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22Ney44

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Tout ce qui a été posté par 22Ney44

  1. Oui tout à fait d'accord. Peut-être pouvons-nous demander, avec l'accord des contributeurs, à @Modération de déplacer les derniers post dans un sujet à créer. Ney
  2. Bonjour @'Bruno, Pour avoir évoluer dans le monde de la recherche en Physique Nucléaire, les astrophysiciens étaient également à côté de nous, nous ne bougions pas beaucoup et eux encore moins que nous. Nos déplacements c'était un ou deux congrès dans l'année. Un congrès c'est 10H00 chaque jour enfermé dans une salle de conférence, des tables rondes, des ateliers spécialisés éventuellement et le dernier soir un repas au restaurant quelque part en ville. Pour le travail c'est en effet un déplacement auprès d'un accélérateur pour un run expérimental d'une à deux semaines plus montage et démontage de l'expérience. Dans ce cadre là c'est une vie de moine qui vous attend, les centaines d'imprévus à résoudre, les 2 X 12 H de veille durant la manip, pas vraiment le temps pour autre chose et sûrement pas le tourisme. Les astrophysiciens eux n'avaient pas à se déplacer. Seuls deux ou trois ingénieurs et quelques techniciens se déplaçaient à l'observatoire. Ça ne faisait pas envie d'ailleurs. Passer 15 jours ou trois semaines au sommet d'une montagne où il n'y a rien d'autre que des télescopes, une cantine cantine et du froid toujours du froid, n'est pas vraiment ce qu'on appelle voyager. Ney
  3. Bonjour @Bill24, Je suis rentré dans deux boites successives comme technico-commercial en informatique. En effet l'air y était bien plus pur. J'ai pris un plaisir immense à concevoir les schémas informatiques des réseaux locaux pour des dizaines d'entreprises. C'était à l'époque, fin des années 80, une activité qui démarrait dans les entreprises qui jusque là ne connaissait que la grosse informatique centralisée, IBM, Bull, Vacs et autres pour les grosses boites et rien pour pour les moyennes ou les petites boites. L'emploi du temps c'était par exemple : Siège de la Gendarmerie trois jours, Bouygues le lendemain, TF1 toute la semaine suivante, un grossiste en peinture ensuite ou des studios de tournage TV, le Tribunal militaire aussi ainsi que tous les Palais de justice de la région parisienne.. Ce fut une époque riche en expériences et en rencontres très fructueuses. De plus le business roulait tout seul, la difficulté était de faire face à la demande, et pour notre entreprise de trouver des gens qualifiés. Ah un dernier point, un salaire sans commune mesure avec celui d'un jeune chercheur. Nous avons pu acheter une maison, mon épouse a pu arrêter momentanément son travail pour les enfants, nous étions très heureux. Après nous nous demandons encore pourquoi nos chercheurs partent à l'étranger ? (comme les derniers nobélisés français, tous hors de nos frontières) Ney
  4. Bonsoir @Sobiesky Merci du compliment. En effet j'ai connu des moments extraordinaires durant cette période dans la recherche. Notre équipe composée d'une quarantaine de personnes était un milieu fécond d'échanges humains, de partages de connaissances : il s'y trouvait des américains de Berkley et du MIT, des russes de Leningrad, un japonnais de l'université de Tokyo, un hongrois, des italiens de Turin et de Catane, des allemands de Darmstad et des français bien sûr. Sporadiquement aussi quelques chinois, là c'était un peu tendu parfois. Et puis un jour, après plus de 80 publications dans diverses revues à comité de lecture, il a fallu quitter tout ça sans trop regarder derrière soi. Je n'y trouvais plus mon compte : trop de politique, trop de contraintes et de compromissions pour exercer librement, trop de copinages malsains pour avoir les moyens. La recherche française dans toutes ses dimensions et ses coulisses malodorantes. D'autres aventures m'attendaient ailleurs. Ney
