Aller au contenu

caracara72

Membre
  • Compteur de contenus

    197
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

À propos de caracara72

  • Date de naissance 02/18/1997

A propos

  • Résidence
    Sarthe, Ille-et-Vilaine, Corrèze
  • Occupation
    Etudiant en génie mécanique et automatique
  • Matériel
    Dob Sumerian Optics 300/1500
    Newton SW 200/1000
    Mak SW 90/1250
    Neq5 motorisée
    Zoom Hyperion 8-24mm
    Barlow Hyperion 2,25x
    Réducteur 0,5x
    Filtre UHC
    Canon 450D
    Objectifs de 18 à 250mm

Visiteurs récents du profil

1818 visualisations du profil

caracara72's Achievements

  1. Bonjour, Ce sujet m'a tout de suite fait penser à cette magnifique réalisation de @HPMâd Si cela peut te donner de l'inspiration :
  2. Bonjour, Voici mon retour d'expérience pour alimenter les échanges : J'utilise des piles rechargeables 1,2V sur ma Neq5 et cela fonctionne car la monture, comme beaucoup d'appareils, admet une petite plage de fonctionnement autour de la tension nominale. Par contre je ne profite pas de la pleine capacité des piles car lorsque la tension chute lors la décharge, elle sort rapidement de la plage de fonctionnement. Je n'ai pas cherché à mesurer l'impact de sous alimenter la monture, ça doit sûrement changer quelque chose, mais quoi ? (Qualité du suivi ? Couple des moteurs ? Rien en fait ?) En tout cas c'est dommage que skywatcher fasse cette monture en 6V alors que la majorité des montures semble être sur 12V... J'avais songé à prendre une batterie 12V et un abaisseur de tension, mais je n'ai jamais sauté le pas.
  3. Bonjour, J'ai également cet oculaire zoom avec cette barlow, donc je vois bien ce dont tu parles. Ce phénomène est normal : l'ajout d'une barlow modifie le tirage. Si tu veux pouvoir utiliser la jupe en 2", il te faudrait une bague alonge en 2" sur le PO, pour que l'ensemble barlow + oculaire en config 2" ressorte autant qu'en config 1,25"
  4. Bonsoir, Si je comprends bien le raisonnement : lorsque quelque chose tend vers l'infini dans les équations c'est physiquement impossible, or tout ce qui tend vers l'infini peut être exprimé sous forme de série qui tend vers une valeur finie, donc finalement c'est physiquement possible. Mais du coup quand est-ce que quelque chose est vraiment impossible ? Rien ne serait impossible ? Ou alors il y a des raisons plus subtiles qui vont permettre de trancher sur le fait qu'un résultat montre soit les limites d'une théorie, soit une conséquence suprenante mais tout à fait valide.
  5. Bonjour, Pourquoi il n'y a pas d'étoiles sur la couche Ha ? C'est une version starless ?
  6. Effectivement je déconseille de réaliser une modification un peu risquée et embêtante à réaliser pour une amélioration peu significative ! Mais bon j'en parle quand même, c'est toujours bon de faire un retour d'expérience quel que soit le résultat. Il est fort probable que les entretoises sur les tubes aient un meilleur rapport bénéfice/risque. Non, je ne pense pas que ça fragilise l'angle. Le risque c'est d'endommager le miroir lors du perçage puis taraudage du support. Entre l'étau qui doit vraiment bien maintenir le support, les outils qu'il ne faut pas faire déraper, les copeaux de métal qui tombent... même en protégeant au mieux le miroir c'est un peu stressant à faire.
  7. J'ai ajouté une illustration et quelques précisions à ce sujet dans mon poste précédent.
  8. Bonjour @duschnok, Je n'ai pas mon Alkaïd avec moi en ce moment donc je ne vais pas pouvoir faire les essais nécessaires pour te donner une valeur, mais je le ferai dès que je pourrai. Là encore je n'ai pas fais d'essais permettant d'identifier précisément les causes, mais je pense néanmoins que le problème vient surtout : de plusieurs flexions : barres (comme l'indiquent et solutionnent @keymlinux et @j65), branches de l'araignée du secondaire, peut-être support du secondaire. du calage de certains jeux : j'ai l'impression qu'en serrant bien toutes les vis d'assemblage (pas trop pour éviter de marquer les pièces et réussir à démonter) et en effectuant une seconde collimation après avoir pointé différentes zones du ciel avec le télescope, la collimation semble être plus stable. Par contre on ne peut pas faire grand chose contre le jeu des vis de réglage du miroir primaire. parfois du câble qui maintien la tranche du primaire, car ce câble peut soulever légèrement le miroir lorsque l'on vise vraiment bas sur l'horizon à la limite de faire "dérailler" les tourillons du rocker. Je suppose que cet effet levier vient du fait que les fixations du câble sont située trop au-dessus du miroir. C'est une mauvaise surprise qui arrive rarement, mais je soupçonne aussi ce câble de pouvoir se concer entre le primaire et la boite du primaire lors de la collimation, et je trouve par ailleurs ce câble peu pratique pour sortir le primaire afin de le nettoyer. J'ai fait quelques modifications pour essayer de limiter le défaut de collimation en fonction de l'altitude. Cela me semble un peu mieux maintenant, mais je n'ai pas fait de mesure avant/après alors je ne saurais assurer si ces modifications valent le coup : Rigidification du support du miroir secondaire (pièce en V) en le taraudant (opération risquée...) pour y ajouter des vis sans têtes qui "transforment le V en A". Je pensais que le support du secondaire manque de rigidité à cause de la rainure entourée en rouge sur l'image ci-dessous. Honnêtement je ne conseille pas cette modification