légèrement ovale et un cœur plus brillant. Dans ce cœur sans doute se cache l’étoile centrale de mag 10,5 que je n’ai pas pensé à tenter d’isoler visuellement (la faute à mon manque d’expérience sur ce genre de cibles de toute évidence) mais pourtant à portée de l’instrument. Une autre double intéressante dans le Cygne est la célèbre 61 Cyg (5,2-6,1 ; 30"), dite « Étoile volante de Piazzi ». Sa popularité ne réside pas dans ses caractéristiques visuelles mais est plutôt due à son mouvement propre élevé, qui la fait se déplacer de manière notable sur quelques années par rapport aux étoiles environnantes. À l’oculaire, c’est néanmoins une très jolie double bien détachée du riche champ qui l’entoure, avec une magnitude d’écart bien évidente. À x50 la différence d’éclat semble moins prononcée mais toujours en faveur de la composante Nord. Les deux m’apparaissent identiquement blanches. Pour terminer cette sélection, un dernier couple stellaire, δ Cygni/Fawaris (2,9-6,3 ; 2,5"). Choisi pour sa grande difficulté, sa résolution est en théorie possible, à la limite du pouvoir séparateur d’une lunette de 60mm. Pourtant ses 2,5" d’écart se traduiront visuellement par un parfait disque d’Airy bleuté, même à 135x. Sans doute la composante la plus faible était noyée dans la lumière de l’étoile la plus brillante ? Tant pis pour le challenge, mais je ne repars pas bredouille de cette endroit pour autant, car ici-même débute le deuxième acte de la soirée, celui des amas ouverts. À commencer par NGC 6811, dans le même champ au Nord-Ouest. L’amas se présente à x15 comme un groupe très serré d’étoiles non résolues mais piqueté sur l’ensemble de sa surface. À x50 il arbore une forme irrégulière et bien plus pauvre en son centre, avec une dizaine d’étoiles résolues en VD et le double en VI, réparties par « grappes » de 4 ou 5. C’est une belle découverte, qui je trouve mériterait une plus grande notoriété. Un petit vent froid s’est installé sans prévenir et me rappelle que le temps passe très vite et que demain c’est Lundi et reprise du boulot. Il va falloir accélérer un peu pour les objets restants ou le réveil va être difficile… Heureusement les amas restants sont tout aussi faciles à pointer, en particulier M29 dans le même champ que la brillante Sadr. Voilà un objet du catalogue Messier que je n’avais pas encore observé, pas même aux jumelles. À x15 c’est un simple petit groupe serré de 5-6 étoiles en VI, pas très spectaculaire. En grossissant un peu (x50), 8 étoiles sont résolues, deux groupes de 5 et 3 en vis-à-vis. Je remarque également deux étoiles un tout petit peu à l’écart, sans savoir avec certitude si elles appartiennent bien à l’amas. L’ensemble est plus dispersé à x100 mais me permet de réaliser rapidement un petit croquis d’ensemble. Bon je n’ai toujours pas saisi pourquoi on l’appelle la « tour de refroidissement », néanmoins je trouve cet objet plus plaisant que l’idée que je m’en étais fait maintenant qu’il m’est plus familier. Je ne manque pas ensuite l’occasion de passer par M39, autre amas ouvert encore non observé tout instrument confondu. Repéré aisément même à l’œil nu en remontant depuis Deneb, c’est un large ensemble d’une vingtaine d’étoiles brillantes assez espacées, avec une forme globalement triangulaire. J’y compte jusqu’à 26 étoiles à x50. Ce ne sera pas l’amas le plus incroyable observé, mais je reste satisfait de cocher un Messier de plus. Pour terminer cette balade aux quatre coins du Cygne, j’ai choisi de rendre visite à l’amas NGC 6940, dans l’aile Est. Bien que ses caractéristiques me semblaient prometteuses, je suis finalement resté sur ma faim devant ce large groupe épars d’une dizaine d’étoiles faibles. Je choisis de ne pas aller plus loin pour ce soir et à 23h30 je me tourne vers l’Est pour quelques minutes de vagabondage entre Jupiter, Mars, les 3 amas du Cocher (M38 et sa « croix », M36 le plus petit avec ses 5-6 étoiles bien résolues, et M37 le « granuleux », un peu plus large que M36), les Pléiades, Bételgeuse, M42 et Cr69, l’amas juste au-dessus d’Orion et bien visible à l’œil nu, les Hyades qui couvrent tout le champ du 24mm et enfin Saturne, le tout à x15. Finalement, une petite sortie bien fructueuse qui me confirme que cette petite lunette est un bon complément aux jumelles pour les objets qui méritent un peu plus de grossissement, aussi vite sortie, facile à emmener partout et qui s’en sort très bien en ciel profond pour le moment. Il me tarde déjà de voir ce qu’elle peut offrir sur des objets plus discrets comme les galaxies et les amas globulaires.