  5. 22Ney44

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    Bonsoir @astrotophe, Avez-vous déjà mis en place un moniteur transactionnel au niveau du middleware si vous y avez accès chez votre hébergeur, ou avez-vous la possibilité de lui en faire installer un moyennant finance sans doute ? Cela devrait notablement réguler l'empilement des requêtes et en particulier de veiller au bon respect du FIFO. Cependant si le ralentissement est dû au nombre de requêtes simultanées et que des temps s'allongent alors qu'il n'y a pas plus de 15 ou 20 personnes connectées, peut-être le contrat avec l'hébergeur devrait être revu à la hausse de connexions simultanées. Là aussi les finances seraient impactées. Courage et bonnes recherches Ney
  6. Bonjour @Sobiesky, J'ai très bien connu Charpak du temps où il trainait encore ses savates, et je fais soft, dans les couloirs des labos de recherche. En fait Georges CHARPAK, et nous lui devons cela, a le premier mis au point expérimentalement la chambre proportionnelle à dérive multi-fils dans les années 1950, pas la Chambre à bulles. Jusque là c'était principalement ce type de dispositif qui servait de détecteur de particules avec de très nombreuses limitations puisque seules les particules chargées, et à conditions d'être dans une gamme précise de valeur de la rigidité magnétique, étaient mesurées et de façon imprécise. En France cette chambre à bulles était connue sous le nom de Mirabelle. Avec la chambre à dérive proportionnelle, le nombre de particules détectables a considérablement augmenté, et surtout la précision de leurs caractéristiques, permettant de mieux comprendre le noyau car plus en capacité d'inventorier tous les éjectas du résultat de collision dans un accélérateur. Parmi les modèles les plus aboutis de chambres à dérive des années 1980, le détecteur 4 pi stéradians baptisé Diogène était mon "bébé" sur lequel j'ai veillé jour et nuit près d'une dizaine d'années. Composé de dix chambres à dérive, il permettait de "voir" en trois dimensions les trajectoires de tous les débris de collision d'ions lourds que nous provoquions en sortie du cyclo-synchrotron Saturne et de son injecteur Mimas. Ney
  7. Hum combien faut-il de "pattes" à l'araignée pour obtenir ces 16 aigrettes ? La dimension du champ compte ? Ney
  8. En effet ils sont légion : Louis LEPRINCE RINGUET; Hubert REEVES, Christophe GALFARD, Kazuhiro NAKAYA, Pierre SPAGNOU, Jonah LERHER, Stanislas DEHAENE, Gokulananda MAHAPATRA, Muhammad ibn AHMAD Al-KHWARIZMI, Denis DIDEROT, Jean Le ROND D'ALEMBERT, François-Marie AROUET ... je suis certain d'en oublier quelques uns et quelques unes. Ney
  9. 22Ney44

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    Bonjour @astrotophe, Tout d'abord merci pour le travail bénévole, j'ai une idée assez précise de ce que cela représente. Afin de faire "avancer le schmilblic", j'ai noté qu'à partir de 23H00, 23H30 il y a de moins en moins de latence, la réponse est plus rapide autant pour ouvrir une page que pour publier une réponse ou l'éditer pour complément ou correction. Encore ce matin vers 1H00, les réponses étaient immédiates. En journée par contre les temps s'allongent de jour en jour. Ce ne serait a priori pas une affaire de d'administration donc, mais une affaire d'exploitation chez l'hébergeur. Y aurait-il ségrégation de bande passante en fonction du client ? Ney
  10. Oui mais là il y en a une toujours en cours ! Ney
  11. You are right, it's a nice idea. Ney
  12. Hello @VNA, You are absolutely right and we have the beginnings of an understanding of the behavior observed in our young people: curiosity => FB, TicToc, Instagram motivation, => What ? will, => FB, TicToc, Instagram pleasure of learning, => FB, TicToc, Instagram refusing failure, => not concerned discipline, => what is that? practice, => another day perhaps persistance, => not concerned strong support, => FB, TicToc, Instagram, even more for this last point. So, what can we do to save them ? Ney
