waogll

Si on s'en tient au temps de pose unitaire, UNE pose courte sera plus bruitée qu'UNE pose longue. L'allongement du temps de pose constitue une intégration au sens mathématique et PixInsihtient du terme. Donc les poses courtes seront pénalisées face au poses longues lors de l'empilement. Aucun intérêt à mélanger des poses longues et courtes dans le même empilement.

Te prends pas la tête, l'important c'est le temps de pose cumulé et le tri des meilleures poses. Là tu peux expérimenter si tu veux entre le meilleur rapport signal/bruit, la meilleure excentricité, le meilleur FWHM, le plus grand nombre d'étoiles ou la meilleure PSF ou une combinaison des 5 😁.

Avec le catalogue H18 et une focale de 800mm 1936*1100 et 2,9 um -> Field of View: 0.4° x 0.23°

En CP bruit de lecture diminue et DR augmente à partir de gain = 220 (décrochement des courbes Noise et DR). En planétaire gain le plus faible possible pour obtenir un temps d'exposition de l'ordre de 10 msec, les spécialistes préciseront en fonction de la cible .

Je fais du CP (nebuleuses planétaires) avec un mak 127 donc1500mm et f/d 11.8 et une ASI555 et pas de problème pour le platesolving (ASTAP et SharpCap).

Dans ce cas essayer le plate solving sans la barlow.

Tu as bien renseigné la focale du télescope ? Tu peux faire le platesolving directement dans SharpCap. Il faut renseigner dans préférences le chemin d'Astap et la focale, connecter le driver ASCOM de la monture puis cliquer sur le bouton cible dans la raquette virtuelle en bas à gauche.

Si on peut, mais c'est pas ergonomique et ça implique d'avoir le PC sur le même Wifi que le téléphone.

Plus on pose long, plus on augment le rapport Signal/Bruit. Il ne faut pas considérer les valeurs du signal et du bruit qui vont toutes 2 augmenter avec le temps, mais leur rapport. Le bruit (aléatoire) va augmenter moins vite que le signal (constant).

On peut pas, la seule chose qui peut les faire foirer c'est une fuite de lumière dans toutes les longueurs d'onde de sensibilité du capteur. Idem pour les bias, mais vu le temps d'exposition c'est moins critique. J'ai déjà obtenu des darks de 294mm où l'on ne voyait pas l'ampglow -> poubelle. Pour les flats j'ai encore des pochettes plastiques qui emballaient du papier photo argentique 30x40. Et pour le frigo, je dévisse l'ampoule 😉.

L'avantage des PC portables par rapport au NUCs c'est d'avoir un écran utile pendant la phase de mise en station et une batterie. Une fois l'acquisition lancée ont peut le fermer, le mettre dans un sac et prendre la main à distance. Il faut parfois un simulateur d'écran qui se branche sur le port HDMI pour que les programmes s'affichent correctement.

Les seuls critères à respecter pour les darks sont les mêmes temps d'exposition, gain et température que les lights. Donc rien n'oblige à les faire sur le setup, dans mon cas ils sont faits caméra dans le frigo. De plus pas besoin de les refaire à chaque fois tant que les 3 critères sont respectés.

En physique il y a des règles qui se matérialisent souvent par une équation. Mais il y a aussi tout un blabla 🙂 qui explique quand cette règle est applicable. Et si résoudre une équation est souvent facile à faire, vérifier qu'elle peut s'appliquer est une autre paire de manches. Par exemple la règle des 3 sigma s'applique sur une distribution normale...

Tu pourrais installer l'application Synscan sur un PC ou un téléphone si Windows te donne des boutons et refaire alignement, comme ça on verra si le problème vient de la monture ou Kstar. Tu peux faire ça de jour en vérifiant grossièrement les positions d'alignement. Pour le téléphone prendre plutôt l'app fournie par le site de Skywatcher. Après tu peux aussi connecter Kstar à l'app Synscan en TCP.

Ce qui importe surtout c'est le temps cumulé. Plus il est long plus le rapport Signal/Bruit augmente. Tu augmentes aussi le nombre de bonnes photos en cas de passages nuageux et lors de l'empilement ces photos seront plus fortement prises en compte. Avec des caméras modernes le bruit de lecture est très faible et avoir des poses relativement courtes permet de s'affranchir un peu des problèmes de suivit de la monture.

Le PC d'acquisition va passer la nuit dehors et au matin il va être couvert d'humidité si ce n'est pas complétement givré, donc un portable reconditionné fera l'affaire. Pour l'instant PixInsight n'exploite pas vraiment la carte graphique, je sais pas pour Siril. Par contre 16Mo de RAM ou plus permet de paralléliser les traitements, ou plus exactement les prétraitements.

Les Raspberrys de base ne conservent pas l'heure, mais dans l'ASIair il y a peut-être une horloge sauvegardée ? Connecté à Internet ils arrivent à se remettre à l'heure. Sinon l'heure, la longitude et l'ascension droite sont liées.

Avec une séquence NINA j'ai bien une fenêtre de stats qui s'affiche et évolue. Mais pour une acquisition où l'on fait varier manuellement le focus à chaque prise je ne vois pas cette fenêtre de stat se mettre à jour. Il y a quelque chose qui m'a échappé ?

La caméra a une alimentation 12v en plus des ports USB, on peut supposer qu'elle alimente le Peltier ?

Bonne idée pour approcher rapidement les bonnes valeurs d'expo 👍. J'ai essayé en utilisant une tablette 10" comme source de lumière, pas assez homogène.

Je cherche à installer ASTAP, le site me renvoie vers Download astap program from SourceForge.net Et là mon antivirus n'est pas d'accord, alors que le programme est censé être Downloads: 3,149 This Week J'ai déjà installé ASTAP dans des versions moins récentes et il ne me semble pas avoir eu ces problèmes. Quelqu'un a-t-il installé cette version récemment ? Savez-vous où l'on peut télécharger les versions précédentes ?

Peut-être jeter un coup d'œil dans le gestionnaire de périphériques W10. Quand tu branches quelque chose sur un port USB il y a une ligne qui doit apparaitre en Port COM avec un numéro et une vitesse du style 9600 ou 11500 bauds. Vérifier sur ASCOM en cliquant sur l'engrenage au niveau périphériques NINA que le numéro et la vitesse correspondent.

Il est aussi possible de peindre un codeur absolu vertical sur le mur sur tout le pourtour de la coupole. = = = = = = = = = = = = = = = Un petit système de lecture avec 5 leds et on a 32 positions absolues. Ensuite on commande le moteur jusqu'à arriver devant la valeur souhaitée.

La FWHM est elle le meilleur critère de tri ? Il me semble avoir vu des formules où le critère était une combinaison de FWHM, excentricity , NSR et nombre d'étoiles. Les coefficients variants suivant l'objet photographié. Il serait aussi utile de voir l'écart type de ces critères durant la nuit, afin de choisir le plus discriminant.