  10. Pour le moment ces deux volumes ne me donnent pas envie, je ne suis même pas certain d'avoir assez d'une vie pour explorer complètement les deux premiers. Ce qui est marrant (ou pas) c'est le prix délirant parfois du troisième tome en occasion, voire du deuxième, alors qu'ils sont pourtant encore disponibles en neuf à prix normal chez S&T ou FLO 🤔 Le tome 1 en revanche, pour le trouver à 50 EUR c'était un vrai miracle 🙏.
  11. Je connaissais le premier (j'y fais un tour de temps à autre ) mais pas le second, merci pour l'info!😉 Totalement ! Et ensuite pour comparer les observations aux descriptions proposées, valider ou non des détails perçus...
  12. Vu le brouillard actuel, je me suis fait un petit plaisir 😊: Un livre bien connu mais qui mérite largement un peu de publicité 😉. Et puis, après une longue attente et des jours et des jours à guetter la bonne affaire, le Graal est enfin arrivé dans la boîte aux lettres, pour accompagner le volume 2 des NSOG : De quoi patienter en attendant que le brouillard se disperse 🙂
  13. Ah chouette ! J'ai pu également profiter de la nuit dégagée d'hier à la lunette de 60 mm. L'attente toute la semaine fût bien longue 🙂. Ce soir je crois que c'est déjà cuit...
  14. Merci pour ce super CROA, témoignage d'un baptême réussi de ton 300 sous un beau ciel !👌 Je te comprends parfaitement. Les soirées club et les sorties solo sont deux moments bien différents et complémentaires. Je crois qu'on a besoin des deux pour une pratique accomplie : le partage d'un côté et la contemplation solitaire de l'autre 👍. J'adore 😄. Malgré sa simplicité je lui trouve néanmoins un côté sympathique à cet asterisme. 😁. En effet, on ne dira jamais assez que le ciel est un élément essentiel et peut transfigurer la vision d'un objet. Merci pour cet exemple concret. Y'a pas à dire, pouvoir observer en altitude est un réel privilège 😎. Quand je vois les soirées perdues chez moi rien que la semaine passé à cause du brouillard...😞
  15. Te voilà effectivement bien équipée, jumelles + lunette + télescope : l'arsenal complet 😉. Un 200/1200 si je calcule bien ?
  16. Merci pour le partage Geoffrey 😉. En effet hier était une belle nuit, dont il fallait profiter dans le Nord après une semaine de brouillard... 😯 J'ai loupé un épisode ? Une crise de diametrite ? 😁
  17. Je trouve ta version de NGC1499 originale et plaisante. Bravo ! 🙂
  18. Encore merci et bravo Gildas pour ces magnifiques dessins !😊 La galaxie du Sculpteur au Zénith... 🤩
  19. joker0247

    Temps de m....

    C'est le même constat dans les Ardennes depuis le début de la semaine, l'impression de vivre sous un dôme de brume avec un grand soleil quelques dizaines de mètres au dessus...la rage 😣
  20. Je n'en ai pas vue de plus grosses en tout cas. J'imagine que des 8x56 t'auraient plues 😁
  21. +1 pour le petit mak 👍
  22. 😅. On arrive à peu près au même résultat pour des jumelles avec champ plan et un bon trépied, je comprends ta douleur 😁. Mais le prix s'oublie...
  23. Une paire de jumelles ? 😉
  24. Bien joué ! Merci pour ce témoignage 😉👍
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