  13. Oui bien sûr ! Mais comment faire autrement ? Le code des deux cercles est annoncé en cinématographie. Qu'existerait-il de meilleur ? ces deux cercles ne mettent pas les jumelles à l'envers non plus, contrairement à ce qui a été évoqué plus haut. Ney
  14. N'en serait-il pas un peu la même chose de l'anglais et des mathématiques ? L'École s'est plutôt fourvoyée en profondeur sur le principe même de l'existence de ces deux matières. Je m'explique. Les mathématiques et l'anglais ne sont en réalité QUE des outils, QUE des moyens. Les mathématiques permettent de développer des formules, de les résoudre, de calculer des processus, de les modéliser, de les prédire, et ceci pour de nombreuses disciplines : Physique, chimie, géographie, musique, astronomie, aviation, navigation, économie, finance et la liste est encore longue. Alors pourquoi enseigner les mathématiques pour les mathématiques ? Seul, moins de 0,5% des élèves en feront peut-être un métier dont celui de les enseigner. Si l'École revoyait sa copie sur le paradigme "enseignement des mathématiques", elle comprendrait peut-être que c'est l'aspect "outil à mettre au service des disciplines" qui devrait être privilégié et non comme aujourd'hui en faire une fin en soi, pire un outil très discriminant de sélection. Cela n'a jamais été le but des mathématiques. Je crois que pour l'anglais ce doit être la même chose. Enseigner l'anglais pour l'anglais, n'a pas de réel intérêt, mais présenter cette langue et l'appliquer comme outil au quotidien lui redonnerai sa vraie place et son réel fondement. Les élèves dès la sixième seraient alors baignés continuellement dans cette langue et prendraient naturellement conscience d'une part de son caractère d'outil, en particulier pour accéder à une masse d'informations sans commune mesure avec une langue nationale certes riche, nuancée, sophistiquée même, mais sans portée universelle aujourd'hui. (Pour mémoire jusqu'à la Renaissance et même un peu après, c'est le Français qui était la langue universelle, en diplomatie tout particulièrement. Pourquoi avons-nous laissé filer cet acquis ? Mystère). Et d'autre part de son caractère passeport vers l'universalité, gages de Liberté et d'autonomie. En pratique alors comment procéder ? Tout en maintenant quelques heures d'enseignement des principes de base : algèbre, géométrie, arithmétique, logique, ensemble, pour les mathématiques, grammaire, étymologie, histoire de la langue pour l'anglais, ce sont les enseignants de chaque discipline, physique, histoire, géographie, etc qui auraient en charge d'enseigner chacun les outils mathématiques spécifiques à sa discipline et très régulièrement en anglais. On peut imaginer l'enseignement du cours en français, le travail d'exercices en classe ET à la maison en anglais. Cela ferait abandonner le côté monolithique de l'enseignement actuel où chaque enseignant se fiche assez éperdument de ce qui se passe dans les autres disciplines, cela redonnerai aussi du sens aux apprentissages par un abord transversal de la connaissance et non plus fait d'assemblage de verticalités individuelles qu'on ne rencontre jamais dans la vraie vie. L'enseignement supérieur sera toujours assez tôt pour entrer en spécialisation, ce d'autant plus facilement que le socle généraliste acquis en primaire et secondaire sera bien plus solide parce que diversifié et transversal. Ce principe remet bien évidemment profondément en cause la formation des enseignants tel que pratiqué aujourd'hui. Si je prends le cas de l'enseignement de la physique. Quel intérêt y a-t-il à mettre devant une classe de collège, ou même une classe de lycée un enseignant de niveau Master 2 en Physique qui va s’ennuyer à mourir tant le décalage est immense entre ce qu'il est capable de faire et ce qui lui est demandé au quotidien, alors qu'avec un niveau Licence 3 il