car elle est risquée pour le miroir secondaire, et d'après mes calculs la flexion du support du secondaire semble négligeable : décalage de l'axe optique de l'ordre de quelques dixièmes de millimètre (pour le moment j'ai estimé les dimensions du support, faute de l'avoir sous la main). Serrage du support du secondaire sur l'araignée, en déserrant légèrement la vis centrale tirante. Je recommande de limer les extrémités des trois vis poussantes pour les rendre plus lisse afin d'éviter qu'elles marquent trop le support du secondaire. Remplacement du câble de maintien de la tranche du miroir primaire par deux touches placées à 90°. Il s'agit des têtes de vis nylon que j'ai vissées sur la boite du miroir primaire. Cette solution n'est pas parfaite car la tranche du miroir glisse mal contre les appuis, donc la collimation ne peut être faite qu'en visant le zénith et en observant le décalage lorsque l'on incline le télescope. D'autre part comme les appuis ne passent pas exactement dans le plan qui coupe le centre de gravité du miroir cela peut théoriquement créer de l'astigmatisme, mais je n'ai pas noté de dégradation de la qualité image. Autres petites modifications qui n'ont rien à voir avec la collimation, mais ça peut être utile : Achat d'une jupe d'un 16" industriel, volontairement prise trop grande pour être sûr que ce soit assez long et large, sachant que ça s'adapte bien à l'Alkaïd 12" une fois vrillée ou maintenue avec des pinces à linge. Mise en place d'une rondelle en caoutchouc sous la rondelle en métal qui maintient le secondaire en place dans la boite de transport pour éviter que la tranche du miroir touche le fond de la boite, et pour faciliter son maintien. Réalisation d'une planchette fixée de façon amovible sous les pieds de la boite de transport pour éviter que le porte-oculaire touche le sol lorsque la boite est posée sur une surface irrégulière (sol gravillonné, champs...) Recherche de différents sacs pour protéger le miroir secondaire, contenir les barres. J'ajouterai des photos pour illustrer certains points.
  9. Bonjour, Justement, dans ce cas pourquoi ne pas garantir le tube intensificateur plus longtemps que le reste des pièces ? La durée de garantie permet de rassurer le client sur la véracité des performances annoncées par un fabricant, et peut être un argument décisif pour se diriger vers un produit plus haut de gamme mais plus fiable que ce qu'il envisageait dans son achat initial. Cette action commerciale est tout bénéfique pour le fabricant, qui n'a de toute façon que peu de retours puisque son produit est fiable. Par contre il faut être en mesure de déterminer si le produit à subi une éventuelle utilisation anormale, et être sûr que cette action commerciale augmentera suffisamment le chiffre d'affaire pour compenser le sav aussi rarement sera-t-il utilisé.
  10. Le temps de faire bien les choses 😉 J'ai toujours mon sumerian optics, mais depuis quelques temps je ne trouve que rarement l'occasion de le sortir malheureusement...
  11. Bonsoir, Je suis content de voir que ces optiques vont servir, intérgrées dans ce télescope qui est une très belle réalisation. Bonnes observations !
  12. Bonjour, Pour faire hiberner une tortue, probablement une tortue d'Hermann ?
  13. Bonjour, Ce n'est pas le premier post dans lequel je remarque que le prix d'entrée de 7000 € de ces oculaires de visions nocturne étonne. Pourtant je ne trouve pas ce prix si extravagant lorsque l'on regarde quel matériel astro on peut acheter à ce prix là. En matériel industriel c'est le prix d'un dobson 500, un Ritchey-Chretien 400 OTA, un Dall–Kirkham 300 OTA, une lunette apo 90 solaire Ha OTA , etc... Et comme OTA = sans monture, il faut encore parfois ajouter quelques k€ pour soutenir ces instruments. En matériel fariqué par un artisan alors pour ce prix là on a accès à des instruments de plus petit diamètre. Alors oui, comparer des instruments aussi différents est hasardeux, et oui tout le monde n'achète pas ce genre de matériel. Mais comme on peut le voir sur les forums et les rassemblements, le nombre d'astrams passionnés qui ont un jour sauté le pas n'est pas négligeable. Pour certains c'est "l'instrument d'une vie" pour lequel ils ont économisé des années, mais parce qu'ils savent qu'il va faire la différence dans leur pratique de l'astronomie. Or ces oculaires de vision nocturne apportent de réelles différences par rapport à d'autres instruments : - Il est possible de les utiliser de multiples façons : seuls comme des jumelles, sur un télescope comme un oculaire, ou encore pour faire de la photo. - Le gain en magnitude qu'ils procurent permettent de voir beaucoup plus facilement les objets du ciel profond. Cela permet de se libérer de plusieurs contraintes : il est possible d'observer en ville avec des filtres sans trop assombrir les cibles elles-mêmes, et on peut utiliser des instruments moins encombrants pour en voir autant qu'avec des bien plus gros. Exit le dobson 500, bonjour le mak127 ! - Le rendu est plus naturel qu'avec un oculaire électronique / un écran d'ordinateur. Ainsi cela en fait selon moi l'instrument qui a le meilleur rapport plaisir/emmerdement pour ceux qui veulent faire de l'observation du ciel profond, voire de la photo "souvenir" façon capture d'écran en visuel assisté. Donc non, le prix ne me semble pas exessif et je suis sûr que ces oculaires de vision nocturne trouvent des acheteurs.
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.