a déjà très largement les requis pour transmettre le contenu des programmes collège c'est certain, lycée non spécialisé Math/Physique aussi. Pour cette spécialité ce pourrait être des enseignants expérimentés qui plus tard après quelques années de pratique ET un passage en Master 1, assureraient ce niveau. Ce serait à la fois une évolution de carrière et une reconnaissance des compétences acquises. Il nous reste alors 2 ans de formation en formation initiale à consacrer aux apprentissages spécifiques à l'enseignement : psychologie, conduite de groupe, gestion de l'affect, neurosciences et autres outils nécessaires à la vie d'enseignant ainsi que Maths et Anglais nos deux fameux outils. Les enseignants recevraient bien un enseignement de niveau Bac + 5 requis pour entrer dans le cadre A. Durant mes études supérieures en France, j'ai connu cela il y a presque 50 ans. La moitié des cours étaient en anglais, les épreuves et les contrôles aussi. Ça a été souverain. Il n'y a aucune raison que cela ne marche pas du primaire au secondaire. En Bretagne nous avons les Écoles DIWANN qui fonctionnent ainsi, elles sont privées, mais il existe aussi des écoles primaires publiques avec des enseignants de l'Éducation nationale qui assurent tout l'enseignement en Breton, sauf les cours de Français bien sûr. Je vous invite à comparer les résultats PISA et PERL de ces établissements. Tout ceci est bien sûr imaginaire. Mais le système éducatif n'atteint plus son but, ça c'est une réalité. Il n'est alors pas interdit d'en imaginer un meilleur. Ne perdons pas de vue qu'à l'origine l'enseignement secondaire généraliste et le supérieur ensuite, n'ont été conçus que pour faire émerger une élite apte à conserver la connaissance et à la transmettre (rôle de la faculté)et éventuellement de créer de nouvelles connaissances (rôle des enseignants chercheurs) de préférence mâle pour le domaine scientifique et quelques autres disciplines (rappelons-nous le nombre ridicule de femmes nobélisées). De ce point de vue l'institution n'a que très peu évoluée, alors que les objectifs fixés par le politique eux ont radicalement changés quand il s'est agi que 80 % ou davantage d'une classe d'âge obtienne le baccalauréat. Comme 80 % ne peut atteindre le niveau élitiste (sinon le mot en lui même et son concept n'ont plus aucun sens) l'institution a alors amené non plus les élèves au niveau bac mais le bac au niveau des élèves. (A cet égard à l'origine en 1804 ? il y avait 5 baccalauréats dont le Bac de théologie. je vous invite à chercher quel est aujourd'hui l'équivalent universitaire de ce bac qui a conservé son niveau initial de création) Puisque les objectifs de l'École ont changé, il faudrait sûrement que les moyens déployés changent aussi. Ce n'est pas en mettant toujours plus d'argent dans la machine que nous y arriverons mais bien en refondant l'institution. Je souhaite bon courage à celui ou celle qui osera s'y attaquer. Qui, il y a longtemps parlait déjà du Mamouth ? Ney
  15. Ben là vous avez plus que parfaitement raison, c'est vraiment couillon. Alors pourquoi quasi systématiquement, nous le voyons mis en scène à l'envers. Même un long temps fut (cela a été corrigé par la suite) l'émission "D'Art, d'Art", émission de haut niveau technique, artistique et culturel présentait dans son décor un télescope de Newton sur monture équatoriale , lui aussi avec le miroir en l'air et l'entrée en bas, tout cela conçu et mis en place par des gens cultivés et sérieux. Faire passer ces personnes là pour des couillons n'a que peu ou pas de sens. Si c'est ainsi, il y a au moins une raison, plusieurs sans doute, une logique aussi. Ce sont les raisons profondes de ce comportement et la logique associée que nous cherchons à comprendre et à expliquer, n'est-ce pas légitime ? Je ne saisis pas le sens de cette phrase, pouvez-vous développer un peu ? Qui remet en cause, quoi est remis en cause, il me manque des éléments pour comprendre. D'avance merci. Ney
  16. Bien vu le parallèle entre les différents stades d'un morceau de musique et la Joconde ! Ney
  17. Bonsoir les gens, Revenons alors à l'image d'Épinal que l'on retrouve un peu partout jusque dans les albums de Hergé : l'image du vieux professeur l’œil rivé à l'oculaire d'une lunette, donc à l'arrière de l'instrument. C'est cette image qui est gravée dans la mémoire collective et l'imaginaire populaire. De ce fait mettre en scène un télescope, car les professionnels n'utilisent plus de lunettes, impose pour rester dans les codes dominants que l'oculaire soit toujours à l'arrière. Pour obtenir cela il faut donc inverser l'attitude d'un tube de newton à savoir mettre son entrée vers le bas, alors que l'oculaire est de construction à l'avant et en haut. CQFD Pour être archer depuis plus de 40 ans j'ai aussi observé dans les films ou les séries qui mettent en scène un arc, que c'est strictement la même chose. L'arc est présenté systématiquement à l'envers, du moins les branches sont retournées de 180°, toujours pour cause de mémoire collective où enfant l'immense majorité des personnes n'a connu que l'arc a une seule courbure, alors que de nos jours l'arc, une fois monté correctement, possède deux courbures inversées. Comme il ne serait pas instantanément reconnu par le pecus vulgus, le choix de l'inversion, comme pour le télescope, nous est alors imposé par les dominants. C'est vraiment dommage ce comportement. Il interdit systématiquement le progrès de la connaissance au nom d'une "facilité" de compréhension. A les observer plus attentivement, ces deux exemples emblématiques pourraient se décliner en une foultitude d'autres. C'est profondément navrant. Comment édifier les masses dans ce contexte ? Ney
  18. Et voilà : contamination Ok ! C'est fait. Félicitations, vous voilà parties pour aventure sans fin. Belle et longue vie d'astronome à vous et à votre fille. Ney
  19. Bonsoir les gens, Bon avec tout cela, où est passé notre lycéen @Enzooo540. Il n'y a pas beaucoup de retours de sa part ! Ney
  20. Bonsoir Roger, Cette explication convient pour le calendrier ISO 8601 qui n'est pas un calendrier au sens astronomique mais un calendrier administratif au service des entreprises. En tout état de cause elle ne convient pas pour répondre à votre énigme comme elle est posée. Sinon comment expliquer avec cette définition que l'année 2024 présente bien 53 mardis alors que l'année bien que bissextile ne commence ni par un mercredi, ni par un jeudi, mais bien par un lundi. A vous lire. Ney
  21. Bonjour Roger, Rassurez-vous Roger cela ne m'a pas du tout embrouillé. Merci de votre sollicitude. Oui mais la réponse à l'énigme que vous avez posée concernant la règle qui prédit le nombre de mardis dans une année grégorienne c'est quoi ? Je voudrais savoir si ma réponse est correcte ou s'il faut encore creuser ! Ney
  22. Bonjour Roger, Là je suis tout à fait d'accord avec vous, j'ai écrit la même chose. Par contre l'année 2000 commençant un Samedi, compte bien 53 samedis et 53 dimanches. rappelons l'énigme : Ce fut l'année 2019 non bissextile qui commençait par un Mardi. La prochaine sera en 2030. Pour trouver les années comptant 53 mardis il faut que l'année débute par un mardi si elle est commune, un lundi ou un mardi si elle bissextile. Cette règle ne vaut que dans un calendrier solaire de type grégorien. Il existe bien sûr d'autres calendriers, comme le calendrier lunaire chez les religieux musulmans, ou le calendrier ISO 8601 chez les entrepreneurs où bien entendu ce sont d'autres règles. en l'absence de précision sur le calendrier, j'ai pris celui par défaut sous nos latitudes : le calendrier grégorien. En effet 2000 fut une année exceptionnelle à bien de titres : fin de siècle, fin de millénaire, introduction de l'euro. Cependant ce ne fut pas la première année séculaire de 366 jours, mais bien la deuxième du moins dans quelques Pays qui mirent très tôt le calendrier grégorien en application dont la France en décembre 1582. Aussi pour ces premiers Pays ce fut l'an 1600 la première année séculaire comptant 366 jours. Je profite de ce post pour corriger une bourde de ma part dont je viens de me rendre compte. Un peu plus haut j'avais pris comme référence du calendrier grégorien l'année tropique. Cela n'a pas de sens puisque en 1582, il n'était pas encore admis officiellement que la Terre tournait autour du Soleil. Le calendrier grégorien repose en fait sur l'année vernale, le temps qui sépare deux passages successifs du Soleil au point vernal au printemps. Ceci donne une année vernale plus longue de 15 secondes environ que l'année tropique. Voilà c'est corrigé. Ney
  23. Bonsoir Roger, Quel problème y a-t-il Roger ? L'année 2000 bissextile (l'exception des 400 ans) a débuté un Samedi. Nous y comptons donc bien 53 samedis ET 53 dimanches. Par contre nous ne comptons que 52 unités de chacun des autres jours. La règle que j'ai proposée en réponse à l'énigme comme vous l'avez posée se vérifie bien en 2000. Pour exemple il n'y a bien que 52 mardis. Je pense que la différence de point de vue provient du choix de la définition d'une année. Dans le raisonnement que vous avez développé ci dessus, vous ne prenez pas en compte l'année grégorienne ou calendaire, mais l'année administrative telle que décrite dans la norme ISO-8601 très en usage dans les entreprises qui stipule qu'une semaine débute un Lundi et s'achève un Dimanche, et qu'une semaine est raccrochée à l'année où elle compte au moins 4 jours. Une semaine qui débute un lundi 29 décembre, soit alors le premier janvier un jeudi, voit toute la semaine calendaire du 29 décembre au dimanche 4 janvier raccroché à l'année qui débute. Le processus administratif a alors prévu la création d'un treizième mois pour inclure cette 53ième semaine en supplément dans l'année qui débute. Ceci arrive environ tous les 5 à 6 ans, la prochaine occurrence est en 2026, la suivante en 2032. Le marqueur est un premier janvier qui tombe un jeudi ou un mercredi si l'année qui s'achève est bissextile puisque ces années là il y a 2 jours de rab par rapport au nombre de semaines pleines. (Remarque : cela je dois le creuser encore pour être sûr). Ney
  24. Vous écrivez : Là je ne suis pas vraiment en accord avec l'affirmation. Je ne prendrai qu'un seul contre-exemple l'année 2024, l'année en cours. Le premier janvier était un Lundi et l'année compte pour les avoir recompté deux fois 53 lundis ET 53 mardis car l'année est bissextile. C'est le calendrier qui le dit, pas moi. Si le premier janvier d'une année commune est un jeudi, le 31 décembre le sera aussi. De ce fait cette année là il y aura 53 jeudis dans l'année. Tous les autres jours de l'année seront comptabilisés à 52. Non Roger pas vraiment. Je me suis penché sur la résolution de l'énigme qui demande la règle qui prédit les années comportant 53 mardis. Je crois y avoir répondu en me trompant peut-être, je vais vérifier. Ney
  25. Bonsoir Roger, C'est tout à fait possible que mon raisonnement ne soit pas juste. Si des gens bien plus savants que moi y ont réfléchi avant, ils ont sûrement raison. J'ai répondu à l'énigme dans la foulée de la lecture et n'ai sans doute pas assez approfondi le sujet. Je vais me pencher sérieusement la dessus demain et trouver où je me suis trompé. Cependant, le rédigé de l'énigme demande bien la règle qui prédit les années comptant 53 mardis, ce qui est bien différent de la règle qui prédit 53 semaines. Il faut pour cela nous mettre en accord sur le terme semaine. Pour ma part une semaine est un groupe de 7 jours. Prenons comme exemple la durée d'une grossesse. Le corps médical estime qu'elle est de 40 semaines soit bien280 jours. Peu importe le jour de la semaine où elle commence. Ney
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